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đŸ‡«đŸ‡· Marie

4.7
(42)

Je m’appelle Jeanne et je vais vous raconter ce qui est arrivĂ© Ă  mon amie Marie il y a quelques annĂ©es.

Je suis célibataire, sans enfant, et je vis avec mon chien Rott, qui est un Rottweiler de 60 kilos.

Marie est une amie de longue date. Notre amitiĂ© remonte Ă  l’époque oĂč nous allions au lycĂ©e. Depuis, elle
s’est mariĂ©e et elle a deux enfants. Nos situations familiales trĂšs diffĂ©rentes ont fait que nous nous sommes un peu Ă©loignĂ©es l’une de l’autre. Vous savez ce que c’est : les mamans ne s’intĂ©ressent qu’à leurs enfants, quand ils sont jeunes tout au moins. Et moi, les enfants des autres, ça m’agace !

Cependant, comme nous habitions dans la mĂȘme ville, il Ă©tait arrivĂ© qu’on se croise par hasard, dans la rue ou dans un
magasin. Une fois, je lui ai dit de passer prendre un cafĂ© Ă  la maison, pour qu’on discute entre filles (je voulais dire
sans le bruit et la fureur de toute une famille).

Un matin, vers dix heures, Marie a sonnĂ©. Je lui ai ouvert. Elle Ă©tait trĂšs sexy, habillĂ©e simplement d’une petite robe courte. Il n’est pas nĂ©cessaire d’ĂȘtre trĂšs sophistiquĂ©e pour Ă©veiller le dĂ©sir. Il suffit d’avoir des formes aux bons endroits et de les mettre en valeur par un vĂȘtement de bonne coupe. Et puis l’étĂ© permet de montrer ce qu’on est obligĂ© de cacher sous un manteau en hiver.

Nous nous sommes fait la bise et je l’ai fait passer au salon. Le chien piaffait d’impatience. On l’entendait tourner dans la piĂšce et de temps en temps frapper sur la porte de communication fermĂ©e en y projetant ses pattes avant.

Quand j’ai ouvert pour faire entrer Marie, le chien s’est ruĂ© sur elle pour lui faire la fĂȘte. Il l’a dĂ©sĂ©quilibrĂ©e et
elle est partie Ă  la renverse. J’ai eu peur qu’elle ne se soit blessĂ©e. Elle s’est retournĂ©e pour se relever et pendant un bref instant, elle s’est retrouvĂ©e Ă  quatre pattes. À ce moment, le chien l’a ceinturĂ©e brutalement. Elle a tentĂ© de s’arracher de l’étreinte mais le poids du chien l’a empĂȘchĂ© de se redresser et la force avec laquelle il la serrait ne lui permettait pas de se dĂ©gager.

J’ai vu que Rott commençait des mouvements de bassin caractĂ©ristiques. Il voulait la prendre, cela semblait de plus en plus Ă©vident. Marie l’a assez vite compris. Elle se dĂ©battait, mais vainement. Le sexe du chien commençait Ă  sortir du fourreau et je voyais le petit bout rouge taper l’intĂ©rieur des cuisses de Marie. Sa robe Ă©tait remontĂ©e et je voyais sa culotte. C’était un simple string qui ne masquait presque rien de son anatomie.

“Aide moi s’il te plaüt ! Il va me 
”

Elle n’osait pas dire “il va me baiser”. Elle semblait terrorisĂ©e Ă  l’idĂ©e de se faire violer.

“Je ne peux pas. Il est trop excitĂ©, ça serait dangereux pour nous deux si j’intervenais.”

J’étais aussi effrayĂ©e qu’elle et je ne savais pas quoi faire pour l’aider. Mais je savais que je ne pouvais pas tenter de repousser le chien. Je n’aurais pas eu la force de le dĂ©coller de ce qu’il devait considĂ©rer comme sa femelle. Je savais qu’une fois qu’il avait agrippĂ© sa chienne, il Ă©tait quasiment impossible de les sĂ©parer.

Le chien donnait ses coups de reins au hasard et tout d’un coup, j’ai vu qu’il Ă©tait entrĂ© en elle. Son pubis s’est collĂ© aux fesses. Marie essayait toujours de s’en sortir. Mais Ă  chaque fois qu’elle avançait son bassin, le chien la ramenait Ă  lui brutalement. Il la possĂ©dait, bestialement. J’entendais le bruit caractĂ©ristique d’une bite fouillant Ă  toute allure un vagin trempĂ©.

N’allez pas croire que Marie Ă©tait soudainement consentante et qu’elle mouillait. C’est simplement qu’un chien lubrifie abondamment la femelle avec ses propres sĂ©crĂ©tions.

Il la baisait totalement et j’étais effarĂ©e de voir mon amie se faire violer sans pouvoir intervenir.

Il y a une inĂ©vitable distorsion entre mon rĂ©cit et l’acte rĂ©el. Ce que je vous raconte en plusieurs paragraphes pour bien vous faire comprendre ce qui s’est passĂ© ne dure en rĂ©alitĂ© que moins d’une minute, depuis le moment oĂč Marie est tombĂ©e jusqu’au moment oĂč le chien a Ă©jaculĂ© en elle.

DĂšs qu’il s’est soulagĂ©, il a voulu se dĂ©gager. Marie Ă©tait toujours en position de levrette, l’animal bien ancrĂ© en elle, pattes avant autour de la taille, pattes arriĂšre en appui pour pousser, le poitrail couvrant le dos, la gueule ouverte, haletante, langue sortie. Il a utilisĂ© sa patte en grattant la fesse de Marie pour se tirer vers l’arriĂšre. Heureusement pour elle, le tissu de sa robe l’a protĂ©gĂ©e des griffures.

Elle aussi a essayĂ© de se dĂ©tacher du chien en tirant vers l’avant, sans succĂšs.

“Non, n’essaye pas. Vous ĂȘtes nouĂ©s. Le sexe du chien est gonflĂ© en toi et vous ne pourrez pas vous dĂ©coller.”

“Mais aide moi, fais quelque chose s’il te plaüt !”

“Il n’y a rien à faire Marie. Il faut simplement attendre que son sexe diminue de volume. Aprùs, il va sortir tout seul.”

“Mais ça va durer longtemps ?”

“Ça dĂ©pend. Si ton vagin est assez lĂąche, ce sera rapide. Mais si tu es serrĂ©e autour de lui, ça peut durer un bon quart d’heure. Le mieux, c’est que tu te dĂ©tendes. Plus tu es crispĂ©e, plus tu prolonges la durĂ©e du nouage.”

Je me rendais compte que je lui donnais des dĂ©tails que seul un vĂ©tĂ©rinaire peut connaĂźtre. Ou quelqu’un d’expĂ©rimentĂ©. Elle allait inĂ©vitablement se poser des questions plus tard.

Le chien avait fini par se retourner. Ils Ă©taient dos Ă  dos. Marie enserrait le sexe de Rott entiĂšrement dans son vagin, noeud compris. On ne voyait qu’un mince ligament rouge qui ressortait, que le chien allongeait rĂ©guliĂšrement en essayant de partir. Mais il Ă©tait clair que Marie Ă©tait bien prise. Non seulement le chien Ă©tait gros en elle, mais il me semblait que de son cĂŽtĂ©, elle maintenait fermement l’énorme sexe, sans doute Ă  son corps dĂ©fendant.

J’assistais Ă  cette scĂšne sans rien faire d’autre que regarder. Vous allez sans doute trouver cela dĂ©placĂ©, mais j’étais excitĂ©e de la voir ainsi, les fesses pleines de ce sexe dont je connaissais si bien les dimensions phĂ©nomĂ©nales une fois bien en place. Pour autant, je n’osais pas faire un geste.

Marie gĂ©missait. Sans doute pas de plaisir, mais plutĂŽt d’embarras. En quelque sorte, elle pleurnichait sur son sort. Je ne savais pas quoi dire pour attĂ©nuer son malaise.

Le chien est resté en elle un temps interminable.

“Je ne prends pas la pilule en ce moment. Quelle horreur ! Il va me mettre enceinte.”

Elle se faisait proprement insĂ©miner, c’était sĂ»r. Je savais que le chien la remplissait de semence, Ă  petites giclĂ©es incessantes. Mais je la rassurai :

“Non, tu ne risques rien. Un chien ne peut pas engrosser une femme.”

Ce n’est qu’au bout d’une demi-heure que le chien a rĂ©ussi Ă  s’arracher d’elle. DĂšs qu’elle a Ă©tĂ© libre, Marie s’est relevĂ©e. Elle a remis de l’ordre dans sa tenue, elle m’a jetĂ© un regard noir et elle est partie sans un mot.

Elle ne m’avait mĂȘme pas demandĂ© d’aller se laver. Elle Ă©tait encore pleine du jus du chien et sans doute pour Ă©viter que cela ne coule le long de ses cuisses, elle devait serrer son vagin pour maintenir le liquide en elle.

J’étais excitĂ©e, je vous l’ai dit. Mais j’étais surtout effondrĂ©e. D’abord, j’avais sans doute perdu une amie de mon adolescence. Ensuite, je ne savais pas ce que Marie allait faire, si elle allait se plaindre Ă  quelqu’un. J’avais peur pour mon chien, de ce qu’on pourrait lui faire si le viol Ă©tait Ă©bruitĂ©.

Le chien s’était assis par terre, en rond. Il se lĂ©chait le sexe, qui restait sorti du fourreau. Bien qu’il ait dĂ©jĂ  diminuĂ© de taille, il Ă©tait encore impressionnant, surtout le diamĂštre du bulbe.

Je me suis assise et j’ai attendu. Rott a fini par se lever et venir vers moi. Son sexe rentrait dans sa coquille. Il n’y avait aucun sentiment de culpabilitĂ© en lui, contrairement Ă  ce qui arrive quand il sait qu’il a fait une bĂȘtise. Il n’avait pas la moindre idĂ©e qu’il venait de violer mon amie. Il n’était pas effleurĂ© par la pensĂ©e que sa maĂźtresse puisse y voir une infidĂ©litĂ©. Un mĂąle s’était accouplĂ© avec une femelle, rĂ©flexe de la perpĂ©tuation de l’espĂšce. Il n’y avait pas non plus de vanitĂ©, de forfanterie. Pas de remords, pas de fiertĂ©.

J’ai Ă©tĂ© chercher le collier et la laisse. Rott a compris que nous allions sortir et comme tous les chiens, il s’est excitĂ©, sautant Ă  mes cĂŽtĂ©s. Nous avons fait une longue promenade. Lui pour se dĂ©gourdir les pattes aprĂšs un bon coup de bite, et moi pour me laver la tĂȘte en ne pensant Ă  rien.

Marie ne m’a pas recontactĂ©e. J’aurais pensĂ© qu’elle m’appelle pour me donner de ses nouvelles. Peut-ĂȘtre aurais-je dĂ» l’appeler moi-mĂȘme, mais je n’osais pas. Je prĂ©fĂ©rais respecter son silence, ne pas ramener ce mauvais souvenir Ă  la surface.

Il s’est passĂ© quinze jours.

Et puis, on a sonnĂ©. J’ai Ă©tĂ© ouvrir. C’était elle. Nous Ă©tions silencieuses toutes les deux sur le pas de la porte. Je ne savais pas si je devais l’embrasser. Était-elle venue pour se plaindre, pour faire la paix ? Je me suis Ă©cartĂ©e pour la laisser entrer.

“Attends, je vais enfermer le chien dans la chambre.”

Je voulais la rassurer en lui Ă©vitant tout contact avec Rott. Il me suffisait de la faire patienter dans l’entrĂ©e pendant que je faisais passer Rott du salon Ă  ma chambre.

“Non, laisse !”

Elle avait rĂ©pondu du tac au tac, avec une insistance surprenante. C’était presque un cri du coeur.

Nous sommes passĂ©es au salon toutes les deux. Rott lui fit la fĂȘte. Cette fois, elle Ă©tait sur ses gardes et malgrĂ© la puissance du contact, elle ne tomba pas. Elle ne semblait pas effrayĂ©e non plus. C’était un peu comme si rien n’avait eu lieu deux semaines auparavant. Le chien lui sautait dessus, pour jouer cette fois, et elle se prĂȘtait au jeu en lui caressant la tĂȘte.

“Tu veux un cafĂ© ?”
“Oui, merci.”

Je suis allĂ©e Ă  la cuisine et Marie s’est assise sur le canapĂ© en m’attendant. Je suis revenue une dizaine de minutes aprĂšs. Je n’entendais pas un bruit. Quand je suis entrĂ©e dans le salon, j’ai vu que Marie repoussait le chien. Elle Ă©tait assise en avant du canapĂ©, les fesses juste au bord. Le chien devait ĂȘtre en face d’elle, sa gueule entre les genoux.

“Il t’embĂȘte encore ?”
“Non, non, tout va bien. Il est affectueux, c’est tout.”

C’était ma premiĂšre allusion Ă  ce qui s’était passĂ©. Marie ne semblait pas se plaindre. Peut-ĂȘtre voulait-elle simplement oublier. Mais la façon dont elle Ă©tait assise me turlupinait.

“Je vais aller faire pipi. Ne m’attends pas pour boire ton cafĂ© surtout.”

Je me suis Ă©loignĂ©e vers les toilettes et j’ai fait semblant d’y entrer. Je suis revenue discrĂštement pour Ă©pier.

Le chien est revenu vers Marie. Elle ne l’a pas chassĂ©, au contraire. Rott lui flairait la chatte au travers de sa robe. Il donnait des coups avec sa truffe et on entendait son souffle. Il cherchait les effluves de la femelle. Marie le laissait faire. Elle lui caressait le crĂąne. Elle a eu un regard vers le couloir. J’ai juste eu le temps de me cacher.

J’ai repris presque immĂ©diatement ma surveillance. Marie avait desserrĂ© ses genoux et le chien lĂ©chait son entrejambe. Visiblement, c’était ce qu’elle voulait. Le tissus de la robe devait l’empĂȘcher de bien sentir le contact de la langue. Elle s’est troussĂ©e pour aider le chien. Incroyable ! Elle n’avait pas de culotte.

Rott lapait Ă  grands coups de langue, mouillant toute la vulve. Je voyais bien que Marie Ă©tait trĂšs excitĂ©e. Sa chatte Ă©tait presque rouge et totalement trempĂ©e, bien qu’on ne puisse pas savoir si c’était de sa propre mouille ou de la salive du chien. Elle Ă©cartait de plus en plus les jambes et avançait son bassin vers la truffe. Mais ce n’était pas encore assez. Elle a attrapĂ© ses cuisses par en dessous et a fait basculĂ© son buste sur l’assise du canapĂ©, offrant sa raie et sa fente aux lĂšchements.

Rott commençait Ă  s’exciter. Son sexe sortait de sa gangue. Tout d’abord le petit bout rouge. Le gland Ă©tait de plus en plus apparent. Marie a compris qu’elle contrĂŽlait de moins en moins la situation. Le chien voulait monter sur le canapĂ©. Il plaçait ses pattes avant sur le ventre allongĂ© de Marie. Elle s’est redressĂ©e avant qu’il ne soit trop tard, est parvenue Ă  faire descendre le chien et a remis sa robe en place.

C’est le moment que j’ai choisi pour tirer la chasse et faire mon retour. J’ai fait remarquer Ă  Marie qu’elle n’avait pas bu son cafĂ©.

“Je t’ai attendue.”

Elle rougissait en me disant cela. En plus, je voyais qu’elle regardait le chien avec inquiĂ©tude. Cela venait de ce qu’il restait excitĂ©, son sexe toujours Ă  moitiĂ© sorti. Il tournait autour d’elle et voulait sans doute poursuivre son action.

J’aurais dĂ» en ĂȘtre gĂȘnĂ©e pour elle Ă©tant donnĂ© ce qu’elle avait subi quinze jours auparavant. Revoir ce sexe qui l’avait violĂ©e, ça ne devait pas ĂȘtre rassurant. Mais ce que je venais de dĂ©couvrir me faisait comprendre que Marie n’était pas venue juste pour boire le cafĂ©. Je savais bien ce qui s’était passĂ© en elle. Elle avait Ă©tĂ© violĂ©e, certes. Elle avait Ă©tĂ© prise par surprise, sans avoir son mot Ă  dire, sans pouvoir y penser. Elle avait dĂ» subir de force quelque chose qu’elle n’aurait jamais imaginĂ©. La saillie avait durĂ©. Elle avait eu tout le temps de se dĂ©tendre, et elle avait dĂ» le faire pour pouvoir se libĂ©rer du sexe bien plantĂ© en elle. Elle avait goĂ»tĂ© sans le vouloir Ă  ce plaisir inoui de l’accouplement avec un chien. Je savais, moi, qu’elle Ă©tait dĂ©sormais accrochĂ©e Ă  ce dĂ©sir pour la vie.

Mais je ne savais pas comment faire pour l’amener Ă  se faire prendre Ă  nouveau, Ă  accepter de le faire en ma compagnie, sans qu’elle se referme ou mĂȘme qu’elle parte fĂąchĂ©e. Et puis je me suis lancĂ©e.

“Marie.”
“Oui ? Quoi ?”

Elle Ă©tait rouge de confusion. Elle sentait qu’il allait se passer quelque chose.

“Je t’ai vue tout à l’heure avec le chien. Je vous observais depuis le couloir.”

Elle a baissĂ© la tĂȘte, comme une petite fille prise en faute.

“Descends du canapĂ©. Le chien va te monter Ă  nouveau. Il en a envie. Et toi, c’est de ça que tu as envie aussi, n’est-ce pas ?”

Elle est restée silencieuse. Puis elle a relevé son visage pour me regarder. Elle avait les larmes aux yeux.

“Oui. Je ne comprends pas. Depuis la derniĂšre fois, je n’arrive pas Ă  oublier. C’est tellement diffĂ©rent, tellement nouveau !”
“Je sais ce que tu veux dire. Je sais ce qui t’est arrivĂ©. Je suis passĂ©e par lĂ  moi aussi. DĂ©tends toi et laisse toi faire. Cette fois, tu vas encore plus apprĂ©cier parce que tu le veux.”

Je lui ai tendu la main pour lui donner le courage de se lever. Je l’ai prise dans mes bras et je l’ai cĂąlinĂ©e, comme on console une enfant dĂ©semparĂ©e. Puis je l’ai invitĂ©e Ă  se mettre Ă  genoux en appuyant sur ses Ă©paules puis sur sa tĂȘte.

“Mets toi Ă  quatre patte et relĂšve ta robe. Le chien est dĂ©jĂ  prĂȘt.”

Elle a posĂ© ses mains sur le sol. C’est moi qui lui ai dĂ©couvert les fesses.

Elle attendait. Elle Ă©tait visiblement anxieuse. Peut-ĂȘtre Ă©tait-elle gĂȘnĂ©e de s’exhiber devant moi et aussi de me montrer que tout cela Ă©tait prĂ©mĂ©ditĂ© puisqu’elle n’avait pas mis de culotte.

Rott est venu tourner autour d’elle. Je me suis assise sur le canapĂ© pour les regarder. Il avait toujours le sexe Ă  moitiĂ© Ă  l’air. Il alternait en lĂ©chant Marie et en se lubrifiant la bite.

Elle se laissait faire. Elle ne s’offrait pas encore, mais elle ne se refusait plus. Elle gardait la tĂȘte baissĂ©e. Elle fermait les yeux. Mais je l’entendais pousser des petits gĂ©missements. Le chien est le roi du cunnilingus. La langue se faufile partout. Sur un clitoris excitĂ©, elle fait merveille, j’en sais quelque chose !

Rott a fait une premiĂšre tentative pour monter Marie. Il s’est dressĂ© sur ses antĂ©rieures et l’a prise par les hanches. Il a cherchĂ© l’entrĂ©e sans la trouver. Il s’est remis sur ses pattes et s’est Ă©loignĂ© en se lĂ©chant le gland.

Marie n’a pas bougĂ©. Elle Ă©tait toujours dans la position de la femelle en attente de la saillie, genoux et mains Ă  terre, buste Ă  l’horizontale, seins pendants, bras tendus, cuisses Ă©cartĂ©es, le regard tournĂ© vers le sol.

Rott est revenu. De nouveau, il l’a couverte. Je me suis levĂ©e et je me suis approchĂ©e de la croupe du chien. J’ai guidĂ© ses mouvements de bassin pour orienter la bite vers la vulve. Je tenais ses flancs Ă  deux mains pour le centrer parfaitement. Et pour la seconde fois, l’accouplement s’est fait. Ce fut frĂ©nĂ©tique, comme la premiĂšre fois. Marie a criĂ© dĂšs qu’elle a senti le membre entrer en elle. Ce n’était pas un cri de surprise ou de douleur, mais plutĂŽt une plainte qui trahissait une sorte de soulagement.

Le chien s’est agitĂ© Ă  toute vitesse, lui bourrant le trou Ă  fond. Je ne voyais pas le sexe entrer et sortir mais je voyais qu’il lui Ă©crasait les fesses en s’enfonçant. Marie expirait Ă  chaque coup que lui assĂ©nait le mĂąle, comme si chaque pĂ©nĂ©tration lui vidait les poumons.

Puis le chien s’est immobilisĂ©. Son regard s’est transformĂ©. Il a cherchĂ© Ă  se dĂ©tacher mais il Ă©tait trop solidement plantĂ© en elle. Et j’étais sĂ»re cette fois que ce n’était pas la terreur ou la honte qui forçait Marie Ă  contracter ses muscles vaginaux, mais l’envie de garder ce sexe Ă  l’intĂ©rieur pour qu’il continue Ă  l’ensemencer.

Je me suis mise Ă  quatre pattes moi aussi et je me suis dĂ©placĂ©e pour lui faire face. Elle gardait les yeux fermĂ©s. Elle avait du plaisir, mĂȘme dans ce moment de calme. Je savais qu’un sexe battait comme un coeur dans son vagin, avec une petite giclĂ©e de sperme Ă  chaque palpitation. Je savais qu’elle sentait le jet lui toucher le fond de l’utĂ©rus. Tout cela participait au plaisir, physique autant que cĂ©rĂ©bral. Elle devait se dire :

“Je suis une femelle en chaleur qui se fait fĂ©conder, je tends ma croupe pour l’offrir au mĂąle, je veux son jus reproducteur. Je sens son membre qui me comble, je sens sa semence qui me remplit.”

J’ai eu envie de l’embrasser. J’ai pris son menton dans ma main et j’ai collĂ© mes lĂšvres aux siennes. Elle a acceptĂ© mon baiser. J’ai forcĂ© sa bouche avec ma langue et nos salives se sont mĂ©langĂ©es. Je me suis mise sur le dos et je me suis glissĂ©e sous elle pour lui peloter les seins. La robe Ă©tait suffisamment lĂąche pour que j’arrive Ă  les sortir. J’ai relevĂ© la tĂȘte pour sucer et mordiller les tĂ©tons. Marie a appuyĂ© sur ma nuque, semblant me demander de la mordre plus fort.

J’ai continuĂ© de ramper plus bas jusqu’à me trouver juste en dessous de sa fourche. J’avais une vue imprenable sur sa chatte d’oĂč commençait Ă  Ă©merger le bulbe. Je me suis dressĂ©e sur mes coudes pour pouvoir atteindre son clitoris. Je l’ai branlĂ©e, tantĂŽt avec ma main, tantĂŽt avec ma langue. Ma position n’était pas confortable et je devais souvent changer de façon de la caresser. Mais malgrĂ© ces changements de rythme, je sentais que son plaisir venait. Il montait inexorablement. Les petits temps morts qui marquaient le remplacement de la main par la langue ou l’inverse ne faisaient pas retomber son excitation. Elle semblait attendre Ă©perdument la reprise. Pour ma part, je continuais inlassablement mon travail de sape.

Enfin, elle a jouit, sous ma langue. Je lui Ă©crasais son bouton avec mes lĂšvres et elle a pousser une sorte de long feulement qui allait en s’intensifiant. Elle a eu cette crispation caractĂ©ristique des cuisses qui cherchent Ă  se refermer. Le chien a dĂ» sentir le vagin se contracter sur sa bite. Parfois, un jet de sperme au fond de la matrice vient ajouter Ă  l’orgasme clitoridien.

Je suis restĂ©e en dessous d’elle pour assister au dĂ©nouement. Je voyais le bulbe progresser vers la sortie. On a l’impression qu’il enfle interminablement. Et soudain, la dĂ©livrance. Le sexe qui est expulsĂ© autant qu’il s’arrache, la cavitĂ© vaginale qui se vide du trop plein et la fente qui continue Ă  goutter.

Le chien s’est tout de suite Ă©loignĂ©, la bite encore raide. Je me suis dĂ©gagĂ©e rapidement. J’ai dit Ă  Rott de se coucher. J’ai pu prendre son sexe dans ma bouche et profiter du reste de sperme qu’il continuait Ă  Ă©mettre Ă  intervalles rĂ©guliers. Il suffisait de stimuler le petit orifice du bout de la langue, ou mĂȘme de suçoter l’embout pour faire sortir le nectar.

Marie s’était assise et me regardait faire. Je l’ai encouragĂ©e Ă  me rejoindre. Quand elle a Ă©tĂ© allongĂ©e prĂšs de moi, je l’ai embrassĂ©e. Puis, j’ai pesĂ© sur sa nuque pour la forcer Ă  rapprocher sa bouche de la bite du chien. Elle a commencĂ© par la titiller du bout de la langue.

“Suce la. Mets la dans ta bouche.”

Elle a entrouvert ses lĂšvres et a commencĂ© une fellation. Au fur et Ă  mesure, elle s’enhardissait et rentrait un morceau de plus en plus grand, jusqu’à ce qu’elle finisse par engloutir tout jusqu’au bulbe. Pendant qu’elle suçait le chien, je lui caressais les cheveux.

Nous avons ainsi jouĂ© toute la journĂ©e ensemble. Nous avons fait l’amour toutes les deux. Je savais que dĂ©sormais, Marie Ă©tait ma maĂźtresse et surtout celle de Rott, pour la vie. Quand on a goĂ»tĂ© et aimĂ© le sexe avec un chien, c’est sans retour.

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7 thoughts on â€œđŸ‡«đŸ‡· Marie”

    1. Das ist ein Probelauf, ob und wie gut Geschichten in weiteren Sprachen angenommen werden. Darum hatte ich mir ĂŒber die Tags noch keine Gedanken gemacht, zumal die ja in der entsprechenden Sprache sein mĂŒssten


      1. Lesen Sie Französisch? Oder haben Sie einen Übersetzer eingesetzt? Erscheint Ihnen die Übersetzung zufriedenstellend? (Diese Antwort stammt von Google Translate)

  1. Ich habe die Geschichte mithilfe des Google-Translators ins Deutsche ĂŒbersetzt und gelesen. Mir gefĂ€llt die Geschichte echt gut. Ich werde die deutsche Übersetzung bearbeiten, um die Fehler des Google-Translators zu verbessern. Zwar sind diese Übersetzungen deutlich besser als noch vor ein paar Jahren, aber immer noch nicht perfekt. So wird Jeanne zwischendurch auch mal zum Mann. 😉 Wenn ich fertig bin, liefere ich die Übersetzung an Claudia, um sie bei de.readbeast.blog zu veröffentlichen, wenn es FrĂ©dĂ©ric recht ist.
    Gruß Kuschel
    J’ai traduit l’histoire en allemand Ă  l’aide de Google Translator et je l’ai lue. J’aime beaucoup l’histoire. Je vais modifier la traduction allemande pour amĂ©liorer les erreurs commises par Google Translator. MĂȘme si ces traductions sont nettement meilleures qu’elles ne l’étaient il y a quelques annĂ©es, elles ne sont toujours pas parfaites. Alors Jeanne devient parfois un homme. 😉 Quand j’aurai fini, je remettrai la traduction Ă  Claudia pour qu’elle la publie sur de.readbeast.blog, si FrĂ©dĂ©ric est d’accord.
    Salutations Kuschel
    I translated the story into German using Google Translator and read it. I really like the story. I will edit the German translation to improve the mistakes made by Google Translator. Although these translations are significantly better than they were a few years ago, they are still not perfect. So Jeanne sometimes becomes a man. 😉 When I’m finished, I’ll deliver the translation to Claudia to publish on de.readbeast.blog, if FrĂ©dĂ©ric agrees.
    Greetings Kuschel

    1. I am eager to see my German friends read the story in their language and give me their opinion. Thank you so much for the time spent doing the job.
      Frédéric.

  2. Merci beaucoup pour cette histoire sordide. Je l’aime beaucoup et je l’ai dĂ©jĂ  lu plusieurs fois.

    Bisou
    Sybille

  3. Re-bonsoir Sybille,

    Plusieurs lectures, c’est autant d’orgasmes. Je rĂ©itĂšre ma proposition : j’aimerais beaucoup que nous en parlions en Ă©changeant des messages.

    Bisous aussi, tout plein,
    Frédéric.

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