Je mâappelle Svetlana. Je suis Russe.
Je vais vous raconter une histoire qui mâest arrivĂ©e quand jâavais 25 ans. JâĂ©tais dĂ©jĂ mariĂ©e mais je nâavais pas encore dâenfant.
Jâhabitais Ă Saint-Petersbourg. Ou plutĂŽt dans la banlieue. La lointaine banlieue, lĂ oĂč les logements Ă©taient moins chers. On est loin de la ville, mais dâun autre cĂŽtĂ©, on est Ă cĂŽtĂ© de la nature. Il suffisait de sortir de lâimmeuble et en moins de dix minutes de marche, on se retrouvait en forĂȘt.
Un samedi aprÚs midi, je suis sortie seule pour me promener. Mon mari était en ville pour affaires.
Jâavais pris un petit sac Ă dos avec quelques provisions et de lâeau. Je comptais marcher plusieurs heures. CâĂ©tait le dĂ©but de lâĂ©tĂ© et le jour se prolongeait trĂšs tard (le fameux soleil de minuit). Jâavais aussi un survĂȘtement chaud et une petite couverture dans mon sac, au cas oĂč la tempĂ©rature baisserait brusquement (câĂ©tait de toute façon le cas en soirĂ©e). Je me mis en route, vĂȘtue dâune petite robe et de baskets.
Je marchais depuis deux bonnes heures. JâĂ©tais vraiment seule. Peu de gens viennent en forĂȘt. En plus, elle est vaste et il est assez improbable de se croiser.
Dans une clairiĂšre, jâai dĂ©cidĂ© de faire une pause. Jâai mangĂ© un peu et je me suis allongĂ©e au pied dâun arbre pour faire un somme. Jâai mis la couverture sur mes jambes et je me suis assoupie, sans doute fatiguĂ©e par lâeffort.
Je ne sais pas combien de temps jâai dormi mais jâai Ă©tĂ© rĂ©veillĂ©e parce que je sentais des petits coups sur mes fesses au travers de la couverture. Jâai sursautĂ© et je me suis trĂšs vite redressĂ©e. CâĂ©tait un chien qui voulait me flairer. En voyant ma rĂ©action, il sâest reculĂ©.
Nous nous observions. Jâai vu quâil nâĂ©tait pas seul. Il y avait quatre autres chiens qui mâencerclaient. Je nâai pas peur des chiens dâordinaire, mais cette meute mâinquiĂ©tait. Dâautant que celui qui avait Ă©tĂ© le plus hardi se rapprochait de moi Ă nouveau en montrant les dents.
Je me suis prĂ©parĂ©e Ă partir, calmement. Jâai pris mon sac. Je me suis retournĂ©e pour me mettre Ă genoux et plier ma couverture pour la ranger. Ă ce moment lĂ , le chien mâa brusquement ceinturĂ©e, me faisant tomber vers lâavant par son poids. LĂ , jâai un peu paniquĂ©. Jâai compris quâil voulait me monter. Jâai essayĂ© de me dĂ©gager en me mettant debout mais il me maintenait fermement et me mordait le dos. Je suis restĂ©e Ă quatre pattes. Jâai senti quâil cherchait lâentrĂ©e. Jâessayais de me soustraire Ă ses coups de reins, mais Ă chaque fois que jâavançais mon bassin en prenant appui sur mes avant bras, il me ramenait Ă lui avec ses pattes avant.
Ma robe Ă©tait trop courte pour me protĂ©ger. Je sentais son sexe qui heurtait le haut de mes cuisses. Jâai essayĂ© de crier pour lâeffrayer, de le frapper par dessus mon Ă©paule, sans succĂšs. Inexorablement, je sentais de plus en plus que jâallais me faire violer. CâĂ©tait horrible, mais plus le chien insistait, plus je sentais mes forces diminuer.
Je nâavais que mon slip pour seul rempart contre ses assauts. Je savais quâil nâaurait de cesse avant dâĂȘtre parvenu Ă ses fins. Il pouvait tenter sa chance autant quâil le voulait, personne ne viendrait Ă mon secours. Et tĂŽt ou tard, il allait y arriver.
Nous luttions, moi pour me dĂ©gager, lui pour me maintenir. Il nâĂ©tait pas agressif Ă proprement parler. Il me faisait comprendre par des petites morsures quâil me voulait, que je ne devais pas lui rĂ©sister.
Je me suis mise Ă pleurer, de dĂ©sespoir. Et puis jâai arrĂȘtĂ© de me dĂ©battre. Jâai compris que je nâarriverai pas Ă lâempĂȘcher et je lâai laissĂ© faire, en sanglotant.
Je lâai senti donner des coups de sonde entre mes cuisses. Jâavais encore lâespoir quâil ne puisse pas passer le barrage de ma culotte mais je me rendais compte quâil tirait dessus par sa prise autour de ma taille et que le tissus Ă©tait tirebouchonnĂ© sur mes lĂšvres, laissant une bonne partie de mon sexe sans protection.
Jâai perdu mes illusions quand jai senti son sexe me pĂ©nĂ©trer. CâĂ©tait un tout petit bout qui venait dâĂ©carter le slip et forcer mes lĂšvres. Il Ă©tait dur et humide. Il est ressorti aussitĂŽt pour revenir et entrer plus profondĂ©ment. Il y eut trois ou quatre aller retours trĂšs rapides qui mâont mouillĂ© le vagin.
Le chien a dĂ» savoir dâinstinct quâil Ă©tait rentrĂ©. Il sâest mit Ă me saillir frĂ©nĂ©tiquement. Cette fois, je sentais son sexe tout entier dans mon vagin. Il Ă©tait gros et long. Il tapait mon utĂ©rus. Il y avait beaucoup de jus. Je ne sais pas si cela venait de moi ou de lui. Jâose espĂ©rer que je ne mouillais pas. Mais de toute façon, le rĂ©sultat Ă©tait le mĂȘme : jâĂ©tais trempĂ©e et il nây avait plus rien Ă faire pour Ă©viter quâil nâaille jusquâau bout.
Je fermais les yeux. Je me cramponnais. Je crois que je devais faire du bruit sans mâen rendre compte tellement les coups Ă©taient violents.
Il a Ă©jaculĂ© assez vite. DĂšs que son sperme a giclĂ©, il sâest arrĂȘtĂ©. Il Ă©tait plantĂ© au fond de mon vagin et il mâenvoyait sa semence par saccades. Le sexe pompait mais lui ne bougeait plus.
JâespĂ©rais que ce soit fini. Mais le chien restait sur moi. Il ne se retirait pas. Jâai mĂȘme eu lâimpression que ça enflait dans mon vagin. CâĂ©tait de plus en plus perceptible. Jâavais une boule qui grossissait Ă lâentrĂ©e de mon sexe. CâĂ©tait comme si on gonflait un ballon dans mon ventre. Plus ça mâenvahissait moins jâavais la possibilitĂ© dâexpulser ce corps Ă©tranger. Pire, mon vagin se refermait sur le sexe du chien.
Je me rappelais ce quâon disait Ă propos des accouplements canins : le chien reste collĂ© Ă la chienne. CâĂ©tait ce qui Ă©tait en train de nous arriver.
Je devais sacrĂ©ment grimacer tellement mon vagin Ă©tait distendu. Je me souviens que je gĂ©missais de douleur, dâautant plus que le chien sâest mis Ă tirer. CâĂ©tait comme sâil sâarrachait de moi. Pour parvenir Ă son but, il me griffait la fesse avec sa patte arriĂšre. Il cherchait Ă prendre appui. Mais nous Ă©tions tellement soudĂ©s lâun Ă lâautre que tout ce quâil arriva Ă faire câest Ă se retourner. Nous Ă©tions cul Ă cul, tous les deux Ă quatre pattes, nous tournant le dos. Il Ă©tait toujours fortement ancrĂ© en moi.
Bizarrement, bien que je lâavais nettement senti Ă©jaculer, il continuait Ă mâenvoyer des jets. Il me remplissait petit Ă petit, alors que mon vagin Ă©tait dĂ©jĂ comble. Son sexe ne sâarrĂȘtait pas de pulser, toutes les quatre ou cinq secondes. Heureusement, il avait cessĂ© de tirer et restait bien sagement Ă mes cĂŽtĂ©s, attendant que ça passe.
Je commençais Ă dĂ©sespĂ©rer. Cela faisait facilement dix minutes que nous Ă©tions attachĂ©s, peut-ĂȘtre plus. Je me demandais si on nâallait pas rester comme ça toute la nuit. Jâimaginais les choses les plus extravagantes, mon mari allant voir la police pour signaler ma disparition.
Je me suis dit que le chien devait savoir, lui. Son calme devait signifier quâil suffisait de patienter. Je pris exemple sur lui et me concentrai sur mon vagin, Ă lâaffĂ»t dâun signe montrant que la dĂ©livrance approchait. Mais le sexe Ă©tait toujours en moi, formidablement dilatĂ©. Et je continuais Ă recevoir ce jus qui mâimprĂ©gnait. JâĂ©tais tellement pleine que mon sexe Ă©tait hermĂ©tiquement fermĂ©. Pas une goutte de ce que le chien giclait ne ressortait.
Le chien sâest remis Ă tirer, essayant tout simplement de sâĂ©loigner de moi. Mais ça rĂ©sistait encore terriblement. La boule Ă©cartait mes chairs en progressant vers la sortie. Je nâavais encore jamais accouchĂ© de ma vie mais câĂ©tait en train de mâarriver. Je nâavais pas de force pour accĂ©lĂ©rer ce dĂ©chirement et en finir au plus vite.
MalgrĂ© la souffrance, mon optimisme grandissait. Je sentais que ça sortait, tout doucement. Mais plus ça sortait, plus jâĂ©tais Ă©largie sans que je puisse rien y faire. Jâaurais voulu contracter mon vagin mais je nâavais aucune Ă©nergie pour serrer mes fesses. Je me souviens que jâouvrais la bouche en mĂȘme temps que le chien mâouvrait le ventre. Je baissais la tĂȘte, je plissais mes yeux, je rĂąlais de douleur. CâĂ©tait un poing qui sortait de moi. Un poing dâhomme. Un poing de gĂ©ant. Mon sexe sâĂ©cartait mais mon vagin ne dĂ©semplissait pas. Je sentais le bulbe qui tendait mes lĂšvres mais aussi le pĂ©nis qui me prenait jusquâau fond, jusquâĂ lâutĂ©rus. Il continuait Ă cracher rĂ©guliĂšrement et le liquide sâaccumulait.
La sĂ©paration sâest faite dâun coup. La boule a franchi la sortie et le sexe a suivi, avec un flot qui sâest dĂ©versĂ© comme si on venait de faire sauter un bouchon.
Jâai eu un cri au moment du dĂ©collement. Je me suis relevĂ©e avec difficultĂ© tellement mes jambes Ă©taient faibles. Le chien sâest Ă©loignĂ©. Jâai regardĂ© son sexe qui Ă©tait encore raide et qui pendait sous son poitrail. CâĂ©tait un sacrĂ© morceau. Je voyais le renflement Ă la base, qui faisait penser Ă des testicules, mais qui nâĂ©tait que le bulbe qui mâavait tant meurtri.
Je me suis approchĂ©e de mon sac pour rassembler mes affaires et partir. Mais un autre chien sâest approchĂ©. Il sâest dressĂ© sur ses antĂ©rieures et mâa bousculĂ©e. Jâavais encore les jambes en coton et jâai Ă©tĂ© dĂ©sĂ©quilibrĂ©e. Je suis tombĂ©e en arriĂšre. Jâai vite essayĂ© de fuir. Le chien Ă©tait sur moi. Je me suis mise Ă ramper Ă reculons. Je me suis retournĂ©e pour me relever et Ă ce moment lĂ , le chien mâa ceinturĂ©e. Je me retrouvais dans la mĂȘme posture, avec un autre animal sur le dos. Il Ă©tait aussi fort que le premier. Je nâai pas luttĂ© longtemps.
Il mâa prise assez vite. Le slip nâĂ©tait plus sur la fente et mon vagin ne sâĂ©tait pas encore totalement refermĂ© et en plus, jâĂ©tais trempĂ©e Ă cause de la saillie que je venais de subir. De nouveau, jâai senti cet accouplement frĂ©nĂ©tique. Je savais Ă quoi mâen tenir. Le chien forniquait Ă toute allure, comme sâil Ă©tait pressĂ© dâen finir. Il a joui. Je savais quâil allait grossir en moi. Lui aussi a occupĂ© tout le volume de ma cavitĂ© vaginale.
JâĂ©tais fatiguĂ©e, mes bras tremblaient. Jâai posĂ© ma tĂȘte par terre. Je devais avoir lâair dâune chienne attendant la fin de son insĂ©mination. Jâavais les fesses en lâair, le chien clouĂ© dans mon sexe et mon buste reposait sur le sol. Je soufflais. JâĂ©tais moins crispĂ©e que la premiĂšre fois. Je sentais le chien me gicler son liquide chaud. Les sensations Ă©taient toujours aussi fortes, mais peut-ĂȘtre moins douloureuses parce que je les avais dĂ©jĂ Ă©prouvĂ©es.
Le chien sâest retournĂ©. Le mĂȘme processus, lent, sâest rĂ©pĂ©tĂ©. Le sexe sâest mis Ă enfler rapidement, me comblant au delĂ du possible. Puis, jâai senti un jet qui fusait. Ă chaque pulsation je recevais une giclĂ©e. Cela dura moins longtemps, peut-ĂȘtre parce que mon vagin Ă©tait dĂ©jĂ distendu ce qui a pu faciliter la progression du membre vers la sortie.
Lâexpulsion sâest accompagnĂ©e du mĂȘme flot de liqueur qui a jailli de mon vagin. Un troisiĂšme chien Ă©tait dĂ©jĂ en train de me tourner autour.
Le chien qui venait de me couvrir sâest Ă©loignĂ© et jâai eu de nouveau la curiositĂ© de regarder son sexe. Il Ă©tait rouge, massif, avec une petite pointe Ă une extrĂ©mitĂ© et le bulbe de lâautre cĂŽtĂ©. Jâai vu quâil continuait Ă envoyer des jets de liquide.
Son remplaçant est venu flairer mes fesses. Il sâest mis Ă lĂ©cher le sperme de son prĂ©dĂ©cesseur. Je restais le visage au sol, les fesses en lâair, le laissant faire. JâĂ©tais rĂ©signĂ©e.
Il sâest dĂ©cidĂ©. Il a posĂ© ses pattes avant sur mes hanches, les a laissĂ© glisser et mâa ceinturĂ©e. Comme les deux autres, il a tĂątonnĂ© quelques instants puis il a trouvĂ© lâouverture et il mâa baisĂ©e. Il mâa envoyĂ© son sperme en Ă©jaculant. Son sexe mâa envahi, comme les deux autres. Je lâai verrouillĂ© dans mon vagin, sans pouvoir faire autrement. Il mâa rempli de jus pendant de longues minutes. Il nâĂ©tait pas encore ressorti que le quatriĂšme faisait dĂ©jĂ la queue. Je souffrais affreusement du vagin tellement mes chairs avaient Ă©tĂ© malmenĂ©es. Mais je nâavais plus la force de mâopposer Ă ces saillies.
Le quatriĂšme mâa prise lui aussi, puis le cinquiĂšme.
CâĂ©tait fini. Je suis restĂ©e prostrĂ©e plusieurs minutes. Je sentais le sperme couler le long de mes cuisses. Je suis tombĂ©e sur le cĂŽtĂ© et je suis restĂ©e en chien de fusil, pleurant sur mon sort. Les chiens sont partis sans se soucier de moi.
Au bout dâun long moment, je me suis assise et jâai essayĂ© dâĂ©valuer les dĂ©gĂąts, sur mon sexe, sur mes cuisses, sur mes fesses. JâĂ©tais griffĂ©e de partout, ma vulve Ă©tait une masse informe, rouge, enflammĂ©e, distendue. Jâai essayĂ© de toucher mais câĂ©tait trĂšs douloureux.
Jâai pris mon survĂȘtement dans le sac Ă dos. Jâai retirĂ© ma robe et je me suis changĂ©e. Jâai enlevĂ© ma culotte. Elle Ă©tait maculĂ©e de sperme et elle me faisait mal.
Jâai pris mon sac et je me suis mise en route pour rentrer Ă la maison. Jâavais du mal Ă marcher. Mes jambes ne me portaient presque plus. Les frottements Ă©taient pĂ©nibles. Mais petit Ă petit, jâai pris un rythme rĂ©gulier, pas trĂšs rapide. La marche de retour fut un long calvaire. Chemin faisant, jâessayais de mettre de lâordre dans ma tenue, effacer les traces, en commençant par le visage qui devait ĂȘtre plein de larmes sĂ©chĂ©es.
Quand je suis arrivĂ©e Ă la maison, mon mari Ă©tait rentrĂ©. Il commençait Ă ĂȘtre inquiet. Je ne lui ai rien dit bien que mon corps portait les marques de ce qui sâĂ©tait passĂ©, mon sexe plein de sperme sĂ©chĂ© et mes fesses zĂ©brĂ©es de griffures. Je suis vite allĂ©e prendre une douche, expliquant que ça allait me faire du bien aprĂšs une longue marche. Je me suis passĂ©e de la crĂšme apaisante sur mes blessures, autant pour me soulager que pour faire en sorte que mon mari ne remarque rien et ne me pose pas de questions embarrassantes.
Le soir, jâai fermĂ© les volets, prĂ©textant quâavec la clartĂ© qui allait persister une bonne partie de la nuit, nous ne pourrions pas dormir correctement. Cela mâa permis de me dĂ©shabiller dans la pĂ©nombre. Au lieu de ma nuisette habituelle, jâai passĂ© un pyjama. Cette tenue peu sexy nâa pas empĂȘchĂ© mon mari de me solliciter pour faire lâamour. Sâil y avait une chose dont je nâavais pas envie, câĂ©tait dâavoir un rapport sexuel. Mais je lâai laissĂ© faire. Pour autant, je nâavais pas la force de participer. La pĂ©nĂ©tration fut trĂšs douloureuse mais jâai fait en sorte que mes gĂ©missements de douleur passent pour du plaisir.
Petit Ă petit, tout est rentrĂ© dans lâordre. DĂšs le lendemain, jâavais lavĂ© mes vĂȘtements qui sentaient le chien Ă plein nez. AprĂšs quelques jours, les griffures ont disparu et je pus abandonner le pyjama. Pour mon sexe, ce fut plus long. Il restait boursoufflĂ©, violacĂ©, inhabituellement flasque. Heureusement pour moi en ces circonstances, mon mari nâest pas un adepte du sexe oral et il ne regardait pas vraiment lĂ oĂč il fourrait sa verge. NĂ©anmoins, le devoir conjugal Ă©tait devenu pour moi un vrai calvaire.
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