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đŸ‡«đŸ‡· Coralie

4.8
(8)

Partie 1

Cela faisait 10 ans maintenant que je n’étais pas revenue voir ma famille. Mes Ă©tudes supĂ©rieures m’avaient Ă©loignĂ©s d’eux et je me faisais une grande joie de les revoir. Depuis que j’avais quittĂ© cette autoroute et que je roulais vers le village ,je regardais le paysage dĂ©filĂ© et les pensĂ©es commençaient Ă  me revenir en mĂ©moire
.. Je me revoyais 10 ans auparavant arriver devant cette ferme tomber dans les bras de mon oncle et de ma tante Alice et de doux et merveilleux souvenirs m’envahir l’esprit.. N’était ce pas lĂ  et avec elle ,que j’avais dĂ©couvert l’amour 
..

« « « J’allais enfin partir en vacances
.j espĂ©rais bien que pendant ce sĂ©jour chez ma tante te mon oncle que je pourrais tout oublier 
.. ma premiĂšre dĂ©ception amoureuse , ma premiĂšre dĂ©pression nerveuse , mes mauvais rĂ©sultats scolaires rĂ©sultats des deux premiĂšres rĂ©unies, la ville , la pollution, « tout ,tout, tout ce qui avait fait de la belle adolescente de 17 ans , pleine de « vie ,riante ,capricieuse comme toutes les jeunes filles de son Ăąge, une petite « fille pĂąlichonne , triste et qui n’arrĂȘtait plus de pleurer Maman venait d’avoir son frĂšre et ma tante Arlette au tĂ©lĂ©phone et il Ă©tait d’accord pour que je vienne passer toutes les vacances d’étĂ© avec eux, dans le village oĂč j’étais nĂ©e.

Je savais que maman Ă©tait triste de me laisser pendant deux moi seule, mais je pense que cet Ă©loignement ne pouvait nous faire que du bien Ă  toutes les deux Maman Ă©tait divorcĂ© depuis huit ans maintenant et n’avait jamais voulu se remarier. Elle tenait avec moi le rĂŽle de pĂšre et de mĂšre ,et comme dans toutes les familles ,il y avait ce conflit de gĂ©nĂ©ration qui faisait qu’en permanence nous n’étions d’accord sur rien et nous vivions depuis quelque temps une vie assez tendue entre nous deux . De plus j’étais heureuse de revoir ma famille et tous les petits copains qua j’avais eu Ă  l’école primaire. Je n’avais qu’un vague souvenir de ma famille , je venais juste d’avoir huit ans quand nous somme parties maman et moi. Je me rappelle que mon oncle ressemblait beaucoup Ă  maman, alors ! par contre je revois bien ma tante Alice avec ses grands cheveux dorĂ©s et ses yeux bleus . elle Ă©tait vraiment trĂšs belle, et j’espĂ©rais la retrouver comme telle. J’ai toujours eu envie de lui ressembler , je voulais en grandissant avoir le mĂȘme corps qu’elle , les cheveux et les yeux comme elle’ ,moi qui Ă©tait complĂštement le contraire 
brune et yeux noirs. Cette fois le grand jour Ă©tait enfin arrivĂ© , les valises Ă©taient prĂȘtes et demain nous serons dans ma famille en vacances . Deux mois!!deux mois Ă  ne penser Ă  plus rien ,sauf Ă  mon plaisir

Ils Ă©taient lĂ  tous les trois Ă  nous attendre devant le portail de leur maison Le premier Ă  venir nous saluer Ă  Ă©tĂ© le chien. Il Ă©tait vraiment trĂšs beau, et je ne suis pas sĂ»r ,mais il me semble bien que c’était un beauceron 
il Ă©tait vraiment impressionnant. Il n’arrĂȘtait pas de nous faire des fĂȘtes et de nous tourner autour en nous fouettant avec sa queue. -Hercule ! assez , assis !laisse les rentrer ,tu as tout le temps de t’amuser avec elle, maintenant laisse moi les embrasser. Mon oncle avait Ă©tĂ© obligĂ© de calmer le chien tant il Ă©tait tout fou autour de nous. Et en me tendant les bras 
. -Bonjour Caroline !! , comment vas tu ?
.regarde Alice comme elle belle ! quand tu es partie du village, tu Ă©tais toute malingre et tu nous reviens en vraie jeune fille ,bravo ma sƓur, tu as fait une trĂšs belle fille Je devais certainement ĂȘtre rouge de confusion avec tous les compliments qu’il me faisait, mais je ne l’écoutais pas 
.je n’avais des yeux que pour ma tante qui Ă©tait encore plus belle qu’avant. Depuis toute petite ,j’avais toujours Ă©tĂ© attirĂ©e par elle , par cette beautĂ© qu’elle dĂ©gageait et encore plus aujourd’hui, quand elle m’a prise entre ses bras et que j’ai senti son souffle et ses lĂšvres contre ma joue -Bonjour ! c’est vrai ce que dit ton oncle !!!! tu es vraiment resplendissante 
.un vraie jeune fille .Dis donc ! tu n’as pas fini de faire tourner la tĂȘte de tes anciens petits copains , mĂȘme la tĂȘte des autres tu sais. Regarde !!!!mĂȘme Hercule tu lui fais tourner la tĂȘte , il n’arrĂȘte pas de faire le fou Je ne sais pas si elle l’ a fait exprĂšs ou non mais quand elle m’a embrassĂ© , j’ai senti ses lĂšvres se poser pratiquement sur les miennes . C’était quasiment un baiser qu’elle venait de me donner et de sentir la fraĂźcheur de sa bouche contre la mienne , je n’ai pu refouler ,ni cette sensation de chaleur qui commençait Ă  se dĂ©clencher en moi ,ni les frissons qui venaient de recouvrir mon corps .Elle m’avait bien senti trembler contre elle , -Tu as froid ! c’est sĂ»rement le voyage , la fatigue
.allez rentrons , nous serons mieux Ă  la maison pour discuter 
ça va tu te sens mieux. – Oui ! merci tante Alice , tu as raison, c’est sĂ»rement le voyage.

-Appelle moi Alice !!!! tante ça fait vieille . D’accord -Oui Alice

Le dimanche s’est dĂ©roulĂ© dans une trĂšs bonne ambiance. Maman Ă©tait heureuse de revoir son frĂšre et de reparler du bon vieux temps ,Hercule Ă©tait allongĂ© sur le tapis du salon au pieds de ma tante et moi j’étais assise en face d’elle en essayant de capter son regard , mais je crois bien que je m’étais faite des illusions en ce qui concernait le baiser d’hier
 elle ne l’avait certainement pas fait exprĂšs , et c’est certainement mon cĂŽtĂ© d’ado un peu lubrique m’avait fait croire que 
. Toute la journĂ©e je n’ai cessĂ© de penser qu’à ce moment oĂč elle m’avait embrassĂ© en me disant bonjour et mon cƓur de jeune fille qui aprĂšs avoir Ă©tĂ© complĂštement vidĂ© par cette dĂ©ception amoureuse , recommençait Ă  se remplir d’amour pour elle . je devenais complĂštement folle !!!!Je devenais amoureuse de ma tante Dans ces regards que je lui envoyais , je voulais qu’elle comprenne ,,je voulais qu’elle me parle , qu’elle me reprenne dans ses bras ,je voulais sentir son corps contre moi. -Tu viens avec moi Coralie
.. on va les laisser ensemble tous les deux ,ils ont tellement de chose Ă  se dire .Je vais te faire voir ta chambre et te faire visiter le reste de ton nouveau chez toi.

Elle avait enfin compris ,et main dans la main , accompagnĂ© d’Hercule qui ne quittait jamais sa maĂźtresse, elle m’emmena voir ma chambre J’étais aux anges , je sentais les battements de nos deux cƓurs entre nos doigts et je ne sais pas Ă  combien battait le sien mais le mien rĂ©sonnait comme un tamtam contre ma poitrine , trĂšs fort,,, Il battait si fort que j’avais la sensation qu’il allait sortir de ma poitrine. -VoilĂ  ta chambre 
 ! elle te plait.. ?elle est juste Ă  cĂŽtĂ© de la notre ,comme ça tu n’auras pas peur d’ĂȘtre seule . En plus Hercule dors toujours devant la porte de ma chambre ,comme ça tu seras plus tranquille .Alors elle te plait ? -Merci Alice , mille fois merci !!!.si tu savais le bonheur que vous me donner tous les deux 
.et toi ,si tu savais
.Dis moi pour tout Ă  l’heure ????. -Chut
.Ne dis rien , je sais que je n’aurais pas du. Qu’est ce que tu vas penser de moi maintenant -Rien ! bien au contraire
.Alors ,c’est vrai ! hier ,je, ne me suis pas trompĂ©e
,’c’est bien un baiser que tu m’as donnĂ© ! Pourquoi ! -Je ne sais pas ! ta jeunesse, ta beautĂ©, toi
J’ai fait sĂ»rement une bĂȘtise et maintenant c’est trop tard pour le regretter. -Non ! j’ai beaucoup apprĂ©ciĂ© tu sais .Je ne sais pas si c’est bien ,mais je me sens bien avec toi. Tu crois que c’est mal ! -Il ne faut pas qu’on aille plus loin ,je n’ai pas le droit ,tu es ma niĂšce ,enfin celle de ton oncle et tu es beaucoup trop jeune. Surtout , je ne veux pas te faire du mal, je ne veux pas que tu souffre aprĂšs
tu me comprends ???? J’ai cru mourir quand elle m’a dit ça. J’avais la gorge pleine de sanglots et les yeux remplis de larmes . -Pourquoi ? -ArrĂȘte , je t’en prie ! arrĂȘte de pleurer
.il faut que tu me comprennes !!!oh et puis zut !!!!on verra bien Et cette fois, c’est moi qui lui ai dĂ©posĂ© un baiser furtif sur la bouche. -Merci 
.je crois bien que je suis amoureuse de toi. -Tu es folle, mais çà me fait plaisir
. regarde Hercule comme il nous regarde toutes les deux ,tu vois comme il t’a adoptĂ©, il aime toutes les personnes que j’aime et qui m’aiment -C’est toi qu’il regarde surtout
..il te mange des yeux ! il me donne mĂȘme l’impression d’ĂȘtre comme moi
.il est amoureux de toi Cette fois ,c’est moi qui l’ai senti tremblĂ©e contre moi ,Ă  peine perceptible , mais un tremblement quand mĂȘme que j’ai ressenti jusque dans sa voix. -Oui, c’est vrai ! nous sommes complĂštement indissociable tous les deux, mais tu verras ,Ă  force de te voir et si tu t’en occupes bien il fera avec toi comme avec moi -C’est vrai !!!!en plus j’adore les chiens ,on va pouvoir faire des grandes ballades tous les deux . si tu as le temps ,tu viendras avec nous !!!!! -Bien sur ma chĂ©rie ,je serais trĂšs heureuse de venir avec toi 
..avec vous
 allez !on continue la visite . « tu vois ma chambre est juste Ă  cĂŽtĂ© de la tienne .Comment tu la trouves ? –TrĂšs belle , j’espĂšre que vous ne faites pas trop de bruit avec l’oncle !!!!!!!et que vous me laisserez dormir tranquille MĂȘme Ă  son Ăąge ,elle ne put empĂȘcher de rougir -Que tu es bĂȘte
.nous sommes des vieux maintenant tous les deux ,et comme il est souvent absent ,, tu vois on ne risque pas de te rĂ©veiller. Et puis
. -Je t’ai fait de la peine ! excuse moi, je ne voulais pas te froisser .. -Ce n’est pas grave , mais je ne voudrais bien qu’entre nous , le nom de ton oncle ne soit pas prononcĂ© , D’accord ! -Oui , je suis d’accord et encore une fois je te demande pardon -Bon ,la c’est mon bureau ,et il y a mĂȘme internet. Tu peux si tu as envie ,te connecter avec tes amies .Je te donnerais mon code ,comme ça tu es sure de ne pas aller sur les dossiers de ton oncle . -Dis ! je pourrais venir dormir avec toi dans ton lit, quand mon oncle ne sera pas lĂ  ? -On verra !Allez , viens on redescend maintenant , ils vont se demander oĂč nous sommes passĂ©es toutes les deux et qu’est ce que nous pouvons bien faire ensemble . Avant de ressortir de son bureau , elle me prit encore une fois entre ses bras et en me serrant trĂšs fort contre elle ,posĂąt de nouveau sa bouche contre la mienne en prenant bien soin d’ouvrir mes lĂšvres avec sa langue pour aspirer la mienne avec voluptĂ© . Je n’avais jamais Ă©tĂ© embrassĂ©e de la sorte, mĂȘme avec mon ex copain, ce n’était que petits baisers furtifs ,mais alors lĂ  , j’étais complĂštement sur un nuage . -Attends je vais me changer et je vous rejoins J’étais lĂ  devant la glace de la salle de bains ,aprĂšs me recoiffer et entrain de penser tout ce qui venait de m’arriver en si peu de temps. En une demie heure je venais de reprendre goĂ»t Ă  la vie , avais oubliĂ© tous mes petits soucis, avais oubliĂ© mon ex comme s’il n’avait jamais existĂ© et j’étais de nouveau amoureuse .Amoureuse de ma tante , je savais que ce n’était pas normal, mais je m’en foutais royalement. Je voulais vivre çà, je voulais qu’on m’aime pour ce que j’étais , pour moi et je savais, je sentais que ma tante allait me donner cet amour et peut ĂȘtre plus encore . Je n’avais que 17 ans et je voulais tout prendre ce qu’elle me donnerait et accepterais tout ce qu’elle me demanderait . Maman et mon oncle Ă©tait toujours dans leurs souvenirs, Alice avait repris la place qu’elle avait tout Ă  l’heure avec Hercule toujours allongĂ© Ă  ses pieds -Alors ma chĂ©rie 
..Ă  ce qui paraĂźt ,ta chambre est belle !Arlette vient de nous dire que tu avais beaucoup aimĂ©!! je suis certaine que tu vas te plaire ici. Ton oncle me propose de venir vous rejoindre Ă  la fin du mois. Je suis contente ,car deux mois sans te voir vont me paraĂźtre une Ă©ternitĂ© -Ne t’en fait pas maman, tout va bien se passer, tante Arlette est adorable avec moi , En disant çà , je fixais ma tante droit dans les yeux pour qu ‘elle comprenne exactement ce que je ressentais en ce moment -Je sais trĂ©sor, tu verras , nous nous entendrons bien toute les deux . Au fait , demain matin nous ne serons pas lĂ  ton oncle et moi. Lui il part en dĂ©placement pour pratiquement toute la semaine et par la mĂȘme occasion il dĂ©posera ta maman chez elle ,,et moi j’ai des choses Ă  rĂ©gler en ville . Je ne sais pas Ă  quelle heure je rentrerais ,mais ne te fais pas de souci, je serais de retour dans la journĂ©e ,et de toute façon tu n’es pas seule, Hercule reste avec toi. AprĂšs nous avons toute le semaine devant nous . Nous serons toutes seules et crois moi , on aura bien assez de quoi nous occuper toutes les deux 
. De nouveau mon cƓur recommençait Ă  battre la chamade contre ma poitrine 
., elle venait de faire comprendre que nous allons ĂȘtre toutes les deux pendant toute la semaine et que

.. Vivement demain que tout le monde soit partie et que je sois seule avec ma tante
.. La nuit allait ĂȘtre encore longue jusqu’à demain



DĂ©jĂ  10 heures du matin ! Mon dieu quelle tĂȘte ! Toute la nuit , j’ai tournĂ© virĂ© dans ce lit Ă  chercher le sommeil. Je n’avais fait que penser Ă  elle ,Ă  ce qu’elle m’avait dit hier aprĂšs midi , Ă  cette situation oĂč nous mettions elle et moi. Je l’aimais et je voulais qu’elle m’aime. Je voulais qu’elle me fasse dĂ©couvrir l’amour , tout ce que je ne connaissais pas et que j’avais envie de connaĂźtre maintenant. Je savais que ce que nous allions faire Ă©taient illĂ©gal et contre nature , mais la perversitĂ© qui commençait Ă  s’installer en moi faisait que je ne pouvais pas me rĂ©soudre Ă  abandonner cette idĂ©e. Qu’est ce qui m’avait prise de m’amouracher d’elle, je savais que cela nous amĂšnerait Ă  rien et que je serais encore plus malheureuse qu’en arrivant , mais c’était plus fort que moi je voulais vivre cette expĂ©rience, vivre cet interdit Je n’ai fait que penser Ă  çà une bonne partie de la nuit et l’autre partie de me caresser Ă  entendre ma tante gĂ©mir pendant que mon oncle lui faisait l’amour . Pourtant elle m’avait bien dit hier aprĂšs midi , « « que soit disant ils Ă©taient trop vieux pour faire ces choses lĂ  » » et pourtant elle s’en donnait Ă  cƓur joie et ne faisait rien pour que je l’entende pas . Elle savait que j’étais Ă  cĂŽtĂ© et que j’entendais ses gĂ©missements et je ne sais pas si elle faisait exprĂšs de faire tout ce tapage pour m’exciter , mais si c’était le cas et bien elle avait rĂ©ussi Pendant tout le temps de leurs Ă©bats je n’ai cessĂ© de me caresser tellement j’étais excitĂ©e et malgrĂ© la jalousie que je ressentais envers mon oncle de ne pas ĂȘtre Ă  sa place, je l’imaginais sous lui, les cuisses largement ouvertes pendant qu’il la clouait avec son sexe et quand j’ai entendu le feulement qui montait de sa gorge et le cri de jouissance sortir de sa bouche, j’ai du me mordre les lĂšvres jusqu’au sang pour qu’elle ne m’entende jouir en mĂȘme temps qu’elle . Dans l’état d’excitation oĂč j’étais ,je n’ai du rĂ©ussir Ă  m’endormir que vers 5 heures ce matin aprĂšs avoir entendu maman et mon oncle partir, d’ou la tĂȘte que j’avais Alice m’avait laissĂ© un mot sur la table. « Bonjour trĂ©sor, j’espĂšre que tu as passĂ© une bonne nuit ,moi je n’ai pas trop bien dormi et j’ai beaucoup pensĂ© Ă  nous
tu trouveras tout ce que tu as besoin pour dĂ©jeuner dans le placard. Surtout n’oublie pas de faire sortir Hercule pour qu’il puisse faire ses besoins 
.je t’embrasse. Ne m’attends par pour dĂ©jeuner ,je ne sais Ă  quelle heure je rentrerais . Je te donne mon code pour le pc , si tu veux Ă©crire Ă  tes amis .Gros bisous , je t’aime. Quelle garce !!!voilĂ  qu’elle faisait de l’ironie maintenant. Elle avait mal dormi et avait pensĂ© Ă  moi .Bien sur !!: sĂ»rement quand elle Ă©tait en train de jouir sous mon oncle. Je la dĂ©teste !!! Hercule tournait entre mes jambes 
.il avait envie de sortir. -Allez oust toi !!!dehors , va te promener , je laisse la porte ouverte comme ça tu fais comme tu as l’habitude de faire. Le pauvre ,il n’y Ă©tait pour rien et j’étais aprĂšs me venger sur lui alors que c’était elle la fautive de ma mauvaise humeur et pour me faire pardonner je me suis penchĂ©e vers lui pour lui faire un petit cĂąlin .Par ce fait , je me suis retrouvĂ©e avec ma chemise de nuit trop courte au dessus des reins , son museau contre ma culotte, et sa truffe qui me reniflait ,coller entre les cuisses et j’avais beau gigoter pour essayer de le repousser, lui avec la force qu’il avait et sĂ»rement Ă  cause des mouvements que je faisais en me dĂ©battant, Ă©tait arrivĂ© Ă  infiltrer sa truffe entre ma culotte et mon sexe. Je me trouvais dans une position complĂštement grotesque d’oĂč je ne savais plus s’il fallait ne plus bouger pour ne pas qu’il aille plus loin avec son museau ou s’il fallait que je me laisse aller car la sensation que j’éprouvais en ce moment, au contact de sa truffe froide contre la tiĂ©deur de mon sexe, Ă©tait Ă  la limite de me faire dĂ©faillir tellement c’était bon. -Non ! Hercule arrĂȘte ,laisse moi tranquille !!! Il Ă©tait temps que je rĂ©alise que j’étais en train de faire une chose qui est impossible entre un humain et une bĂȘte et malgrĂ© le plaisir qui commençait Ă  naĂźtre ne moi,,cette fois c’était trop, je ne pouvais aller plus loin . Je me suis Ă©cartĂ©e de lui avec beaucoup de regrets je dois bien l’avouer, avec dans le ventre ,la mĂȘme sensation que j’avais Ă©prouver lors de mon premier et dernier rapport sexuel avec mon ex petit ami. Je n’avais pas rĂ©ussi Ă  jouir et aujourd’hui , c’est exactement la mĂȘme chose qui m’arrivait .J’étais frustrĂ©e !,voilĂ  ce je ressentais en ce moment Il Ă©tait temps que je me relĂšve , sinon , c’est avec la truffe du chien entre mes cuisses qu’Alice nous aurait surpris tous les deux. Je venais juste de repousser le chien et remis de l’ordre dans mes vĂȘtements quand ma tante est arrivĂ©e, et aux yeux rieurs qu’elle avait ,,je voyais bien qu’elle se doutait ,que quelque chose s’était passĂ©e entre le chien et moi -Bonjour trĂ©sor, alors je vois que vos avez commencĂ© Ă  faire connaissance tous les deux 
.il n’a pas Ă©tĂ© trop embĂȘtant avec toi j’espĂšre ,car je le connais 
.aussitĂŽt qu’il y a des gens Ă  la maison, il faut qu’il fasse l’intĂ©ressant. -Non , je t’assure 
.il a Ă©tĂ© trĂšs sage
.mais en lui disant ça je sentais mes joues rougir de honte .Non, non ! je t’assure qu’il ne m’a pas ennuyé . enfin ,si un petit peu mais ce n’est pas grave. – -Tu es sure ? Il ne t’a pas fait de mal au moins -Non je t’assure voilĂ  ! je me suis penchĂ©e vers lui pour le caresser et je ne sais pas ce qui c’est passĂ©. J’avais ma chemise de nuit un peu trop relevĂ©e sur le haut de mes cuisses et le temps que je rĂ©agisse et que je prenne une autre position , ,il avait collĂ© son museau contre ma culotte . Et moi que veux tu que je fasse ! J’avais peur de sa rĂ©action. J’avais beau essayer de le repousser avec mes mains et Ă  force de gigoter et bien il a rĂ©ussi Ă  passer sa truffe entre ma culotte et mon sexe. Quelle honte ,je t’assure, mais j’ai quand mĂȘme rĂ©ussi Ă  me relever .Mais ne le gronde pas , il n’y est pour rien, j’avais qu’à faire attention et Ă  m’habiller correctement. Je n’osais plus la regarder en face et il fallait que je trouve une sortie ,sinon je suis sure qu’elle aurait rĂ©ussi Ă  me faire dire ce qui s Ă©tait passĂ© avec le chien, je me demande bien ce qu’elle aurait pensĂ© de moi. -Excuse moi, je monte prendre ma douche 
..Ă  tout de suite. J’étais dans la douche , en train de me dĂ©shabiller , quand la porte c’est ouverte pour laisser passer Alice complĂštement nue .Elle Ă©tait d’une beautĂ© affolante -Tu veux bien que je prenne une douche avec toi ? Il m’était impossible de lui rĂ©pondre ,tant mes yeux Ă©taient hypnotisĂ©s par son corps et j’avais beau essayer de la regarder , je ne pouvais pas dĂ©tacher mon regard de ses seins et de son ventre . -Alice !mon dieu comme tu es belle !!! prends moi dans tes bras je t’en prie je suis tellement malheureuse . Hier , tu m’avais dit que toi et ton mari vous Ă©tiez trop vieux 
..et cette nuit
.j’ai tout entendu
. -Oui je sais ,je n’aurais pas du , ou j’aurais du attendre que tu t’endormes . mais j’avais envie de faire l’amour ,j’étais trĂšs excitĂ©e aprĂšs nos Ă©changes d’hier et je voulais oublier cette folie qui Ă©tait en train de s’emparer de moi .Je voulais t’oublier mais hĂ©las je ne l’ai pu . Je n’ai pas pu m’empĂȘcher de penser Ă  toi et ce n’est pas lui qui m’ a fait jouir ! c’est ton image , ton corps ,l’envie de t’avoir contre moi qui m’a fait hurler de plaisir. -Moi aussi , je me suis caressĂ©e aux rythmes de tes gĂ©missements et j’ ai attendu que tu jouisses pour jouir avec toi .Regarde mes lĂšvres dans l’état oĂč elles sont Ă  force de les avoir mordues pour ne pas crier plus fort que toi et avant que je puisse finir ma phrase , sa bouche Ă©tait sur la mienne , ses lĂšvres collĂ©es aux miennes , nos deux corps tendrement enlacĂ©s – Je ne sais plus oĂč j’en suis et ne comprends pas encore ce qui m’arrive 
.explique moi , j’ai peur , peur des consĂ©quences , d’ĂȘtre trop malheureuse quand je vais repartir . Une de ses mains me caressaient le dos pendant que l’autre Ă©cartait les lĂšvres de mon sexe et me caressait le clitoris et pour la premiĂšre fois de ma vie ,j’ai senti un immense plaisir monter de mon ventre et une grande chaleur envahir mon sexe . J’étais lĂ  toute tremblante entre ses bras ,les cuisses complĂštement Ă©cartĂ©es pour que ses doigts puissent me fouiller le plus loin possible. J’avais dĂ©jĂ  fait l’amour, mais jamais au grand jamais je n’avais ressenti un plaisir aussi intense me ravager le ventre .Je savais ce que le mot jouir voulait dire pour une femme pour l’avoir tant de fois entendu, mais je n’avais encore jamais joui de ma vie et je ne connaissais pas cette sensation dĂ©crite par toutes ces femmes . -Oh oui !!! c’est bon 
.c’est la premiĂšre fois
.,c’est la premiĂšre fois que je vais jouir, , je sens ton ventre contre le mien et tes doigts qui me pĂ©nĂštre!!
.caresse moi encore je t’en prie 

apprends moi l’amour -Oui mon trĂ©sor , je vais t’apprendre l’amour , je vais faire de toi une vraie femme, je vais tout t’apprendre . Tu veux bien ? Moi je n’écoutais plus ce qu’elle me disait ! je ne pensais qu’à ce doigt qui me masturbait le clitoris et aux autres qui me caressaient les lĂšvres. Je sentais quelque chose qui venait du fond de mon ventre et quand elle a enfoncĂ© les doigts dans mon vagin, que je me suis mise Ă  trembler comme un feuille et Ă  crier comme une folle ,cette fois j’ai compris ce que le mot jouir voulait dire. Je m’étais souvent caresser le soir dans mon lit, j’avais Ă©prouvĂ© du plaisir, mais jamais , je n’étais parvenue Ă  jouir . Et ce doigt qui n’arrĂȘtait pas de me caresser !!!! Et mon ventre qui n’arrĂȘtait pas de couler entre ses doigts !!!! Et mes jambes qui n’arrivaient plus Ă  me retenir tellement mon corps tremblait de jouissance que je me suis retrouvĂ©e Ă  genoux devant son ventre et mes lĂšvres collĂ©es contre son sexe pendant que ma bouche prenait possession de son clitoris . J’étais vide !!!je venais de jouir entre ses bras, sur ses doigts . Je voulais la goĂ»ter moi aussi et je me surprenais moi mĂȘme de l’audace que j’avais . Je n’aurais jamais cru la non plus que je puisse embrasser et aimer le sexe d’une femme. Mais j’avais encore envie d’elle et je voulais lui donner du plaisir moi aussi . Elle sentait bon , son sexe avait un goĂ»t de miel et avec la force qu’elle avait de me tenir la tĂȘte appuyĂ©e contre son sexe, Ă  la cadence que son ventre venait Ă  l’encontre de ma langue, je savais qu’elle n’allait pas tarder de jouir elle aussi. Je m’en voyais pour respirer , mais j’étais heureuse de la sentir jouir contre ma bouche. Je voulais m’imprĂ©gner de son jus et de son odeur. Cette fois je n’en pouvais plus . -C’est bon !c’était trop bon
..je t’aime Alice. Je suis Ă  toi ,toute Ă  toi. J’en veux encore ! je veux que tu me fasses tout connaĂźtre hein !!!!tu m’as promis !! -Je ne sais pas si tu iras jusqu’au bout de tout ce que je veux te faire connaĂźtre, mais si tu es d’accord ,je te promets de tout t’apprendre. Tout ,absolument tout. -D’accord 
..,je ferais tout ce que tu voudras et tu feras tout ce que tu veux avec moi, je te promets . -Allez, va te changer maintenant, je t’attends en bas

Je venais de jouir pour la premiĂšre fois et avec une femme enplus VoilĂ  ce que j’étais en train de me dire en me douchant. J’étais amoureuse de ma tante 
.je ne sais pas ce que la suite des vacances allait me rĂ©server , mais pour le moment elles commençaient bien. Je ne savais pas non plus ce qu’elle avait voulu dire par « tout connaĂźtre « ,et ne voulais pas essayer de comprendre , je voulais seulement qu’une chose
.je voulais ĂȘtre aimĂ©e et aimer
.. Et j’allais faire en sorte que cela se fasse dans cet ordre AprĂšs m’ĂȘtre changĂ©e ,je suis redescendue au salon . Elle Ă©tait assise sur le sofa ,le tĂ©lĂ©phone dans une main, me regardant bien dans les yeux pour me bien faire comprendre que nous venions de sceller quelque chose de trĂšs important entre nous, un de ses pieds caressant le ventre d’Hercule pendant que lui , lui lĂ©chait le mollet avec tellement de passion qu’on aurait dit qu’il la dĂ©gustait . Plusieurs fois il a Ă©tĂ© question de moi dans la conversation et chaque fois qu’elle prononçait mon prĂ©nom elle me faisait un coup d’Ɠil. -Tu Ă©tais avec mon oncle ?.Il te demandais si j’allais bien ? -Non ma chĂ©rie ! j’étais avec Delphine ma meilleur amie et quand tu es descendue , nous Ă©tions justement en train de parler de toi. -Ah bon !pourquoi de moi ? Je ne la connais pas et elle non plus ! -C’est vrai ! mais je lui ai dit qui tu Ă©tais et que tu Ă©tais en vacances pour deux mois chez nous. D’ailleurs tu vas faire sa connaissance car je l’ai invitĂ©e pour jeudi, elle arrive mercredi soir et elle dort ici. Ca ne te dĂ©range pas au moins ? -Moi ! non pas du tout et tu es chez toi, tu peux bien inviter qui tu veux . Moi j’étais bien, le ventre apaisĂ© et le reste je m’en balançais. La seule chose qui m’importait maintenant, c’est qu’ elle veuille bien commencer Ă  m’apprendre l’amour , tout l’amour comme elle me l’avait promis tout Ă  l’heure.

Les deux jours qui prĂ©cĂ©dĂšrent l’arrivĂ©e de son amie Delphine ,je les passais Ă  me promener avec Hercule , en prenant bien soin de ne pas me faire surprendre par lui comme l’autre fois., mais en regrettant quand mĂȘme de ne pas avoir profiter de cette langue . Surtout maintenant 
. depuis que je l’avais vue lĂ©cher le mollet d’Arlette et d’avoir vue cette langue qui remontait le long de sa jambe et le plaisir qu’elle avait Ă  se laisser faire, je regrettais vraiment de pas ĂȘtre allĂ©e plus loin l’autre fois .Comme elle devait ĂȘtre douce . .et longue . Comme celle qu’il avait en ce moment tellement il avait couru et qu’il avait chaud. Je devenais complĂštement folle !!!voilĂ  que je me mettais Ă  avoir des sensations dans le ventre en pensant Ă  çà. Ce n’est pas possible, je n’avais pas envie qu’il me lĂšche lĂ  dans ce champ !.Je n’allais quand mĂȘme pas m’assoire ici , baisser mon jeans et Ă©carter ma minette pour qu’il y mette son nez comme la derniĂšre fois 
.et pourtant ,c’est ce que j’étais en train de faire. Je me suis installĂ©e derriĂšre un gros buisson pour que personne ne nous aperçoive et pendant qu’il fourrageait avec sa langue entre mes cuisses ,je maudissais ce jeans qui m’empĂȘchait d’écarter les jambes au maximum et en me jurant maintenant de ne mettre que des jupes de façon Ă  ne pas avoir Ă  me dĂ©shabiller et ĂȘtre prĂȘte quand j’en aurais envie. Car j’avais envie de cette langue . Mon dieu le bien qu’elle me faisait. Il me barbouillait le sexe avec et je sentais sa bave me couler entre les fesses. Je n’avais rien pour m’essuyer mais je n’en avais cure .Je partirais comme ça avec le sexe et les fesses toutes mouillĂ©es .Pour le moment je ne pensais Ă  rien d’autre qu’à cette truffe froide contre mon sexe et cette langue qui n’en finissait pas de m’écarter les lĂšvres pour aller plus au fond chercher ma mouille et qui me faisait jouir. J’avais le clitoris et les lĂšvres tellement sensible qu’à chaque coup de langue , mon corps Ă©tait secouer par le plaisir et je sentais mon sexe exploser et ma mouille couler en abondance sur sa langue . Comment avais je pu en arriver lĂ  !j’étais venue pour me reposer et ĂȘtre au calme , et depuis deux jours je n’arrĂȘtais pas d’avoir envie de faire l’amour et maintenant j’étais aprĂšs me faire bouffer la minette par un chien. J’étais sur un nuage et quel bonheur .Je commençais Ă  vivre dans la dĂ©bauche la plus complĂšte et je jouissais de cette situation. -Ah non ! tu me lĂąches maintenant , laisse ma jambe tranquille .Je ne suis pas une chienne quand mĂȘme. C’est de le sentir accrochĂ© aprĂšs ma jambe et le voir se masturber contre elle , qui m’a fait redescendre sur terre. Quel dommage ,j’étais bien mais il fallait rentrer et qu’on se dĂ©pĂȘche car c’est ce soir que la copine de ma tante arrivait Maintenant, je savais que toutes les fois oĂč je me trouverais seule avec le chien , je n’hĂ©siterais plus Ă  relever ma jupe, Ă  enlever ma culotte pour me faire brouter la chatte .J’avais trop aimĂ© et je me disais que la prochaine fois je me mettrais Ă  quatre pattes pour sentir sa langue entre mes fesses et le voir par en dessous me passer sa langue sur ma minette et la sentir glisser entre ma raie. Entre ma culotte qui me collait entre les fesses , mon sexe en feu complĂštement trempĂ© et le tableau que j’étais en train de m’imagier dans ma tĂȘte ,j’avais encore envie de jouir mais il fallait que je me calme si je voulais avoir un tĂȘte Ă  peu prĂšs prĂ©sentable

Ma tante Ă©tait pratiquement collĂ©e Ă  elle quand j’entra dans le salon. Apparemment sans ĂȘtre gĂȘner de sa position ,elle me prĂ©senta Delphine, qui je dois bien reconnaĂźtre malgrĂ© la petite pointe de jalousie fĂ©minine que je ressentais tout de suite envers elle , je trouvais trĂšs belle. Tout en parlant avec Alice ,elle n’arrĂȘtait pas de me regarder avec dans les yeux et dans sa façon de parler , quelque chose que je n’arrivais pas Ă  dĂ©finir mais qui m’attirait irrĂ©sistiblement vers elle. Je sentais que quelque chose Ă©tait en train de se tramer entre elles deux, envers moi et je commençais Ă  comprendre ce qu’Alice avait voulu me dire par ‘ « je ne sais pas si tu iras jusqu’au bout , mais si tu es d’accord, je te ferais tout connaĂźtre ,tout » .On verra bien . Pour le moment j’avais sommeil

La soirĂ©e fut courte pour moi. Avec la journĂ©e que je venais de passer ,je ne pouvais plus tenir les yeux ouverts et aprĂšs qu’on se soit tendrement embrassĂ©es je rejoignis ma chambre.

C’est encore un cauchemar qui m’a rĂ©veillĂ© en sursaut ou un bruit je ne sais plus. Je n’avais pas l’habitude de la campagne et tous ces bruits insolites , me dĂ©rangeaient un peu je dois bien le reconnaĂźtre. Et puis j’avais soif
. C’est en allant Ă  la cuisine et en passant devant la chambre de ma tante que j’ai compris que ce n’était pas un cauchemar qui m’avait rĂ©veillĂ© mais bien un bruit insolite.

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Partie 2

D’habitude Hercule dormait devant le porte d’Alice et je pense que c’est lui qui Ă  du la laisser entrebĂąillĂ©e en voulant aller dormir avec sa maĂźtresse. J’étais quand mĂȘme intriguĂ©e par tous ces bruits et ces soupirs qui venaient de la chambre d’Alice et curiositĂ© fĂ©minine oblige ,je risquais un coup d’Ɠil Ă  l’intĂ©rieur , en prenant bien soin de ne pas faire trop de bruit pour ne pas me faire repĂ©rer. Je n’arrivais pas Ă  voir toute la chambre en entier , mais je vous assure que malgrĂ© tout , je n’étais pas déçue du spectacle qui se prĂ©sentait Ă  mes yeux. Ma tante Ă©tait allongĂ©e sur le lit avec les cuisses remontĂ©es et largement ouvertes et bien que le corps de Delphine me soit Ă  moitiĂ© cachĂ© , je pouvais voir sa bouche enfouie dans les replis du sexe d’Alice en imaginant sa langue qui devait se perdre au beau milieu de ses lĂšvres . J’aurais tellement voulu ĂȘtre Ă  sa place , Ă  quatre pattes entre les cuisses de ma tante avec ma langue sur son sexe Ă  dĂ©guster sa mouille qui ,vue les coups de reins qu’elle donnait Ă  chaque fois que Delphine la lĂ©chait , devait couler en abondance de son vagin avant d’aller se perdre entre la raie des fesses. Il fallait bien avouer que je ne restais pas indiffĂ©rente Ă  la beautĂ© de ces deux corps entremĂȘlĂ©s . Je sentais maintenant une chaleur intense entre mes cuisses qui commençait Ă  envahir mon corps, pendant que mes doigts aprĂšs avoir Ă©cartĂ© mon clitoris d’entre les lĂšvres de mon sexe, avaient entamĂ©s avec lui une masturbation d’une telle intensitĂ© que je ne pus me retenir trop longtemps et malgrĂ© toutes les prĂ©cautions que j’avais prises pour ne pas faire de bruit ,je me suis mise Ă  gĂ©mir tant la jouissance Ă©tait profonde. J’ai eu beau essayer de me cacher j’ai bien vue que ma tante m’avait entendue jouir et regarder dans ma direction tout en continuant de se faire lĂ©cher par Arlette. -C’est toi Coralie ? je sais que tu es lĂ  !!!entre 
.. Viens te joindre Ă  nous on t’attendait Delphine et moi. Je savais qu’en entrant dans cette chambre pour me joindre Ă  elles , toute ma vie d’adolescente basculerait et que j’allais plonger dans ce monde oĂč il ne me serait plus possible de revenir en arriĂšre . J’avais eu dĂ©jĂ  ce petit moment de folies avec ma tante et ce plaisir immense avec Hercule et maintenant mon cƓur et mon corps me demandaient d’aller encore plus loin .Depuis que j’avais mis les pieds dans cette maison ,ils ne m’obĂ©issaient plus Je l’avais bien devinĂ© hier au soir qu’elles me prĂ©paraient quelque chose toutes les deux et les regards que j’avais Ă©changĂ©s avec elles ,avaient du leur faire comprendre que je n’étais pas du tout contre et que je n’attendais qu’un chose , c’était d’ĂȘtre aimĂ©e et aimer. .C’est comme çà que sans aucune honte aucune , aprĂšs avoir poussĂ© le seul rempart qui me sĂ©parait de celles qui allaient me faire devenir la femme que je suis devenue, je me suis retrouvĂ©e allongĂ©e la bouche contre le sexe de ma tante. Mes lĂšvres avalaient avec frĂ©nĂ©sie le clitoris que Delphine avait fait dresser Ă  force de le sucer, pendant que ma tante passait ses mains sur ma chatte et que Delphine prenait possession de mes fesses avec sa langue.. C’était trop !!!!!cette langue entre mes fesses qui me titillait l’anus, ce clitoris que je suçais et qui bandait entre mes lĂšvres ,ces doigts qui me branlaient la minette et qui s’enfonçait en moi
.pourquoi je ne l’avais pas fait avant ! pourquoi !!! Mais je n’avais que 17 ans et malgrĂ© mon jeune Ăąge ,je m’entendais les supplier toutes les deux.. -Encore , j’en veux encore
. prenez moi toutes les deux, ,donnez moi tout . Aliiiiiiice !

Elle ne m’a pas rĂ©pondu. Elle s’est seulement Ă©cartĂ©e de moi et appeler Hercule pour qu’il vienne entre ses jambes. Je ne m’étais mĂȘme pas aperçue qu’il Ă©tait lĂ  quand je suis entrĂ©e dans la chambre tant j’étais hypnotiser par leur deux corps tendrement enlacĂ©s. Cette fois je me trouvais dans une situation complĂštement folle .J’étais lĂ  Ă©merveillĂ©e par le spectacle de la gueule du chien en train de la renifler et de lui lĂ©cher le sexe Je ne pouvais plus contrĂŽler mes doigts qui avaient remplacĂ©s ceux de ma tante dans ma chatte ,tant elle Ă©tait occupĂ©e Ă  Ă©carter ses lĂšvres au maximum, pour que la langue du chien aille le plus loin possible. -Coralie ! viens profiter de sa langue toi aussi,!viens t’asseoir Ă  cĂŽtĂ© de moi , je sais que tu en as envie ,je l’ai compris l’autre jour . -Je ne sais pas 
.je n’ose pas ! et s’il me faisait mal. je ne pouvais pas lui avouer que je l’avais dĂ©jĂ  fait et que j’avais joui Ă  en pleurer tellement j’avais aimĂ©. -Viens , je suis lĂ  et tu ne risques rien je t’assure. Cette fois je n’avais plus besoin de me cacher derriĂšre un buisson pour me faire lĂ©cher par lui. Plus rien ne compterait que cette langue qui allait me fouiller le sexe et qui me ferait dresser le clitoris avec tant de force au point de le faire Ă©clater Je m’étais dit aprĂšs avoir joui la premiĂšre fois grĂące Ă  lui , que je le voulais autrement. -Je veux me mettre Ă  quatre pattes Alice 
je veux qu’il me lĂšche dans cette position. -Tu as raison ma chĂ©rie, c’est bien meilleur ! 
allez installe toi bien comme il faut Cette fois j’y Ă©tais , sa langue passait sur mon sexe pour finir entre mes fesses que Delphine n’hĂ©sitait pas Ă  Ă©carter pour qu’il puisse venir fouiller dans mon petit trou. Je regardais par en dessous et Ă©tais Ă©merveillĂ©e par le spectacle de sa langue sur mon clitoris . De voir cette bave couler de ma chatte j’ai vraiment eu l’impression que c’était ma jouissance qui sortait de mon ventre et je n’ai pu me retenir plus longtemps .Mon dieu quel bonheur, quel plaisir
.je ne pouvais plus contrĂŽler les tremblements qui s’étaient emparĂ©s de mon jeune corps A chaque coup de langue entre mes fesses , je sentais mon anus s’ouvrir de plus en plus et sa langue me pĂ©nĂ©trer encore plus loin Ă  tel point que j’avais l’impression qu’il essayait de me sodomiser . C’était trop !je n’en pouvais plus .Mes bras et mes jambes n’arrivaient plus Ă  me soutenir et dans un cri de jouissance, je me suis effondrĂ©e sur le lit ,tout en tremblant comme une feuille entre les bras de Delphine ,pendant que ma tante essayait de me calmer . -Nous somme allez trop vite et trop loin avec elle tu ne crois pas ? -Je ne sais pas ! voilĂ  les paroles que j’entendais dans ma demie inconscience. -Non, non ! c’était trop bon 
.je vous aime toutes les deux ,et je veux encore aller plus loin
.au bout de mes possibilitĂ©s Mais avec vous deux maintenant. -Tu veux voir encore le chien ? -Tout ,je veux tout . Mais comment le chien ? -Ouvre les yeux et regarde. J’avais laissĂ© Hercule dans un Ă©tat d’excitation tel qu’il n’arrĂȘtait pas de tourner autour de Delphine qui pour l’occasion s’était elle aussi mise Ă  quatre pattes . Il la reniflait entre les fesses , sous le ventre et entre les cuisses sans manquer Ă  chaque passage de glisser sa langue sur toutes les parties de son corps que je venais de dĂ©crire Pourquoi ma tante voulait elle que je regarde puisqu’il faisait avec elle exactement ce qu’il avait fait avec moi. A part l’excitation qu’il avait en plus ,je ne comprenais pas ! -Attends ma chĂ©rie 
.si tu veux t’en aller tu le fais de suite , mais aprĂšs ce sera trop tard et je suis sur que tu le regretteras .Tu voulais tout connaĂźtre alors 
.regarde bien mon trĂ©sor ,c’est maintenant

Je n’arrivais pas Ă  croire ce que je voyais .Il avait essayĂ© de me faire la mĂȘme chose hier aprĂšs midi
..il avait essayĂ© de s’accrocher Ă  moi mais j’avais refusĂ© qu’il aille plus loin et l’avais repoussĂ© violemment. Moi c’était aprĂšs ma jambe alors que Delphine le laissait monter sur elle . -Alice !Elle ne va pas le laisser faire ? ce n’est pas possible . -Elle sait ce qu’elle fait ne t’en fait pas pour elle Je n’osais plus parler maintenant et parler pour dire quoi .Plus aucun son ne pouvait sortir de ma bouche autrement que « « Oh,
c’est pas possible
.c’est une femme, pas une chienne » » Il Ă©tait maintenant sur elle et dans elle. J’avais vue le bout de son sexe sortir de son Ă©tui quand il essayait de trouver sa route entre ses cuisses .Plusieurs fois il s’était prĂ©sentĂ© devant son anus mais elle avait fait en sorte qu’il ne puisse pas rentrer et quand il avait enfin trouvĂ© l’endroit ou il devait se mettre , je l’ai vue plonger dans son ventre avec une telle force qu’elle a bien failli s’écrouler par terre. Je ne savais plus qui regarder et laquelle envier
.de ma tante qui Ă©tait encore plus belle qu’avant avec les yeux qui brillaient et sa langue rose qui courait sur ses lĂšvres comme si elle avait envie elle aussi de prendre sa place et de s’accoupler avec lui, ou de cette femme couverte par ce chien avec ce visage resplendissant de bonheur de sentir son sexe plonger au fond de son ventre. Je restais persuadĂ©e qu’Alice l’avait fait elle aussi 
.je revois encore son visage le jour oĂč je lui avais dit que son chien Ă©tait comme moi 
amoureux d’elle et qu’elle avait tournĂ© les yeux pour que je ne puisse pas y lire dedans. Je n’ai pas eu besoin de rĂ©flĂ©chir longtemps pour savoir que celle que j’enviais le plus , Ă©tait celle qui se trouvait Ă  quatre pattes . Bien que je n’imaginais pas me faire prendre par un chien, mais de voir avec quelle vigueur il la possĂ©dait , je sentais mon sexe s’écarter tout seul. Comme s’il attendait d’ĂȘtre pris lui aussi.

Je n’avais pas assez de mes deux yeux pour profiter du spectacle de cet accouplement . Il la tenait si fort contre lui, qu’à chaque coup de reins , je voyais sa bouche s’ouvrir en grand comme si elle cherchait son souffle et j’essayais d’imaginer le sexe du chien au fond de son vagin. Je n’avais jamais vue un sexe de chien et je ne pouvais pas imaginer ce qu’elle ressentait vraiment, mais Ă  voir le rictus qu’elle avait aux lĂšvres et la bave qui coulait de sa bouche ,je savais qu’elle Ă©prouvait beaucoup de plaisir et que pour rien au monde elle n’aurait donnĂ© sa place Ă  une de nous deux. Enfin Ă  ma tante car pour moi il n’était pas question que je me fasse couvrir par Hercule. Les mains de ma tante s’étaient collĂ©s contre ma chatte , avec les doigts au fond de mon vagin et chaque fois que le chien plongeait , mon ventre allait Ă  la rencontre de ses doigts. Maintenant je rĂȘvais
.ce n’était plus ses doigts qui m’ouvraient le sexe, mais le chien qui me possĂ©dait .Je m’entendais gĂ©mir en mĂȘme temps que Delphine et ma tante .Nous Ă©tions lĂ  ,les yeux dans les yeux jusqu’à ce qu’elle se mette Ă  jouir ,nous entraĂźnant toutes les trois dans la mĂȘme communion . Comme c’était fort et bon 
.mon vagin qui ressemblait Ă  une fontaine maintenant , ruisselait tellement que la main d’Alice malgrĂ© l’étroitesse de mon sexe ,n’eut aucune peine pour me pĂ©nĂ©trer pratiquement Ă  fond. Ce n’était pas un sexe que j’avais en moi mais je pouvais aisĂ©ment imaginer ce que Delphine pouvait ressentir et je commençais sĂ©rieusement Ă  l’envier . -Attends , ce n’est pas fini ma chĂ©rie .C’est maintenant le plus beau. Mais il faut que je l’aide. -Pourquoi ? -Tu vas comprendre Le chien Ă©tait bloquĂ© sur les reins de Delphine et ne bougeait pratiquement plus Ă  par son arriĂšre train qui me donnait l’impression d’ĂȘtre parcouru par des spasmes .. Je ne connaissais rien dans les rapports femme chien mais j’étais sur qu’il Ă©tait en train de jouir dans son ventre pendant qu’elle continuait Ă  se frotter Ă  lui et je voyais par les va et vient des ses hanches qu’elle essayait de l’aspirer au maximum dans son ventre . Alice se tenait derriĂšre le chien, comme si elle n voulait pas qu’il s’en aille mais cette fois Delphine n’avait plus l’air d’apprĂ©cier la prĂ©sence du chien sur elle et dans elle .Son rictus de tout Ă  l’heure s’était transformĂ© en un grimace de douleur. -Mon dieu qu’il est gros !!!!surtout empĂȘche le de sortir Alice je t’en supplie. Il est en train de m’ouvrir en deux littĂ©ralement. Coralie ! viens m’aider ,approche 
. Je ne comprenais pas ce qu’elle attendait de moi ,comment pouvais je l’aider. -Que veux tu que je fasse ? je ne sais pas moi ! -Caresse moi s’il te plait , branle moi pour que je sente moins le douleur dans mon ventre Je ne comprenais rien Ă  ce qu’elle me disait et je regardais Alice qui me confirma par un hochement de tĂȘte qu’il fallait que je fasse ce qu’elle me demandait. Tout en lui caressant le clitoris et les lĂšvres de son sexe, je sentais entre mes doigts la naissance du sexe d’Hercule et il m’était facile d’imaginer Ă  prĂ©sent ce qu’elle pouvait avoir dans le ventre et comme pour confirmer ce que j’avais vue tout Ă  l’heure , je sentais les pulsations de son bassin qui faisait que son sexe n’arrĂȘtait pas de bouger et j’étais sure et certaine qu’il continuait de se vider dans son vagin. -Oui c’est bon ma chĂ©rie 
.continue comme ça , je sens le plaisir qui revient. Si tu savais comme il est gros ! mais comme c’est bon . tu sens son sexe qui se vide en moi 
tu le sens qui coule entre tes doigts
 Elle avait mal, elle aimait çà, elle jouissait quand mĂȘme malgrĂ© la douleur qu’il lui occasionnait ,malgrĂ© tout ça , je voyais son ventre qui continuait Ă  aspirer la grosse tige d’Hercule et comme elle me l’avait dit , je sentais un liquide chaud me couler entre les doigts et mon esprit faisant le reste, j’imaginais maintenant qu’il Ă©tait aprĂšs me jouir dessus. Combien de temps Ă  durĂ© cette accouplement ,je ne me rappelle plus ,mais la seule chose qui me soit rester Ă  l’esprit , c’est le cri de jouissance qu’elle a eu et la grosseur de se sexe que j’ai attrapĂ© entre mes mains quand il est enfin sorti de son ventre. Impossible !!! c’est impossible que son ventre ait pu contenir un truc aussi long et aussi gros .Et cette boule ! c’est de cette boule qu’elle parlait tout Ă  l’heure
.c’est çà qui l’ouvrait en deux et qu’elle ne voulait pas qu’il retire. Je ne pouvais plus dĂ©tacher mon regard de cette chose qui continuait Ă  palpiter entre mes doigts et Ă  se dĂ©verser sur le sol. Ne ressemblant aucunement Ă  celle d’un homme ( j’avais dĂ©jĂ  vue celle de mon ex copain) mais lĂ , c’était vraiment quelque chose dont je n’arrivais pas expliquer la sensation qu’elle me donnait entre les mains Je restais hypnotiser par cet engin et commençais rĂ©ellement Ă  me demander si moi , avec mon sexe de jeune fille , je pourrais aisĂ©ment le prendre dans mon ventre. J’avais chaud de partout dans le corps en rĂ©alisant que je dĂ©sirais cette belle bitte .Ce qui n’avait pas Ă©chappĂ© bien sur au regard perçant de ma tante. -Alors !!!! elle te fait envie hein. -Elle est bien trop grosse , elle ne rentreras jamais . Je n’avais pas dit non ! et maintenant je savais que je ne me poserais plus de questions et que je n’aurais de cesse que lorsqu’ elle sera au fond de moi. -Si tu la veux vraiment , je te prĂ©parerais bien comme il faut pour que tu ne souffre pas . -Oui j’en ai envie 
..mais comment tu vas faire ? Dis moi Alice ? et toi , tu l’as dĂ©jĂ  fait avec lui ! -Bien sur ma chĂ©rie , c’est mon chien tu le sais bien et pourquoi crois tu qu’il m’aime autant ? -Quand est ce que je le ferais ? demain ! RĂ©ponds moi ,j’en crĂšve d’envie maintenant. Delphine se remettait lentement de ses Ă©motions en continuant Ă  se caresser pour se calmer comme elle disait . -Sois patiente mon cƓur
.on a encore le temps tu ne crois pas .je sais que tu as envie de tout
. mais je te l’ai promis non ,alors je le ferais . en attendant , une bonne douche et il serait temps que l’on dorme non !!!! Si tu veux , tu peux dormir avec nous
.. Alors 
..tu es d’accord . Bien sur que j’étais d’accord . Moi ,petite fille au milieu de mes deux amours , car maintenant j’aimais Delphine aussi et je voulais qu’elle m’aime aussi et comme je n’avais plus sommeil 
..alors ,on ne sait jamais , si elle avait le courage de me prendre dans ses bras et me faire encore des choses
.allez vite au lit.

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Partie 3

Nous Ă©tions dĂ©jĂ  samedi J’ai passĂ© toute la journĂ©e et la nuit du vendredi Ă  dormir. Elles m’avaient Ă  toutes les deux tellement fait jouir, qu’il m’avait bien fallu tout ce temps pour rĂ©cupĂ©rer. Je n’avais que 17 ans et mon corps Ă©tait devenu le jouet de ses deux perverses et malgrĂ© ce que j’avais subit , je n’aspirais qu’à une chose maintenant 
.c’est d’aller plus loin encore dans les jeux de l’amour si on peu encore appeler ça des jeux.

J’avais essayer de m’endormir en rĂȘvant Ă  ce chien que ma tante avait promis de me faire connaĂźtre ,mais j’avais vite sombrer dans un sommeil mouvementĂ© ,peuplĂ© de minettes, de godes, de chiens, de femmes qui se caressaient ,qui me lĂ©chaient le clitoris et la vulve ,qui se donnaient au chien et la premiĂšre chose Ă  quoi je pensais en me rĂ©veillant, c’était Ă  toutes ces choses que j’avais subit ou que j’allais subir. Je devenais une vraie obsĂ©dĂ©e du sexe . Seulement une semaine de vacances et voilĂ  le rĂ©sultat. J’avais bien aperçu mon oncle dans la journĂ©e et j’étais contente quand mĂȘme de le voir, mais je n’avais qu’une hĂąte , c’était qu’il reparte vite lundi , pour qu’Alice puisse continuer mon apprentissage. En plus ,j’étais jalouse de lui car pendant qu’il Ă©tait lĂ  , je savais qu’ils faisaient l’amour et qu’à aucun moment je ne pourrais rester ne serait ce qu’une seconde avec elle et ça me rendait complĂštement dingue. Rien que de la regarder et de voir son corps jouer sous sa robe lĂ©gĂšre et je sentais mon ventre recommencer Ă  avoir chaud. J’imaginais sa minette et son adorable fessier Ă  peine recouvert d’une petite culotte et je sentais les lĂšvres de mon sexe s’ouvrir et ma mouille commencer Ă  ruisseler entre les lĂšvres. Il fallait que je sorte , que je prenne l’air car depuis que j’étais arrivĂ©e ici , je n’avais pratiquement pas quitter la maison ,sauf l’autre jour pour aller me promener avec Hercule. Tiens au juste 
.il Ă©tait oĂč celui lĂ  !!!!A savoir s’il n’était pas entre les cuisses d’Alice. Ce qui m’étonnerait bien car je ne pense pas qu’elle le fasse en prĂ©sence de mon oncle . quoique 
venant de sa part , je m’attendrais Ă  tout. J’aurais bien aimĂ© l’emmener avec moi 
.histoire de voir si j’étais capable d’aller plus lion dans mes rapports avec lui, mais j’avais beau chercher , je ne le vis pas .

Mon oncle Ă©tait enfin parti et cette fois encore , il ne rentrerait pas avant Samedi. Le week end avait Ă©tĂ© d’une longueur et d’une tristesse Ă  mourir. Je n’avais pas rĂ©ussi Ă  rĂ©cupĂ©rer le chien et je restais persuadĂ©e qu’Alice s’en Ă©tait servi ,mais je doutais quand mĂȘme qu’elle l’ait fait avec mon oncle . J’avais beau avoir essayer de m’occuper l’esprit Ă  me promener, je n’avais pas rĂ©ussi sorti de ma tĂȘte tout ce qui s’était passĂ© depuis le dĂ©but de mes vacances . J’avais la tĂȘte et le corps fatiguĂ©s . Pas une fatigue morale mais une fatigue physique. Je n’avais pas arrĂȘte de faire l’amour et mon corps d’adolescente avait du mal Ă  rĂ©cupĂ©rer. Toute la journĂ©e de ce lundi nous l’avons passĂ© Ă  nous promener toutes les deux main dans la main avec Hercule qui n’arrĂȘtait pas de nous tourner autour et que je dĂ©vorais littĂ©ralement des yeux. – Tu l’aimes ce chien hein ! tu en as vraiment envie dis moi ? – Oh oui !!!! je l’ai cherchĂ© tout le dimanche pour l’emmener avec moi ,mais tu l’as gardĂ© prĂ©cieusement auprĂšs de toi. Elle ne rĂ©pondit pas mais je pus constater que ses joues avaient changĂ©es de couleur et une certaine gĂȘne une gĂȘne quant Ă  ses explications. Elle s’en Ă©tait servie elle aussi 
j’en Ă©tais persuadĂ©e maintenant . Le soir nous nous sommes retrouvĂ©e toutes les deux comme deux amoureuses autour d’une bonne bouteille de vin rosĂ© Ă  rire et Ă  se raconter des histoires . Alice me servit un verre pendant je me lovais contre elle sur le divan, et dĂ©gustais tranquillement ce doux nectar rosĂ©. MalgrĂ© mon tout jeune Ăąge, j’adore le vin, et tout alcool en dehors de quelques-uns qui vraiment ne passent pas. J’ai aussi beaucoup de mal Ă  m’arrĂȘter quand je commence Ă  boire, et souvent je finis saoule, Ă  raconter n’importe quoi, et Ă  faire, aussi, n’importe quoi
 C’est ce qui se passa effectivement. Nous Ă©tions tendrement installĂ©s sur le canapĂ©, Ă  se caresser innocemment au dĂ©but, mais la bouteille une fois vide, nos idĂ©es se chargĂšrent de dĂ©sir, et les miennes, particuliĂšrement. Je commençai par dĂ©boutonner son chemisier, j’îtai ensuite sa jupe et sa culotte , pour la gratifier comme l’autre soir d’une langue entre les lĂšvres de son sexe. Elle me laissa la lĂ©cher quelques minutes en me caressant les cheveux, mais trĂšs vite elle eĂ»t envie de plus. Elle fit glisser ma robe, dĂ©couvrant mon corps entiĂšrement nu car depuis que j’étais avec elle j’évitais de mettre des sous vĂȘtements pour ĂȘtre Ă  sa disposition quand elle le voulait Elle me demanda de me mettre Ă  quatre pattes se mit encore une fois sa ceinture gode et sans aucune caresse, s’introduisit en moi. Alice m’excitait tant qu’aucun prĂ©liminaire n’était nĂ©cessaire. Sa prĂ©sence seule suffisait Ă  me faire mouiller comme une fontaine. Je savais en la voyant qu’elle me comblerait de plaisir, qu’elle me ferait jouir, et cette simple pensĂ©e me prĂ©parait Ă  l’accueillir dans mon intimitĂ©, pour qu’elle puisse me labourer comme elle seule savait le faire. Elle me baisa comme une chienne, oubliant la tendresse du dĂ©but de la soirĂ©e, pour violemment m’enfourner son gros membre au fond de mon ventre en m’attirant par la taille en s’agrippant Ă  mes seins et Ă  mes cheveux . De la sentir se secouer conte mon dos et de sentir avec quelle force elle me prenait , j’eu dĂ©jĂ  un orgasme et c’est dans un rĂąle de plaisir que je lui fit comprendre qu’elle pouvait me faire tout ce qu’elle avait envie de me faire. La semaine commençait bien. Moi, j’en voulais encore, plus, toujours plus. Je voulais qu’elle me prenne toute la nuit, qu’elle reste en moi et me baise Ă  l’infini. – Tu me fais confiance, n’est-ce pas ma petite chĂ©rie ? tu veux toujours connaĂźtre ? tu veux que j’appelle Hercule pour toi ? – Oui, bien sĂ»r, j’en ai terriblement envie ,mais j’apprĂ©hende quand mĂȘme ,il est tellement gros. Je lui faisais croire que je redoutais le contact du chien ,mais depuis que je l’avais vue sur Arlette, je voulais aller plus loin qu’une petite lichette sur mon clitoris comme il me l’avait fait le jour de notre promenade . Je voulais le sentir en moi. J’aimais beaucoup quand elle me prenait comme tout Ă  l’heure avec son gros gode ,mais ce que je voulais maintenant ,c’était une chose vivante , chaude . je voulais pour la premiĂšre fois de ma vie ressentir une vraie bitte et du sperme dans mon ventre . MĂȘme si ce n’était pas une sexe d’homme . Je le voulais tellement cet animal que j’étais prĂȘte Ă  faire n’importe quoi pour ça. – Et toi Alice 
.tu ne m’as jamais dit si tu l’avais dĂ©jĂ  fait avec lui Elle ne m’a pas rĂ©pondu . Elle a seulement Ă©cartĂ© trĂšs largement ses jambes, appeler Hercule pour qu’il vienne lui mettre sa langue entre les lĂšvres de son sexe . Cette fois je me trouvais dans une situation complĂštement folle .j’étais lĂ  Ă©merveillĂ©e par le spectacle de la gueule du chien aprĂšs renifler et lĂ©cher le sexe de ma tante Je ne pouvais plus contrĂŽler mes doigts qui avaient remplacĂ©s ceux de ma tante sur mon clitoris ,tant elle Ă©tait occupĂ©e avec ses deux mains Ă  Ă©carter ses lĂšvres au maximum, pour que la langue du chien aille le plus loin possible. -Coralie ! viens profiter de sa langue toi aussi,!viens t’allonger Ă  cĂŽtĂ© de moi et ne me dis pas que tu en as pas envie , je te croirais pas . Je me retrouvais Ă  cĂŽtĂ© d’elle ,les jambes mĂ©langĂ©es aux siennes ,avec la langue baveuse et chaude d’Hercule qui ne savait plus quel sexe il devait lĂ©cher et qui n’attendaient plus qu’une chose
.c’est de savoir quelle femelle il allait se dĂ©cider Ă  monter.

Nous étions vraiment des vraies chiennes en chaleur complÚtement écartelées à attendre le mùle

– Attends j’ai une idĂ©e, mais il faut vraiment que tu me fasses confiance. Attends. » Elle fouilla dans son placard pour en sortir un bandeau noir et une paire de menottes
 -Tu as peur ? – Non
 pourquoi.» J’avais bu, et l’idĂ©e qu’elle m’attache m’excitait au point de faire disparaĂźtre toutes mes craintes. Je la laissai donc me couvrir les yeux et m’attacher la main droite au pied de la table en bois massif. Je me remis ensuite Ă  quatre pattes , comme elle me l’avait demandĂ©.

-Tu vas voir mon petit cƓur, tu vas aimer ça ! » J’essayais de me repĂ©rer aux bruits qu’elle faisait , mais je ne comprenais pas ce qui se passait derriĂšre moi. Je sentis enfin le souffle du chien entre mes fesses et sa truffe froide qui me reniflait l’anus. Elle n’allait quand mĂȘme pas me le mettre entre les reins . Enfin pas pour la premiĂšre fois. Mais avec elle il fallait s’attendre Ă  tout. On lui donnait le bon dieu sans confession quand on le regardait comme ça . Mon pauvre oncle s’il savait 

 – Laisse-toi faire, tu verras que tu vas aimer ça. Laisse-toi faire, fais-moi confiance
 » MalgrĂ© le masque sur mes yeux , en me penchant, j’aperçu sa queue qui pointait de son fourreau. Elle Ă©tait rouge, semblait gluante, et du liquide suintait dĂ©jĂ  au bout. J’avais beau le dĂ©sirer de toute mon Ăąme et de tout mon corps, en voyant ce sexe dur qui commençait Ă  pointer , je me demandais si vraiment je n’étais pas folle d’accepter cet accouplement Je l’avais vue sortir du ventre de Delphine , et la grosseur qu’il avait encore aprĂšs qu’il se soit complĂštement vidĂ© et je n’était pas sur que mon jeune sexe puisse l’accepter tout entier . C’étais trop tard pour dire non et je ne pense pas que ma tante m’aurait laisser faire . Au juste, avais je vraiment envie de dire non !!!! Elle aussi avait envie que je me fasse prendre .Je le voyais bien de la façon qu’elle avait Ă  lui caresser le sexe pour qu’il soit encore plus excitĂ©. .Je le sentis enfin grimper sur moi, m’enserrer de ses pattes avant avec force, et chercher du bassin l’entrĂ©e de mon vagin. A ce que j’avais pu voir, son membre Ă©tait assez gros, et ma seule inquiĂ©tude Ă©tait d’avoir mal.. Quand il s’introduisit en moi, je ne pus rĂ©primer un cri de douleur. Il m’écartelait littĂ©ralement. Ce n’était plus le bout rouge que j’avais vue qui me remplissait .Sa bite avait considĂ©rablement gonflĂ©, et me remplissait entiĂšrement. Le chien commença de rapides mouvements, me dĂ©fonçant comme jamais je ne l’avais Ă©tĂ© auparavant.. Je criais, hurlais, mais rien n’y faisait. Il ne sortait pas de moi. Au bout d’un moment, mon vagin se fit Ă  la taille monstrueuse de l’animal, et ma douleur se transforma en une forme Ă©trange de plaisir. Ses couilles frappaient mes cuisses Ă  chacun de ses assauts, sa bite heurtait le fond de ma cavitĂ© et tentait Ă  chaque mouvement de s’enfoncer plus profondĂ©ment Ces sensations toutes physiques, auxquelles s’ajoutaient encore ma position si humiliante de chienne qui se fait prendre sauvagement par son mĂąle ,sous les yeux d’une perverse qui se branlait, achevĂšrent de me faire jouir plus intensĂ©ment que jamais je ne l’avais fait . Ce qui Ă©tait normal vue le peux d’expĂ©rience que j’avais .Mais je contais bien me rattraper . Mes hurlements se transformĂšrent vite en de longs gĂ©missements. Je rĂąlais chaque fois que la bite animale venait buter au fond de mon vagin, le visage trempĂ© de sueur et dĂ©formĂ© par le plaisir. J’adorais sentir son souffle dans mon cou, sa fourrure sur mon dos, et ses mouvements profonds, violents, si rapides que je pouvais Ă  peine respirer. Il fini par ralentir et je sentis alors son membre enfler, enfler encore, bien encrĂ© dans mon intimitĂ©, puis stopper alors tout mouvement et rester ainsi figĂ© en moi. Alors je compris tout le plaisir qu’avait pu avoir Delphine quand elle resta accrochĂ© aprĂšs lui et ce que pouvait rĂ©server un tel accouplement contre-nature, quand de grosses giclĂ©es de sperme chaud me transportĂšrent au summum de la jouissance. J’étais transportĂ©e aux anges par ce flot ininterrompu de sperme qui giclait dans mon vagin et qui me gonflait le ventre. Je ne savais pas combien de temps il allait rester planter en moi et malgrĂ© la fatigue qui commençait Ă  me prendre ,il continuait Ă  se dĂ©verser en moi et moi Ă  ĂȘtre secouĂ©e de spasmes de jouissance. – Faut lui laisser le temps de dĂ©gonfler mon chou, et si pendant ce temps-lĂ  tu venais avec ta langue entre mes cuisses pour me donner du plaisir Ă  moi aussi» TransportĂ©e de plaisir, encore secouĂ©e par les derniĂšres montĂ©es d’orgasme, je me saisis de sa chatte , Ă  peine m’eĂ»t elle rejoint au sol, et l’avalais autant que je pouvais. Quand le chien finit par se retirer, mon vagin, bĂ©ant, laissa s’échapper tout le sperme qu’il m’avait dĂ©versĂ©, complĂštement Ă©reintĂ©e je m’affalais sur le carrelage froid.. J’étais juste Ă©puisĂ©e, n’arrivais pas Ă  rĂ©aliser que tout ce plaisir m’était venu d’un chien, et malgrĂ© toute l’horreur que les gens pourraient penser de cet accouplement que je venais de subir, j’en Ă©tais heureuse. Alice s’était un peu calmĂ©e, mais elle voulait pousser Ă  son paroxysme mon plaisir. Elle me laissa Ă  peine le temps de me relever qu’elle me bascula sur le canapĂ©. Debout mais Ă©chancrĂ©e, elle s’empara de mon cul avec sa satanĂ© ceinture Gode , aprĂšs l’avoir briĂšvement lubrifiĂ©e du sperme d’Hercule. Elle me ramona pendant de longues minutes, me ramenant Ă  un nouvel orgasme, Ă  de nouveaux rĂąles de plaisir. Elle m’insultait et me traitait de tous les noms. -Je vais te dĂ©foncer petite garce, allez, crie, crie, supplie-moi d’arrĂȘter. » Elle Ă©tait brutale, violente et ses vas et viens Ă©taient saccadĂ©s, profonds, insistants. Elle tournoyait dans mon cul, ressortant parfois presque pour m’infliger la douleur d’une nouvelle intrusion brusque. Je criais, je jouissais, j’ignorais qu’un tel plaisir fut possible. Je m’écroulai dĂ©finitivement, et m’endormis presque aussitĂŽt, nue, souillĂ©e de sperme mais heureuse, comblĂ©e comme jamais.

Quand j’ouvris les yeux, je me remĂ©morai aussitĂŽt la soirĂ©e de la veille, et un sourire s’installa sur mon visage. J’étais radieuse. Alice apparĂ»t plus belle que jamais – Tu as bien dormi ? -Oui, rĂ©pondis-je un peu mal Ă  l’aise. -Comment tu te sens ce matin ? -Un peu sale
 dans tous les sens
 -En tous cas, ça m’a fait trĂšs plaisir ce petit spectacle, hier
 j’en rĂȘvais depuis longtemps. C’est un fantasme que j’ai eu depuis le premier jour oĂč tu es rentrĂ©e dans cette maison. Je ne sais pas pourquoi mais je sentais que nous Ă©tions faites l’une pour l’autre. Si tu continues comme ça cette semaine je pourrais si tu en as le courage et si tu dĂ©sires toujours autant poursuivre ce que j’ai commencĂ© Ă  t’apprendre t’emmener chez un couple d’amis qui possĂšde plusieurs chiens et te faire connaĂźtre l’apothĂ©ose, le summum de l’amour .RĂ©flĂ©chis bien .mais crois moi , si tu es contre , je ne t’en voudrais pas . Tu m’as dĂ©jĂ  donnĂ© tout ce que je dĂ©sirais de toi .

Un tel argument me laissa songeuse, et je partis prendre une douche. Sous l’eau, je dĂ©couvris mes lĂšvres enflĂ©es par tous les vas et viens de la veille, mais c’était loin d’ĂȘtre dĂ©sagrĂ©able. En fait, j’étais d’autant plus sensible, que le moindre effleurement de mes doigts sur ma vulve Ă©tait Ă©lectrisant. J’en profitais donc pour me procurer quelques caresses un peu plus douce, en prĂ©textant dans ma tĂȘte un toilettage complet et plus que nĂ©cessaire. Je commençais sĂ©rieusement Ă  m’interroger sur ma perversitĂ©. AprĂšs tout, je ne pouvais pas nier que mon bonheur venait de toute l’humiliation que j’avais ressentie et de la saletĂ© des choses que j’avais faites depuis que je connaissais Alice J’irais lĂ  oĂč elle voulait m’emmener. Jusqu’au bout de toutes perversitĂ© avec elle. Et puis ces amis avec plusieurs chiens 
.pourquoi pas aprĂšs tout J’avais ressenti tant de plaisir avec Hercule que je ne pouvais qu’en ressentir encore plus avec plusieurs et ressortir que plus heureuse Etre la chienne d’une meute entiĂšre 
.hummmmm ça ne devait pas ĂȘtre si dure que ça aprĂšs tout et Alice pourrait elle aussi participer et se faire prendre avec moi Deux chiennes possĂ©dĂ©es par une meute de chien.

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Partie 4

N’étais ce pas ce que j’avais dĂ©sirĂ© quand elle m’avait parlĂ© de ses amis C’est bien Ă  deux chiennes possĂ©dĂ©es par une meute de chiens que je nous avais comparĂ©es l’autre soir quand elle m’avait parlĂ© de ses amis. Et quand j’entendis Alain appeler les deux autres chiens ,que je vis ma tante se dĂ©lecter en apercevant les deux autres bĂȘtes accourir Ă  nous , je me dis que la fĂȘte n’était pas fini pour moi et que cette fois j’allais encore souffrir de ces accouplements. Le premier Ă©tait un beau dog allemand, d’une taille impressionnante, mais doux comme un agneau. Et le deuxiĂšme Ă©tait un chien de chasse plutĂŽt de la race des chiens courants. J’ai tout de suite compris qu’Alice adorait le dog et quelle avait du passer avec lui dĂ©jĂ  de bons et joyeux moments. Avec son gros museau ,il l’avait poussĂ©e Ă  terre et elle n’osait ou ne voulait plus se relever. La voyant ainsi Ă  quatre pattes, le dog alla fourrer son museau entre ses cuisses Alice sentait la langue rĂąpeuse du chien fouiller son intimitĂ©, elle n’osait pas bouger craignant qu’il ne s’arrĂȘte et qu’il ne veuille plus la lĂ©cher comme il le faisait si bien. La langue de Sultan Ă©tait dĂ©jĂ  grande et belle
mais celle du dog devait reprĂ©senter le double et de voir ma tante se trĂ©mousser ,je me doutais bien qu’elle devait lui donner beaucoup de plaisir. Elle se laissait aller au plaisir complĂštement soumise et heureuse . Sous les flancs de l’animal dardait un membre Ă©norme avec des bourses comme jamais je n’en avais vue
quelle rĂ©serve !!!comme ma tante va ĂȘtre heureuse ! Il Ă©tait d’un rouge vif et dĂ©goulinait de prĂ©mices de l’accouplement. . Alain , Claire et moi nous Ă©tions lĂ  Ă  nous dĂ©lecter du spectacle. Quand le dog eut fini de lĂ©cher toute les secrĂ©tions qui se dĂ©gageaient de son sexe , il entreprit de la monter. MalgrĂ© l’habitude qu’elle avait de la pratique, elle sentit le poids de l’énorme chien sur son dos, et la grosse bite canine venir cogner contre ses fesses. LubrifiĂ©e comme elle Ă©tait, il n’eut aucune difficultĂ© Ă  s’introduire en elle et commença Ă  la saillir, d’une rapiditĂ© telle qu’elle jouit presque instantanĂ©ment. – Oh , non, c’est dĂ©goĂ»tant, arrĂȘte, tu es trop gros, tu es trop long
.descends maintenant
. Mais elle ne pensait pas un traĂźtre mot de tout ce qu’elle disait, et ça rendait la scĂšne encore bien plus excitante. Alain et Claire se caressaient en regardant Alice qui se faisait prendre par leur chien, et l’encourageaient tout en la traitant de tous les noms, pendant que mes doigts Ă©taient de nouveau sur mon sexe Ă  caresser mes lĂšvres et mon clitoris turgescents.. Ainsi, les rĂąles de plaisir d’Alice se mĂȘlaient aux insultes d’Alain et Ă  mes gĂ©missements de plaisir tandis que le chien la fourrait sans relĂąche. TrĂšs vite, Alice sentit la queue animale grossir en elle. Il donna un dernier coup sec et s’enfonça profondĂ©ment pour se lier Ă  sa maĂźtresse et s’emprisonner en elle. Il cessa ses mouvements et, quand son nƓud l’eut dĂ©finitivement coincĂ©, il commença Ă  dĂ©verser tout son foutre dans sa chatte ,laissant ma tante crier trĂšs fort son plaisir. . Je la voyais qui essayait de s’emmancher encore plus loin sur le dard qui Ă©tait en elle ,ce qui eu pour effet de faire retourner le chien de dessus ses reins . Quel plaisir pour elle , quel merveilleux spectacle pour Alain et moi
c’est certainement ce qu’elle avait dĂ©sirĂ©e salope comme je la connaissais. Elle se trouvait collĂ©e comme une vĂ©ritable chienne et maintenant j’étais sure qu’elle en avait l’habitude et qu’elle aimait se retrouver dans cette position car Ă  aucun moment je n’ai vue sur son visage une larme ou un rictus de douleur. Elle continuait Ă  se servir de son sexe comme d’une ventouse et je la voyais qui aspirait et qui s’enfonçait encore plus sur la grosse bitte du dog . Je comprenais ce qu’elle ressentait ,non pas d’avoir Ă©tĂ© collĂ©e Ă  un chien ,mais d’avoir eu un sexe de chien dans le ventre et quand je me mis Ă  penser Ă  la grosseur de celui du dog ,je ne pus m’empĂȘcher d’avoir de nouveau envie d’un chien.

Je regardais Bill qui venait de finir de rĂ©cupĂ©rer. Je m’assis Ă  cĂŽtĂ© de lui et le pris entre mes bras.

Je l’aimais car il m’ avait procurĂ© beaucoup de bien , donnĂ© beaucoup de plaisir et de voir ma tante ainsi collĂ©e ,je voulais qu’il me prenne encore. J’ Ă©tais rĂ©solue Ă  montrer Ă  l’animal combien je l’aimais, aussi dĂ©cidais je de lui faire ce que j’avais commencĂ© tout Ă  l’heure. mes mains descendaient sous le poitrail du chien, et doucement, mes caresses s’orientaient vers le membre animal, qui aussitĂŽt sortit de son foureau. – Tu es un bon chien mon Bill, le meilleur, tu veux bien faire me faire plaisir si je te fais une petite surprise avant ? Oui, tu veux hein mon chien. mes lĂšvres s’approchĂšrent de son gros vit pour le prendre dans la bouche comme tout Ă  l’heure. J’avais trop aimĂ© et je voulais avaler son sperme cette fois.. Je le pris entiĂšrement dans sa bouche, et le suça longuement, tout en le caressant. TrĂšs vite, la bite de Bill prit des proportions qui m’empĂȘchĂšrent de l’engloutir complĂštement. . Alors je me contentais de boire Ă  la source tout le liquide qui sortait de l’énorme membre, tout en faisant tournoyer ma langue autour du « gland » canin. J’étais terriblement excitĂ©e par l’odeur qui se dĂ©gageait de cette Ă©trange pratique, et sentais maintenant combien mon vagin s’humidifiait, appelant au coĂŻt. Je me dĂ©barrassait hĂątivement de ma robe que j’avais gardĂ©e pour la premiĂšre saillie ,j’allais m’installer sur le canapĂ© et je tapotait sur ma chatte pour faire comprendre Ă  Bill que je n’en pouvais plus de l’attendre et qu’il devait me monter maintenant. -Viens, viens mon chien, allez, fait plaisir Ă  Caroline maintenant, montre-moi combien tu m’aimes, oui, viens ! Le chien ne se fit pas prier. D’un bond, il posa ses pattes d’un cĂŽtĂ© et de l’autre de mes flancs et, face Ă  moi, sa verge dressĂ©e, chercha Ă  me pĂ©nĂ©trer. Je sentais sa fourrure sur mes seins et j’adorais cette sensation et pendant que je regardais ma tante qui Ă©tait toujours collĂ© Ă  son dog , Bill s’introduisit en moi et commença ses vas et viens. – Oh oui Bill continue, comme c’est bon, continue oui c’est bien, mmmh
 Comme ça, oui, oui c’est bien mon chien, vas-y plus fort, oui encore
 J’avais fermĂ© les yeux, submergĂ©e par le plaisir. Je gĂ©missais, me tortillais Ă  le mĂȘme cadence qu’Alice allait Ă  la rencontre des mouvements de son partenaire, tout en m’empalant profondĂ©ment avec le membre de Bill. C’est comme si j’étais toute seule dans mon dĂ©lire et n’hĂ©sitais pas Ă  crier mon bonheur en de longs rĂąles, ce qui ne manqua pas d’attirer le chien de chasse qui Ă©tait restĂ© aux pieds de son maĂźtre. Un chien qui avec le flaire qu’il devait avoir , n’arrĂȘtait pas d’avoir la truffe en l’air avec toutes les effluves qui se dĂ©gageaient du sexe d’Alice et du mien. Mais Bill Ă©tait vissĂ© en moi comme le dog Ă©tait vissĂ© avec ma tante , me dĂ©versait tout son sperme dans le ventre et me transportait au paradis. -Tu en veux aussi hein ? personne ne pense Ă  toi. Attends ton tour mon chien, ça va venir, Bill a bientĂŽt fini. Mmmh, comme c’est bon de sentir ses flots tout chaud au fond de moi
 ExcitĂ©e comme je l’étais et rien qu’à l’idĂ©e de me faire prendre de nouveau par un autre chien , Ă  peine Bill se fut-il retirĂ© de moi ,que je me jetais au sol, Ă  quatre pattes cette fois, tapotant sur mes fesses pour faire comprendre Ă  l’autre que c’était le moment 
que j’étais prĂȘte Ă  devenir sa chienne. Celui-ci me nettoya par de rapides coups de langue, son sexe Ă©tait dĂ©jĂ  dehors, prĂȘt Ă  me saillir. Il avait beau essayer de me prendre, ses coups de reins allaient dans tous les sens, qu’il se trompa d’orifice et me l’introduisit d’un coup d’un seul entre les reins. -Ah non, non, pas par lĂ  ! je ne me suis pas encore remise du sexe de Bill ! Mais il Ă©tait trop tard pour reculer. Il avait dĂ©jĂ  envahi mon anus, et le dĂ©fonçait vigoureusement. Je ne peux pas dire que la douleur Ă©tait difficile Ă  supporter Ă©tant donnĂ© que mon anus ne s’était pas encore refermĂ© et que le sexe de ce chien Ă©tait nettement moins gros. À l’intĂ©rieur de mes reins ,je sentais le membre qui grossissait et me dilatait Ă  chaque coup de boutoir, si bien que je finis par jouir, trĂšs rapidement. Ce premier orgasme avec lui, me fit comprendre que chaque bĂȘte est diffĂ©rente, baise Ă  son rythme, Ă  sa propre taille, et que certains mĂȘme prĂ©fĂšrent la sodomie
 Il me fit subir ce traitement pendant une bonne demi-heure, et, en cela, il n’était pas plus endurant que Bill mais sa queue Ă©tait plus longue et plus fine, idĂ©ale pour ce genre de pratiques. Il s’enfonçait si profondĂ©ment que j’ hurlais deux fois plus fort mon plaisir. Il Ă©tait plus lent dans ses mouvements, mais il y allait plus loin.. Quand il se lia Ă  moi et dĂ©versa son foutre, je sentis le liquide Ă©clater entre mes parois anales et remonter au fond de moi Une sensation incomparable, une jouissance infinie, qui me fit presque tourner de l’Ɠil Nous Ă©tions toutes les deux collĂ©es Ă  nos mĂąles comme de vraies chiennes et nos regards en disaient long pour le plaisir que nous ressentions toutes les deux . Nous Ă©tions en communion totale et comme si nous n’étions plus qu’une , nous nous sommes mises Ă  jouir comme des folles . Je suis restĂ©e collĂ©e Ă  lui aussi longtemps que ma tante l’a Ă©tĂ© avec le dog. Il faut dire que pour ce dĂ©coller d’un dog ça ne doit pas ĂȘtre Ă©vident. J’avais subit les assauts de deux chiens , avant qu’elle n’arrive Ă  le faire elle mĂȘme. Ainsi coincĂ©s aussi longtemps qu’il l’avait pilonnĂ©e, et quand il sortit d’elle, son sexe Ă©tait aussi dilatĂ© que mon anus. Nous Ă©tions formĂ©es, dilatĂ©es, pour recevoir et accueillir dĂ©sormais toutes tailles de bitte avec tout le plaisir que ça pourrait nous donner. Quelle journĂ©e !!!Claire et Alain n’arrĂȘtaient pas de nous remercier de leur avoir donner Ă  toutes les deux , le meilleur spectacle qui leur Ă©tĂ© permis de voir.

Nous rentrĂąmes Ă  la maison, aprĂšs avoir pris gentiment congĂ©. Je ne sais pas pour Alice, mais j’étais sale, puais le sperme de toute sorte, la sueur, et l’alcool Bien que fatiguĂ©e Ă  en mourir , il fallait que je me lave pour enlever tout ce qui me recouvrait le corps. A peine fini, mon corps sentant de nouveau moi, je courus m’allonger sur le lit, pour plonger dans un profond sommeil rĂ©parateur. Alice elle aussi, Ă©tait extĂ©nuĂ©e. Elle se coucha prĂšs de moi, comme Ă  son habitude lorsqu’on passait la nuit ensemble, et m’enserra de ses bras, avec une tendresse qui contrastait vraiment avec toute la brutale autoritĂ© dont elle faisait preuve lors de nos Ă©bats
 En me rĂ©veillant, le lendemain matin, je vis qu’elle me regardait dormir, comme une amoureuse qui veille sur le sommeil de son amant . Je ne crois pas qu’à aucun moment je ne lui avais dĂ©sobĂ©i et je pense lui avoir prouver Ă  maintes fois combien j’étais amoureuse moi aussi d’elle. – Tu as bien dormi ? – Oui, mais j’ai un de ces mal de tĂȘte
 – Reste au lit, je t’amĂšne un comprimĂ© et je fais du cafĂ©. Ça t’apprendra Ă  boire comme ça et de te faire saillir comme tu l’as fait . J’espĂšre que tu t’en souviendras. » Ce n’était pas tant de ma cuite magistrale que j’allais me rappeler, mais plutĂŽt de cette incroyable partie de baise. Je me gardais bien de le lui dire, et acquiesçais, tandis qu’elle s’en allait chercher le prĂ©cieux cafĂ© qui allait me remettre sur pieds. – – Et toi
..ne me dis pas que tu n’as pas pris du plaisir avec le dog !!!
.Dis !!!tu crois que je pourrais le prendre moi aussi ?????????? – Si tu continues comme tu l’as fait hier , je suis sure que oui 
..mais attention Ă  toi ,il est vraiment gros ,trĂšs gros. – Oui en effet ,je l’ai vue quand il est ressorti de toi 
.quel machin ,mais comme ce doit ĂȘtre bon. Tu me raconteras ? – On verra, en attendant je vais nous faire le cafĂ©. – – Tu sais, me dit-elle en revenant, c’était trĂšs bien quand mĂȘme. Je suis trĂšs contente et trĂšs fiĂšre de toi Je ne m’attendais pas Ă  trouver une fille comme toi. Je pensais rencontrer quelqu’un de portĂ© sur le sexe, mais pas Ă  ce point
 Tu m’étonnes, et j’en suis vraiment contente 


– J’ai fait tout ce que tu me demandais et je ne sais pas si je dois continuer ,mais si c’est le cas , je t’obĂ©irais encore .

– Oui, mais je n’en attendais pas tant de toi, tu es pleine de surprises, et tu es trĂšs obĂ©issante. Tu sais prendre le plaisir lĂ  oĂč il est, l’attendre, supporter le pire pour y parvenir, et je n’ai pas l’impression que tu forces. Tu aimes vraiment tout ce que tu fais, mĂȘme si t’es pas toujours d’accord tout de suite. J’ai encore une ou deux idĂ©es en tĂȘte
 – – Je suis pas la seule Ă  ĂȘtre pleine de surprise, lui rĂ©pondis-je en redoutant ses nouvelles folies.

– Mais ça ne t’a pas dĂ©plu jusqu’à prĂ©sent, Ă  ce qu’il m’a semblé 

– Non
 fis-je en souriant

Alors continue Ă  me faire confiance. » J’ai avalĂ© mon cafĂ©, mon aspirine, et profitai de flemmarder au lit. Je regardais Alice tandis qu’elle me parlait, et j’avais l’impression de la connaĂźtre depuis toujours. En quelques semaines nous Ă©tions devenues vraiment proches, et je m’étais attachĂ©e Ă  elle, Ă  ses idĂ©es farfelues, Ă  ses fantasmes osĂ©s, pervers, mais si plaisants. Elle vint s’allonger prĂšs de moi, me prit dans ses bras. – On va faire de grandes choses ensemble, on sera heureuses toutes les deux 
.je t’aime Coralie Pour la premiĂšre fois elle m’avoua son amour et je sentais pour la premiĂšre fois que quelqu’un m’aimait vraiment .J’osais espĂ©rer seulement que ce n’était pas que pour assouvir sa soif de sexe Elle me prit dans ses bras et cette fois , ce n’était pas pour me sodomiser ou tout autre chose ,mais seulement pour me caresser et m’embrasser . C’était vraiment la premiĂšre fois qu’elle faisait preuve de tant de douceur, et je ne pouvais que rĂ©pondre Ă  son chaud baiser. AprĂšs tous ces Ă©bats dĂ©pourvus de sentiment, j’avais envie moi aussi d’un peu d’amour, de vrai. Ce baiser sembla la troubler, et son comportement changea. Elle se mit Ă  me caresser, la poitrine, le dos, avec une telle dĂ©licatesse, avec tant d’attention, que je me demandais si c’était bien la mĂȘme femme . Elle m’embrassait le cou, les seins, les bras, me caressait les hanches, si calmement, si tendrement, que je n’en revenais pas. Ses mains descendirent sur mon ventre, glissĂšrent jusqu’à mon clitoris qu’elle se mit Ă  titiller . Ce fut doux, trĂšs lent, mais tellement intense que je ne pus me retenir plus longtemps. Je fus parcourue de secousses et jouis ente ses doigts en silence, ma tĂȘte contre son Ă©paule, pleurant presque de bonheur. Elle s’écroula sur moi et resta lĂ , de longues minutes inoubliables, Ă  m’embrasser le visage, aprĂšs m’avoir enfin avouĂ© le fond de ses pensĂ©es. – Tu es mon rayon de soleil, tu es si belle, si jeune. Tu te donnes Ă  moi, et je suis contente de te rendre tout le plaisir que tu me donnes. Je ne sais pas combien de temps va durer notre histoire et la douleur qu’il va en rĂ©sulter pour toutes les deux. Mais pour le moment tu es Ă  moi , rien qu’à moi. Et si ce n’était que de moi , je te garderais indĂ©finiment. Nous restĂąmes longtemps au lit, Ă  nous prodiguer des caresses, tendrement, sans mot dire, tant le silence parlait pour nous. J’aimais cette femme moi aussi, je l’aimais avec une passion telle que je faisais tout ce qu’elle me demandait, que j’exauçais le moindre de ses souhaits, obĂ©issait inconditionnellement Ă  chacun de ses ordres, et elle venait de me faire pour la premiĂšre fois une dĂ©claration d’amour. Depuis quelques semaines, on partageait absolument tout. La plupart de nos nuits, notre plaisir, et des moments de vraie exaltation, de dĂ©couverte et de bonheur. Je dĂ©passais mes limites et ses espĂ©rances, je nous comblais, elle nous comblait, en fait on ne faisait plus qu’une. Ce qu’elle dĂ©cidait Ă©tait toujours fabuleux, et le fait de me soumettre Ă  elle ne m’avait jamais déçue. Nous avons passĂ© une journĂ©e de « repos », Ă  faire l’amour sans violence, sans perversion, juste l’amour. On s’est baignĂ© au lac, s’amusant Ă  coller nos corps nus dans l’eau, jouant comme des enfants, Ă  s’asperger, Ă  se couler. Le soir je lui ai prĂ©parĂ© un repas de fĂȘte, nous avons bu et ri jusqu’à tard dans la nuit, apprĂ©ciant simplement le fait d’ĂȘtre ensemble, notre simple prĂ©sence suffisant Ă  nous rendre heureuse. Nous nous sommes endormies l’une contre l’autre, et le matin, me rĂ©veillant plus tĂŽt qu’elle , je lui mis mes lĂšvres sur son sexe pour la faire jouir tant j’avais envie de ce corps nu contre le mien et j’étais si heureuse d’ĂȘtre avec elle ,si bien qu’elle sortit de ses rĂȘves pour en commencer un autre, celui d’une nouvelle journĂ©e, avec moi qui lui Ă©tais complĂštement dĂ©vouĂ©e. Rien de tel qu’une bonne langue au rĂ©veil, c’est mille fois mieux qu’un cafĂ©, et souvent, cela entraĂźne d’agrĂ©ables consĂ©quences.

Fin

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