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đŸ‡«đŸ‡· La forĂȘt – Partie 1

4.6
(14)

Je m’appelle Svetlana. Je suis Russe.

Je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivĂ©e quand j’avais 25 ans. J’étais dĂ©jĂ  mariĂ©e mais je n’avais pas encore d’enfant.

J’habitais Ă  Saint-Petersbourg. Ou plutĂŽt dans la banlieue. La lointaine banlieue, lĂ  oĂč les logements Ă©taient moins chers. On est loin de la ville, mais d’un autre cĂŽtĂ©, on est Ă  cĂŽtĂ© de la nature. Il suffisait de sortir de l’immeuble et en moins de dix minutes de marche, on se retrouvait en forĂȘt.

Un samedi aprÚs midi, je suis sortie seule pour me promener. Mon mari était en ville pour affaires.

J’avais pris un petit sac Ă  dos avec quelques provisions et de l’eau. Je comptais marcher plusieurs heures. C’était le dĂ©but de l’étĂ© et le jour se prolongeait trĂšs tard (le fameux soleil de minuit). J’avais aussi un survĂȘtement chaud et une petite couverture dans mon sac, au cas oĂč la tempĂ©rature baisserait brusquement (c’était de toute façon le cas en soirĂ©e). Je me mis en route, vĂȘtue d’une petite robe et de baskets.

Je marchais depuis deux bonnes heures. J’étais vraiment seule. Peu de gens viennent en forĂȘt. En plus, elle est vaste et il est assez improbable de se croiser.

Dans une clairiĂšre, j’ai dĂ©cidĂ© de faire une pause. J’ai mangĂ© un peu et je me suis allongĂ©e au pied d’un arbre pour faire un somme. J’ai mis la couverture sur mes jambes et je me suis assoupie, sans doute fatiguĂ©e par l’effort.

Je ne sais pas combien de temps j’ai dormi mais j’ai Ă©tĂ© rĂ©veillĂ©e parce que je sentais des petits coups sur mes fesses au travers de la couverture. J’ai sursautĂ© et je me suis trĂšs vite redressĂ©e. C’était un chien qui voulait me flairer. En voyant ma rĂ©action, il s’est reculĂ©.

Nous nous observions. J’ai vu qu’il n’était pas seul. Il y avait quatre autres chiens qui m’encerclaient. Je n’ai pas peur des chiens d’ordinaire, mais cette meute m’inquiĂ©tait. D’autant que celui qui avait Ă©tĂ© le plus hardi se rapprochait de moi Ă  nouveau en montrant les dents.

Je me suis prĂ©parĂ©e Ă  partir, calmement. J’ai pris mon sac. Je me suis retournĂ©e pour me mettre Ă  genoux et plier ma couverture pour la ranger. À ce moment lĂ , le chien m’a brusquement ceinturĂ©e, me faisant tomber vers l’avant par son poids. LĂ , j’ai un peu paniquĂ©. J’ai compris qu’il voulait me monter. J’ai essayĂ© de me dĂ©gager en me mettant debout mais il me maintenait fermement et me mordait le dos. Je suis restĂ©e Ă  quatre pattes. J’ai senti qu’il cherchait l’entrĂ©e. J’essayais de me soustraire Ă  ses coups de reins, mais Ă  chaque fois que j’avançais mon bassin en prenant appui sur mes avant bras, il me ramenait Ă  lui avec ses pattes avant.

Ma robe Ă©tait trop courte pour me protĂ©ger. Je sentais son sexe qui heurtait le haut de mes cuisses. J’ai essayĂ© de crier pour l’effrayer, de le frapper par dessus mon Ă©paule, sans succĂšs. Inexorablement, je sentais de plus en plus que j’allais me faire violer. C’était horrible, mais plus le chien insistait, plus je sentais mes forces diminuer.

Je n’avais que mon slip pour seul rempart contre ses assauts. Je savais qu’il n’aurait de cesse avant d’ĂȘtre parvenu Ă  ses fins. Il pouvait tenter sa chance autant qu’il le voulait, personne ne viendrait Ă  mon secours. Et tĂŽt ou tard, il allait y arriver.

Nous luttions, moi pour me dĂ©gager, lui pour me maintenir. Il n’était pas agressif Ă  proprement parler. Il me faisait comprendre par des petites morsures qu’il me voulait, que je ne devais pas lui rĂ©sister.

Je me suis mise Ă  pleurer, de dĂ©sespoir. Et puis j’ai arrĂȘtĂ© de me dĂ©battre. J’ai compris que je n’arriverai pas Ă  l’empĂȘcher et je l’ai laissĂ© faire, en sanglotant.

Je l’ai senti donner des coups de sonde entre mes cuisses. J’avais encore l’espoir qu’il ne puisse pas passer le barrage de ma culotte mais je me rendais compte qu’il tirait dessus par sa prise autour de ma taille et que le tissus Ă©tait tirebouchonnĂ© sur mes lĂšvres, laissant une bonne partie de mon sexe sans protection.

J’ai perdu mes illusions quand jai senti son sexe me pĂ©nĂ©trer. C’était un tout petit bout qui venait d’écarter le slip et forcer mes lĂšvres. Il Ă©tait dur et humide. Il est ressorti aussitĂŽt pour revenir et entrer plus profondĂ©ment. Il y eut trois ou quatre aller retours trĂšs rapides qui m’ont mouillĂ© le vagin.

Le chien a dĂ» savoir d’instinct qu’il Ă©tait rentrĂ©. Il s’est mit Ă  me saillir frĂ©nĂ©tiquement. Cette fois, je sentais son sexe tout entier dans mon vagin. Il Ă©tait gros et long. Il tapait mon utĂ©rus. Il y avait beaucoup de jus. Je ne sais pas si cela venait de moi ou de lui. J’ose espĂ©rer que je ne mouillais pas. Mais de toute façon, le rĂ©sultat Ă©tait le mĂȘme : j’étais trempĂ©e et il n’y avait plus rien Ă  faire pour Ă©viter qu’il n’aille jusqu’au bout.

Je fermais les yeux. Je me cramponnais. Je crois que je devais faire du bruit sans m’en rendre compte tellement les coups Ă©taient violents.

Il a Ă©jaculĂ© assez vite. DĂšs que son sperme a giclĂ©, il s’est arrĂȘtĂ©. Il Ă©tait plantĂ© au fond de mon vagin et il m’envoyait sa semence par saccades. Le sexe pompait mais lui ne bougeait plus.

J’espĂ©rais que ce soit fini. Mais le chien restait sur moi. Il ne se retirait pas. J’ai mĂȘme eu l’impression que ça enflait dans mon vagin. C’était de plus en plus perceptible. J’avais une boule qui grossissait Ă  l’entrĂ©e de mon sexe. C’était comme si on gonflait un ballon dans mon ventre. Plus ça m’envahissait moins j’avais la possibilitĂ© d’expulser ce corps Ă©tranger. Pire, mon vagin se refermait sur le sexe du chien.

Je me rappelais ce qu’on disait Ă  propos des accouplements canins : le chien reste collĂ© Ă  la chienne. C’était ce qui Ă©tait en train de nous arriver.

Je devais sacrĂ©ment grimacer tellement mon vagin Ă©tait distendu. Je me souviens que je gĂ©missais de douleur, d’autant plus que le chien s’est mis Ă  tirer. C’était comme s’il s’arrachait de moi. Pour parvenir Ă  son but, il me griffait la fesse avec sa patte arriĂšre. Il cherchait Ă  prendre appui. Mais nous Ă©tions tellement soudĂ©s l’un Ă  l’autre que tout ce qu’il arriva Ă  faire c’est Ă  se retourner. Nous Ă©tions cul Ă  cul, tous les deux Ă  quatre pattes, nous tournant le dos. Il Ă©tait toujours fortement ancrĂ© en moi.

Bizarrement, bien que je l’avais nettement senti Ă©jaculer, il continuait Ă  m’envoyer des jets. Il me remplissait petit Ă  petit, alors que mon vagin Ă©tait dĂ©jĂ  comble. Son sexe ne s’arrĂȘtait pas de pulser, toutes les quatre ou cinq secondes. Heureusement, il avait cessĂ© de tirer et restait bien sagement Ă  mes cĂŽtĂ©s, attendant que ça passe.

Je commençais Ă  dĂ©sespĂ©rer. Cela faisait facilement dix minutes que nous Ă©tions attachĂ©s, peut-ĂȘtre plus. Je me demandais si on n’allait pas rester comme ça toute la nuit. J’imaginais les choses les plus extravagantes, mon mari allant voir la police pour signaler ma disparition.

Je me suis dit que le chien devait savoir, lui. Son calme devait signifier qu’il suffisait de patienter. Je pris exemple sur lui et me concentrai sur mon vagin, Ă  l’affĂ»t d’un signe montrant que la dĂ©livrance approchait. Mais le sexe Ă©tait toujours en moi, formidablement dilatĂ©. Et je continuais Ă  recevoir ce jus qui m’imprĂ©gnait. J’étais tellement pleine que mon sexe Ă©tait hermĂ©tiquement fermĂ©. Pas une goutte de ce que le chien giclait ne ressortait.

Le chien s’est remis Ă  tirer, essayant tout simplement de s’éloigner de moi. Mais ça rĂ©sistait encore terriblement. La boule Ă©cartait mes chairs en progressant vers la sortie. Je n’avais encore jamais accouchĂ© de ma vie mais c’était en train de m’arriver. Je n’avais pas de force pour accĂ©lĂ©rer ce dĂ©chirement et en finir au plus vite.

MalgrĂ© la souffrance, mon optimisme grandissait. Je sentais que ça sortait, tout doucement. Mais plus ça sortait, plus j’étais Ă©largie sans que je puisse rien y faire. J’aurais voulu contracter mon vagin mais je n’avais aucune Ă©nergie pour serrer mes fesses. Je me souviens que j’ouvrais la bouche en mĂȘme temps que le chien m’ouvrait le ventre. Je baissais la tĂȘte, je plissais mes yeux, je rĂąlais de douleur. C’était un poing qui sortait de moi. Un poing d’homme. Un poing de gĂ©ant. Mon sexe s’écartait mais mon vagin ne dĂ©semplissait pas. Je sentais le bulbe qui tendait mes lĂšvres mais aussi le pĂ©nis qui me prenait jusqu’au fond, jusqu’à l’utĂ©rus. Il continuait Ă  cracher rĂ©guliĂšrement et le liquide s’accumulait.

La sĂ©paration s’est faite d’un coup. La boule a franchi la sortie et le sexe a suivi, avec un flot qui s’est dĂ©versĂ© comme si on venait de faire sauter un bouchon.

J’ai eu un cri au moment du dĂ©collement. Je me suis relevĂ©e avec difficultĂ© tellement mes jambes Ă©taient faibles. Le chien s’est Ă©loignĂ©. J’ai regardĂ© son sexe qui Ă©tait encore raide et qui pendait sous son poitrail. C’était un sacrĂ© morceau. Je voyais le renflement Ă  la base, qui faisait penser Ă  des testicules, mais qui n’était que le bulbe qui m’avait tant meurtri.

Je me suis approchĂ©e de mon sac pour rassembler mes affaires et partir. Mais un autre chien s’est approchĂ©. Il s’est dressĂ© sur ses antĂ©rieures et m’a bousculĂ©e. J’avais encore les jambes en coton et j’ai Ă©tĂ© dĂ©sĂ©quilibrĂ©e. Je suis tombĂ©e en arriĂšre. J’ai vite essayĂ© de fuir. Le chien Ă©tait sur moi. Je me suis mise Ă  ramper Ă  reculons. Je me suis retournĂ©e pour me relever et Ă  ce moment lĂ , le chien m’a ceinturĂ©e. Je me retrouvais dans la mĂȘme posture, avec un autre animal sur le dos. Il Ă©tait aussi fort que le premier. Je n’ai pas luttĂ© longtemps.

Il m’a prise assez vite. Le slip n’était plus sur la fente et mon vagin ne s’était pas encore totalement refermĂ© et en plus, j’étais trempĂ©e Ă  cause de la saillie que je venais de subir. De nouveau, j’ai senti cet accouplement frĂ©nĂ©tique. Je savais Ă  quoi m’en tenir. Le chien forniquait Ă  toute allure, comme s’il Ă©tait pressĂ© d’en finir. Il a joui. Je savais qu’il allait grossir en moi. Lui aussi a occupĂ© tout le volume de ma cavitĂ© vaginale.

J’étais fatiguĂ©e, mes bras tremblaient. J’ai posĂ© ma tĂȘte par terre. Je devais avoir l’air d’une chienne attendant la fin de son insĂ©mination. J’avais les fesses en l’air, le chien clouĂ© dans mon sexe et mon buste reposait sur le sol. Je soufflais. J’étais moins crispĂ©e que la premiĂšre fois. Je sentais le chien me gicler son liquide chaud. Les sensations Ă©taient toujours aussi fortes, mais peut-ĂȘtre moins douloureuses parce que je les avais dĂ©jĂ  Ă©prouvĂ©es.

Le chien s’est retournĂ©. Le mĂȘme processus, lent, s’est rĂ©pĂ©tĂ©. Le sexe s’est mis Ă  enfler rapidement, me comblant au delĂ  du possible. Puis, j’ai senti un jet qui fusait. À chaque pulsation je recevais une giclĂ©e. Cela dura moins longtemps, peut-ĂȘtre parce que mon vagin Ă©tait dĂ©jĂ  distendu ce qui a pu faciliter la progression du membre vers la sortie.

L’expulsion s’est accompagnĂ©e du mĂȘme flot de liqueur qui a jailli de mon vagin. Un troisiĂšme chien Ă©tait dĂ©jĂ  en train de me tourner autour.

Le chien qui venait de me couvrir s’est Ă©loignĂ© et j’ai eu de nouveau la curiositĂ© de regarder son sexe. Il Ă©tait rouge, massif, avec une petite pointe Ă  une extrĂ©mitĂ© et le bulbe de l’autre cĂŽtĂ©. J’ai vu qu’il continuait Ă  envoyer des jets de liquide.

Son remplaçant est venu flairer mes fesses. Il s’est mis Ă  lĂ©cher le sperme de son prĂ©dĂ©cesseur. Je restais le visage au sol, les fesses en l’air, le laissant faire. J’étais rĂ©signĂ©e.

Il s’est dĂ©cidĂ©. Il a posĂ© ses pattes avant sur mes hanches, les a laissĂ© glisser et m’a ceinturĂ©e. Comme les deux autres, il a tĂątonnĂ© quelques instants puis il a trouvĂ© l’ouverture et il m’a baisĂ©e. Il m’a envoyĂ© son sperme en Ă©jaculant. Son sexe m’a envahi, comme les deux autres. Je l’ai verrouillĂ© dans mon vagin, sans pouvoir faire autrement. Il m’a rempli de jus pendant de longues minutes. Il n’était pas encore ressorti que le quatriĂšme faisait dĂ©jĂ  la queue. Je souffrais affreusement du vagin tellement mes chairs avaient Ă©tĂ© malmenĂ©es. Mais je n’avais plus la force de m’opposer Ă  ces saillies.

Le quatriùme m’a prise lui aussi, puis le cinquiùme.

C’était fini. Je suis restĂ©e prostrĂ©e plusieurs minutes. Je sentais le sperme couler le long de mes cuisses. Je suis tombĂ©e sur le cĂŽtĂ© et je suis restĂ©e en chien de fusil, pleurant sur mon sort. Les chiens sont partis sans se soucier de moi.

Au bout d’un long moment, je me suis assise et j’ai essayĂ© d’évaluer les dĂ©gĂąts, sur mon sexe, sur mes cuisses, sur mes fesses. J’étais griffĂ©e de partout, ma vulve Ă©tait une masse informe, rouge, enflammĂ©e, distendue. J’ai essayĂ© de toucher mais c’était trĂšs douloureux.

J’ai pris mon survĂȘtement dans le sac Ă  dos. J’ai retirĂ© ma robe et je me suis changĂ©e. J’ai enlevĂ© ma culotte. Elle Ă©tait maculĂ©e de sperme et elle me faisait mal.

J’ai pris mon sac et je me suis mise en route pour rentrer Ă  la maison. J’avais du mal Ă  marcher. Mes jambes ne me portaient presque plus. Les frottements Ă©taient pĂ©nibles. Mais petit Ă  petit, j’ai pris un rythme rĂ©gulier, pas trĂšs rapide. La marche de retour fut un long calvaire. Chemin faisant, j’essayais de mettre de l’ordre dans ma tenue, effacer les traces, en commençant par le visage qui devait ĂȘtre plein de larmes sĂ©chĂ©es.

Quand je suis arrivĂ©e Ă  la maison, mon mari Ă©tait rentrĂ©. Il commençait Ă  ĂȘtre inquiet. Je ne lui ai rien dit bien que mon corps portait les marques de ce qui s’était passĂ©, mon sexe plein de sperme sĂ©chĂ© et mes fesses zĂ©brĂ©es de griffures. Je suis vite allĂ©e prendre une douche, expliquant que ça allait me faire du bien aprĂšs une longue marche. Je me suis passĂ©e de la crĂšme apaisante sur mes blessures, autant pour me soulager que pour faire en sorte que mon mari ne remarque rien et ne me pose pas de questions embarrassantes.

Le soir, j’ai fermĂ© les volets, prĂ©textant qu’avec la clartĂ© qui allait persister une bonne partie de la nuit, nous ne pourrions pas dormir correctement. Cela m’a permis de me dĂ©shabiller dans la pĂ©nombre. Au lieu de ma nuisette habituelle, j’ai passĂ© un pyjama. Cette tenue peu sexy n’a pas empĂȘchĂ© mon mari de me solliciter pour faire l’amour. S’il y avait une chose dont je n’avais pas envie, c’était d’avoir un rapport sexuel. Mais je l’ai laissĂ© faire. Pour autant, je n’avais pas la force de participer. La pĂ©nĂ©tration fut trĂšs douloureuse mais j’ai fait en sorte que mes gĂ©missements de douleur passent pour du plaisir.

Petit Ă  petit, tout est rentrĂ© dans l’ordre. DĂšs le lendemain, j’avais lavĂ© mes vĂȘtements qui sentaient le chien Ă  plein nez. AprĂšs quelques jours, les griffures ont disparu et je pus abandonner le pyjama. Pour mon sexe, ce fut plus long. Il restait boursoufflĂ©, violacĂ©, inhabituellement flasque. Heureusement pour moi en ces circonstances, mon mari n’est pas un adepte du sexe oral et il ne regardait pas vraiment lĂ  oĂč il fourrait sa verge. NĂ©anmoins, le devoir conjugal Ă©tait devenu pour moi un vrai calvaire.

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