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🇫🇷 La forêt – Partie 2

4.9
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Retour à la première partie

Vous devez vous demander pourquoi je vous ai décrit ce viol avec autant de détails. Vous allez comprendre en lisant la suite.

Tous les samedis, je partais me balader, toujours dans la forêt qui jouxtait notre immeuble.

Bien sûr, j’avais des appréhensions. Mais d’une part, j’essayais de ne pas trop m’éloigner, et d’autre part, je prenais des itinéraires différents.

Le premier samedi, je ne suis restée qu’une heure. Puis, les samedis suivants, j’ai progressivement augmenté la durée de mes randonnées.

Vers la fin juillet, je me suis risquée pour la première fois à aller vers l’endroit où j’avais rencontré les chiens. Je m’étais équipée de mon sac à dos avec un peu de nourriture et surtout, j’avais mis mon survêtement plutôt qu’une robe.

Au fur et à mesure que j’approchais de la clairière, j’avais de plus en plus d’inquiétude. C’était un sentiment étrange, mêlé de crainte et d’une sensation de creux dans le bas-ventre. J’étais attentive aux bruits. Je faisais de fréquentes pauses pour écouter. Tout était silencieux, sauf le vent sur la cime des arbres.

Une fois arrivée à la clairière, je me suis assise et j’ai mangé une partie de mes provisions. J’aurais bien fait la sieste, mais je n’osais pas m’assoupir. Je voulais rester sur le qui-vive.

Cela faisait plus d’une heure que je m’étais arrêtée quand je les ai vus. C’étaient eux, je les reconnaissais, tous les cinq. J’ai hésité. Je me suis dit que si je fuyais, ils allaient me courir après et je n’avais aucune chance de les semer. D’un autre côté, je pouvais peut-être les amadouer et ensuite, repartir tranquillement sans qu’ils me suivent.

Assez rapidement je n’eus plus le choix. Ils m’entouraient. Ils s’approchaient prudemment, les oreilles basses. Ils flairaient. Celui qui semblait être le mâle dominant dans la meute vint jusqu’à moi. J’étais toujours assise et je n’en menais pas large. Il chercha à glisser sa truffe entre mes cuisses. Je le repoussai sans brutalité. D’après mon expérience précédente, j’avais appris que je ne devais sous aucun prétexte me retourner. Se retrouver à quatre pattes, c’était se faire ceinturer à coup sûr.

Le chien revint à la charge, semblant s’exciter. Je voyais le bout rouge de son sexe émerger de sa gangue de poils. Je me suis dit que j’aurais dû me mettre debout pour le dominer. Mais c’était trop tard parce qu’il m’empêchait de me lever en me lêchant le visage et en essayant de monter sur mon dos par derrière. Nous étions à la même hauteur, ce qui devait l’encourager dans sa tentative de me soumettre.

Il revenait souvent flairer mon entre-jambe, comme s’il y décelait je ne sais quel effluve. Il m’a agrippé le bras et s’est frotté dessus. J’ai essayé de me dégager en me penchant vers le côté opposé mais il me maintenait fermement. Je regardais son bassin qui bougeait dans le vide et son pénis dont seule la pointe ressortait. J’ai eu chaud soudainement. Dans ma tête se sont reconstituées les images de ce qui s’était passé un mois plus tôt. Je voyais mentalement un sexe de chien en érection. Je voyais les giclées s’en échapper. Je voyais le bulbe, gros comme une balle de tennis, luisant. J’ai senti que je mouillais.

Une idée folle m’a traversé l’esprit. Mon coeur s’est acccéléré. J’hésitais. J’avais honte de mes pensées. Mais le désir l’a emporté. J’ai fait l’impensable.

Je me suis retournée, en levrette comme on dit, j’ai baissé mon survêtement et ma culotte et je me suis offerte à la saillie.

Le chien est passé derrière moi et il m’a lêché la fente. Il s’est dressé et m’a attrapée aux hanches. Je faisais une folie. J’avais peur d’avoir mal mais j’avais envie d’être prise sauvagement, bestialement.

Après quelques essais pour ajuster sa cible, il a trouvé l’entrée. J’étais beaucoup plus attentive que la fois précédente. J’ai senti son sexe se déployer en s’enfonçant dans mon vagin. Très vite, j’étais inondée de son liquide lubrifiant aussi bien que de ma propre cyprine. Il me baisait, fougueusement. Je me laissais malmener. J’avais les yeux fermés, le visage crispé et je me tenais fermement au sol avec mes bras tendus. Je ne me privais pas de gémir. Je me savais seule et je pouvais crier sans retenue à chaque impact.

La pointe de sa verge me tapait l’utérus à une cadence folle. Je sentais sa fourrure sur mes fesses. Mon bassin tout entier était pris dans un étau entre son bas-ventre et ses pattes avant qui me serraient à la taille. Je n’étais plus qu’un trou dans lequel il se démenait comme un forcené.

Je savais que cette frénésie ne durerait pas. J’attendais son éjaculation. En moins d’une minute je l’ai senti gicler et au même moment, s’immobiliser. Cette immobilité m’a fait prendre conscience qu’il était tout en moi. Son bulbe commençait à enfler. Je me suis légèrement relevée, le soulevant pour qu’il n’ait plus d’appui. J’ai pris ses jarrets pour les maintenir collés à mes cuisses. Je ne voulais pas qu’il me laboure les fesses avec ses griffes et je voulais le garder sur mon dos plutôt qu’il se retourne. Quand il a été plus calme, j’ai reposé mes genoux au sol tout en continuant à lui tenir fermement les pattes arrières. Mon muscle vaginal l’a verrouillé. Mon ventre non plus ne voulait pas qu’il parte.

Son sexe palpitait, envoyant un petit jet à chaque pulsion. Mon rythme cardiaque s’est progressivement stabilisé. Je m’habituais à son volume. Mon vagin se modelait sur son sexe. Un observateur extérieur aurait cru que cette longue phase du nouage était inerte. Mais les apparences étaient trompeuses. À l’intérieur, la bite pompait, se dilatant en se gorgeant de sang, puis se rétractant en expulsant quelques millilitres de liqueur. Je percevais nettement ce mouvement périodique et c’était toute la saveur de cette longue attente.

Le chien ne serrait plus ma taille. Il reposait sur mon dos, haletant. Il n’essayait pas non plus de se retirer. Il attendait patiemment que son sexe débande un peu pour pouvoir le sortir. Tout était au repos, sauf l’intérieur de ma chatte.

Après quelques minutes, j’ai commencé à sentir le poids du chien sur moi. Pour me reposer, j’ai posé ma joue sur le sol. Le chien a pu de son côté poser ses pattes avant. Il ne pouvait pas vraiment en profiter parce que je continuais à lui emprisonner ses jarrets dans mes mains. Ma position devait être des plus pornographiques, avec mes épaules à terre, mon cul en l’air, emmanché jusqu’à la garde.

Après une dizaine de minutes, le chien s’est un peu agité. Il devait savoir que son sexe diminuait de volume. J’ai lâché ses pattes. Il a commencé à tirer vers l’arrière. Il ne cherchait pas à m’épargner. De mon côté, mon vagin s’ouvrait pour laisser le sexe glisser vers la sortie. Je sentais le bulbe m’écarter tout doucement. Finalement, cette dilatation du passage était source de plaisir parce que j’avais l’impression de ne pas pouvoir me contracter. On m’ouvrait la chatte sans que je puisse m’y opposer.

J’ai passé mes bras derrière mon dos et j’ai posé mes mains de part et d’autre de ma vulve pour tirer sur mes lèvres afin d’aider le passage. En même temps, je poussais comme pour faire pipi. D’un coup, tout est parti, le bulbe, la bite, le sperme accumulé. Je me suis retrouvée vide. J’ouvrais et je fermais ma chatte en contractant mon muscle. Du jus coulait le long de mes cuisses.

Le second chien s’est approché. Il m’a nettoyé la fente. Mon vagin étant encore très distendu, sa langue est entrée profondément dans la cavité, d’autant plus que je continuais à écarter mes lèvres à pleines mains. C’était une sensation vraiment nouvelle. Aucun homme ne peut lécher aussi profondément et aussi largement. Je me laissais faire, savourant ce formidable et inhabituel cunnilingus.

Mais l’animal n’était pas là pour mon plaisir, uniquement pour le sien. Il est monté sur mon dos pour me couvrir et un nouvel accouplement à commencé. Je me souviens que j’encourageais le chien en lui parlant. Il devait aussi entendre mes gémissements de plaisir. Je ne sais pas si cela les excite ou les laisse indifférents. Mais je m’excitais toute seule en prononçant des paroles vraiment indécentes. Pendant qu’il était collé, je me suis masturbée. Un orgasme avec la chatte pleine, c’est tellement fort !

La sortie fut plus rapide et moins douloureuse. Mon vagin s’assouplissait et le muscle n’était plus aussi difficile à franchir, que ce soit pour entrer ou pour sortir.

Les trois autres chiens de la meute me sont aussi passés dessus. Je restais les fesses en l’air, attendant qu’ils me montent. Puis, je les laissais m’inséminer.

Pour les deux derniers, ma chatte était devenue plus sensible et légèrement irritée. Mais je ne pouvais pas me soustraire aux coïts.

Le dernier à être passé devait être le plus faible de la meute. Il était plus doux que les quatre autres. Quand il s’est dénoué, il est resté près de moi. Je l’ai caressé. Son sexe pendait entre ses jambes, gros, rouge, vernissé.

Je lui ai appuyé sur les reins pour le faire asseoir et je l’ai fait basculer sur le côté pour qu’il s’allonge. Il m’a offert son poitrail, ouvrant largement ses cuisses. Je n’osais pas toucher son pénis de peur de lui faire mal. J’ai pris la base poilue dans ma main. Je voyais qu’il continuait de gicler dans le vide. J’ai approché mes lèvres de la tige, puis j’ai tendu ma langue et j’ai touché la petite pointe rouge. Je me suis enhardie et j’ai pris tout le bout dans ma bouche pour le suçoter. J’ai attendu qu’il m’envoie un petit jet. Je voulais goûter. J’ai aimé. J’ai alors essayé d’avaler toute la bite. C’était impossible. Elle était trop longue et trop grosse, surtout à cause du bulbe. Mais je me suis mise à têter tout le jus que je pouvais. En le faisant, je continuais à me frotter la chatte.

Il était assez tard quand je suis repartie vers la civilisation. Mon bas de survêtement était maculé de sperme, surtout à l’entre-jambe. Les cinq dégorgements s’étaient répandus à mes chevilles autour desquelles il y avait mon pantalon baissé avec ma culotte à l’intérieur. Je ne pouvais pas faire grand chose pour masquer les dégâts. Je n’avais pas de linge de rechange. Je me suis simplement reculottée. J’ai constaté que c’était surtout le dedans qui était souillé. Mais il y avait eu tellement de jus que cela avait quand même traversé. On aurait dit que j’avais fait pipi dans ma culotte.

Je me suis mise en route, m’habituant progressivement à la liqueur qui poissait dans mon slip. Les chiens m’ont suivis un moment puis ils se sont enfoncés dans la forêt.

En arrivant vers l’immeuble, j’ai enlevé mon sac à dos pour le porter face à mon ventre, en espérant que cela masque les taches. Mais il devait y en avoir aussi derrière parce que je sentais que mes fesses étaient encore mouillées. Heureusement, je n’ai rencontré personne que je connaisse. Je me suis engouffrée dans la cage d’escalier et j’ai monté les étages à toute vitesse pour me réfugier le plus vite possible dans notre appartement. Mon mari n’était pas encore rentré et j’ai pu prendre une douche et mettre de l’ordre dans ma tenue. J’ai enfoui mon survêtement et ma culotte dans le panier de linge sale. Il y avait une forte odeur de fornication animale mais mon mari ne s’occupe pas de la lessive et j’avais bon espoir qu’il ne remarque rien.

Après ce samedi, je n’ai plus jamais été la même. Le sexe avec mon mari était devenu sans intérêt. Je ne pouvais m’empêcher de faire la comparaison entre ses pénétrations laborieuses et l’avidité des chiens. Il faut dire que je n’aidais pas. J’étais sèche avec lui et inondée avec eux. Tous les samedis, je partais en promenade. Le temps de la marche était le plus excitant des préliminaires. Les chiens se sont habitués à me voir. Je ne sais pas comment ils se repéraient dans le temps, mais assez vite ils furent là à m’attendre à chacune de mes visites.

L’été a laissé place à l’automne. Il faisait frais dans la forêt mais je n’aurais raté pour rien au monde mes saillies. Je me déculottais et je restais les fesses à l’air jusqu’à ce que tous les chiens se soient assouvis avec moi. Il y eut quelques rendez-vous manqués, parce qu’il pleuvait, qu’il neigeait ou qu’il faisait trop froid. C’était une abstinence douloureuse pour moi.

La meute se transformait. De temps en temps, un nouveau chien s’agrégeait. Parfois c’était l’inverse : un chien ne venait plus. Même quand le nombre de chiens grandissait, je ne me lassais pas de me faire monter. Certains jeunes chiens pouvaient même prendre deux fois leur tour.

Cela a duré plus d’une année. Personne n’en a jamais rien su. Par la suite, mon mari et moi nous avons eu deux enfants. Puis, nous avons adopté un chien. J’allais souvent avec lui en semaine à notre datcha. Pas d’enfant, pas de mari, je pouvais m’adonner à mon passe temps favori avec notre animal de compagnie.

Je suis aujourd’hui une vieille dame. Mon mari est décédé. Les enfants sont partis. Mais j’ai toujours un chien et je ne me lasse pas de m’offrir à lui aussi souvent qu’il en a envie. Quand vous avez goûté au sexe d’un chien, à la saillie bestiale, c’est pour la vie. Vous y reviendrez toujours, tôt ou tard.

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