Je mâappelle Jeanne et je vais vous raconter ce qui est arrivĂ© Ă mon amie Marie il y a quelques annĂ©es.
Je suis célibataire, sans enfant, et je vis avec mon chien Rott, qui est un Rottweiler de 60 kilos.
Marie est une amie de longue date. Notre amitiĂ© remonte Ă lâĂ©poque oĂč nous allions au lycĂ©e. Depuis, elle
sâest mariĂ©e et elle a deux enfants. Nos situations familiales trĂšs diffĂ©rentes ont fait que nous nous sommes un peu Ă©loignĂ©es lâune de lâautre. Vous savez ce que câest : les mamans ne sâintĂ©ressent quâĂ leurs enfants, quand ils sont jeunes tout au moins. Et moi, les enfants des autres, ça mâagace !
Cependant, comme nous habitions dans la mĂȘme ville, il Ă©tait arrivĂ© quâon se croise par hasard, dans la rue ou dans un
magasin. Une fois, je lui ai dit de passer prendre un cafĂ© Ă la maison, pour quâon discute entre filles (je voulais dire
sans le bruit et la fureur de toute une famille).
Un matin, vers dix heures, Marie a sonnĂ©. Je lui ai ouvert. Elle Ă©tait trĂšs sexy, habillĂ©e simplement dâune petite robe courte. Il nâest pas nĂ©cessaire dâĂȘtre trĂšs sophistiquĂ©e pour Ă©veiller le dĂ©sir. Il suffit dâavoir des formes aux bons endroits et de les mettre en valeur par un vĂȘtement de bonne coupe. Et puis lâĂ©tĂ© permet de montrer ce quâon est obligĂ© de cacher sous un manteau en hiver.
Nous nous sommes fait la bise et je lâai fait passer au salon. Le chien piaffait dâimpatience. On lâentendait tourner dans la piĂšce et de temps en temps frapper sur la porte de communication fermĂ©e en y projetant ses pattes avant.
Quand jâai ouvert pour faire entrer Marie, le chien sâest ruĂ© sur elle pour lui faire la fĂȘte. Il lâa dĂ©sĂ©quilibrĂ©e et
elle est partie Ă la renverse. Jâai eu peur quâelle ne se soit blessĂ©e. Elle sâest retournĂ©e pour se relever et pendant un bref instant, elle sâest retrouvĂ©e Ă quatre pattes. Ă ce moment, le chien lâa ceinturĂ©e brutalement. Elle a tentĂ© de sâarracher de lâĂ©treinte mais le poids du chien lâa empĂȘchĂ© de se redresser et la force avec laquelle il la serrait ne lui permettait pas de se dĂ©gager.
Jâai vu que Rott commençait des mouvements de bassin caractĂ©ristiques. Il voulait la prendre, cela semblait de plus en plus Ă©vident. Marie lâa assez vite compris. Elle se dĂ©battait, mais vainement. Le sexe du chien commençait Ă sortir du fourreau et je voyais le petit bout rouge taper lâintĂ©rieur des cuisses de Marie. Sa robe Ă©tait remontĂ©e et je voyais sa culotte. CâĂ©tait un simple string qui ne masquait presque rien de son anatomie.
âAide moi sâil te plaĂźt ! Il va me âŠâ
Elle nâosait pas dire âil va me baiserâ. Elle semblait terrorisĂ©e Ă lâidĂ©e de se faire violer.
âJe ne peux pas. Il est trop excitĂ©, ça serait dangereux pour nous deux si jâintervenais.â
JâĂ©tais aussi effrayĂ©e quâelle et je ne savais pas quoi faire pour lâaider. Mais je savais que je ne pouvais pas tenter de repousser le chien. Je nâaurais pas eu la force de le dĂ©coller de ce quâil devait considĂ©rer comme sa femelle. Je savais quâune fois quâil avait agrippĂ© sa chienne, il Ă©tait quasiment impossible de les sĂ©parer.
Le chien donnait ses coups de reins au hasard et tout dâun coup, jâai vu quâil Ă©tait entrĂ© en elle. Son pubis sâest collĂ© aux fesses. Marie essayait toujours de sâen sortir. Mais Ă chaque fois quâelle avançait son bassin, le chien la ramenait Ă lui brutalement. Il la possĂ©dait, bestialement. Jâentendais le bruit caractĂ©ristique dâune bite fouillant Ă toute allure un vagin trempĂ©.
Nâallez pas croire que Marie Ă©tait soudainement consentante et quâelle mouillait. Câest simplement quâun chien lubrifie abondamment la femelle avec ses propres sĂ©crĂ©tions.
Il la baisait totalement et jâĂ©tais effarĂ©e de voir mon amie se faire violer sans pouvoir intervenir.
Il y a une inĂ©vitable distorsion entre mon rĂ©cit et lâacte rĂ©el. Ce que je vous raconte en plusieurs paragraphes pour bien vous faire comprendre ce qui sâest passĂ© ne dure en rĂ©alitĂ© que moins dâune minute, depuis le moment oĂč Marie est tombĂ©e jusquâau moment oĂč le chien a Ă©jaculĂ© en elle.
DĂšs quâil sâest soulagĂ©, il a voulu se dĂ©gager. Marie Ă©tait toujours en position de levrette, lâanimal bien ancrĂ© en elle, pattes avant autour de la taille, pattes arriĂšre en appui pour pousser, le poitrail couvrant le dos, la gueule ouverte, haletante, langue sortie. Il a utilisĂ© sa patte en grattant la fesse de Marie pour se tirer vers lâarriĂšre. Heureusement pour elle, le tissu de sa robe lâa protĂ©gĂ©e des griffures.
Elle aussi a essayĂ© de se dĂ©tacher du chien en tirant vers lâavant, sans succĂšs.
âNon, nâessaye pas. Vous ĂȘtes nouĂ©s. Le sexe du chien est gonflĂ© en toi et vous ne pourrez pas vous dĂ©coller.â
âMais aide moi, fais quelque chose sâil te plaĂźt !â
âIl nây a rien Ă faire Marie. Il faut simplement attendre que son sexe diminue de volume. AprĂšs, il va sortir tout seul.â
âMais ça va durer longtemps ?â
âĂa dĂ©pend. Si ton vagin est assez lĂąche, ce sera rapide. Mais si tu es serrĂ©e autour de lui, ça peut durer un bon quart dâheure. Le mieux, câest que tu te dĂ©tendes. Plus tu es crispĂ©e, plus tu prolonges la durĂ©e du nouage.â
Je me rendais compte que je lui donnais des dĂ©tails que seul un vĂ©tĂ©rinaire peut connaĂźtre. Ou quelquâun dâexpĂ©rimentĂ©. Elle allait inĂ©vitablement se poser des questions plus tard.
Le chien avait fini par se retourner. Ils Ă©taient dos Ă dos. Marie enserrait le sexe de Rott entiĂšrement dans son vagin, noeud compris. On ne voyait quâun mince ligament rouge qui ressortait, que le chien allongeait rĂ©guliĂšrement en essayant de partir. Mais il Ă©tait clair que Marie Ă©tait bien prise. Non seulement le chien Ă©tait gros en elle, mais il me semblait que de son cĂŽtĂ©, elle maintenait fermement lâĂ©norme sexe, sans doute Ă son corps dĂ©fendant.
Jâassistais Ă cette scĂšne sans rien faire dâautre que regarder. Vous allez sans doute trouver cela dĂ©placĂ©, mais jâĂ©tais excitĂ©e de la voir ainsi, les fesses pleines de ce sexe dont je connaissais si bien les dimensions phĂ©nomĂ©nales une fois bien en place. Pour autant, je nâosais pas faire un geste.
Marie gĂ©missait. Sans doute pas de plaisir, mais plutĂŽt dâembarras. En quelque sorte, elle pleurnichait sur son sort. Je ne savais pas quoi dire pour attĂ©nuer son malaise.
Le chien est resté en elle un temps interminable.
âJe ne prends pas la pilule en ce moment. Quelle horreur ! Il va me mettre enceinte.â
Elle se faisait proprement insĂ©miner, câĂ©tait sĂ»r. Je savais que le chien la remplissait de semence, Ă petites giclĂ©es incessantes. Mais je la rassurai :
âNon, tu ne risques rien. Un chien ne peut pas engrosser une femme.â
Ce nâest quâau bout dâune demi-heure que le chien a rĂ©ussi Ă sâarracher dâelle. DĂšs quâelle a Ă©tĂ© libre, Marie sâest relevĂ©e. Elle a remis de lâordre dans sa tenue, elle mâa jetĂ© un regard noir et elle est partie sans un mot.
Elle ne mâavait mĂȘme pas demandĂ© dâaller se laver. Elle Ă©tait encore pleine du jus du chien et sans doute pour Ă©viter que cela ne coule le long de ses cuisses, elle devait serrer son vagin pour maintenir le liquide en elle.
JâĂ©tais excitĂ©e, je vous lâai dit. Mais jâĂ©tais surtout effondrĂ©e. Dâabord, jâavais sans doute perdu une amie de mon adolescence. Ensuite, je ne savais pas ce que Marie allait faire, si elle allait se plaindre Ă quelquâun. Jâavais peur pour mon chien, de ce quâon pourrait lui faire si le viol Ă©tait Ă©bruitĂ©.
Le chien sâĂ©tait assis par terre, en rond. Il se lĂ©chait le sexe, qui restait sorti du fourreau. Bien quâil ait dĂ©jĂ diminuĂ© de taille, il Ă©tait encore impressionnant, surtout le diamĂštre du bulbe.
Je me suis assise et jâai attendu. Rott a fini par se lever et venir vers moi. Son sexe rentrait dans sa coquille. Il nây avait aucun sentiment de culpabilitĂ© en lui, contrairement Ă ce qui arrive quand il sait quâil a fait une bĂȘtise. Il nâavait pas la moindre idĂ©e quâil venait de violer mon amie. Il nâĂ©tait pas effleurĂ© par la pensĂ©e que sa maĂźtresse puisse y voir une infidĂ©litĂ©. Un mĂąle sâĂ©tait accouplĂ© avec une femelle, rĂ©flexe de la perpĂ©tuation de lâespĂšce. Il nây avait pas non plus de vanitĂ©, de forfanterie. Pas de remords, pas de fiertĂ©.
Jâai Ă©tĂ© chercher le collier et la laisse. Rott a compris que nous allions sortir et comme tous les chiens, il sâest excitĂ©, sautant Ă mes cĂŽtĂ©s. Nous avons fait une longue promenade. Lui pour se dĂ©gourdir les pattes aprĂšs un bon coup de bite, et moi pour me laver la tĂȘte en ne pensant Ă rien.
Marie ne mâa pas recontactĂ©e. Jâaurais pensĂ© quâelle mâappelle pour me donner de ses nouvelles. Peut-ĂȘtre aurais-je dĂ» lâappeler moi-mĂȘme, mais je nâosais pas. Je prĂ©fĂ©rais respecter son silence, ne pas ramener ce mauvais souvenir Ă la surface.
Il sâest passĂ© quinze jours.
Et puis, on a sonnĂ©. Jâai Ă©tĂ© ouvrir. CâĂ©tait elle. Nous Ă©tions silencieuses toutes les deux sur le pas de la porte. Je ne savais pas si je devais lâembrasser. Ătait-elle venue pour se plaindre, pour faire la paix ? Je me suis Ă©cartĂ©e pour la laisser entrer.
âAttends, je vais enfermer le chien dans la chambre.â
Je voulais la rassurer en lui Ă©vitant tout contact avec Rott. Il me suffisait de la faire patienter dans lâentrĂ©e pendant que je faisais passer Rott du salon Ă ma chambre.
âNon, laisse !â
Elle avait rĂ©pondu du tac au tac, avec une insistance surprenante. CâĂ©tait presque un cri du coeur.
Nous sommes passĂ©es au salon toutes les deux. Rott lui fit la fĂȘte. Cette fois, elle Ă©tait sur ses gardes et malgrĂ© la puissance du contact, elle ne tomba pas. Elle ne semblait pas effrayĂ©e non plus. CâĂ©tait un peu comme si rien nâavait eu lieu deux semaines auparavant. Le chien lui sautait dessus, pour jouer cette fois, et elle se prĂȘtait au jeu en lui caressant la tĂȘte.
âTu veux un cafĂ© ?â
âOui, merci.â
Je suis allĂ©e Ă la cuisine et Marie sâest assise sur le canapĂ© en mâattendant. Je suis revenue une dizaine de minutes aprĂšs. Je nâentendais pas un bruit. Quand je suis entrĂ©e dans le salon, jâai vu que Marie repoussait le chien. Elle Ă©tait assise en avant du canapĂ©, les fesses juste au bord. Le chien devait ĂȘtre en face dâelle, sa gueule entre les genoux.
âIl tâembĂȘte encore ?â
âNon, non, tout va bien. Il est affectueux, câest tout.â
CâĂ©tait ma premiĂšre allusion Ă ce qui sâĂ©tait passĂ©. Marie ne semblait pas se plaindre. Peut-ĂȘtre voulait-elle simplement oublier. Mais la façon dont elle Ă©tait assise me turlupinait.
âJe vais aller faire pipi. Ne mâattends pas pour boire ton cafĂ© surtout.â
Je me suis Ă©loignĂ©e vers les toilettes et jâai fait semblant dây entrer. Je suis revenue discrĂštement pour Ă©pier.
Le chien est revenu vers Marie. Elle ne lâa pas chassĂ©, au contraire. Rott lui flairait la chatte au travers de sa robe. Il donnait des coups avec sa truffe et on entendait son souffle. Il cherchait les effluves de la femelle. Marie le laissait faire. Elle lui caressait le crĂąne. Elle a eu un regard vers le couloir. Jâai juste eu le temps de me cacher.
Jâai repris presque immĂ©diatement ma surveillance. Marie avait desserrĂ© ses genoux et le chien lĂ©chait son entrejambe. Visiblement, câĂ©tait ce quâelle voulait. Le tissus de la robe devait lâempĂȘcher de bien sentir le contact de la langue. Elle sâest troussĂ©e pour aider le chien. Incroyable ! Elle nâavait pas de culotte.
Rott lapait Ă grands coups de langue, mouillant toute la vulve. Je voyais bien que Marie Ă©tait trĂšs excitĂ©e. Sa chatte Ă©tait presque rouge et totalement trempĂ©e, bien quâon ne puisse pas savoir si câĂ©tait de sa propre mouille ou de la salive du chien. Elle Ă©cartait de plus en plus les jambes et avançait son bassin vers la truffe. Mais ce nâĂ©tait pas encore assez. Elle a attrapĂ© ses cuisses par en dessous et a fait basculĂ© son buste sur lâassise du canapĂ©, offrant sa raie et sa fente aux lĂšchements.
Rott commençait Ă sâexciter. Son sexe sortait de sa gangue. Tout dâabord le petit bout rouge. Le gland Ă©tait de plus en plus apparent. Marie a compris quâelle contrĂŽlait de moins en moins la situation. Le chien voulait monter sur le canapĂ©. Il plaçait ses pattes avant sur le ventre allongĂ© de Marie. Elle sâest redressĂ©e avant quâil ne soit trop tard, est parvenue Ă faire descendre le chien et a remis sa robe en place.
Câest le moment que jâai choisi pour tirer la chasse et faire mon retour. Jâai fait remarquer Ă Marie quâelle nâavait pas bu son cafĂ©.
âJe tâai attendue.â
Elle rougissait en me disant cela. En plus, je voyais quâelle regardait le chien avec inquiĂ©tude. Cela venait de ce quâil restait excitĂ©, son sexe toujours Ă moitiĂ© sorti. Il tournait autour dâelle et voulait sans doute poursuivre son action.
Jâaurais dĂ» en ĂȘtre gĂȘnĂ©e pour elle Ă©tant donnĂ© ce quâelle avait subi quinze jours auparavant. Revoir ce sexe qui lâavait violĂ©e, ça ne devait pas ĂȘtre rassurant. Mais ce que je venais de dĂ©couvrir me faisait comprendre que Marie nâĂ©tait pas venue juste pour boire le cafĂ©. Je savais bien ce qui sâĂ©tait passĂ© en elle. Elle avait Ă©tĂ© violĂ©e, certes. Elle avait Ă©tĂ© prise par surprise, sans avoir son mot Ă dire, sans pouvoir y penser. Elle avait dĂ» subir de force quelque chose quâelle nâaurait jamais imaginĂ©. La saillie avait durĂ©. Elle avait eu tout le temps de se dĂ©tendre, et elle avait dĂ» le faire pour pouvoir se libĂ©rer du sexe bien plantĂ© en elle. Elle avait goĂ»tĂ© sans le vouloir Ă ce plaisir inoui de lâaccouplement avec un chien. Je savais, moi, quâelle Ă©tait dĂ©sormais accrochĂ©e Ă ce dĂ©sir pour la vie.
Mais je ne savais pas comment faire pour lâamener Ă se faire prendre Ă nouveau, Ă accepter de le faire en ma compagnie, sans quâelle se referme ou mĂȘme quâelle parte fĂąchĂ©e. Et puis je me suis lancĂ©e.
âMarie.â
âOui ? Quoi ?â
Elle Ă©tait rouge de confusion. Elle sentait quâil allait se passer quelque chose.
âJe tâai vue tout Ă lâheure avec le chien. Je vous observais depuis le couloir.â
Elle a baissĂ© la tĂȘte, comme une petite fille prise en faute.
âDescends du canapĂ©. Le chien va te monter Ă nouveau. Il en a envie. Et toi, câest de ça que tu as envie aussi, nâest-ce pas ?â
Elle est restée silencieuse. Puis elle a relevé son visage pour me regarder. Elle avait les larmes aux yeux.
âOui. Je ne comprends pas. Depuis la derniĂšre fois, je nâarrive pas Ă oublier. Câest tellement diffĂ©rent, tellement nouveau !â
âJe sais ce que tu veux dire. Je sais ce qui tâest arrivĂ©. Je suis passĂ©e par lĂ moi aussi. DĂ©tends toi et laisse toi faire. Cette fois, tu vas encore plus apprĂ©cier parce que tu le veux.â
Je lui ai tendu la main pour lui donner le courage de se lever. Je lâai prise dans mes bras et je lâai cĂąlinĂ©e, comme on console une enfant dĂ©semparĂ©e. Puis je lâai invitĂ©e Ă se mettre Ă genoux en appuyant sur ses Ă©paules puis sur sa tĂȘte.
âMets toi Ă quatre patte et relĂšve ta robe. Le chien est dĂ©jĂ prĂȘt.â
Elle a posĂ© ses mains sur le sol. Câest moi qui lui ai dĂ©couvert les fesses.
Elle attendait. Elle Ă©tait visiblement anxieuse. Peut-ĂȘtre Ă©tait-elle gĂȘnĂ©e de sâexhiber devant moi et aussi de me montrer que tout cela Ă©tait prĂ©mĂ©ditĂ© puisquâelle nâavait pas mis de culotte.
Rott est venu tourner autour dâelle. Je me suis assise sur le canapĂ© pour les regarder. Il avait toujours le sexe Ă moitiĂ© Ă lâair. Il alternait en lĂ©chant Marie et en se lubrifiant la bite.
Elle se laissait faire. Elle ne sâoffrait pas encore, mais elle ne se refusait plus. Elle gardait la tĂȘte baissĂ©e. Elle fermait les yeux. Mais je lâentendais pousser des petits gĂ©missements. Le chien est le roi du cunnilingus. La langue se faufile partout. Sur un clitoris excitĂ©, elle fait merveille, jâen sais quelque chose !
Rott a fait une premiĂšre tentative pour monter Marie. Il sâest dressĂ© sur ses antĂ©rieures et lâa prise par les hanches. Il a cherchĂ© lâentrĂ©e sans la trouver. Il sâest remis sur ses pattes et sâest Ă©loignĂ© en se lĂ©chant le gland.
Marie nâa pas bougĂ©. Elle Ă©tait toujours dans la position de la femelle en attente de la saillie, genoux et mains Ă terre, buste Ă lâhorizontale, seins pendants, bras tendus, cuisses Ă©cartĂ©es, le regard tournĂ© vers le sol.
Rott est revenu. De nouveau, il lâa couverte. Je me suis levĂ©e et je me suis approchĂ©e de la croupe du chien. Jâai guidĂ© ses mouvements de bassin pour orienter la bite vers la vulve. Je tenais ses flancs Ă deux mains pour le centrer parfaitement. Et pour la seconde fois, lâaccouplement sâest fait. Ce fut frĂ©nĂ©tique, comme la premiĂšre fois. Marie a criĂ© dĂšs quâelle a senti le membre entrer en elle. Ce nâĂ©tait pas un cri de surprise ou de douleur, mais plutĂŽt une plainte qui trahissait une sorte de soulagement.
Le chien sâest agitĂ© Ă toute vitesse, lui bourrant le trou Ă fond. Je ne voyais pas le sexe entrer et sortir mais je voyais quâil lui Ă©crasait les fesses en sâenfonçant. Marie expirait Ă chaque coup que lui assĂ©nait le mĂąle, comme si chaque pĂ©nĂ©tration lui vidait les poumons.
Puis le chien sâest immobilisĂ©. Son regard sâest transformĂ©. Il a cherchĂ© Ă se dĂ©tacher mais il Ă©tait trop solidement plantĂ© en elle. Et jâĂ©tais sĂ»re cette fois que ce nâĂ©tait pas la terreur ou la honte qui forçait Marie Ă contracter ses muscles vaginaux, mais lâenvie de garder ce sexe Ă lâintĂ©rieur pour quâil continue Ă lâensemencer.
Je me suis mise Ă quatre pattes moi aussi et je me suis dĂ©placĂ©e pour lui faire face. Elle gardait les yeux fermĂ©s. Elle avait du plaisir, mĂȘme dans ce moment de calme. Je savais quâun sexe battait comme un coeur dans son vagin, avec une petite giclĂ©e de sperme Ă chaque palpitation. Je savais quâelle sentait le jet lui toucher le fond de lâutĂ©rus. Tout cela participait au plaisir, physique autant que cĂ©rĂ©bral. Elle devait se dire :
âJe suis une femelle en chaleur qui se fait fĂ©conder, je tends ma croupe pour lâoffrir au mĂąle, je veux son jus reproducteur. Je sens son membre qui me comble, je sens sa semence qui me remplit.â
Jâai eu envie de lâembrasser. Jâai pris son menton dans ma main et jâai collĂ© mes lĂšvres aux siennes. Elle a acceptĂ© mon baiser. Jâai forcĂ© sa bouche avec ma langue et nos salives se sont mĂ©langĂ©es. Je me suis mise sur le dos et je me suis glissĂ©e sous elle pour lui peloter les seins. La robe Ă©tait suffisamment lĂąche pour que jâarrive Ă les sortir. Jâai relevĂ© la tĂȘte pour sucer et mordiller les tĂ©tons. Marie a appuyĂ© sur ma nuque, semblant me demander de la mordre plus fort.
Jâai continuĂ© de ramper plus bas jusquâĂ me trouver juste en dessous de sa fourche. Jâavais une vue imprenable sur sa chatte dâoĂč commençait Ă Ă©merger le bulbe. Je me suis dressĂ©e sur mes coudes pour pouvoir atteindre son clitoris. Je lâai branlĂ©e, tantĂŽt avec ma main, tantĂŽt avec ma langue. Ma position nâĂ©tait pas confortable et je devais souvent changer de façon de la caresser. Mais malgrĂ© ces changements de rythme, je sentais que son plaisir venait. Il montait inexorablement. Les petits temps morts qui marquaient le remplacement de la main par la langue ou lâinverse ne faisaient pas retomber son excitation. Elle semblait attendre Ă©perdument la reprise. Pour ma part, je continuais inlassablement mon travail de sape.
Enfin, elle a jouit, sous ma langue. Je lui Ă©crasais son bouton avec mes lĂšvres et elle a pousser une sorte de long feulement qui allait en sâintensifiant. Elle a eu cette crispation caractĂ©ristique des cuisses qui cherchent Ă se refermer. Le chien a dĂ» sentir le vagin se contracter sur sa bite. Parfois, un jet de sperme au fond de la matrice vient ajouter Ă lâorgasme clitoridien.
Je suis restĂ©e en dessous dâelle pour assister au dĂ©nouement. Je voyais le bulbe progresser vers la sortie. On a lâimpression quâil enfle interminablement. Et soudain, la dĂ©livrance. Le sexe qui est expulsĂ© autant quâil sâarrache, la cavitĂ© vaginale qui se vide du trop plein et la fente qui continue Ă goutter.
Le chien sâest tout de suite Ă©loignĂ©, la bite encore raide. Je me suis dĂ©gagĂ©e rapidement. Jâai dit Ă Rott de se coucher. Jâai pu prendre son sexe dans ma bouche et profiter du reste de sperme quâil continuait Ă Ă©mettre Ă intervalles rĂ©guliers. Il suffisait de stimuler le petit orifice du bout de la langue, ou mĂȘme de suçoter lâembout pour faire sortir le nectar.
Marie sâĂ©tait assise et me regardait faire. Je lâai encouragĂ©e Ă me rejoindre. Quand elle a Ă©tĂ© allongĂ©e prĂšs de moi, je lâai embrassĂ©e. Puis, jâai pesĂ© sur sa nuque pour la forcer Ă rapprocher sa bouche de la bite du chien. Elle a commencĂ© par la titiller du bout de la langue.
âSuce la. Mets la dans ta bouche.â
Elle a entrouvert ses lĂšvres et a commencĂ© une fellation. Au fur et Ă mesure, elle sâenhardissait et rentrait un morceau de plus en plus grand, jusquâĂ ce quâelle finisse par engloutir tout jusquâau bulbe. Pendant quâelle suçait le chien, je lui caressais les cheveux.
Nous avons ainsi jouĂ© toute la journĂ©e ensemble. Nous avons fait lâamour toutes les deux. Je savais que dĂ©sormais, Marie Ă©tait ma maĂźtresse et surtout celle de Rott, pour la vie. Quand on a goĂ»tĂ© et aimĂ© le sexe avec un chien, câest sans retour.
Views: 3432
Schöne, ruhige Story von 2 Frauen und die neuentdeckte Hundeliebe.
Daher Tagvorschlag: F/Hund (F/dog) FF
Das ist ein Probelauf, ob und wie gut Geschichten in weiteren Sprachen angenommen werden. Darum hatte ich mir ĂŒber die Tags noch keine Gedanken gemacht, zumal die ja in der entsprechenden Sprache sein mĂŒsstenâŠ
Lesen Sie Französisch? Oder haben Sie einen Ăbersetzer eingesetzt? Erscheint Ihnen die Ăbersetzung zufriedenstellend? (Diese Antwort stammt von Google Translate)
Ich habe die Geschichte mithilfe des Google-Translators ins Deutsche ĂŒbersetzt und gelesen. Mir gefĂ€llt die Geschichte echt gut. Ich werde die deutsche Ăbersetzung bearbeiten, um die Fehler des Google-Translators zu verbessern. Zwar sind diese Ăbersetzungen deutlich besser als noch vor ein paar Jahren, aber immer noch nicht perfekt. So wird Jeanne zwischendurch auch mal zum Mann.
Wenn ich fertig bin, liefere ich die Ăbersetzung an Claudia, um sie bei de.readbeast.blog zu veröffentlichen, wenn es FrĂ©dĂ©ric recht ist.
Quand jâaurai fini, je remettrai la traduction Ă Claudia pour quâelle la publie sur de.readbeast.blog, si FrĂ©dĂ©ric est dâaccord.
When Iâm finished, Iâll deliver the translation to Claudia to publish on de.readbeast.blog, if FrĂ©dĂ©ric agrees.
GruĂ Kuschel
Jâai traduit lâhistoire en allemand Ă lâaide de Google Translator et je lâai lue. Jâaime beaucoup lâhistoire. Je vais modifier la traduction allemande pour amĂ©liorer les erreurs commises par Google Translator. MĂȘme si ces traductions sont nettement meilleures quâelles ne lâĂ©taient il y a quelques annĂ©es, elles ne sont toujours pas parfaites. Alors Jeanne devient parfois un homme.
Salutations Kuschel
I translated the story into German using Google Translator and read it. I really like the story. I will edit the German translation to improve the mistakes made by Google Translator. Although these translations are significantly better than they were a few years ago, they are still not perfect. So Jeanne sometimes becomes a man.
Greetings Kuschel
I am eager to see my German friends read the story in their language and give me their opinion. Thank you so much for the time spent doing the job.
Frédéric.
Merci beaucoup pour cette histoire sordide. Je lâaime beaucoup et je lâai dĂ©jĂ lu plusieurs fois.
Bisou
Sybille
Re-bonsoir Sybille,
Plusieurs lectures, câest autant dâorgasmes. Je rĂ©itĂšre ma proposition : jâaimerais beaucoup que nous en parlions en Ă©changeant des messages.
Bisous aussi, tout plein,
Frédéric.