Je m’appelle Odval. Je suis mongole. Je suis nĂ©e Ă cĂŽtĂ© de la petite ville de Tariat, Ă 650 kms Ă l’ouest d’Oulan-Bator. La Mongolie est un pays trĂšs vaste, de plus de 1.5 million de km2. Pour vous, français, cela reprĂ©sente Ă peu prĂšs trois fois votre pays. Dans cet espace vivent Ă peine trois millions de mongols, dont plus de la moitiĂ© se concentrent dans la capitale. Autant dire que le pays est une immense steppe quasiment dĂ©serte.
Tariat est un bourg plutĂŽt qu’une ville. Il y a Ă peine 5000 habitants. Quant Ă moi, je viens d’une famille de nomades. Nous vivons de nos troupeaux et de ce qu’ils produisent : laine, lait, peaux, viande pour l’essentiel.
Nous nous dĂ©plaçons rĂ©guliĂšrement, dĂ©mĂ©nageant nos yourtes pour nous installer Ă des dizaines de kilomĂštres. Ce sont nos chevaux qui portent nos biens, tentes, armatures, meubles, vaisselle, linge, couvertures, poĂȘles, bois, nourriture.
Depuis toute petite, j’ai appris Ă vivre dans cet environnement. J’y suis habituĂ©e et pour rien au monde je ne voudrais aller habiter dans une maison en ville.
J’adore ma libertĂ©, pouvoir prendre mon cheval et partir dans les vallons qui entourent notre campement. On se retrouve trĂšs vite seul.
Mon cheval est de couleur grise. C’est d’ailleurs comme cela que je le dĂ©signe : Gris. C’est un mĂąle. Les chevaux mongols sont petits, mais robustes et endurants. Ils peuvent parcourir de longues distances, mĂȘme au galop. Ce sont eux qui tirent nos yourtes lorsque nous dĂ©plaçons notre campement. Ils sont attelĂ©s Ă de lourdes charrettes. Nous utilisons ces charrettes aussi pour ramener du bois.
Il y a longtemps, je devais avoir 7 ou 8 ans, j’Ă©tais partie me promener avec Gris. Je chevauchais depuis deux bonnes heures quand j’ai eu envie de faire pipi. J’ai arrĂȘtĂ© mon cheval, j’ai mis pied Ă terre et je me suis accroupie. Chez nous c’est trĂšs naturel. Il n’est pas nĂ©cessaire de chercher un endroit oĂč se cacher. L’immensitĂ© des espaces vous garantit l’intimitĂ© de la solitude. Vous ĂȘtes Ă la vue de tous, mais en mĂȘme temps, s’il n’y a personne Ă l’horizon, vous ĂȘtes certain de ne pas pouvoir ĂȘtre dĂ©rangĂ© avant plusieurs dizaines de minutes. Par ailleurs, il est difficile de discerner votre activitĂ© Ă plusieurs lieues de distance.
Pendant que je faisais pipi, mon cheval Ă©tait libre. Il n’y a rien Ă quoi l’attacher et nous avons coutume de laisser le cheval brouter Ă sa guise. Il nous suffit de l’appeler pour qu’il revienne vers nous.
Mais cette fois, au lieu de s’Ă©loigner, Gris s’est approchĂ© de moi, par derriĂšre. Je percevais sa prĂ©sence sans le voir. J’avais presque fini et je m’apprĂȘtais Ă me relever quand j’ai senti ses naseaux sur mes fesses. Par rĂ©flexe, je me suis projetĂ©e vers l’avant en prenant appui sur mes mains. Le cheval se contenta d’allonger son encolure et me donna un grand coup de langue sur le derriĂšre. J’ai Ă©tĂ© dĂ©sĂ©quilibrĂ©e. Pour me stabiliser, je me suis posĂ©e sur mes genoux. Gris s’est mis Ă me lĂ©cher le sexe consciencieusement, passant sa langue partout.
J’ai trouvĂ© cela dĂ©licieux et je me suis laissĂ©e faire. Cela a durĂ© plusieurs minutes oĂč j’ai offert ma fente vierge aux caresses linguales.
Puis, j’ai remontĂ© ma culotte, laissĂ© ma robe retomber sur mes jambes et je me suis remise en selle. La chevauchĂ©e qui a suivi continuait Ă me stimuler l’entre-jambe. C’Ă©tait la premiĂšre fois de ma vie que j’Ă©prouvais un plaisir sexuel.
Par la suite, j’ai souvent renouvelĂ© cette expĂ©rience. Je n’y voyais aucun mal. Pourtant, instinctivement, je savais que je ne devais pas en parler. Et je ne le faisais qu’en Ă©tant sure d’ĂȘtre totalement isolĂ©e.
Plus tard, Ă l’Ăąge de 12 ans environ, j’ai remarquĂ© que Gris n’Ă©tait pas insensible non plus. C’Ă©tait visible.
Dans notre famille, nous sommes confrontĂ©s en permanence Ă la vie de nos bĂȘtes. En particulier, nous les voyons s’accoupler. Je savais la diffĂ©rence entre un Ă©talon et une jument et j’avais dĂ©jĂ vu mon propre cheval en Ă©rection. J’ai donc pu constater qu’il me percevait comme une femelle. J’en Ă©tais troublĂ©e.
Il faut dire que le sexe d’un cheval est impressionnant. MĂȘme si nos chevaux sont moins grands que les pur-sang arabes, leur verge une fois dĂ©ployĂ©e est de la taille d’un bras. Le cheval mongol ne mesurant pas plus de 1m30 au garrot, le bout de son sexe toucherait presque le sol s’il pendait Ă la verticale sous le poitrail.
J’Ă©tais fascinĂ©e par ce membre. D’une part par sa taille, mais aussi par sa vigueur. J’avais eu l’occasion d’assister Ă des saillies. Ce qui me perturbait, c’Ă©tait de voir disparaĂźtre la totalitĂ© de cette colonne de chair Ă l’intĂ©rieur de la jument. Et puis il y avait la puissance des mouvements de la croupe. La femelle, comparativement, semblait indiffĂ©rente, laissant le mĂąle la couvrir sans bouger, immobile sur ses quatre pattes. Elle supportait le poids de l’Ă©talon sur son dos, mais elle avait l’habitude de telles charges. Le spectacle Ă©tait mystĂ©rieux et fascinant Ă la fois.
Lors de mes pauses pipi, aprĂšs avoir laissĂ© Gris me nettoyer avec sa langue, j’avais pris l’habitude de me retourner pour regarder son sexe raide, dodelinant sous son ventre. Il m’arrivait de le toucher aussi bien sĂ»r. Je me tenais prĂšs du flanc, penchĂ©e en avant, la tĂȘte sous le poitrail. J’aimais l’empoigner pour Ă©prouver la duretĂ© de la chair, remplir ma paume sans pouvoir faire le tour de ce formidable cylindre.
Souvent, je me frottais entre les jambes avec l’embout. Le contact Ă©tait excitant, doux et dur Ă la fois. Petit Ă petit, j’ai appris Ă me donner du plaisir de cette façon. Je fermais les yeux et j’imaginais Gris s’enfoncer en moi, comme je le regardais faire avec les juments qu’on lui donnait Ă ensemencer.
L’envie de recevoir un sexe en moi s’est installĂ© dans mon esprit. Je me frottais de plus en plus vigoureusement, pressant ma vulve avec le gland. J’avais bien conscience de l’apparente impossibilitĂ© de pouvoir assouvir mon fantasme, mais rien n’y faisait, je persistais Ă vouloir percer mon hymen et faire entrer ce pĂ©nis. Dans mon idĂ©e, il fallait en passer par lĂ pour pouvoir un jour me faire saillir Ă mon tour. J’Ă©tais certaine que le plaisir qu’on pouvait en retirer Ă©tait sans commune mesure avec celui que j’avais en me caressant.
Je m’escrimais, tirant sur mes lĂšvres, poussant avec le nĆud sur l’entrĂ©e. Gris se laissait faire docilement. Il restait longtemps en Ă©rection. Peut-ĂȘtre que mes manipulations contribuaient Ă le stimuler.
J’ai finalement compris que je n’arriverais pas Ă grand chose sans une dĂ©cision lourde de consĂ©quence : j’ai dĂ©cidĂ© de me dĂ©florer avec mes doigts. Ce fut douloureux, mais en matiĂšre de sexe, la diffĂ©rence entre douleur et plaisir est cĂ©rĂ©bralement tĂ©nue, voire inexistante. D’ailleurs, cette premiĂšre fois s’accompagna de multiples manipulations et frottements avec ma hampe prĂ©fĂ©rĂ©e, ce qui eut l’avantage de nettement rĂ©duire la souffrance.
Par la suite, je me suis Ă©vertuĂ©e Ă Ă©largir l’entrĂ©e, avec mes doigts mais aussi avec toutes sortes d’ustensiles appropriĂ©s et surtout de carottes, qui est un des seuls lĂ©gumes qu’on trouve en Mongolie. Je faisais aussi rĂ©guliĂšrement des essais avec ma trique de prĂ©dilection. Je progressais, c’Ă©tait indĂ©niable, mais le chemin jusqu’au succĂšs Ă©tait encore long.
Je me demandais aussi comment j’allais pouvoir supporter le poids de Gris sur mon dos. Je n’avais certainement pas la rĂ©sistance d’une jument.
Un jour que j’Ă©tais partie chercher du bois avec l’attelage, je me suis arrĂȘtĂ©e au beau milieu de la steppe, dans un espace grandiose, avec de l’herbe rase Ă perte de vue Ă 360 degrĂ©s. J’ai dĂ©telĂ© mon cheval et j’ai redressĂ© la charrette sur ses bĂ©quilles pour la maintenir Ă l’horizontale. Je me suis penchĂ©e en avant, jambes raides et Ă©cartĂ©es, la culotte aux chevilles et la robe troussĂ©e jusqu’Ă la taille et j’ai laissĂ© Gris me faire minette. En tournant mon regard vers l’arriĂšre, j’ai vu que son sexe s’Ă©tait dĂ©ployĂ©. Je me suis dĂ©placĂ©e vers la charrette et je me suis appuyĂ©e Ă son tablier. Je comptais bien que Gris allait me rejoindre pour continuer son lustrage.
J’ai senti ses naseaux frotter ma raie. Gris s’est mis Ă hennir et Ă taper du sabot sur le sol. Puis, soudainement il s’est dressĂ© et il a posĂ© ses antĂ©rieures sur la charrette. Il me dominait. J’avais son poitrail juste au dessus de mon dos. Sa croupe Ă©tait derriĂšre moi et son sexe battait l’air tout prĂšs de mes cuisses. J’ai baissĂ© la tĂȘte Ă hauteur de mon ventre et je l’ai orientĂ©e vers l’arriĂšre pour situer le membre que je convoitais. J’ai rĂ©ussi Ă en attraper l’extrĂ©mitĂ© et Ă la malaxer pour accentuer sa rigiditĂ©.
En flĂ©chissant lĂ©gĂšrement les cuisses pour m’ouvrir un peu plus, j’ai fait une premiĂšre tentative pour me faire pĂ©nĂ©trer. J’ai surtout rĂ©ussi Ă amener le gland sur ma vulve. Gris a commencĂ© Ă donner des petits coups de rein, comme pour tĂąter le terrain. Mais il devait sentir une trop forte rĂ©sistance et il stoppa ses essais. Il se dĂ©gagea. J’Ă©tais déçue bien sĂ»r, mais en mĂȘme temps j’Ă©tais trĂšs heureuse d’avoir trouvĂ© comment procĂ©der pour ne pas avoir Ă porter la moitiĂ© de ses 300 kgs sur mon dos.
Dans les temps qui ont suivi, je me suis trĂšs souvent portĂ©e volontaire pour aller chercher du bois. Ă chaque fois je m’amĂ©liorais, tenant la position de plus en plus longtemps, maintenant le bout sur mon orifice. Gris lui aussi faisait des progrĂšs. Il s’habituait Ă notre manĂšge, comme s’il voulait lui aussi assouvir un rĂȘve. Il n’abandonnait plus aussi rapidement et faisait visiblement des efforts en poussant pour rentrer. Je sentais que ce qui avait semblĂ© si irrĂ©aliste au dĂ©but ne l’Ă©tait dĂ©jĂ plus, et que nous allions rĂ©ussir, tĂŽt ou tard.
J’aimais aussi beaucoup faire cela Ă l’air libre, sans gĂȘne. Le risque Ă©tait minime parce que je pouvais me dĂ©gager facilement et prendre une attitude normale au cas oĂč on nous aurait surpris. Je n’avais pas pensĂ© que Gris ne serait probablement pas en mesure de faire disparaĂźtre sa formidable Ă©rection aussi rapidement.
Je prenais tellement de plaisir, malgrĂ© ma frustration de ne pas pouvoir ĂȘtre pĂ©nĂ©trĂ©e, que je cherchais le contact avec Gris. Je voulais sentir son poil sur mon dos. Je me troussais plus largement que nĂ©cessaire, juste pour que sa robe touche ma peau nue. Gris aussi cherchait mon corps. Il passait son chanfrein sur mon cou et sa langue sur mes oreilles. Je sentais son souffle sur ma nuque.
Et puis, le grand jour arriva. J’Ă©tais solidement campĂ©e sur mes appuis, jambes Ă©cartĂ©es, bras tendus, les mains plaquĂ©es aux montants de la charrette, attendant que Gris me monte. Il s’est avancĂ© vers mes fesses, s’est cabrĂ© et m’a couverte de toute sa longueur avec ses sabots antĂ©rieurs posĂ©s sur le bois. Sans que je l’aide, il a cherchĂ© mon ouverture. Son sexe sondait entre mes cuisses. Il a fini par se trouver juste en face.
Par rĂ©flexe, Gris a donnĂ© un puissant coup vers l’avant. Mon vagin s’est ouvert sous l’impact et le phallus m’a investie d’un coup. Pour la premiĂšre fois de ma vie, j’Ă©tais pĂ©nĂ©trĂ©e. Formidablement, colossalement investie. La douleur fut Ă la mesure de la perforation. J’ai criĂ© sans pouvoir me retenir. Cela n’avait pas d’importance puisque personne ne pouvait m’entendre.
Gris ne s’est pas souciĂ© de ma douleur. Il a continuĂ© ses assauts, sans mĂ©nagement, me forçant comme s’il prenait une jument. Je me tenais comme je pouvais Ă la charrette. Les coups Ă©taient violents, de plus en plus profonds. Je m’ouvrais malgrĂ© moi Ă chaque nouvelle poussĂ©e et je criais. Je subissais le frottement quand le cheval reprenait de l’Ă©lan. Il continua Ă aller et venir dans mon fourreau Ă plusieurs reprises, me faisant gĂ©mir sans contrĂŽle, jusqu’Ă sa libĂ©ration.
Je ne m’y attendais pas. Je reçu soudain un flot de semence qui gicla au fond de mon trou, ressortant par les cĂŽtĂ©s tellement le jet Ă©tait puissant.
Je ne savais pas ce qu’Ă©tait une Ă©jaculation. J’avais vu des saillies, mais tout se faisait Ă l’intĂ©rieur et restait invisible. Je n’avais aucune idĂ©e de ce qui se passait en dedans. J’avais bien vu le membre ressortir avec ce qui semblait du jus qui s’Ă©gouttait. Mais je ne savais pas que ça giclait, que le vagin en Ă©tait inondĂ©. Cette dĂ©couverte m’a bouleversĂ©e. J’ai adorĂ© cette sensation d’ĂȘtre arrosĂ©e puissamment. Peut-ĂȘtre est-ce instinctif chez la femelle.
Gris s’est reculĂ© et m’a laissĂ©e vide. Pleine de liqueur, mais vide de chair.
Mes jambes m’ont lĂąchĂ©e. Je suis tombĂ©e Ă genoux dans l’herbe, mains au sol. Mon cĆur battait Ă toute allure. J’Ă©tais essoufflĂ©e, mes cuisses et mes bras tremblaient. En me penchant, j’ai regardĂ© mon sexe duquel un liquide rosĂ© s’Ă©coulait. C’Ă©tait un mĂ©lange de sperme et de sang. Les chairs Ă©taient violacĂ©es et boursouflĂ©es. J’ai placĂ© ma main entre mes cuisses. Les lĂšvres Ă©taient cuisantes. J’ai mouillĂ© mes doigts avec ma salive et j’ai commencĂ© Ă frotter le tour de ma vulve. J’ai continuĂ© Ă lubrifier mon index en l’enduisant de ce qui sortait de mon vagin. Mes caresses se sont progressivement intensifiĂ©es. Je passais de mon trou que je pĂ©nĂ©trais de plus en plus profondĂ©ment et de plus en plus largement Ă mon bouton que je pressais de plus en plus fort et de plus en plus vite. J’imaginais la bite du cheval qui me transperçait. J’ai tournĂ© mon regard vers Gris qui s’Ă©tait mis Ă brouter. Son sexe se rĂ©tractait dĂ©jĂ . J’ai fermĂ© les yeux et je l’ai imaginĂ© au dessus de moi, en moi tout entier, m’ensemençant, m’insĂ©minant. Et j’ai joui, avec une longue plainte qui n’en finissait pas.
J’ai regardĂ© autour de moi. La steppe Ă©tait dĂ©serte et silencieuse. J’ai repris mon souffle. Quand je me suis sentie assez forte, je me suis relevĂ©e. J’ai remontĂ© ma culotte, emprisonnant le foutre qui me souillait. J’Ă©tais contente d’ĂȘtre encore pleine de ce jus que je venais de dĂ©couvrir.
J’avais du mal Ă marcher. J’ai attelĂ© la charrette et je suis montĂ©e en selle. Le contact du cuir sur ma peau Ă©tait pĂ©nible tellement j’Ă©tais sensible de l’entre-jambe.
Ă petit trot, je suis revenue au campement. Ce n’est qu’en arrivant que je me suis aperçue que j’avais oubliĂ© de ramener du bois. On m’en fit le reproche mais je promis d’y retourner le lendemain.
Par la suite, j’ai pris l’habitude de me faire saillir par mon cheval. La douleur s’est progressivement estompĂ©e pour ne laisser place qu’au plaisir, de plus en plus fort. Depuis que j’avais expĂ©rimentĂ© l’Ă©jaculation, j’en raffolais. J’attendais ce moment avec beaucoup de dĂ©sir. J’ai appris Ă reconnaĂźtre les prĂ©misses de l’explosion, quand la sĂšve monte Ă la maniĂšre de la lave qui fait son chemin jusqu’au cratĂšre couronnant le volcan. Ă cet instant, le cheval s’immobilise, la queue donne l’estocade puis palpite en vous pendant que les bourses se dĂ©versent. L’animal donne encore quelques secousses pour bien dĂ©charger jusqu’Ă s’assĂ©cher les testicules. C’est l’apogĂ©e.
Le rituel Ă©tait bien Ă©tabli. Une longue chevauchĂ©e jusqu’Ă atteindre une plaine bien dĂ©gagĂ©e, suffisamment Ă©loignĂ©e du campement. Pendant cette phase mon dĂ©sir s’amplifiait. Quand j’estimais que nous Ă©tions suffisamment isolĂ©s, je mettais pied Ă terre. Je libĂ©rais Gris qui hennissait. Il savait pourquoi nous faisions halte. Je stabilisais la charrette et je me mettais en place. Le cheval venait derriĂšre moi et me prenait, toujours avec la mĂȘme ardeur, jusqu’au bouquet final. Puis, nous repartions dans l’autre sens, ramassant le bois promis sur notre chemin du retour.
Puis, j’ai eu envie que Gris me prenne comme une vraie jument. Je voulais sentir son poids sur mes Ă©paules. Jâavais aussi remarquĂ© quâil enserrait sa femelle avec ses antĂ©rieures. Jâai pensĂ© que sa prise serait plus puissante et sa pĂ©nĂ©tration plus profonde.
Cette fois lĂ , nous sommes partis sans charrette.
Nous avons avancĂ© au trot pendant plus dâune heure. Je ne voulais pas faire galoper Gris pour le fatiguer le moins possible. Je savais quâil serait plus frais que dâordinaire parce quâil nâavait pas eu Ă tirer lâattelage.
Quand jâai estimĂ© que nous Ă©tions suffisamment loin de toute civilisation, jâai mis pied Ă terre. Je ne savais pas si lâabsence de la charrette avait eu une incidence sur Gris. Peut-ĂȘtre n’Ă©tait-il pas disposĂ© Ă me saillir puisqu’il n’Ă©tait pas attelĂ©. Je me suis approchĂ©e de lui et, en passant la tĂȘte sous son poitrail, je lui ai massĂ© le fourreau jusquâĂ ce que je sente son sexe durcir. Il est sorti de sa gangue et a commencĂ© Ă sâallonger. Je lâai masturbĂ© doucement Ă deux mains pour affermir la rigiditĂ© naissante.
Je me suis placĂ©e devant lui, toute nue. Je prenais un risque en me dĂ©nudant totalement mais jâavais vraiment envie de le sentir sur tout mon corps. Je me suis courbĂ©e et jâai Ă©cartĂ© mes fesses. JâĂ©tais dĂ©jĂ trempĂ©e. Gris a approchĂ© ses naseaux de ma raie et sâest mis Ă me lĂ©cher toute la fente, de mon clitoris Ă mon anus. Sa longue langue pĂ©nĂ©trait loin dans mon vagin tellement jâĂ©tais offerte.
Le moment est venu oĂč il a voulu me monter. JâĂ©tais trĂšs anxieuse parce que je ne savais pas si je pourrais supporter son poids. Il a piĂ©tinĂ© sur place pour se placer au bon endroit, puis il sâest dressĂ©, amenant ses antĂ©rieures sur mon dos. Jâai senti ses sabots au niveau de mes omoplates. Il a laissĂ© glisser ses pattes le long de mes hanches jusquâĂ ce que son poitrail repose tout entier sur ma colonne. La charge Ă©tait phĂ©nomĂ©nale. Jâeus un profond soupir, comme si mes poumons se vidaient. Je dus mâarc-bouter sur mes cuisses, avec les mains posĂ©es sur mes genoux. Mes bras entouraient les pattes du cheval qui enserraient ma taille. Je tĂąchais de garder mes jambes tendues pour ne pas mâaffaisser. Je me suis agrippĂ©e aux jarrets pour ne pas basculer au moment du premier impact.
Gris chercha lâentrĂ©e. Son sexe pointait vers ma vulve. Le membre dodelinait, effleurant lâintĂ©rieur de mes cuisses. Je me cambrais pour mâoffrir au mieux, orientant mon trou vers le mandrin.
AprĂšs plusieurs tentatives infructueuses, Gris arriva Ă placer son gland pile dans lâaxe. Il le sentit, dâinstinct. Il poussa dâun coup pour entrer en moi, Ă©crasant mes flancs avec ses pattes. Il me pĂ©nĂ©tra comme jamais il ne lâavait fait jusque lĂ . Parce quâil me maintenait, la force de son coup de rein fut dĂ©cuplĂ©e. Il sâenfonça trĂšs loin, forçant mes chairs Ă sâĂ©tirer sous la puissance de lâassaut. Il repoussa mon utĂ©rus au fond de mes entrailles. Je le sentais me remplir totalement. Jâavais un bras tout entier dans le vagin, avec un poing qui buttait au bout de ma matrice.
Jâeus un cri dĂ©mentiel, qui dĂ» sâentendre de trĂšs loin. Mais je ne fis pas un geste pour me dĂ©gager. Au contraire, jâattendais la suite, les percussions qui allaient inĂ©vitablement succĂ©der. Le cheval mâĂ©treignait et me prenait de toute sa force. Moi, je le recevais de toute mon Ăąme. Je voulais quâil me possĂšde, quâil me fĂ©conde. Et il Ă©tait en train de me combler au-delĂ de tout ce que jâavais souhaitĂ©.
Gris me tenait entre ses sabots. Je savais que jâaurais ses marques dans ma chair, au niveau de mes hanches parce quâil comprimait mes flancs pour assurer sa prise, et puis sur mon dos parce quâil lâavait piĂ©tinĂ© au moment oĂč il mâavait chevauchĂ©e. GrĂące Ă cet appui, il pouvait mettre toute son Ă©nergie pour me baiser Ă fond, comme il lâaurait fait avec une vraie jument.
Son mouvement n’Ă©tait pas un va-et-vient. Il avait un temps d’arrĂȘt pour prendre son Ă©lan avant de lancer sa croupe en avant. La sensation Ă©tait irrĂ©sistible. Une douleur intolĂ©rable mais source dâun plaisir irrĂ©pressible. Et puis il reprenait : une pause suivie d’un formidable impact. Je hurlais Ă chaque poussĂ©e, tellement la pĂ©nĂ©tration qui en rĂ©sultait Ă©tait profonde.
Dâun cĂŽtĂ©, je voulais le sentir Ă©jaculer. De lâautre, je voulais que les coups continuent, quâil me ramone mon trou avec toute la longueur de son sexe, en force, en profondeur. Je voulais ĂȘtre extensible pour lui permettre de rentrer encore plus loin. Jâaurais voulu sentir ses couilles buter sur mon cul, bien que cela aurait semblĂ© tellement improbable.
Et il me défonçait, sans retenue.
MalgrĂ© cette violence, Gris Ă©tait cĂąlin. Il posait sa tĂȘte sur mon Ă©paule, frottant sa joue sur la mienne. La douceur de son poil sur mon visage, la brutalitĂ© de ses perforations, jâadorais cela.
Cette saillie dura plus longtemps que dâhabitude, comme si Gris savourait, comme moi, de me prendre totalement. Câest un peu comme sâil faisait durer le plaisir, se retenant de se vider, de mâensemencer.
Je rĂ©sistais. Mes jambes rĂ©sistaient. Mon dos rĂ©sistait. Mon ventre rĂ©sistait. RĂ©guliĂšrement la pression dans mon vagin sâattĂ©nuait et je savais que le coup suivant se prĂ©parait. Cela arrivait Ă chaque fois que le cheval stoppait sa poussĂ©e pour concentrer son Ă©nergie et donner une nouvelle impulsion. La percussion Ă©tait destinĂ©e Ă propulser le membre le plus loin possible, plus profondĂ©ment Ă chaque fois. MalgrĂ© les chocs, nos joues restaient soudĂ©es lâune Ă lâautre. Gris soufflait dans mon cou. Et moi, je gĂ©missais de plaisir et de souffrance.
Je sentais le pieu dans mon ventre qui se rĂ©tractait lĂ©gĂšrement avant de se gorger Ă nouveau de sang pour mâempaler jusquâĂ la garde. Le mouvement recommençait inexorablement, comme sâil ne devait jamais cesser. Mon vagin Ă©tait un cylindre dans lequel un piston se mouvait, animĂ© par une Ă©nergie fantastique, surhumaine. Je mâouvrais Ă la limite du dĂ©chirement, jâabsorbais cette queue monstrueuse jusquâau trĂ©fonds de mon sexe.
Gris prit son Ă©lan avant de plonger encore plus loin, cette fois pour inonder ma matrice de sa crĂšme. Le geyser gicla en plein sur mon utĂ©rus et dĂ©clencha mon orgasme. Mon vagin se contracta spasmodiquement sur la verge qui continuait Ă me perforer et Ă mâimprĂ©gner. Je rĂąlais de jouissance sans discontinuer, tout le temps que Gris se vidait en moi.
Une fois assouvi, il voulut se retirer. Il prit appui sur ses pattes arriĂšres, desserra son Ă©tau autour de ma taille, posa ses sabots sur mon dos pour se donner un appui et recula dâun pas pour se dĂ©gager.
Son sexe sortit de mon vagin, expulsant un flot de liqueur.
Je me suis assise, lentement. Je nâavais plus assez de force pour rester debout. En plus, jâavais mal partout. Mes hanches Ă©taient marquĂ©es par lâĂ©treinte. Mon dos devait aussi porter les stigmates du piĂ©tinement. Et surtout, mon sexe Ă©tait enflĂ©, violacĂ©, dĂ©goulinant. Bien quâil soit terriblement meurtri aprĂšs ce quâil venait de subir, je me suis mise Ă le caresser. Je voulais encore jouir. Je voulais aussi goĂ»ter le nectar que Gris venait de mâinoculer.
Mon vagin Ă©tait tellement distendu que je parvins sans peine Ă mettre ma main toute entiĂšre Ă lâintĂ©rieur. Je voulais rĂ©cupĂ©rer la semence la plus profondĂ©ment enfouie pour mâen repaĂźtre. Je procĂ©dais Ă un vĂ©ritable curetage vaginal.
Je me suis masturbĂ©e, les fesses dans lâherbe, Ă cĂŽtĂ© de mon cheval qui se dĂ©sintĂ©ressait de moi et qui sâĂ©tait mis Ă brouter. Jâai pris un plaisir inouĂŻ Ă me branler en me remĂ©morant cette saillie inoubliable.
Puis, je me suis rhabillée, remise en selle et nous sommes rentrés au campement.
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