© by Anita Langais

Comme prevu je me suis rendu chez un ami qui possède un berger allemand, il s’appele bobby et il a 5 ans. Je lui ai expliqué ce que je voulais, il est au courant de ce que je “fais” pendant mes loisirs, et il est d’ailleurs très compréhensif. Nous nous sommes rendu dans sa chambre aves son chien et j’ai commencé à jouer avec lui pour qu’il s’habitue à moi.

De fil en aiguille j’ai commencé à me déshabiller tout en jouant avec lui. Il soufflait fort et semblait sentir l’odeur de transpiration qui exhalait et particulièrement au niveau de mon slip très imprégné car je commençait à mouiller abondament, cela devait être du à un melange d’exitation et d’apréhension. Plus je tentais d’éloigner son museau avec mes mains, plus il insistait. Je devais lui rappeler l’odeur des femelles en chaleur. A force de me tourner autour , il finit par me donner le tournis.

Je finit par enlever mon slip, avec un peu de rétissence.Il commença à me bousculer avec ses pattes de devant puissantes pour me faire tomber sur le lit, ce qu’il réussit à faire. Son maître le calma un peu pendant que j’essayais de me préparer puis je lui fis signe de le laisser faire.

J’etais de plus en plus anxieuse. Il ne tenait pas en place et essayait toujours de me renifler le derrière. Il grimpa sur le lit puis je le laissais s’approcher de mon sexe qu’il lécha d’une langue râpeuse mais finalement agréable. Je me laissa finalement faire, toute disposée à le satisfaire, ma croupe dressée en l’air. Puis, estimant sans doute que le moment était venu de passer aux choses sérieuses, il mit ses pattes avant autour de ma taille, et tira en arrière tout en s’accroupissant pour me faire mettre à quatre pattes. La force de ce chien était considérable. Je me laissa aller dans le sens demandé, lui offrant ainsi ma croupe. Il chien reposait de tout son poids sur mon dos dont il maintenait la croupe entre ses pattes avant serrées autour de mes hanches sans possibilité pour moi de bouger. Je me laissa aller à écarter un peu les genoux.Il chien sembla comprendre ma soumission, je sentait sur ma nuque son souffle chaud pendant que son arrière train allait et venait par saccade, son sexe de plus en plus gros venant taper contre mes fesses en libérant à chaque coup une giclée d’un liquide clair. je sentait ruisseler ce liquide le long de ma cuisse, qui était, en fait le liquide séminal. Il continua ainsi de longues minutes à taper son sexe contre mes fesses en mouillant abondamment mes cuisses, quittant de temps en temps sa position afin de lécher son pénis ou mon derrière.

Je me pencha pour tenter d’apercevoir le sexe du chien. Je fut effarée par ce que je vis, car je ne m’attendait pas à devoir accueillir une bite aussi hideuse. Elle était toute gluante et on voyant apparaître les veines sur cette peau blanchâtre. J’eue un moment de panique et tenta de me retirer “Ce n’est pas possible, je ne peux pas accepter çà”. Son maîte me demanda je voulais tout arrêter mais je me repris et descida de continuer malgré un petit “haut-le-cœur” . Le chien sentit sans doute ma réticence et grogna. Je m’apprêta à laisser entrer en moi ce pénis extraordinaire.Il accéléra ses mouvement de butoir pour espérer trouver enfin l’ouverture tant désirée. Je cambra un peu plus les reins afin de présenter mon vagin ouvert en face du pénis impatient. Il sentit bien ce mouvement et d’un coup brutal introduisit son sexe dans mon vagin offert. Il se mit à pilonner beaucoup plus rapidement qu’avant en un va et vient frénétique en resserrant ses pattes comme un étau. J’en eu le souffle coupé tellement le mouvement avait été brutal et soudain. J’était très inquiète de la suite des événements. Il était au maximum de son excitation. J’avais dépasser le stade de la douleur provoquée par l’introduction violente et je commençais à ressentir un bien-être insoupçonné. Mon corps réagissait et je sentais mon sexe humidifié par le liquide canin mais aussi par mes propres sécrétions. J’étais prisonnière des puissants antérieurs de l’animal et ne pouvait absolument pas m’extraire.Il sembla ralentir ses mouvements alternatifs et je me décontracta un peu croyant à la fin proche du coït. Je crut sentir se dégonfler un peu son sexe dans mon vagin, si bien que je me détendit et que du liquide s’échappa et ruissela le long de mes cuisses.J’attendais qu’il daigne se retirer. Pourtant, l’étau de ses pattes ne se desserraient pas et le halètement effréné continuait au dessus de ma tête. Il poussa plus fort vers l’avant si bien que son pénis déjà au fond de mon vagin et le distendit encore plus. “je croyait qu’il avait tout rentré” dis je dans un souffle. Il n’avait maintenant qu’un seul but, faire entrer la totalité de son sexe, y compris le nœud, dans ma chatte et il y travaillait avec force.

Par chance, son sexe avait légèrement débandé bien qu’il ait conservé la même longueur et le nœud avait diminué de moitié. Le chien poussa et poussa encore et je sentis le bout du gland appuyer sur le col de mon utérus. Cela me fis une drôle d’impression. Le pénis du chien entrait plus profondément et commençait à forcer le col de l’utérus. Et mon col s’ouvrait petit à petit à cette intrusion. Comment cela est-il possible, normalement le col est trop petit!

Il ne se posait pas se genre de questions et continuait ses mouvements de va et vient de plus en plus rapides en les accompagnant de sauts de ses pattes. Le sexe du chien avançait encore dans mon utérus qui s’ouvrait pour l’accueillir et me procurait une sensation extraordinaire que je n’avait jamais ressentie.Et puis, tout à coup, les mouvements s’arrêtèrent brusquement et le chien se figea dans une extase incompréhensible. Cela me proccura une douleur insoutenable : le pénis du chien totalement introduit dans mon ventre se mettait à grossir encore. Je sentait surtout cette boule qui prenait sa dimension maximum et qui remplissait totalement mon vagin. De peur d’être déchirée, j’eu inconsciemment un sursaut qui me transperça encore d’avantage. Ce nœud bloqué à l’intérieur du vagin car trop gros pour pouvoir ressortir, c’était donc cela le knot dont il fallait se méfier et dont j’avais entendu parlé.

Son maître voulu m’aider, me voyant quasi en pleure. Je lui dit de ne rien faire car il etait trop tard. Le reste du pénis déjà largement introduit dans l’utérus continuait de grossir et avançait encore dans celui-ci, empêché par le nœud de se développer vers l’arrière. Les parois du col de l’utérus et du vagin étaient à la limite de la rupture et je souffrait énormément. Je ne pue retenir mes larmes. J’étais à deux doigts de l’évanouissement.C’est alors que je sentis les spasmes de l’éjaculation, de longues vagues de sperme se déversaient dans mon utérus en un flot ininterrompu qui semblait ne pas vouloir finir.

Je le sentit se contracter de tous ses muscles en poussant un râle de bête blessée. Et puis plus rien, l’immobilité complète, seulement ponctuée par sa respiration saccadée à mon oreille. Il semblait épuisé lui aussi.Je pensais qu’il avait finit mais non, rien ne bougeait dans mon ventre, son sexe était toujours aussi gros et bloqué, dans l’impossibilité de s’extraire à cause du nœud énorme qui bouchait la sortie. Et puis tout à coup, il tenta de s’en aller, il desserra l’étau de ses pattes et tenta de reculer et je poussa un hurlement de douleur. Alors il s’énerva un peu et essaya de se retourner. Il dut passer une patte arrière par dessus ma croupe et se retrouva à l’opposé dans une position presque risible si la situation n’était pas si tragique. Il étaient maintenant attachés à moi fesses contre fesses, son pénis s’étant complètement retourné en passant entre ses pattes arrières. Ne pouvant plus tenir à genoux, je me coucha, doucement pour ne pas souffrir davantage, sur le côté l’entraînant avec moi, sans doute épuisé de ses efforts. Il nous était toujours impossible de nous séparer et je me demandait combien de temps cela allait durer. Son maître m’informa que cela pouvais durer ¼ d’heure, c’est ce qu’il s’était lorsqu’il l’avait fait saillire une chienne. Je ne souffrais plus, je m’etais habituée à cette tension maximum. Je voulu regarder ce qui me “vissait” au chien si fermement. Je réussi à passer une jambe par dessus l’animal et put l’écarter pour voir entre mes jambes. J’aperçut un bout de chair rose qui sortait entre ses postérieurs à côté de ses testicules et rentrait dans mon vagin. Rien d’autre. Alors je me pencha au maximum pour essayer d’apercevoir l’entrée de mon sexe. Je vis seulement un renflement blanchâtre qui devait être la partie visible du nœud à l’intérieur. Je retomba épuisée sur le lit. Son maître alla carresser le chien puis moi, il m’apporta un verre d’eau, tellement j’avais la gorge seche.Un quart d’heure, peut-être vingt minutes, s’écoulèrent avant que je ne sente quelque chose bouger dans mon ventre, Le pénis du chien se dégonflait enfin et le nœud avec lui. Je ne pouvait plus attendre. J’essaya de m’écarter du chien, sans succès d’abord, mais finalement, je tira et dans un bruit de succion tout le sexe du chien sortit en même temps qu’une énorme quantité de sperme laiteux . Même dégonflé, ce sexe était encore immense. Je ne me serait jamais cru capable d’accueillir un tel braquemart !Le chien était maintenant occupé à lécher consciencieusement son pénis congestionné qui diminuait à vue d’œil. Je me releva péniblement, J’était courbatue des pieds à la tête. J’était poisseuse de sperme et de liquide séminal séché. Quand je me mis complètement debout, du sperme coula encore de mon vagin et ruissela jusqu’à mes pieds.

J’avait l’impression de sentir la chienne à des kilomètres. Au fond, même si mon intégrité féminine en avait pris un sérieux coup, je reconnaissait volontiers avoir éprouvé une sensation nouvelle, inconnue mais qui pouvait être agréable si on faisait abstraction du contexte et de la douleur. Il est vrai qu’à certains moments j’était à deux doigts de jouir, mais la douleur trop forte m’avait empêché de « partir ». Maintenant que je sais comment cela se passe, j’aimerais finalement bien réessayer pour aller jusqu’à l’orgasme que je suppose intense. Oh ! oui, sentir encore cette bitte énorme dans mon ventre.