Partie 1

Cela faisait 10 ans maintenant que je n’étais pas revenue voir ma famille. Mes études supérieures m’avaient éloignés d’eux et je me faisais une grande joie de les revoir. Depuis que j’avais quitté cette autoroute et que je roulais vers le village ,je regardais le paysage défilé et les pensées commençaient à me revenir en mémoire….. Je me revoyais 10 ans auparavant arriver devant cette ferme tomber dans les bras de mon oncle et de ma tante Alice et de doux et merveilleux souvenirs m’envahir l’esprit.. N’était ce pas là et avec elle ,que j’avais découvert l’amour …..

« « « J’allais enfin partir en vacances….j espérais bien que pendant ce séjour chez ma tante te mon oncle que je pourrais tout oublier ….. ma première déception amoureuse , ma première dépression nerveuse , mes mauvais résultats scolaires résultats des deux premières réunies, la ville , la pollution, « tout ,tout, tout ce qui avait fait de la belle adolescente de 17 ans , pleine de « vie ,riante ,capricieuse comme toutes les jeunes filles de son âge, une petite « fille pâlichonne , triste et qui n’arrêtait plus de pleurer Maman venait d’avoir son frère et ma tante Arlette au téléphone et il était d’accord pour que je vienne passer toutes les vacances d’été avec eux, dans le village où j’étais née.

Je savais que maman était triste de me laisser pendant deux moi seule, mais je pense que cet éloignement ne pouvait nous faire que du bien à toutes les deux Maman était divorcé depuis huit ans maintenant et n’avait jamais voulu se remarier. Elle tenait avec moi le rôle de père et de mère ,et comme dans toutes les familles ,il y avait ce conflit de génération qui faisait qu’en permanence nous n’étions d’accord sur rien et nous vivions depuis quelque temps une vie assez tendue entre nous deux . De plus j’étais heureuse de revoir ma famille et tous les petits copains qua j’avais eu à l’école primaire. Je n’avais qu’un vague souvenir de ma famille , je venais juste d’avoir huit ans quand nous somme parties maman et moi. Je me rappelle que mon oncle ressemblait beaucoup à maman, alors ! par contre je revois bien ma tante Alice avec ses grands cheveux dorés et ses yeux bleus . elle était vraiment très belle, et j’espérais la retrouver comme telle. J’ai toujours eu envie de lui ressembler , je voulais en grandissant avoir le même corps qu’elle , les cheveux et les yeux comme elle’ ,moi qui était complètement le contraire …brune et yeux noirs. Cette fois le grand jour était enfin arrivé , les valises étaient prêtes et demain nous serons dans ma famille en vacances . Deux mois!!deux mois à ne penser à plus rien ,sauf à mon plaisir

Ils étaient là tous les trois à nous attendre devant le portail de leur maison Le premier à venir nous saluer à été le chien. Il était vraiment très beau, et je ne suis pas sûr ,mais il me semble bien que c’était un beauceron …il était vraiment impressionnant. Il n’arrêtait pas de nous faire des fêtes et de nous tourner autour en nous fouettant avec sa queue. -Hercule ! assez , assis !laisse les rentrer ,tu as tout le temps de t’amuser avec elle, maintenant laisse moi les embrasser. Mon oncle avait été obligé de calmer le chien tant il était tout fou autour de nous. Et en me tendant les bras …. -Bonjour Caroline !! , comment vas tu ?….regarde Alice comme elle belle ! quand tu es partie du village, tu étais toute malingre et tu nous reviens en vraie jeune fille ,bravo ma sœur, tu as fait une très belle fille Je devais certainement être rouge de confusion avec tous les compliments qu’il me faisait, mais je ne l’écoutais pas ….je n’avais des yeux que pour ma tante qui était encore plus belle qu’avant. Depuis toute petite ,j’avais toujours été attirée par elle , par cette beauté qu’elle dégageait et encore plus aujourd’hui, quand elle m’a prise entre ses bras et que j’ai senti son souffle et ses lèvres contre ma joue -Bonjour ! c’est vrai ce que dit ton oncle !!!! tu es vraiment resplendissante ….un vraie jeune fille .Dis donc ! tu n’as pas fini de faire tourner la tête de tes anciens petits copains , même la tête des autres tu sais. Regarde !!!!même Hercule tu lui fais tourner la tête , il n’arrête pas de faire le fou Je ne sais pas si elle l’ a fait exprès ou non mais quand elle m’a embrassé , j’ai senti ses lèvres se poser pratiquement sur les miennes . C’était quasiment un baiser qu’elle venait de me donner et de sentir la fraîcheur de sa bouche contre la mienne , je n’ai pu refouler ,ni cette sensation de chaleur qui commençait à se déclencher en moi ,ni les frissons qui venaient de recouvrir mon corps .Elle m’avait bien senti trembler contre elle , -Tu as froid ! c’est sûrement le voyage , la fatigue….allez rentrons , nous serons mieux à la maison pour discuter …ça va tu te sens mieux. – Oui ! merci tante Alice , tu as raison, c’est sûrement le voyage.

-Appelle moi Alice !!!! tante ça fait vieille . D’accord -Oui Alice

Le dimanche s’est déroulé dans une très bonne ambiance. Maman était heureuse de revoir son frère et de reparler du bon vieux temps ,Hercule était allongé sur le tapis du salon au pieds de ma tante et moi j’étais assise en face d’elle en essayant de capter son regard , mais je crois bien que je m’étais faite des illusions en ce qui concernait le baiser d’hier… elle ne l’avait certainement pas fait exprès , et c’est certainement mon côté d’ado un peu lubrique m’avait fait croire que …. Toute la journée je n’ai cessé de penser qu’à ce moment où elle m’avait embrassé en me disant bonjour et mon cœur de jeune fille qui après avoir été complètement vidé par cette déception amoureuse , recommençait à se remplir d’amour pour elle . je devenais complètement folle !!!!Je devenais amoureuse de ma tante Dans ces regards que je lui envoyais , je voulais qu’elle comprenne ,,je voulais qu’elle me parle , qu’elle me reprenne dans ses bras ,je voulais sentir son corps contre moi. -Tu viens avec moi Coralie….. on va les laisser ensemble tous les deux ,ils ont tellement de chose à se dire .Je vais te faire voir ta chambre et te faire visiter le reste de ton nouveau chez toi.

Elle avait enfin compris ,et main dans la main , accompagné d’Hercule qui ne quittait jamais sa maîtresse, elle m’emmena voir ma chambre J’étais aux anges , je sentais les battements de nos deux cœurs entre nos doigts et je ne sais pas à combien battait le sien mais le mien résonnait comme un tamtam contre ma poitrine , très fort,,, Il battait si fort que j’avais la sensation qu’il allait sortir de ma poitrine. -Voilà ta chambre … ! elle te plait.. ?elle est juste à côté de la notre ,comme ça tu n’auras pas peur d’être seule . En plus Hercule dors toujours devant la porte de ma chambre ,comme ça tu seras plus tranquille .Alors elle te plait ? -Merci Alice , mille fois merci !!!.si tu savais le bonheur que vous me donner tous les deux ….et toi ,si tu savais….Dis moi pour tout à l’heure ????. -Chut….Ne dis rien , je sais que je n’aurais pas du. Qu’est ce que tu vas penser de moi maintenant -Rien ! bien au contraire….Alors ,c’est vrai ! hier ,je, ne me suis pas trompée…,’c’est bien un baiser que tu m’as donné ! Pourquoi ! -Je ne sais pas ! ta jeunesse, ta beauté, toi…J’ai fait sûrement une bêtise et maintenant c’est trop tard pour le regretter. -Non ! j’ai beaucoup apprécié tu sais .Je ne sais pas si c’est bien ,mais je me sens bien avec toi. Tu crois que c’est mal ! -Il ne faut pas qu’on aille plus loin ,je n’ai pas le droit ,tu es ma nièce ,enfin celle de ton oncle et tu es beaucoup trop jeune. Surtout , je ne veux pas te faire du mal, je ne veux pas que tu souffre après…tu me comprends ???? J’ai cru mourir quand elle m’a dit ça. J’avais la gorge pleine de sanglots et les yeux remplis de larmes . -Pourquoi ? -Arrête , je t’en prie ! arrête de pleurer….il faut que tu me comprennes !!!oh et puis zut !!!!on verra bien Et cette fois, c’est moi qui lui ai déposé un baiser furtif sur la bouche. -Merci ….je crois bien que je suis amoureuse de toi. -Tu es folle, mais çà me fait plaisir…. regarde Hercule comme il nous regarde toutes les deux ,tu vois comme il t’a adopté, il aime toutes les personnes que j’aime et qui m’aiment -C’est toi qu’il regarde surtout…..il te mange des yeux ! il me donne même l’impression d’être comme moi….il est amoureux de toi Cette fois ,c’est moi qui l’ai senti tremblée contre moi ,à peine perceptible , mais un tremblement quand même que j’ai ressenti jusque dans sa voix. -Oui, c’est vrai ! nous sommes complètement indissociable tous les deux, mais tu verras ,à force de te voir et si tu t’en occupes bien il fera avec toi comme avec moi -C’est vrai !!!!en plus j’adore les chiens ,on va pouvoir faire des grandes ballades tous les deux . si tu as le temps ,tu viendras avec nous !!!!! -Bien sur ma chérie ,je serais très heureuse de venir avec toi …..avec vous… allez !on continue la visite . « tu vois ma chambre est juste à côté de la tienne .Comment tu la trouves ? –Très belle , j’espère que vous ne faites pas trop de bruit avec l’oncle !!!!!!!et que vous me laisserez dormir tranquille Même à son âge ,elle ne put empêcher de rougir -Que tu es bête….nous sommes des vieux maintenant tous les deux ,et comme il est souvent absent ,, tu vois on ne risque pas de te réveiller. Et puis…. -Je t’ai fait de la peine ! excuse moi, je ne voulais pas te froisser .. -Ce n’est pas grave , mais je ne voudrais bien qu’entre nous , le nom de ton oncle ne soit pas prononcé , D’accord ! -Oui , je suis d’accord et encore une fois je te demande pardon -Bon ,la c’est mon bureau ,et il y a même internet. Tu peux si tu as envie ,te connecter avec tes amies .Je te donnerais mon code ,comme ça tu es sure de ne pas aller sur les dossiers de ton oncle . -Dis ! je pourrais venir dormir avec toi dans ton lit, quand mon oncle ne sera pas là ? -On verra !Allez , viens on redescend maintenant , ils vont se demander où nous sommes passées toutes les deux et qu’est ce que nous pouvons bien faire ensemble . Avant de ressortir de son bureau , elle me prit encore une fois entre ses bras et en me serrant très fort contre elle ,posât de nouveau sa bouche contre la mienne en prenant bien soin d’ouvrir mes lèvres avec sa langue pour aspirer la mienne avec volupté . Je n’avais jamais été embrassée de la sorte, même avec mon ex copain, ce n’était que petits baisers furtifs ,mais alors là , j’étais complètement sur un nuage . -Attends je vais me changer et je vous rejoins J’étais là devant la glace de la salle de bains ,après me recoiffer et entrain de penser tout ce qui venait de m’arriver en si peu de temps. En une demie heure je venais de reprendre goût à la vie , avais oublié tous mes petits soucis, avais oublié mon ex comme s’il n’avait jamais existé et j’étais de nouveau amoureuse .Amoureuse de ma tante , je savais que ce n’était pas normal, mais je m’en foutais royalement. Je voulais vivre çà, je voulais qu’on m’aime pour ce que j’étais , pour moi et je savais, je sentais que ma tante allait me donner cet amour et peut être plus encore . Je n’avais que 17 ans et je voulais tout prendre ce qu’elle me donnerait et accepterais tout ce qu’elle me demanderait . Maman et mon oncle était toujours dans leurs souvenirs, Alice avait repris la place qu’elle avait tout à l’heure avec Hercule toujours allongé à ses pieds -Alors ma chérie …..à ce qui paraît ,ta chambre est belle !Arlette vient de nous dire que tu avais beaucoup aimé!! je suis certaine que tu vas te plaire ici. Ton oncle me propose de venir vous rejoindre à la fin du mois. Je suis contente ,car deux mois sans te voir vont me paraître une éternité -Ne t’en fait pas maman, tout va bien se passer, tante Arlette est adorable avec moi , En disant çà , je fixais ma tante droit dans les yeux pour qu ‘elle comprenne exactement ce que je ressentais en ce moment -Je sais trésor, tu verras , nous nous entendrons bien toute les deux . Au fait , demain matin nous ne serons pas là ton oncle et moi. Lui il part en déplacement pour pratiquement toute la semaine et par la même occasion il déposera ta maman chez elle ,,et moi j’ai des choses à régler en ville . Je ne sais pas à quelle heure je rentrerais ,mais ne te fais pas de souci, je serais de retour dans la journée ,et de toute façon tu n’es pas seule, Hercule reste avec toi. Après nous avons toute le semaine devant nous . Nous serons toutes seules et crois moi , on aura bien assez de quoi nous occuper toutes les deux …. De nouveau mon cœur recommençait à battre la chamade contre ma poitrine …., elle venait de faire comprendre que nous allons être toutes les deux pendant toute la semaine et que…….. Vivement demain que tout le monde soit partie et que je sois seule avec ma tante….. La nuit allait être encore longue jusqu’à demain……

Déjà 10 heures du matin ! Mon dieu quelle tête ! Toute la nuit , j’ai tourné viré dans ce lit à chercher le sommeil. Je n’avais fait que penser à elle ,à ce qu’elle m’avait dit hier après midi , à cette situation où nous mettions elle et moi. Je l’aimais et je voulais qu’elle m’aime. Je voulais qu’elle me fasse découvrir l’amour , tout ce que je ne connaissais pas et que j’avais envie de connaître maintenant. Je savais que ce que nous allions faire étaient illégal et contre nature , mais la perversité qui commençait à s’installer en moi faisait que je ne pouvais pas me résoudre à abandonner cette idée. Qu’est ce qui m’avait prise de m’amouracher d’elle, je savais que cela nous amènerait à rien et que je serais encore plus malheureuse qu’en arrivant , mais c’était plus fort que moi je voulais vivre cette expérience, vivre cet interdit Je n’ai fait que penser à çà une bonne partie de la nuit et l’autre partie de me caresser à entendre ma tante gémir pendant que mon oncle lui faisait l’amour . Pourtant elle m’avait bien dit hier après midi , « « que soit disant ils étaient trop vieux pour faire ces choses là » » et pourtant elle s’en donnait à cœur joie et ne faisait rien pour que je l’entende pas . Elle savait que j’étais à côté et que j’entendais ses gémissements et je ne sais pas si elle faisait exprès de faire tout ce tapage pour m’exciter , mais si c’était le cas et bien elle avait réussi Pendant tout le temps de leurs ébats je n’ai cessé de me caresser tellement j’étais excitée et malgré la jalousie que je ressentais envers mon oncle de ne pas être à sa place, je l’imaginais sous lui, les cuisses largement ouvertes pendant qu’il la clouait avec son sexe et quand j’ai entendu le feulement qui montait de sa gorge et le cri de jouissance sortir de sa bouche, j’ai du me mordre les lèvres jusqu’au sang pour qu’elle ne m’entende jouir en même temps qu’elle . Dans l’état d’excitation où j’étais ,je n’ai du réussir à m’endormir que vers 5 heures ce matin après avoir entendu maman et mon oncle partir, d’ou la tête que j’avais Alice m’avait laissé un mot sur la table. « Bonjour trésor, j’espère que tu as passé une bonne nuit ,moi je n’ai pas trop bien dormi et j’ai beaucoup pensé à nous…tu trouveras tout ce que tu as besoin pour déjeuner dans le placard. Surtout n’oublie pas de faire sortir Hercule pour qu’il puisse faire ses besoins ….je t’embrasse. Ne m’attends par pour déjeuner ,je ne sais à quelle heure je rentrerais . Je te donne mon code pour le pc , si tu veux écrire à tes amis .Gros bisous , je t’aime. Quelle garce !!!voilà qu’elle faisait de l’ironie maintenant. Elle avait mal dormi et avait pensé à moi .Bien sur !!: sûrement quand elle était en train de jouir sous mon oncle. Je la déteste !!! Hercule tournait entre mes jambes ….il avait envie de sortir. -Allez oust toi !!!dehors , va te promener , je laisse la porte ouverte comme ça tu fais comme tu as l’habitude de faire. Le pauvre ,il n’y était pour rien et j’étais après me venger sur lui alors que c’était elle la fautive de ma mauvaise humeur et pour me faire pardonner je me suis penchée vers lui pour lui faire un petit câlin .Par ce fait , je me suis retrouvée avec ma chemise de nuit trop courte au dessus des reins , son museau contre ma culotte, et sa truffe qui me reniflait ,coller entre les cuisses et j’avais beau gigoter pour essayer de le repousser, lui avec la force qu’il avait et sûrement à cause des mouvements que je faisais en me débattant, était arrivé à infiltrer sa truffe entre ma culotte et mon sexe. Je me trouvais dans une position complètement grotesque d’où je ne savais plus s’il fallait ne plus bouger pour ne pas qu’il aille plus loin avec son museau ou s’il fallait que je me laisse aller car la sensation que j’éprouvais en ce moment, au contact de sa truffe froide contre la tiédeur de mon sexe, était à la limite de me faire défaillir tellement c’était bon. -Non ! Hercule arrête ,laisse moi tranquille !!! Il était temps que je réalise que j’étais en train de faire une chose qui est impossible entre un humain et une bête et malgré le plaisir qui commençait à naître ne moi,,cette fois c’était trop, je ne pouvais aller plus loin . Je me suis écartée de lui avec beaucoup de regrets je dois bien l’avouer, avec dans le ventre ,la même sensation que j’avais éprouver lors de mon premier et dernier rapport sexuel avec mon ex petit ami. Je n’avais pas réussi à jouir et aujourd’hui , c’est exactement la même chose qui m’arrivait .J’étais frustrée !,voilà ce je ressentais en ce moment Il était temps que je me relève , sinon , c’est avec la truffe du chien entre mes cuisses qu’Alice nous aurait surpris tous les deux. Je venais juste de repousser le chien et remis de l’ordre dans mes vêtements quand ma tante est arrivée, et aux yeux rieurs qu’elle avait ,,je voyais bien qu’elle se doutait ,que quelque chose s’était passée entre le chien et moi -Bonjour trésor, alors je vois que vos avez commencé à faire connaissance tous les deux ….il n’a pas été trop embêtant avec toi j’espère ,car je le connais ….aussitôt qu’il y a des gens à la maison, il faut qu’il fasse l’intéressant. -Non , je t’assure ….il a été très sage….mais en lui disant ça je sentais mes joues rougir de honte .Non, non ! je t’assure qu’il ne m’a pas ennuyé…. enfin ,si un petit peu mais ce n’est pas grave. – -Tu es sure ? Il ne t’a pas fait de mal au moins -Non je t’assure voilà ! je me suis penchée vers lui pour le caresser et je ne sais pas ce qui c’est passé. J’avais ma chemise de nuit un peu trop relevée sur le haut de mes cuisses et le temps que je réagisse et que je prenne une autre position , ,il avait collé son museau contre ma culotte . Et moi que veux tu que je fasse ! J’avais peur de sa réaction. J’avais beau essayer de le repousser avec mes mains et à force de gigoter et bien il a réussi à passer sa truffe entre ma culotte et mon sexe. Quelle honte ,je t’assure, mais j’ai quand même réussi à me relever .Mais ne le gronde pas , il n’y est pour rien, j’avais qu’à faire attention et à m’habiller correctement. Je n’osais plus la regarder en face et il fallait que je trouve une sortie ,sinon je suis sure qu’elle aurait réussi à me faire dire ce qui s était passé avec le chien, je me demande bien ce qu’elle aurait pensé de moi. -Excuse moi, je monte prendre ma douche …..à tout de suite. J’étais dans la douche , en train de me déshabiller , quand la porte c’est ouverte pour laisser passer Alice complètement nue .Elle était d’une beauté affolante -Tu veux bien que je prenne une douche avec toi ? Il m’était impossible de lui répondre ,tant mes yeux étaient hypnotisés par son corps et j’avais beau essayer de la regarder , je ne pouvais pas détacher mon regard de ses seins et de son ventre . -Alice !mon dieu comme tu es belle !!! prends moi dans tes bras je t’en prie je suis tellement malheureuse . Hier , tu m’avais dit que toi et ton mari vous étiez trop vieux …..et cette nuit….j’ai tout entendu…. -Oui je sais ,je n’aurais pas du , ou j’aurais du attendre que tu t’endormes . mais j’avais envie de faire l’amour ,j’étais très excitée après nos échanges d’hier et je voulais oublier cette folie qui était en train de s’emparer de moi .Je voulais t’oublier mais hélas je ne l’ai pu . Je n’ai pas pu m’empêcher de penser à toi et ce n’est pas lui qui m’ a fait jouir ! c’est ton image , ton corps ,l’envie de t’avoir contre moi qui m’a fait hurler de plaisir. -Moi aussi , je me suis caressée aux rythmes de tes gémissements et j’ ai attendu que tu jouisses pour jouir avec toi .Regarde mes lèvres dans l’état où elles sont à force de les avoir mordues pour ne pas crier plus fort que toi et avant que je puisse finir ma phrase , sa bouche était sur la mienne , ses lèvres collées aux miennes , nos deux corps tendrement enlacés – Je ne sais plus où j’en suis et ne comprends pas encore ce qui m’arrive ….explique moi , j’ai peur , peur des conséquences , d’être trop malheureuse quand je vais repartir . Une de ses mains me caressaient le dos pendant que l’autre écartait les lèvres de mon sexe et me caressait le clitoris et pour la première fois de ma vie ,j’ai senti un immense plaisir monter de mon ventre et une grande chaleur envahir mon sexe . J’étais là toute tremblante entre ses bras ,les cuisses complètement écartées pour que ses doigts puissent me fouiller le plus loin possible. J’avais déjà fait l’amour, mais jamais au grand jamais je n’avais ressenti un plaisir aussi intense me ravager le ventre .Je savais ce que le mot jouir voulait dire pour une femme pour l’avoir tant de fois entendu, mais je n’avais encore jamais joui de ma vie et je ne connaissais pas cette sensation décrite par toutes ces femmes . -Oh oui !!! c’est bon ….c’est la première fois….,c’est la première fois que je vais jouir, , je sens ton ventre contre le mien et tes doigts qui me pénètre!!….caresse moi encore je t’en prie ……apprends moi l’amour -Oui mon trésor , je vais t’apprendre l’amour , je vais faire de toi une vraie femme, je vais tout t’apprendre . Tu veux bien ? Moi je n’écoutais plus ce qu’elle me disait ! je ne pensais qu’à ce doigt qui me masturbait le clitoris et aux autres qui me caressaient les lèvres. Je sentais quelque chose qui venait du fond de mon ventre et quand elle a enfoncé les doigts dans mon vagin, que je me suis mise à trembler comme un feuille et à crier comme une folle ,cette fois j’ai compris ce que le mot jouir voulait dire. Je m’étais souvent caresser le soir dans mon lit, j’avais éprouvé du plaisir, mais jamais , je n’étais parvenue à jouir . Et ce doigt qui n’arrêtait pas de me caresser !!!! Et mon ventre qui n’arrêtait pas de couler entre ses doigts !!!! Et mes jambes qui n’arrivaient plus à me retenir tellement mon corps tremblait de jouissance que je me suis retrouvée à genoux devant son ventre et mes lèvres collées contre son sexe pendant que ma bouche prenait possession de son clitoris . J’étais vide !!!je venais de jouir entre ses bras, sur ses doigts . Je voulais la goûter moi aussi et je me surprenais moi même de l’audace que j’avais . Je n’aurais jamais cru la non plus que je puisse embrasser et aimer le sexe d’une femme. Mais j’avais encore envie d’elle et je voulais lui donner du plaisir moi aussi . Elle sentait bon , son sexe avait un goût de miel et avec la force qu’elle avait de me tenir la tête appuyée contre son sexe, à la cadence que son ventre venait à l’encontre de ma langue, je savais qu’elle n’allait pas tarder de jouir elle aussi. Je m’en voyais pour respirer , mais j’étais heureuse de la sentir jouir contre ma bouche. Je voulais m’imprégner de son jus et de son odeur. Cette fois je n’en pouvais plus . -C’est bon !c’était trop bon…..je t’aime Alice. Je suis à toi ,toute à toi. J’en veux encore ! je veux que tu me fasses tout connaître hein !!!!tu m’as promis !! -Je ne sais pas si tu iras jusqu’au bout de tout ce que je veux te faire connaître, mais si tu es d’accord ,je te promets de tout t’apprendre. Tout ,absolument tout. -D’accord …..,je ferais tout ce que tu voudras et tu feras tout ce que tu veux avec moi, je te promets . -Allez, va te changer maintenant, je t’attends en bas

Je venais de jouir pour la première fois et avec une femme enplus Voilà ce que j’étais en train de me dire en me douchant. J’étais amoureuse de ma tante ….je ne sais pas ce que la suite des vacances allait me réserver , mais pour le moment elles commençaient bien. Je ne savais pas non plus ce qu’elle avait voulu dire par « tout connaître « ,et ne voulais pas essayer de comprendre , je voulais seulement qu’une chose….je voulais être aimée et aimer….. Et j’allais faire en sorte que cela se fasse dans cet ordre Après m’être changée ,je suis redescendue au salon . Elle était assise sur le sofa ,le téléphone dans une main, me regardant bien dans les yeux pour me bien faire comprendre que nous venions de sceller quelque chose de très important entre nous, un de ses pieds caressant le ventre d’Hercule pendant que lui , lui léchait le mollet avec tellement de passion qu’on aurait dit qu’il la dégustait . Plusieurs fois il a été question de moi dans la conversation et chaque fois qu’elle prononçait mon prénom elle me faisait un coup d’œil. -Tu étais avec mon oncle ?.Il te demandais si j’allais bien ? -Non ma chérie ! j’étais avec Delphine ma meilleur amie et quand tu es descendue , nous étions justement en train de parler de toi. -Ah bon !pourquoi de moi ? Je ne la connais pas et elle non plus ! -C’est vrai ! mais je lui ai dit qui tu étais et que tu étais en vacances pour deux mois chez nous. D’ailleurs tu vas faire sa connaissance car je l’ai invitée pour jeudi, elle arrive mercredi soir et elle dort ici. Ca ne te dérange pas au moins ? -Moi ! non pas du tout et tu es chez toi, tu peux bien inviter qui tu veux . Moi j’étais bien, le ventre apaisé et le reste je m’en balançais. La seule chose qui m’importait maintenant, c’est qu’ elle veuille bien commencer à m’apprendre l’amour , tout l’amour comme elle me l’avait promis tout à l’heure.

Les deux jours qui précédèrent l’arrivée de son amie Delphine ,je les passais à me promener avec Hercule , en prenant bien soin de ne pas me faire surprendre par lui comme l’autre fois., mais en regrettant quand même de ne pas avoir profiter de cette langue . Surtout maintenant …. depuis que je l’avais vue lécher le mollet d’Arlette et d’avoir vue cette langue qui remontait le long de sa jambe et le plaisir qu’elle avait à se laisser faire, je regrettais vraiment de pas être allée plus loin l’autre fois .Comme elle devait être douce . .et longue . Comme celle qu’il avait en ce moment tellement il avait couru et qu’il avait chaud. Je devenais complètement folle !!!voilà que je me mettais à avoir des sensations dans le ventre en pensant à çà. Ce n’est pas possible, je n’avais pas envie qu’il me lèche là dans ce champ !.Je n’allais quand même pas m’assoire ici , baisser mon jeans et écarter ma minette pour qu’il y mette son nez comme la dernière fois ….et pourtant ,c’est ce que j’étais en train de faire. Je me suis installée derrière un gros buisson pour que personne ne nous aperçoive et pendant qu’il fourrageait avec sa langue entre mes cuisses ,je maudissais ce jeans qui m’empêchait d’écarter les jambes au maximum et en me jurant maintenant de ne mettre que des jupes de façon à ne pas avoir à me déshabiller et être prête quand j’en aurais envie. Car j’avais envie de cette langue . Mon dieu le bien qu’elle me faisait. Il me barbouillait le sexe avec et je sentais sa bave me couler entre les fesses. Je n’avais rien pour m’essuyer mais je n’en avais cure .Je partirais comme ça avec le sexe et les fesses toutes mouillées .Pour le moment je ne pensais à rien d’autre qu’à cette truffe froide contre mon sexe et cette langue qui n’en finissait pas de m’écarter les lèvres pour aller plus au fond chercher ma mouille et qui me faisait jouir. J’avais le clitoris et les lèvres tellement sensible qu’à chaque coup de langue , mon corps était secouer par le plaisir et je sentais mon sexe exploser et ma mouille couler en abondance sur sa langue . Comment avais je pu en arriver là !j’étais venue pour me reposer et être au calme , et depuis deux jours je n’arrêtais pas d’avoir envie de faire l’amour et maintenant j’étais après me faire bouffer la minette par un chien. J’étais sur un nuage et quel bonheur .Je commençais à vivre dans la débauche la plus complète et je jouissais de cette situation. -Ah non ! tu me lâches maintenant , laisse ma jambe tranquille .Je ne suis pas une chienne quand même. C’est de le sentir accroché après ma jambe et le voir se masturber contre elle , qui m’a fait redescendre sur terre. Quel dommage ,j’étais bien mais il fallait rentrer et qu’on se dépêche car c’est ce soir que la copine de ma tante arrivait Maintenant, je savais que toutes les fois où je me trouverais seule avec le chien , je n’hésiterais plus à relever ma jupe, à enlever ma culotte pour me faire brouter la chatte .J’avais trop aimé et je me disais que la prochaine fois je me mettrais à quatre pattes pour sentir sa langue entre mes fesses et le voir par en dessous me passer sa langue sur ma minette et la sentir glisser entre ma raie. Entre ma culotte qui me collait entre les fesses , mon sexe en feu complètement trempé et le tableau que j’étais en train de m’imagier dans ma tête ,j’avais encore envie de jouir mais il fallait que je me calme si je voulais avoir un tête à peu près présentable

Ma tante était pratiquement collée à elle quand j’entra dans le salon. Apparemment sans être gêner de sa position ,elle me présenta Delphine, qui je dois bien reconnaître malgré la petite pointe de jalousie féminine que je ressentais tout de suite envers elle , je trouvais très belle. Tout en parlant avec Alice ,elle n’arrêtait pas de me regarder avec dans les yeux et dans sa façon de parler , quelque chose que je n’arrivais pas à définir mais qui m’attirait irrésistiblement vers elle. Je sentais que quelque chose était en train de se tramer entre elles deux, envers moi et je commençais à comprendre ce qu’Alice avait voulu me dire par ‘ « je ne sais pas si tu iras jusqu’au bout , mais si tu es d’accord, je te ferais tout connaître ,tout »….On verra bien . Pour le moment j’avais sommeil

La soirée fut courte pour moi. Avec la journée que je venais de passer ,je ne pouvais plus tenir les yeux ouverts et après qu’on se soit tendrement embrassées je rejoignis ma chambre.

C’est encore un cauchemar qui m’a réveillé en sursaut ou un bruit je ne sais plus. Je n’avais pas l’habitude de la campagne et tous ces bruits insolites , me dérangeaient un peu je dois bien le reconnaître. Et puis j’avais soif…. C’est en allant à la cuisine et en passant devant la chambre de ma tante que j’ai compris que ce n’était pas un cauchemar qui m’avait réveillé mais bien un bruit insolite.

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Partie 2

D’habitude Hercule dormait devant le porte d’Alice et je pense que c’est lui qui à du la laisser entrebâillée en voulant aller dormir avec sa maîtresse. J’étais quand même intriguée par tous ces bruits et ces soupirs qui venaient de la chambre d’Alice et curiosité féminine oblige ,je risquais un coup d’œil à l’intérieur , en prenant bien soin de ne pas faire trop de bruit pour ne pas me faire repérer. Je n’arrivais pas à voir toute la chambre en entier , mais je vous assure que malgré tout , je n’étais pas déçue du spectacle qui se présentait à mes yeux. Ma tante était allongée sur le lit avec les cuisses remontées et largement ouvertes et bien que le corps de Delphine me soit à moitié caché , je pouvais voir sa bouche enfouie dans les replis du sexe d’Alice en imaginant sa langue qui devait se perdre au beau milieu de ses lèvres . J’aurais tellement voulu être à sa place , à quatre pattes entre les cuisses de ma tante avec ma langue sur son sexe à déguster sa mouille qui ,vue les coups de reins qu’elle donnait à chaque fois que Delphine la léchait , devait couler en abondance de son vagin avant d’aller se perdre entre la raie des fesses. Il fallait bien avouer que je ne restais pas indifférente à la beauté de ces deux corps entremêlés . Je sentais maintenant une chaleur intense entre mes cuisses qui commençait à envahir mon corps, pendant que mes doigts après avoir écarté mon clitoris d’entre les lèvres de mon sexe, avaient entamés avec lui une masturbation d’une telle intensité que je ne pus me retenir trop longtemps et malgré toutes les précautions que j’avais prises pour ne pas faire de bruit ,je me suis mise à gémir tant la jouissance était profonde. J’ai eu beau essayer de me cacher j’ai bien vue que ma tante m’avait entendue jouir et regarder dans ma direction tout en continuant de se faire lécher par Arlette. -C’est toi Coralie ? je sais que tu es là !!!entre ….. Viens te joindre à nous on t’attendait Delphine et moi. Je savais qu’en entrant dans cette chambre pour me joindre à elles , toute ma vie d’adolescente basculerait et que j’allais plonger dans ce monde où il ne me serait plus possible de revenir en arrière . J’avais eu déjà ce petit moment de folies avec ma tante et ce plaisir immense avec Hercule et maintenant mon cœur et mon corps me demandaient d’aller encore plus loin .Depuis que j’avais mis les pieds dans cette maison ,ils ne m’obéissaient plus Je l’avais bien deviné hier au soir qu’elles me préparaient quelque chose toutes les deux et les regards que j’avais échangés avec elles ,avaient du leur faire comprendre que je n’étais pas du tout contre et que je n’attendais qu’un chose , c’était d’être aimée et aimer. .C’est comme çà que sans aucune honte aucune , après avoir poussé le seul rempart qui me séparait de celles qui allaient me faire devenir la femme que je suis devenue, je me suis retrouvée allongée la bouche contre le sexe de ma tante. Mes lèvres avalaient avec frénésie le clitoris que Delphine avait fait dresser à force de le sucer, pendant que ma tante passait ses mains sur ma chatte et que Delphine prenait possession de mes fesses avec sa langue.. C’était trop !!!!!cette langue entre mes fesses qui me titillait l’anus, ce clitoris que je suçais et qui bandait entre mes lèvres ,ces doigts qui me branlaient la minette et qui s’enfonçait en moi….pourquoi je ne l’avais pas fait avant ! pourquoi !!! Mais je n’avais que 17 ans et malgré mon jeune âge ,je m’entendais les supplier toutes les deux.. -Encore , j’en veux encore…. prenez moi toutes les deux, ,donnez moi tout . Aliiiiiiice !

Elle ne m’a pas répondu. Elle s’est seulement écartée de moi et appeler Hercule pour qu’il vienne entre ses jambes. Je ne m’étais même pas aperçue qu’il était là quand je suis entrée dans la chambre tant j’étais hypnotiser par leur deux corps tendrement enlacés. Cette fois je me trouvais dans une situation complètement folle .J’étais là émerveillée par le spectacle de la gueule du chien en train de la renifler et de lui lécher le sexe Je ne pouvais plus contrôler mes doigts qui avaient remplacés ceux de ma tante dans ma chatte ,tant elle était occupée à écarter ses lèvres au maximum, pour que la langue du chien aille le plus loin possible. -Coralie ! viens profiter de sa langue toi aussi,!viens t’asseoir à côté de moi , je sais que tu en as envie ,je l’ai compris l’autre jour . -Je ne sais pas ….je n’ose pas ! et s’il me faisait mal. je ne pouvais pas lui avouer que je l’avais déjà fait et que j’avais joui à en pleurer tellement j’avais aimé. -Viens , je suis là et tu ne risques rien je t’assure. Cette fois je n’avais plus besoin de me cacher derrière un buisson pour me faire lécher par lui. Plus rien ne compterait que cette langue qui allait me fouiller le sexe et qui me ferait dresser le clitoris avec tant de force au point de le faire éclater Je m’étais dit après avoir joui la première fois grâce à lui , que je le voulais autrement. -Je veux me mettre à quatre pattes Alice …je veux qu’il me lèche dans cette position. -Tu as raison ma chérie, c’est bien meilleur ! …allez installe toi bien comme il faut Cette fois j’y étais , sa langue passait sur mon sexe pour finir entre mes fesses que Delphine n’hésitait pas à écarter pour qu’il puisse venir fouiller dans mon petit trou. Je regardais par en dessous et étais émerveillée par le spectacle de sa langue sur mon clitoris . De voir cette bave couler de ma chatte j’ai vraiment eu l’impression que c’était ma jouissance qui sortait de mon ventre et je n’ai pu me retenir plus longtemps .Mon dieu quel bonheur, quel plaisir….je ne pouvais plus contrôler les tremblements qui s’étaient emparés de mon jeune corps A chaque coup de langue entre mes fesses , je sentais mon anus s’ouvrir de plus en plus et sa langue me pénétrer encore plus loin à tel point que j’avais l’impression qu’il essayait de me sodomiser . C’était trop !je n’en pouvais plus .Mes bras et mes jambes n’arrivaient plus à me soutenir et dans un cri de jouissance, je me suis effondrée sur le lit ,tout en tremblant comme une feuille entre les bras de Delphine ,pendant que ma tante essayait de me calmer . -Nous somme allez trop vite et trop loin avec elle tu ne crois pas ? -Je ne sais pas ! voilà les paroles que j’entendais dans ma demie inconscience. -Non, non ! c’était trop bon ….je vous aime toutes les deux ,et je veux encore aller plus loin….au bout de mes possibilités Mais avec vous deux maintenant. -Tu veux voir encore le chien ? -Tout ,je veux tout . Mais comment le chien ? -Ouvre les yeux et regarde. J’avais laissé Hercule dans un état d’excitation tel qu’il n’arrêtait pas de tourner autour de Delphine qui pour l’occasion s’était elle aussi mise à quatre pattes . Il la reniflait entre les fesses , sous le ventre et entre les cuisses sans manquer à chaque passage de glisser sa langue sur toutes les parties de son corps que je venais de décrire Pourquoi ma tante voulait elle que je regarde puisqu’il faisait avec elle exactement ce qu’il avait fait avec moi. A part l’excitation qu’il avait en plus ,je ne comprenais pas ! -Attends ma chérie ….si tu veux t’en aller tu le fais de suite , mais après ce sera trop tard et je suis sur que tu le regretteras .Tu voulais tout connaître alors ….regarde bien mon trésor ,c’est maintenant

Je n’arrivais pas à croire ce que je voyais .Il avait essayé de me faire la même chose hier après midi…..il avait essayé de s’accrocher à moi mais j’avais refusé qu’il aille plus loin et l’avais repoussé violemment. Moi c’était après ma jambe alors que Delphine le laissait monter sur elle . -Alice !Elle ne va pas le laisser faire ? ce n’est pas possible . -Elle sait ce qu’elle fait ne t’en fait pas pour elle Je n’osais plus parler maintenant et parler pour dire quoi .Plus aucun son ne pouvait sortir de ma bouche autrement que « « Oh,…c’est pas possible….c’est une femme, pas une chienne » » Il était maintenant sur elle et dans elle. J’avais vue le bout de son sexe sortir de son étui quand il essayait de trouver sa route entre ses cuisses .Plusieurs fois il s’était présenté devant son anus mais elle avait fait en sorte qu’il ne puisse pas rentrer et quand il avait enfin trouvé l’endroit ou il devait se mettre , je l’ai vue plonger dans son ventre avec une telle force qu’elle a bien failli s’écrouler par terre. Je ne savais plus qui regarder et laquelle envier….de ma tante qui était encore plus belle qu’avant avec les yeux qui brillaient et sa langue rose qui courait sur ses lèvres comme si elle avait envie elle aussi de prendre sa place et de s’accoupler avec lui, ou de cette femme couverte par ce chien avec ce visage resplendissant de bonheur de sentir son sexe plonger au fond de son ventre. Je restais persuadée qu’Alice l’avait fait elle aussi ….je revois encore son visage le jour où je lui avais dit que son chien était comme moi …amoureux d’elle et qu’elle avait tourné les yeux pour que je ne puisse pas y lire dedans. Je n’ai pas eu besoin de réfléchir longtemps pour savoir que celle que j’enviais le plus , était celle qui se trouvait à quatre pattes . Bien que je n’imaginais pas me faire prendre par un chien, mais de voir avec quelle vigueur il la possédait , je sentais mon sexe s’écarter tout seul. Comme s’il attendait d’être pris lui aussi.

Je n’avais pas assez de mes deux yeux pour profiter du spectacle de cet accouplement . Il la tenait si fort contre lui, qu’à chaque coup de reins , je voyais sa bouche s’ouvrir en grand comme si elle cherchait son souffle et j’essayais d’imaginer le sexe du chien au fond de son vagin. Je n’avais jamais vue un sexe de chien et je ne pouvais pas imaginer ce qu’elle ressentait vraiment, mais à voir le rictus qu’elle avait aux lèvres et la bave qui coulait de sa bouche ,je savais qu’elle éprouvait beaucoup de plaisir et que pour rien au monde elle n’aurait donné sa place à une de nous deux. Enfin à ma tante car pour moi il n’était pas question que je me fasse couvrir par Hercule. Les mains de ma tante s’étaient collés contre ma chatte , avec les doigts au fond de mon vagin et chaque fois que le chien plongeait , mon ventre allait à la rencontre de ses doigts. Maintenant je rêvais….ce n’était plus ses doigts qui m’ouvraient le sexe, mais le chien qui me possédait .Je m’entendais gémir en même temps que Delphine et ma tante .Nous étions là ,les yeux dans les yeux jusqu’à ce qu’elle se mette à jouir ,nous entraînant toutes les trois dans la même communion . Comme c’était fort et bon ….mon vagin qui ressemblait à une fontaine maintenant , ruisselait tellement que la main d’Alice malgré l’étroitesse de mon sexe ,n’eut aucune peine pour me pénétrer pratiquement à fond. Ce n’était pas un sexe que j’avais en moi mais je pouvais aisément imaginer ce que Delphine pouvait ressentir et je commençais sérieusement à l’envier . -Attends , ce n’est pas fini ma chérie .C’est maintenant le plus beau. Mais il faut que je l’aide. -Pourquoi ? -Tu vas comprendre Le chien était bloqué sur les reins de Delphine et ne bougeait pratiquement plus à par son arrière train qui me donnait l’impression d’être parcouru par des spasmes .. Je ne connaissais rien dans les rapports femme chien mais j’étais sur qu’il était en train de jouir dans son ventre pendant qu’elle continuait à se frotter à lui et je voyais par les va et vient des ses hanches qu’elle essayait de l’aspirer au maximum dans son ventre . Alice se tenait derrière le chien, comme si elle n voulait pas qu’il s’en aille mais cette fois Delphine n’avait plus l’air d’apprécier la présence du chien sur elle et dans elle .Son rictus de tout à l’heure s’était transformé en un grimace de douleur. -Mon dieu qu’il est gros !!!!surtout empêche le de sortir Alice je t’en supplie. Il est en train de m’ouvrir en deux littéralement. Coralie ! viens m’aider ,approche …. Je ne comprenais pas ce qu’elle attendait de moi ,comment pouvais je l’aider. -Que veux tu que je fasse ? je ne sais pas moi ! -Caresse moi s’il te plait , branle moi pour que je sente moins le douleur dans mon ventre Je ne comprenais rien à ce qu’elle me disait et je regardais Alice qui me confirma par un hochement de tête qu’il fallait que je fasse ce qu’elle me demandait. Tout en lui caressant le clitoris et les lèvres de son sexe, je sentais entre mes doigts la naissance du sexe d’Hercule et il m’était facile d’imaginer à présent ce qu’elle pouvait avoir dans le ventre et comme pour confirmer ce que j’avais vue tout à l’heure , je sentais les pulsations de son bassin qui faisait que son sexe n’arrêtait pas de bouger et j’étais sure et certaine qu’il continuait de se vider dans son vagin. -Oui c’est bon ma chérie ….continue comme ça , je sens le plaisir qui revient. Si tu savais comme il est gros ! mais comme c’est bon . tu sens son sexe qui se vide en moi …tu le sens qui coule entre tes doigts… Elle avait mal, elle aimait çà, elle jouissait quand même malgré la douleur qu’il lui occasionnait ,malgré tout ça , je voyais son ventre qui continuait à aspirer la grosse tige d’Hercule et comme elle me l’avait dit , je sentais un liquide chaud me couler entre les doigts et mon esprit faisant le reste, j’imaginais maintenant qu’il était après me jouir dessus. Combien de temps à duré cette accouplement ,je ne me rappelle plus ,mais la seule chose qui me soit rester à l’esprit , c’est le cri de jouissance qu’elle a eu et la grosseur de se sexe que j’ai attrapé entre mes mains quand il est enfin sorti de son ventre. Impossible !!! c’est impossible que son ventre ait pu contenir un truc aussi long et aussi gros .Et cette boule ! c’est de cette boule qu’elle parlait tout à l’heure….c’est çà qui l’ouvrait en deux et qu’elle ne voulait pas qu’il retire. Je ne pouvais plus détacher mon regard de cette chose qui continuait à palpiter entre mes doigts et à se déverser sur le sol. Ne ressemblant aucunement à celle d’un homme ( j’avais déjà vue celle de mon ex copain) mais là, c’était vraiment quelque chose dont je n’arrivais pas expliquer la sensation qu’elle me donnait entre les mains Je restais hypnotiser par cet engin et commençais réellement à me demander si moi , avec mon sexe de jeune fille , je pourrais aisément le prendre dans mon ventre. J’avais chaud de partout dans le corps en réalisant que je désirais cette belle bitte .Ce qui n’avait pas échappé bien sur au regard perçant de ma tante. -Alors !!!! elle te fait envie hein. -Elle est bien trop grosse , elle ne rentreras jamais . Je n’avais pas dit non ! et maintenant je savais que je ne me poserais plus de questions et que je n’aurais de cesse que lorsqu’ elle sera au fond de moi. -Si tu la veux vraiment , je te préparerais bien comme il faut pour que tu ne souffre pas . -Oui j’en ai envie …..mais comment tu vas faire ? Dis moi Alice ? et toi , tu l’as déjà fait avec lui ! -Bien sur ma chérie , c’est mon chien tu le sais bien et pourquoi crois tu qu’il m’aime autant ? -Quand est ce que je le ferais ? demain ! Réponds moi ,j’en crève d’envie maintenant. Delphine se remettait lentement de ses émotions en continuant à se caresser pour se calmer comme elle disait . -Sois patiente mon cœur….on a encore le temps tu ne crois pas .je sais que tu as envie de tout…. mais je te l’ai promis non ,alors je le ferais . en attendant , une bonne douche et il serait temps que l’on dorme non !!!! Si tu veux , tu peux dormir avec nous….. Alors …..tu es d’accord . Bien sur que j’étais d’accord . Moi ,petite fille au milieu de mes deux amours , car maintenant j’aimais Delphine aussi et je voulais qu’elle m’aime aussi et comme je n’avais plus sommeil …..alors ,on ne sait jamais , si elle avait le courage de me prendre dans ses bras et me faire encore des choses….allez vite au lit.

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Partie 3

Nous étions déjà samedi J’ai passé toute la journée et la nuit du vendredi à dormir. Elles m’avaient à toutes les deux tellement fait jouir, qu’il m’avait bien fallu tout ce temps pour récupérer. Je n’avais que 17 ans et mon corps était devenu le jouet de ses deux perverses et malgré ce que j’avais subit , je n’aspirais qu’à une chose maintenant ….c’est d’aller plus loin encore dans les jeux de l’amour si on peu encore appeler ça des jeux.

J’avais essayer de m’endormir en rêvant à ce chien que ma tante avait promis de me faire connaître ,mais j’avais vite sombrer dans un sommeil mouvementé ,peuplé de minettes, de godes, de chiens, de femmes qui se caressaient ,qui me léchaient le clitoris et la vulve ,qui se donnaient au chien et la première chose à quoi je pensais en me réveillant, c’était à toutes ces choses que j’avais subit ou que j’allais subir. Je devenais une vraie obsédée du sexe . Seulement une semaine de vacances et voilà le résultat. J’avais bien aperçu mon oncle dans la journée et j’étais contente quand même de le voir, mais je n’avais qu’une hâte , c’était qu’il reparte vite lundi , pour qu’Alice puisse continuer mon apprentissage. En plus ,j’étais jalouse de lui car pendant qu’il était là , je savais qu’ils faisaient l’amour et qu’à aucun moment je ne pourrais rester ne serait ce qu’une seconde avec elle et ça me rendait complètement dingue. Rien que de la regarder et de voir son corps jouer sous sa robe légère et je sentais mon ventre recommencer à avoir chaud. J’imaginais sa minette et son adorable fessier à peine recouvert d’une petite culotte et je sentais les lèvres de mon sexe s’ouvrir et ma mouille commencer à ruisseler entre les lèvres. Il fallait que je sorte , que je prenne l’air car depuis que j’étais arrivée ici , je n’avais pratiquement pas quitter la maison ,sauf l’autre jour pour aller me promener avec Hercule. Tiens au juste ….il était où celui là !!!!A savoir s’il n’était pas entre les cuisses d’Alice. Ce qui m’étonnerait bien car je ne pense pas qu’elle le fasse en présence de mon oncle . quoique …venant de sa part , je m’attendrais à tout. J’aurais bien aimé l’emmener avec moi ….histoire de voir si j’étais capable d’aller plus lion dans mes rapports avec lui, mais j’avais beau chercher , je ne le vis pas .

Mon oncle était enfin parti et cette fois encore , il ne rentrerait pas avant Samedi. Le week end avait été d’une longueur et d’une tristesse à mourir. Je n’avais pas réussi à récupérer le chien et je restais persuadée qu’Alice s’en était servi ,mais je doutais quand même qu’elle l’ait fait avec mon oncle . J’avais beau avoir essayer de m’occuper l’esprit à me promener, je n’avais pas réussi sorti de ma tête tout ce qui s’était passé depuis le début de mes vacances . J’avais la tête et le corps fatigués . Pas une fatigue morale mais une fatigue physique. Je n’avais pas arrête de faire l’amour et mon corps d’adolescente avait du mal à récupérer. Toute la journée de ce lundi nous l’avons passé à nous promener toutes les deux main dans la main avec Hercule qui n’arrêtait pas de nous tourner autour et que je dévorais littéralement des yeux. – Tu l’aimes ce chien hein ! tu en as vraiment envie dis moi ? – Oh oui !!!! je l’ai cherché tout le dimanche pour l’emmener avec moi ,mais tu l’as gardé précieusement auprès de toi. Elle ne répondit pas mais je pus constater que ses joues avaient changées de couleur et une certaine gêne une gêne quant à ses explications. Elle s’en était servie elle aussi …j’en étais persuadée maintenant . Le soir nous nous sommes retrouvée toutes les deux comme deux amoureuses autour d’une bonne bouteille de vin rosé à rire et à se raconter des histoires . Alice me servit un verre pendant je me lovais contre elle sur le divan, et dégustais tranquillement ce doux nectar rosé. Malgré mon tout jeune âge, j’adore le vin, et tout alcool en dehors de quelques-uns qui vraiment ne passent pas. J’ai aussi beaucoup de mal à m’arrêter quand je commence à boire, et souvent je finis saoule, à raconter n’importe quoi, et à faire, aussi, n’importe quoi… C’est ce qui se passa effectivement. Nous étions tendrement installés sur le canapé, à se caresser innocemment au début, mais la bouteille une fois vide, nos idées se chargèrent de désir, et les miennes, particulièrement. Je commençai par déboutonner son chemisier, j’ôtai ensuite sa jupe et sa culotte , pour la gratifier comme l’autre soir d’une langue entre les lèvres de son sexe. Elle me laissa la lécher quelques minutes en me caressant les cheveux, mais très vite elle eût envie de plus. Elle fit glisser ma robe, découvrant mon corps entièrement nu car depuis que j’étais avec elle j’évitais de mettre des sous vêtements pour être à sa disposition quand elle le voulait Elle me demanda de me mettre à quatre pattes se mit encore une fois sa ceinture gode et sans aucune caresse, s’introduisit en moi. Alice m’excitait tant qu’aucun préliminaire n’était nécessaire. Sa présence seule suffisait à me faire mouiller comme une fontaine. Je savais en la voyant qu’elle me comblerait de plaisir, qu’elle me ferait jouir, et cette simple pensée me préparait à l’accueillir dans mon intimité, pour qu’elle puisse me labourer comme elle seule savait le faire. Elle me baisa comme une chienne, oubliant la tendresse du début de la soirée, pour violemment m’enfourner son gros membre au fond de mon ventre en m’attirant par la taille en s’agrippant à mes seins et à mes cheveux . De la sentir se secouer conte mon dos et de sentir avec quelle force elle me prenait , j’eu déjà un orgasme et c’est dans un râle de plaisir que je lui fit comprendre qu’elle pouvait me faire tout ce qu’elle avait envie de me faire. La semaine commençait bien. Moi, j’en voulais encore, plus, toujours plus. Je voulais qu’elle me prenne toute la nuit, qu’elle reste en moi et me baise à l’infini. – Tu me fais confiance, n’est-ce pas ma petite chérie ? tu veux toujours connaître ? tu veux que j’appelle Hercule pour toi ? – Oui, bien sûr, j’en ai terriblement envie ,mais j’appréhende quand même ,il est tellement gros. Je lui faisais croire que je redoutais le contact du chien ,mais depuis que je l’avais vue sur Arlette, je voulais aller plus loin qu’une petite lichette sur mon clitoris comme il me l’avait fait le jour de notre promenade . Je voulais le sentir en moi. J’aimais beaucoup quand elle me prenait comme tout à l’heure avec son gros gode ,mais ce que je voulais maintenant ,c’était une chose vivante , chaude . je voulais pour la première fois de ma vie ressentir une vraie bitte et du sperme dans mon ventre . Même si ce n’était pas une sexe d’homme . Je le voulais tellement cet animal que j’étais prête à faire n’importe quoi pour ça. – Et toi Alice ….tu ne m’as jamais dit si tu l’avais déjà fait avec lui Elle ne m’a pas répondu . Elle a seulement écarté très largement ses jambes, appeler Hercule pour qu’il vienne lui mettre sa langue entre les lèvres de son sexe . Cette fois je me trouvais dans une situation complètement folle .j’étais là émerveillée par le spectacle de la gueule du chien après renifler et lécher le sexe de ma tante Je ne pouvais plus contrôler mes doigts qui avaient remplacés ceux de ma tante sur mon clitoris ,tant elle était occupée avec ses deux mains à écarter ses lèvres au maximum, pour que la langue du chien aille le plus loin possible. -Coralie ! viens profiter de sa langue toi aussi,!viens t’allonger à côté de moi et ne me dis pas que tu en as pas envie , je te croirais pas . Je me retrouvais à côté d’elle ,les jambes mélangées aux siennes ,avec la langue baveuse et chaude d’Hercule qui ne savait plus quel sexe il devait lécher et qui n’attendaient plus qu’une chose….c’est de savoir quelle femelle il allait se décider à monter.

Nous étions vraiment des vraies chiennes en chaleur complètement écartelées à attendre le mâle

– Attends j’ai une idée, mais il faut vraiment que tu me fasses confiance. Attends. » Elle fouilla dans son placard pour en sortir un bandeau noir et une paire de menottes… -Tu as peur ? – Non… pourquoi.» J’avais bu, et l’idée qu’elle m’attache m’excitait au point de faire disparaître toutes mes craintes. Je la laissai donc me couvrir les yeux et m’attacher la main droite au pied de la table en bois massif. Je me remis ensuite à quatre pattes , comme elle me l’avait demandé.

-Tu vas voir mon petit cœur, tu vas aimer ça ! » J’essayais de me repérer aux bruits qu’elle faisait , mais je ne comprenais pas ce qui se passait derrière moi. Je sentis enfin le souffle du chien entre mes fesses et sa truffe froide qui me reniflait l’anus. Elle n’allait quand même pas me le mettre entre les reins . Enfin pas pour la première fois. Mais avec elle il fallait s’attendre à tout. On lui donnait le bon dieu sans confession quand on le regardait comme ça . Mon pauvre oncle s’il savait …… – Laisse-toi faire, tu verras que tu vas aimer ça. Laisse-toi faire, fais-moi confiance… » Malgré le masque sur mes yeux , en me penchant, j’aperçu sa queue qui pointait de son fourreau. Elle était rouge, semblait gluante, et du liquide suintait déjà au bout. J’avais beau le désirer de toute mon âme et de tout mon corps, en voyant ce sexe dur qui commençait à pointer , je me demandais si vraiment je n’étais pas folle d’accepter cet accouplement Je l’avais vue sortir du ventre de Delphine , et la grosseur qu’il avait encore après qu’il se soit complètement vidé et je n’était pas sur que mon jeune sexe puisse l’accepter tout entier . C’étais trop tard pour dire non et je ne pense pas que ma tante m’aurait laisser faire . Au juste, avais je vraiment envie de dire non !!!! Elle aussi avait envie que je me fasse prendre .Je le voyais bien de la façon qu’elle avait à lui caresser le sexe pour qu’il soit encore plus excité. .Je le sentis enfin grimper sur moi, m’enserrer de ses pattes avant avec force, et chercher du bassin l’entrée de mon vagin. A ce que j’avais pu voir, son membre était assez gros, et ma seule inquiétude était d’avoir mal.. Quand il s’introduisit en moi, je ne pus réprimer un cri de douleur. Il m’écartelait littéralement. Ce n’était plus le bout rouge que j’avais vue qui me remplissait .Sa bite avait considérablement gonflé, et me remplissait entièrement. Le chien commença de rapides mouvements, me défonçant comme jamais je ne l’avais été auparavant.. Je criais, hurlais, mais rien n’y faisait. Il ne sortait pas de moi. Au bout d’un moment, mon vagin se fit à la taille monstrueuse de l’animal, et ma douleur se transforma en une forme étrange de plaisir. Ses couilles frappaient mes cuisses à chacun de ses assauts, sa bite heurtait le fond de ma cavité et tentait à chaque mouvement de s’enfoncer plus profondément Ces sensations toutes physiques, auxquelles s’ajoutaient encore ma position si humiliante de chienne qui se fait prendre sauvagement par son mâle ,sous les yeux d’une perverse qui se branlait, achevèrent de me faire jouir plus intensément que jamais je ne l’avais fait . Ce qui était normal vue le peux d’expérience que j’avais .Mais je contais bien me rattraper . Mes hurlements se transformèrent vite en de longs gémissements. Je râlais chaque fois que la bite animale venait buter au fond de mon vagin, le visage trempé de sueur et déformé par le plaisir. J’adorais sentir son souffle dans mon cou, sa fourrure sur mon dos, et ses mouvements profonds, violents, si rapides que je pouvais à peine respirer. Il fini par ralentir et je sentis alors son membre enfler, enfler encore, bien encré dans mon intimité, puis stopper alors tout mouvement et rester ainsi figé en moi. Alors je compris tout le plaisir qu’avait pu avoir Delphine quand elle resta accroché après lui et ce que pouvait réserver un tel accouplement contre-nature, quand de grosses giclées de sperme chaud me transportèrent au summum de la jouissance. J’étais transportée aux anges par ce flot ininterrompu de sperme qui giclait dans mon vagin et qui me gonflait le ventre. Je ne savais pas combien de temps il allait rester planter en moi et malgré la fatigue qui commençait à me prendre ,il continuait à se déverser en moi et moi à être secouée de spasmes de jouissance. – Faut lui laisser le temps de dégonfler mon chou, et si pendant ce temps-là tu venais avec ta langue entre mes cuisses pour me donner du plaisir à moi aussi» Transportée de plaisir, encore secouée par les dernières montées d’orgasme, je me saisis de sa chatte , à peine m’eût elle rejoint au sol, et l’avalais autant que je pouvais. Quand le chien finit par se retirer, mon vagin, béant, laissa s’échapper tout le sperme qu’il m’avait déversé, complètement éreintée je m’affalais sur le carrelage froid.. J’étais juste épuisée, n’arrivais pas à réaliser que tout ce plaisir m’était venu d’un chien, et malgré toute l’horreur que les gens pourraient penser de cet accouplement que je venais de subir, j’en étais heureuse. Alice s’était un peu calmée, mais elle voulait pousser à son paroxysme mon plaisir. Elle me laissa à peine le temps de me relever qu’elle me bascula sur le canapé. Debout mais échancrée, elle s’empara de mon cul avec sa satané ceinture Gode , après l’avoir brièvement lubrifiée du sperme d’Hercule. Elle me ramona pendant de longues minutes, me ramenant à un nouvel orgasme, à de nouveaux râles de plaisir. Elle m’insultait et me traitait de tous les noms. -Je vais te défoncer petite garce, allez, crie, crie, supplie-moi d’arrêter. » Elle était brutale, violente et ses vas et viens étaient saccadés, profonds, insistants. Elle tournoyait dans mon cul, ressortant parfois presque pour m’infliger la douleur d’une nouvelle intrusion brusque. Je criais, je jouissais, j’ignorais qu’un tel plaisir fut possible. Je m’écroulai définitivement, et m’endormis presque aussitôt, nue, souillée de sperme mais heureuse, comblée comme jamais.

Quand j’ouvris les yeux, je me remémorai aussitôt la soirée de la veille, et un sourire s’installa sur mon visage. J’étais radieuse. Alice apparût plus belle que jamais – Tu as bien dormi ? -Oui, répondis-je un peu mal à l’aise. -Comment tu te sens ce matin ? -Un peu sale… dans tous les sens… -En tous cas, ça m’a fait très plaisir ce petit spectacle, hier… j’en rêvais depuis longtemps. C’est un fantasme que j’ai eu depuis le premier jour où tu es rentrée dans cette maison. Je ne sais pas pourquoi mais je sentais que nous étions faites l’une pour l’autre. Si tu continues comme ça cette semaine je pourrais si tu en as le courage et si tu désires toujours autant poursuivre ce que j’ai commencé à t’apprendre t’emmener chez un couple d’amis qui possède plusieurs chiens et te faire connaître l’apothéose, le summum de l’amour .Réfléchis bien .mais crois moi , si tu es contre , je ne t’en voudrais pas . Tu m’as déjà donné tout ce que je désirais de toi .

Un tel argument me laissa songeuse, et je partis prendre une douche. Sous l’eau, je découvris mes lèvres enflées par tous les vas et viens de la veille, mais c’était loin d’être désagréable. En fait, j’étais d’autant plus sensible, que le moindre effleurement de mes doigts sur ma vulve était électrisant. J’en profitais donc pour me procurer quelques caresses un peu plus douce, en prétextant dans ma tête un toilettage complet et plus que nécessaire. Je commençais sérieusement à m’interroger sur ma perversité. Après tout, je ne pouvais pas nier que mon bonheur venait de toute l’humiliation que j’avais ressentie et de la saleté des choses que j’avais faites depuis que je connaissais Alice J’irais là où elle voulait m’emmener. Jusqu’au bout de toutes perversité avec elle. Et puis ces amis avec plusieurs chiens ….pourquoi pas après tout J’avais ressenti tant de plaisir avec Hercule que je ne pouvais qu’en ressentir encore plus avec plusieurs et ressortir que plus heureuse Etre la chienne d’une meute entière ….hummmmm ça ne devait pas être si dure que ça après tout et Alice pourrait elle aussi participer et se faire prendre avec moi Deux chiennes possédées par une meute de chien.

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Partie 4

N’étais ce pas ce que j’avais désiré quand elle m’avait parlé de ses amis C’est bien à deux chiennes possédées par une meute de chiens que je nous avais comparées l’autre soir quand elle m’avait parlé de ses amis. Et quand j’entendis Alain appeler les deux autres chiens ,que je vis ma tante se délecter en apercevant les deux autres bêtes accourir à nous , je me dis que la fête n’était pas fini pour moi et que cette fois j’allais encore souffrir de ces accouplements. Le premier était un beau dog allemand, d’une taille impressionnante, mais doux comme un agneau. Et le deuxième était un chien de chasse plutôt de la race des chiens courants. J’ai tout de suite compris qu’Alice adorait le dog et quelle avait du passer avec lui déjà de bons et joyeux moments. Avec son gros museau ,il l’avait poussée à terre et elle n’osait ou ne voulait plus se relever. La voyant ainsi à quatre pattes, le dog alla fourrer son museau entre ses cuisses Alice sentait la langue râpeuse du chien fouiller son intimité, elle n’osait pas bouger craignant qu’il ne s’arrête et qu’il ne veuille plus la lécher comme il le faisait si bien. La langue de Sultan était déjà grande et belle…mais celle du dog devait représenter le double et de voir ma tante se trémousser ,je me doutais bien qu’elle devait lui donner beaucoup de plaisir. Elle se laissait aller au plaisir complètement soumise et heureuse . Sous les flancs de l’animal dardait un membre énorme avec des bourses comme jamais je n’en avais vue…quelle réserve !!!comme ma tante va être heureuse ! Il était d’un rouge vif et dégoulinait de prémices de l’accouplement. . Alain , Claire et moi nous étions là à nous délecter du spectacle. Quand le dog eut fini de lécher toute les secrétions qui se dégageaient de son sexe , il entreprit de la monter. Malgré l’habitude qu’elle avait de la pratique, elle sentit le poids de l’énorme chien sur son dos, et la grosse bite canine venir cogner contre ses fesses. Lubrifiée comme elle était, il n’eut aucune difficulté à s’introduire en elle et commença à la saillir, d’une rapidité telle qu’elle jouit presque instantanément. – Oh , non, c’est dégoûtant, arrête, tu es trop gros, tu es trop long….descends maintenant…. Mais elle ne pensait pas un traître mot de tout ce qu’elle disait, et ça rendait la scène encore bien plus excitante. Alain et Claire se caressaient en regardant Alice qui se faisait prendre par leur chien, et l’encourageaient tout en la traitant de tous les noms, pendant que mes doigts étaient de nouveau sur mon sexe à caresser mes lèvres et mon clitoris turgescents.. Ainsi, les râles de plaisir d’Alice se mêlaient aux insultes d’Alain et à mes gémissements de plaisir tandis que le chien la fourrait sans relâche. Très vite, Alice sentit la queue animale grossir en elle. Il donna un dernier coup sec et s’enfonça profondément pour se lier à sa maîtresse et s’emprisonner en elle. Il cessa ses mouvements et, quand son nœud l’eut définitivement coincé, il commença à déverser tout son foutre dans sa chatte ,laissant ma tante crier très fort son plaisir. . Je la voyais qui essayait de s’emmancher encore plus loin sur le dard qui était en elle ,ce qui eu pour effet de faire retourner le chien de dessus ses reins . Quel plaisir pour elle , quel merveilleux spectacle pour Alain et moi…c’est certainement ce qu’elle avait désirée salope comme je la connaissais. Elle se trouvait collée comme une véritable chienne et maintenant j’étais sure qu’elle en avait l’habitude et qu’elle aimait se retrouver dans cette position car à aucun moment je n’ai vue sur son visage une larme ou un rictus de douleur. Elle continuait à se servir de son sexe comme d’une ventouse et je la voyais qui aspirait et qui s’enfonçait encore plus sur la grosse bitte du dog . Je comprenais ce qu’elle ressentait ,non pas d’avoir été collée à un chien ,mais d’avoir eu un sexe de chien dans le ventre et quand je me mis à penser à la grosseur de celui du dog ,je ne pus m’empêcher d’avoir de nouveau envie d’un chien.

Je regardais Bill qui venait de finir de récupérer. Je m’assis à côté de lui et le pris entre mes bras.

Je l’aimais car il m’ avait procuré beaucoup de bien , donné beaucoup de plaisir et de voir ma tante ainsi collée ,je voulais qu’il me prenne encore. J’ étais résolue à montrer à l’animal combien je l’aimais, aussi décidais je de lui faire ce que j’avais commencé tout à l’heure. mes mains descendaient sous le poitrail du chien, et doucement, mes caresses s’orientaient vers le membre animal, qui aussitôt sortit de son foureau. – Tu es un bon chien mon Bill, le meilleur, tu veux bien faire me faire plaisir si je te fais une petite surprise avant ? Oui, tu veux hein mon chien. mes lèvres s’approchèrent de son gros vit pour le prendre dans la bouche comme tout à l’heure. J’avais trop aimé et je voulais avaler son sperme cette fois.. Je le pris entièrement dans sa bouche, et le suça longuement, tout en le caressant. Très vite, la bite de Bill prit des proportions qui m’empêchèrent de l’engloutir complètement. . Alors je me contentais de boire à la source tout le liquide qui sortait de l’énorme membre, tout en faisant tournoyer ma langue autour du « gland » canin. J’étais terriblement excitée par l’odeur qui se dégageait de cette étrange pratique, et sentais maintenant combien mon vagin s’humidifiait, appelant au coït. Je me débarrassait hâtivement de ma robe que j’avais gardée pour la première saillie ,j’allais m’installer sur le canapé et je tapotait sur ma chatte pour faire comprendre à Bill que je n’en pouvais plus de l’attendre et qu’il devait me monter maintenant. -Viens, viens mon chien, allez, fait plaisir à Caroline maintenant, montre-moi combien tu m’aimes, oui, viens ! Le chien ne se fit pas prier. D’un bond, il posa ses pattes d’un côté et de l’autre de mes flancs et, face à moi, sa verge dressée, chercha à me pénétrer. Je sentais sa fourrure sur mes seins et j’adorais cette sensation et pendant que je regardais ma tante qui était toujours collé à son dog , Bill s’introduisit en moi et commença ses vas et viens. – Oh oui Bill continue, comme c’est bon, continue oui c’est bien, mmmh… Comme ça, oui, oui c’est bien mon chien, vas-y plus fort, oui encore… J’avais fermé les yeux, submergée par le plaisir. Je gémissais, me tortillais à le même cadence qu’Alice allait à la rencontre des mouvements de son partenaire, tout en m’empalant profondément avec le membre de Bill. C’est comme si j’étais toute seule dans mon délire et n’hésitais pas à crier mon bonheur en de longs râles, ce qui ne manqua pas d’attirer le chien de chasse qui était resté aux pieds de son maître. Un chien qui avec le flaire qu’il devait avoir , n’arrêtait pas d’avoir la truffe en l’air avec toutes les effluves qui se dégageaient du sexe d’Alice et du mien. Mais Bill était vissé en moi comme le dog était vissé avec ma tante , me déversait tout son sperme dans le ventre et me transportait au paradis. -Tu en veux aussi hein ? personne ne pense à toi. Attends ton tour mon chien, ça va venir, Bill a bientôt fini. Mmmh, comme c’est bon de sentir ses flots tout chaud au fond de moi… Excitée comme je l’étais et rien qu’à l’idée de me faire prendre de nouveau par un autre chien , à peine Bill se fut-il retiré de moi ,que je me jetais au sol, à quatre pattes cette fois, tapotant sur mes fesses pour faire comprendre à l’autre que c’était le moment …que j’étais prête à devenir sa chienne. Celui-ci me nettoya par de rapides coups de langue, son sexe était déjà dehors, prêt à me saillir. Il avait beau essayer de me prendre, ses coups de reins allaient dans tous les sens, qu’il se trompa d’orifice et me l’introduisit d’un coup d’un seul entre les reins. -Ah non, non, pas par là ! je ne me suis pas encore remise du sexe de Bill ! Mais il était trop tard pour reculer. Il avait déjà envahi mon anus, et le défonçait vigoureusement. Je ne peux pas dire que la douleur était difficile à supporter étant donné que mon anus ne s’était pas encore refermé et que le sexe de ce chien était nettement moins gros. À l’intérieur de mes reins ,je sentais le membre qui grossissait et me dilatait à chaque coup de boutoir, si bien que je finis par jouir, très rapidement. Ce premier orgasme avec lui, me fit comprendre que chaque bête est différente, baise à son rythme, à sa propre taille, et que certains même préfèrent la sodomie… Il me fit subir ce traitement pendant une bonne demi-heure, et, en cela, il n’était pas plus endurant que Bill mais sa queue était plus longue et plus fine, idéale pour ce genre de pratiques. Il s’enfonçait si profondément que j’ hurlais deux fois plus fort mon plaisir. Il était plus lent dans ses mouvements, mais il y allait plus loin.. Quand il se lia à moi et déversa son foutre, je sentis le liquide éclater entre mes parois anales et remonter au fond de moi Une sensation incomparable, une jouissance infinie, qui me fit presque tourner de l’œil Nous étions toutes les deux collées à nos mâles comme de vraies chiennes et nos regards en disaient long pour le plaisir que nous ressentions toutes les deux . Nous étions en communion totale et comme si nous n’étions plus qu’une , nous nous sommes mises à jouir comme des folles . Je suis restée collée à lui aussi longtemps que ma tante l’a été avec le dog. Il faut dire que pour ce décoller d’un dog ça ne doit pas être évident. J’avais subit les assauts de deux chiens , avant qu’elle n’arrive à le faire elle même. Ainsi coincés aussi longtemps qu’il l’avait pilonnée, et quand il sortit d’elle, son sexe était aussi dilaté que mon anus. Nous étions formées, dilatées, pour recevoir et accueillir désormais toutes tailles de bitte avec tout le plaisir que ça pourrait nous donner. Quelle journée !!!Claire et Alain n’arrêtaient pas de nous remercier de leur avoir donner à toutes les deux , le meilleur spectacle qui leur été permis de voir.

Nous rentrâmes à la maison, après avoir pris gentiment congé. Je ne sais pas pour Alice, mais j’étais sale, puais le sperme de toute sorte, la sueur, et l’alcool Bien que fatiguée à en mourir , il fallait que je me lave pour enlever tout ce qui me recouvrait le corps. A peine fini, mon corps sentant de nouveau moi, je courus m’allonger sur le lit, pour plonger dans un profond sommeil réparateur. Alice elle aussi, était exténuée. Elle se coucha près de moi, comme à son habitude lorsqu’on passait la nuit ensemble, et m’enserra de ses bras, avec une tendresse qui contrastait vraiment avec toute la brutale autorité dont elle faisait preuve lors de nos ébats… En me réveillant, le lendemain matin, je vis qu’elle me regardait dormir, comme une amoureuse qui veille sur le sommeil de son amant . Je ne crois pas qu’à aucun moment je ne lui avais désobéi et je pense lui avoir prouver à maintes fois combien j’étais amoureuse moi aussi d’elle. – Tu as bien dormi ? – Oui, mais j’ai un de ces mal de tête… – Reste au lit, je t’amène un comprimé et je fais du café. Ça t’apprendra à boire comme ça et de te faire saillir comme tu l’as fait . J’espère que tu t’en souviendras. » Ce n’était pas tant de ma cuite magistrale que j’allais me rappeler, mais plutôt de cette incroyable partie de baise. Je me gardais bien de le lui dire, et acquiesçais, tandis qu’elle s’en allait chercher le précieux café qui allait me remettre sur pieds. – – Et toi…..ne me dis pas que tu n’as pas pris du plaisir avec le dog !!!….Dis !!!tu crois que je pourrais le prendre moi aussi ?????????? – Si tu continues comme tu l’as fait hier , je suis sure que oui …..mais attention à toi ,il est vraiment gros ,très gros. – Oui en effet ,je l’ai vue quand il est ressorti de toi ….quel machin ,mais comme ce doit être bon. Tu me raconteras ? – On verra, en attendant je vais nous faire le café. – – Tu sais, me dit-elle en revenant, c’était très bien quand même. Je suis très contente et très fière de toi Je ne m’attendais pas à trouver une fille comme toi. Je pensais rencontrer quelqu’un de porté sur le sexe, mais pas à ce point… Tu m’étonnes, et j’en suis vraiment contente …

– J’ai fait tout ce que tu me demandais et je ne sais pas si je dois continuer ,mais si c’est le cas , je t’obéirais encore .

– Oui, mais je n’en attendais pas tant de toi, tu es pleine de surprises, et tu es très obéissante. Tu sais prendre le plaisir là où il est, l’attendre, supporter le pire pour y parvenir, et je n’ai pas l’impression que tu forces. Tu aimes vraiment tout ce que tu fais, même si t’es pas toujours d’accord tout de suite. J’ai encore une ou deux idées en tête… – – Je suis pas la seule à être pleine de surprise, lui répondis-je en redoutant ses nouvelles folies.

– Mais ça ne t’a pas déplu jusqu’à présent, à ce qu’il m’a semblé…

– Non… fis-je en souriant

Alors continue à me faire confiance. » J’ai avalé mon café, mon aspirine, et profitai de flemmarder au lit. Je regardais Alice tandis qu’elle me parlait, et j’avais l’impression de la connaître depuis toujours. En quelques semaines nous étions devenues vraiment proches, et je m’étais attachée à elle, à ses idées farfelues, à ses fantasmes osés, pervers, mais si plaisants. Elle vint s’allonger près de moi, me prit dans ses bras. – On va faire de grandes choses ensemble, on sera heureuses toutes les deux ….je t’aime Coralie Pour la première fois elle m’avoua son amour et je sentais pour la première fois que quelqu’un m’aimait vraiment .J’osais espérer seulement que ce n’était pas que pour assouvir sa soif de sexe Elle me prit dans ses bras et cette fois , ce n’était pas pour me sodomiser ou tout autre chose ,mais seulement pour me caresser et m’embrasser . C’était vraiment la première fois qu’elle faisait preuve de tant de douceur, et je ne pouvais que répondre à son chaud baiser. Après tous ces ébats dépourvus de sentiment, j’avais envie moi aussi d’un peu d’amour, de vrai. Ce baiser sembla la troubler, et son comportement changea. Elle se mit à me caresser, la poitrine, le dos, avec une telle délicatesse, avec tant d’attention, que je me demandais si c’était bien la même femme . Elle m’embrassait le cou, les seins, les bras, me caressait les hanches, si calmement, si tendrement, que je n’en revenais pas. Ses mains descendirent sur mon ventre, glissèrent jusqu’à mon clitoris qu’elle se mit à titiller . Ce fut doux, très lent, mais tellement intense que je ne pus me retenir plus longtemps. Je fus parcourue de secousses et jouis ente ses doigts en silence, ma tête contre son épaule, pleurant presque de bonheur. Elle s’écroula sur moi et resta là, de longues minutes inoubliables, à m’embrasser le visage, après m’avoir enfin avoué le fond de ses pensées. – Tu es mon rayon de soleil, tu es si belle, si jeune. Tu te donnes à moi, et je suis contente de te rendre tout le plaisir que tu me donnes. Je ne sais pas combien de temps va durer notre histoire et la douleur qu’il va en résulter pour toutes les deux. Mais pour le moment tu es à moi , rien qu’à moi. Et si ce n’était que de moi , je te garderais indéfiniment. Nous restâmes longtemps au lit, à nous prodiguer des caresses, tendrement, sans mot dire, tant le silence parlait pour nous. J’aimais cette femme moi aussi, je l’aimais avec une passion telle que je faisais tout ce qu’elle me demandait, que j’exauçais le moindre de ses souhaits, obéissait inconditionnellement à chacun de ses ordres, et elle venait de me faire pour la première fois une déclaration d’amour. Depuis quelques semaines, on partageait absolument tout. La plupart de nos nuits, notre plaisir, et des moments de vraie exaltation, de découverte et de bonheur. Je dépassais mes limites et ses espérances, je nous comblais, elle nous comblait, en fait on ne faisait plus qu’une. Ce qu’elle décidait était toujours fabuleux, et le fait de me soumettre à elle ne m’avait jamais déçue. Nous avons passé une journée de « repos », à faire l’amour sans violence, sans perversion, juste l’amour. On s’est baigné au lac, s’amusant à coller nos corps nus dans l’eau, jouant comme des enfants, à s’asperger, à se couler. Le soir je lui ai préparé un repas de fête, nous avons bu et ri jusqu’à tard dans la nuit, appréciant simplement le fait d’être ensemble, notre simple présence suffisant à nous rendre heureuse. Nous nous sommes endormies l’une contre l’autre, et le matin, me réveillant plus tôt qu’elle , je lui mis mes lèvres sur son sexe pour la faire jouir tant j’avais envie de ce corps nu contre le mien et j’étais si heureuse d’être avec elle ,si bien qu’elle sortit de ses rêves pour en commencer un autre, celui d’une nouvelle journée, avec moi qui lui étais complètement dévouée. Rien de tel qu’une bonne langue au réveil, c’est mille fois mieux qu’un café, et souvent, cela entraîne d’agréables conséquences.

Fin