Je m’appelle Jeanne et je vais vous raconter ce qui est arrivé à mon amie Marie il y a quelques années.
Je suis célibataire, sans enfant, et je vis avec mon chien Rott, qui est un Rottweiler de 60 kilos.
Marie est une amie de longue date. Notre amitié remonte à l’époque où nous allions au lycée. Depuis, elle
s’est mariée et elle a deux enfants. Nos situations familiales très différentes ont fait que nous nous sommes un peu éloignées l’une de l’autre. Vous savez ce que c’est : les mamans ne s’intéressent qu’à leurs enfants, quand ils sont jeunes tout au moins. Et moi, les enfants des autres, ça m’agace !
Cependant, comme nous habitions dans la même ville, il était arrivé qu’on se croise par hasard, dans la rue ou dans un
magasin. Une fois, je lui ai dit de passer prendre un café à la maison, pour qu’on discute entre filles (je voulais dire
sans le bruit et la fureur de toute une famille).
Un matin, vers dix heures, Marie a sonné. Je lui ai ouvert. Elle était très sexy, habillée simplement d’une petite robe courte. Il n’est pas nécessaire d’être très sophistiquée pour éveiller le désir. Il suffit d’avoir des formes aux bons endroits et de les mettre en valeur par un vêtement de bonne coupe. Et puis l’été permet de montrer ce qu’on est obligé de cacher sous un manteau en hiver.
Nous nous sommes fait la bise et je l’ai fait passer au salon. Le chien piaffait d’impatience. On l’entendait tourner dans la pièce et de temps en temps frapper sur la porte de communication fermée en y projetant ses pattes avant.
Quand j’ai ouvert pour faire entrer Marie, le chien s’est rué sur elle pour lui faire la fête. Il l’a déséquilibrée et
elle est partie à la renverse. J’ai eu peur qu’elle ne se soit blessée. Elle s’est retournée pour se relever et pendant un bref instant, elle s’est retrouvée à quatre pattes. À ce moment, le chien l’a ceinturée brutalement. Elle a tenté de s’arracher de l’étreinte mais le poids du chien l’a empêché de se redresser et la force avec laquelle il la serrait ne lui permettait pas de se dégager.
J’ai vu que Rott commençait des mouvements de bassin caractéristiques. Il voulait la prendre, cela semblait de plus en plus évident. Marie l’a assez vite compris. Elle se débattait, mais vainement. Le sexe du chien commençait à sortir du fourreau et je voyais le petit bout rouge taper l’intérieur des cuisses de Marie. Sa robe était remontée et je voyais sa culotte. C’était un simple string qui ne masquait presque rien de son anatomie.
“Aide moi s’il te plaît ! Il va me …”
Elle n’osait pas dire “il va me baiser”. Elle semblait terrorisée à l’idée de se faire violer.
“Je ne peux pas. Il est trop excité, ça serait dangereux pour nous deux si j’intervenais.”
J’étais aussi effrayée qu’elle et je ne savais pas quoi faire pour l’aider. Mais je savais que je ne pouvais pas tenter de repousser le chien. Je n’aurais pas eu la force de le décoller de ce qu’il devait considérer comme sa femelle. Je savais qu’une fois qu’il avait agrippé sa chienne, il était quasiment impossible de les séparer.
Le chien donnait ses coups de reins au hasard et tout d’un coup, j’ai vu qu’il était entré en elle. Son pubis s’est collé aux fesses. Marie essayait toujours de s’en sortir. Mais à chaque fois qu’elle avançait son bassin, le chien la ramenait à lui brutalement. Il la possédait, bestialement. J’entendais le bruit caractéristique d’une bite fouillant à toute allure un vagin trempé.
N’allez pas croire que Marie était soudainement consentante et qu’elle mouillait. C’est simplement qu’un chien lubrifie abondamment la femelle avec ses propres sécrétions.
Il la baisait totalement et j’étais effarée de voir mon amie se faire violer sans pouvoir intervenir.
Il y a une inévitable distorsion entre mon récit et l’acte réel. Ce que je vous raconte en plusieurs paragraphes pour bien vous faire comprendre ce qui s’est passé ne dure en réalité que moins d’une minute, depuis le moment où Marie est tombée jusqu’au moment où le chien a éjaculé en elle.
Dès qu’il s’est soulagé, il a voulu se dégager. Marie était toujours en position de levrette, l’animal bien ancré en elle, pattes avant autour de la taille, pattes arrière en appui pour pousser, le poitrail couvrant le dos, la gueule ouverte, haletante, langue sortie. Il a utilisé sa patte en grattant la fesse de Marie pour se tirer vers l’arrière. Heureusement pour elle, le tissu de sa robe l’a protégée des griffures.
Elle aussi a essayé de se détacher du chien en tirant vers l’avant, sans succès.
“Non, n’essaye pas. Vous êtes noués. Le sexe du chien est gonflé en toi et vous ne pourrez pas vous décoller.”
“Mais aide moi, fais quelque chose s’il te plaît !”
“Il n’y a rien à faire Marie. Il faut simplement attendre que son sexe diminue de volume. Après, il va sortir tout seul.”
“Mais ça va durer longtemps ?”
“Ça dépend. Si ton vagin est assez lâche, ce sera rapide. Mais si tu es serrée autour de lui, ça peut durer un bon quart d’heure. Le mieux, c’est que tu te détendes. Plus tu es crispée, plus tu prolonges la durée du nouage.”
Je me rendais compte que je lui donnais des détails que seul un vétérinaire peut connaître. Ou quelqu’un d’expérimenté. Elle allait inévitablement se poser des questions plus tard.
Le chien avait fini par se retourner. Ils étaient dos à dos. Marie enserrait le sexe de Rott entièrement dans son vagin, noeud compris. On ne voyait qu’un mince ligament rouge qui ressortait, que le chien allongeait régulièrement en essayant de partir. Mais il était clair que Marie était bien prise. Non seulement le chien était gros en elle, mais il me semblait que de son côté, elle maintenait fermement l’énorme sexe, sans doute à son corps défendant.
J’assistais à cette scène sans rien faire d’autre que regarder. Vous allez sans doute trouver cela déplacé, mais j’étais excitée de la voir ainsi, les fesses pleines de ce sexe dont je connaissais si bien les dimensions phénoménales une fois bien en place. Pour autant, je n’osais pas faire un geste.
Marie gémissait. Sans doute pas de plaisir, mais plutôt d’embarras. En quelque sorte, elle pleurnichait sur son sort. Je ne savais pas quoi dire pour atténuer son malaise.
Le chien est resté en elle un temps interminable.
“Je ne prends pas la pilule en ce moment. Quelle horreur ! Il va me mettre enceinte.”
Elle se faisait proprement inséminer, c’était sûr. Je savais que le chien la remplissait de semence, à petites giclées incessantes. Mais je la rassurai :
“Non, tu ne risques rien. Un chien ne peut pas engrosser une femme.”
Ce n’est qu’au bout d’une demi-heure que le chien a réussi à s’arracher d’elle. Dès qu’elle a été libre, Marie s’est relevée. Elle a remis de l’ordre dans sa tenue, elle m’a jeté un regard noir et elle est partie sans un mot.
Elle ne m’avait même pas demandé d’aller se laver. Elle était encore pleine du jus du chien et sans doute pour éviter que cela ne coule le long de ses cuisses, elle devait serrer son vagin pour maintenir le liquide en elle.
J’étais excitée, je vous l’ai dit. Mais j’étais surtout effondrée. D’abord, j’avais sans doute perdu une amie de mon adolescence. Ensuite, je ne savais pas ce que Marie allait faire, si elle allait se plaindre à quelqu’un. J’avais peur pour mon chien, de ce qu’on pourrait lui faire si le viol était ébruité.
Le chien s’était assis par terre, en rond. Il se léchait le sexe, qui restait sorti du fourreau. Bien qu’il ait déjà diminué de taille, il était encore impressionnant, surtout le diamètre du bulbe.
Je me suis assise et j’ai attendu. Rott a fini par se lever et venir vers moi. Son sexe rentrait dans sa coquille. Il n’y avait aucun sentiment de culpabilité en lui, contrairement à ce qui arrive quand il sait qu’il a fait une bêtise. Il n’avait pas la moindre idée qu’il venait de violer mon amie. Il n’était pas effleuré par la pensée que sa maîtresse puisse y voir une infidélité. Un mâle s’était accouplé avec une femelle, réflexe de la perpétuation de l’espèce. Il n’y avait pas non plus de vanité, de forfanterie. Pas de remords, pas de fierté.
J’ai été chercher le collier et la laisse. Rott a compris que nous allions sortir et comme tous les chiens, il s’est excité, sautant à mes côtés. Nous avons fait une longue promenade. Lui pour se dégourdir les pattes après un bon coup de bite, et moi pour me laver la tête en ne pensant à rien.
Marie ne m’a pas recontactée. J’aurais pensé qu’elle m’appelle pour me donner de ses nouvelles. Peut-être aurais-je dû l’appeler moi-même, mais je n’osais pas. Je préférais respecter son silence, ne pas ramener ce mauvais souvenir à la surface.
Il s’est passé quinze jours.
Et puis, on a sonné. J’ai été ouvrir. C’était elle. Nous étions silencieuses toutes les deux sur le pas de la porte. Je ne savais pas si je devais l’embrasser. Était-elle venue pour se plaindre, pour faire la paix ? Je me suis écartée pour la laisser entrer.
“Attends, je vais enfermer le chien dans la chambre.”
Je voulais la rassurer en lui évitant tout contact avec Rott. Il me suffisait de la faire patienter dans l’entrée pendant que je faisais passer Rott du salon à ma chambre.
“Non, laisse !”
Elle avait répondu du tac au tac, avec une insistance surprenante. C’était presque un cri du coeur.
Nous sommes passées au salon toutes les deux. Rott lui fit la fête. Cette fois, elle était sur ses gardes et malgré la puissance du contact, elle ne tomba pas. Elle ne semblait pas effrayée non plus. C’était un peu comme si rien n’avait eu lieu deux semaines auparavant. Le chien lui sautait dessus, pour jouer cette fois, et elle se prêtait au jeu en lui caressant la tête.
“Tu veux un café ?”
“Oui, merci.”
Je suis allée à la cuisine et Marie s’est assise sur le canapé en m’attendant. Je suis revenue une dizaine de minutes après. Je n’entendais pas un bruit. Quand je suis entrée dans le salon, j’ai vu que Marie repoussait le chien. Elle était assise en avant du canapé, les fesses juste au bord. Le chien devait être en face d’elle, sa gueule entre les genoux.
“Il t’embête encore ?”
“Non, non, tout va bien. Il est affectueux, c’est tout.”
C’était ma première allusion à ce qui s’était passé. Marie ne semblait pas se plaindre. Peut-être voulait-elle simplement oublier. Mais la façon dont elle était assise me turlupinait.
“Je vais aller faire pipi. Ne m’attends pas pour boire ton café surtout.”
Je me suis éloignée vers les toilettes et j’ai fait semblant d’y entrer. Je suis revenue discrètement pour épier.
Le chien est revenu vers Marie. Elle ne l’a pas chassé, au contraire. Rott lui flairait la chatte au travers de sa robe. Il donnait des coups avec sa truffe et on entendait son souffle. Il cherchait les effluves de la femelle. Marie le laissait faire. Elle lui caressait le crâne. Elle a eu un regard vers le couloir. J’ai juste eu le temps de me cacher.
J’ai repris presque immédiatement ma surveillance. Marie avait desserré ses genoux et le chien léchait son entrejambe. Visiblement, c’était ce qu’elle voulait. Le tissus de la robe devait l’empêcher de bien sentir le contact de la langue. Elle s’est troussée pour aider le chien. Incroyable ! Elle n’avait pas de culotte.
Rott lapait à grands coups de langue, mouillant toute la vulve. Je voyais bien que Marie était très excitée. Sa chatte était presque rouge et totalement trempée, bien qu’on ne puisse pas savoir si c’était de sa propre mouille ou de la salive du chien. Elle écartait de plus en plus les jambes et avançait son bassin vers la truffe. Mais ce n’était pas encore assez. Elle a attrapé ses cuisses par en dessous et a fait basculé son buste sur l’assise du canapé, offrant sa raie et sa fente aux lèchements.
Rott commençait à s’exciter. Son sexe sortait de sa gangue. Tout d’abord le petit bout rouge. Le gland était de plus en plus apparent. Marie a compris qu’elle contrôlait de moins en moins la situation. Le chien voulait monter sur le canapé. Il plaçait ses pattes avant sur le ventre allongé de Marie. Elle s’est redressée avant qu’il ne soit trop tard, est parvenue à faire descendre le chien et a remis sa robe en place.
C’est le moment que j’ai choisi pour tirer la chasse et faire mon retour. J’ai fait remarquer à Marie qu’elle n’avait pas bu son café.
“Je t’ai attendue.”
Elle rougissait en me disant cela. En plus, je voyais qu’elle regardait le chien avec inquiétude. Cela venait de ce qu’il restait excité, son sexe toujours à moitié sorti. Il tournait autour d’elle et voulait sans doute poursuivre son action.
J’aurais dû en être gênée pour elle étant donné ce qu’elle avait subi quinze jours auparavant. Revoir ce sexe qui l’avait violée, ça ne devait pas être rassurant. Mais ce que je venais de découvrir me faisait comprendre que Marie n’était pas venue juste pour boire le café. Je savais bien ce qui s’était passé en elle. Elle avait été violée, certes. Elle avait été prise par surprise, sans avoir son mot à dire, sans pouvoir y penser. Elle avait dû subir de force quelque chose qu’elle n’aurait jamais imaginé. La saillie avait duré. Elle avait eu tout le temps de se détendre, et elle avait dû le faire pour pouvoir se libérer du sexe bien planté en elle. Elle avait goûté sans le vouloir à ce plaisir inoui de l’accouplement avec un chien. Je savais, moi, qu’elle était désormais accrochée à ce désir pour la vie.
Mais je ne savais pas comment faire pour l’amener à se faire prendre à nouveau, à accepter de le faire en ma compagnie, sans qu’elle se referme ou même qu’elle parte fâchée. Et puis je me suis lancée.
“Marie.”
“Oui ? Quoi ?”
Elle était rouge de confusion. Elle sentait qu’il allait se passer quelque chose.
“Je t’ai vue tout à l’heure avec le chien. Je vous observais depuis le couloir.”
Elle a baissé la tête, comme une petite fille prise en faute.
“Descends du canapé. Le chien va te monter à nouveau. Il en a envie. Et toi, c’est de ça que tu as envie aussi, n’est-ce pas ?”
Elle est restée silencieuse. Puis elle a relevé son visage pour me regarder. Elle avait les larmes aux yeux.
“Oui. Je ne comprends pas. Depuis la dernière fois, je n’arrive pas à oublier. C’est tellement différent, tellement nouveau !”
“Je sais ce que tu veux dire. Je sais ce qui t’est arrivé. Je suis passée par là moi aussi. Détends toi et laisse toi faire. Cette fois, tu vas encore plus apprécier parce que tu le veux.”
Je lui ai tendu la main pour lui donner le courage de se lever. Je l’ai prise dans mes bras et je l’ai câlinée, comme on console une enfant désemparée. Puis je l’ai invitée à se mettre à genoux en appuyant sur ses épaules puis sur sa tête.
“Mets toi à quatre patte et relève ta robe. Le chien est déjà prêt.”
Elle a posé ses mains sur le sol. C’est moi qui lui ai découvert les fesses.
Elle attendait. Elle était visiblement anxieuse. Peut-être était-elle gênée de s’exhiber devant moi et aussi de me montrer que tout cela était prémédité puisqu’elle n’avait pas mis de culotte.
Rott est venu tourner autour d’elle. Je me suis assise sur le canapé pour les regarder. Il avait toujours le sexe à moitié à l’air. Il alternait en léchant Marie et en se lubrifiant la bite.
Elle se laissait faire. Elle ne s’offrait pas encore, mais elle ne se refusait plus. Elle gardait la tête baissée. Elle fermait les yeux. Mais je l’entendais pousser des petits gémissements. Le chien est le roi du cunnilingus. La langue se faufile partout. Sur un clitoris excité, elle fait merveille, j’en sais quelque chose !
Rott a fait une première tentative pour monter Marie. Il s’est dressé sur ses antérieures et l’a prise par les hanches. Il a cherché l’entrée sans la trouver. Il s’est remis sur ses pattes et s’est éloigné en se léchant le gland.
Marie n’a pas bougé. Elle était toujours dans la position de la femelle en attente de la saillie, genoux et mains à terre, buste à l’horizontale, seins pendants, bras tendus, cuisses écartées, le regard tourné vers le sol.
Rott est revenu. De nouveau, il l’a couverte. Je me suis levée et je me suis approchée de la croupe du chien. J’ai guidé ses mouvements de bassin pour orienter la bite vers la vulve. Je tenais ses flancs à deux mains pour le centrer parfaitement. Et pour la seconde fois, l’accouplement s’est fait. Ce fut frénétique, comme la première fois. Marie a crié dès qu’elle a senti le membre entrer en elle. Ce n’était pas un cri de surprise ou de douleur, mais plutôt une plainte qui trahissait une sorte de soulagement.
Le chien s’est agité à toute vitesse, lui bourrant le trou à fond. Je ne voyais pas le sexe entrer et sortir mais je voyais qu’il lui écrasait les fesses en s’enfonçant. Marie expirait à chaque coup que lui assénait le mâle, comme si chaque pénétration lui vidait les poumons.
Puis le chien s’est immobilisé. Son regard s’est transformé. Il a cherché à se détacher mais il était trop solidement planté en elle. Et j’étais sûre cette fois que ce n’était pas la terreur ou la honte qui forçait Marie à contracter ses muscles vaginaux, mais l’envie de garder ce sexe à l’intérieur pour qu’il continue à l’ensemencer.
Je me suis mise à quatre pattes moi aussi et je me suis déplacée pour lui faire face. Elle gardait les yeux fermés. Elle avait du plaisir, même dans ce moment de calme. Je savais qu’un sexe battait comme un coeur dans son vagin, avec une petite giclée de sperme à chaque palpitation. Je savais qu’elle sentait le jet lui toucher le fond de l’utérus. Tout cela participait au plaisir, physique autant que cérébral. Elle devait se dire :
“Je suis une femelle en chaleur qui se fait féconder, je tends ma croupe pour l’offrir au mâle, je veux son jus reproducteur. Je sens son membre qui me comble, je sens sa semence qui me remplit.”
J’ai eu envie de l’embrasser. J’ai pris son menton dans ma main et j’ai collé mes lèvres aux siennes. Elle a accepté mon baiser. J’ai forcé sa bouche avec ma langue et nos salives se sont mélangées. Je me suis mise sur le dos et je me suis glissée sous elle pour lui peloter les seins. La robe était suffisamment lâche pour que j’arrive à les sortir. J’ai relevé la tête pour sucer et mordiller les tétons. Marie a appuyé sur ma nuque, semblant me demander de la mordre plus fort.
J’ai continué de ramper plus bas jusqu’à me trouver juste en dessous de sa fourche. J’avais une vue imprenable sur sa chatte d’où commençait à émerger le bulbe. Je me suis dressée sur mes coudes pour pouvoir atteindre son clitoris. Je l’ai branlée, tantôt avec ma main, tantôt avec ma langue. Ma position n’était pas confortable et je devais souvent changer de façon de la caresser. Mais malgré ces changements de rythme, je sentais que son plaisir venait. Il montait inexorablement. Les petits temps morts qui marquaient le remplacement de la main par la langue ou l’inverse ne faisaient pas retomber son excitation. Elle semblait attendre éperdument la reprise. Pour ma part, je continuais inlassablement mon travail de sape.
Enfin, elle a jouit, sous ma langue. Je lui écrasais son bouton avec mes lèvres et elle a pousser une sorte de long feulement qui allait en s’intensifiant. Elle a eu cette crispation caractéristique des cuisses qui cherchent à se refermer. Le chien a dû sentir le vagin se contracter sur sa bite. Parfois, un jet de sperme au fond de la matrice vient ajouter à l’orgasme clitoridien.
Je suis restée en dessous d’elle pour assister au dénouement. Je voyais le bulbe progresser vers la sortie. On a l’impression qu’il enfle interminablement. Et soudain, la délivrance. Le sexe qui est expulsé autant qu’il s’arrache, la cavité vaginale qui se vide du trop plein et la fente qui continue à goutter.
Le chien s’est tout de suite éloigné, la bite encore raide. Je me suis dégagée rapidement. J’ai dit à Rott de se coucher. J’ai pu prendre son sexe dans ma bouche et profiter du reste de sperme qu’il continuait à émettre à intervalles réguliers. Il suffisait de stimuler le petit orifice du bout de la langue, ou même de suçoter l’embout pour faire sortir le nectar.
Marie s’était assise et me regardait faire. Je l’ai encouragée à me rejoindre. Quand elle a été allongée près de moi, je l’ai embrassée. Puis, j’ai pesé sur sa nuque pour la forcer à rapprocher sa bouche de la bite du chien. Elle a commencé par la titiller du bout de la langue.
“Suce la. Mets la dans ta bouche.”
Elle a entrouvert ses lèvres et a commencé une fellation. Au fur et à mesure, elle s’enhardissait et rentrait un morceau de plus en plus grand, jusqu’à ce qu’elle finisse par engloutir tout jusqu’au bulbe. Pendant qu’elle suçait le chien, je lui caressais les cheveux.
Nous avons ainsi joué toute la journée ensemble. Nous avons fait l’amour toutes les deux. Je savais que désormais, Marie était ma maîtresse et surtout celle de Rott, pour la vie. Quand on a goûté et aimé le sexe avec un chien, c’est sans retour.