Vous devez vous demander pourquoi je vous ai décrit ce viol avec autant de détails. Vous allez comprendre en lisant la suite.
Tous les samedis, je partais me balader, toujours dans la forĂȘt qui jouxtait notre immeuble.
Bien sĂ»r, jâavais des apprĂ©hensions. Mais dâune part, jâessayais de ne pas trop mâĂ©loigner, et dâautre part, je prenais des itinĂ©raires diffĂ©rents.
Le premier samedi, je ne suis restĂ©e quâune heure. Puis, les samedis suivants, jâai progressivement augmentĂ© la durĂ©e de mes randonnĂ©es.
Vers la fin juillet, je me suis risquĂ©e pour la premiĂšre fois Ă aller vers lâendroit oĂč jâavais rencontrĂ© les chiens. Je mâĂ©tais Ă©quipĂ©e de mon sac Ă dos avec un peu de nourriture et surtout, jâavais mis mon survĂȘtement plutĂŽt quâune robe.
Au fur et Ă mesure que jâapprochais de la clairiĂšre, jâavais de plus en plus dâinquiĂ©tude. CâĂ©tait un sentiment Ă©trange, mĂȘlĂ© de crainte et dâune sensation de creux dans le bas-ventre. JâĂ©tais attentive aux bruits. Je faisais de frĂ©quentes pauses pour Ă©couter. Tout Ă©tait silencieux, sauf le vent sur la cime des arbres.
Une fois arrivĂ©e Ă la clairiĂšre, je me suis assise et jâai mangĂ© une partie de mes provisions. Jâaurais bien fait la sieste, mais je nâosais pas mâassoupir. Je voulais rester sur le qui-vive.
Cela faisait plus dâune heure que je mâĂ©tais arrĂȘtĂ©e quand je les ai vus. CâĂ©taient eux, je les reconnaissais, tous les cinq. Jâai hĂ©sitĂ©. Je me suis dit que si je fuyais, ils allaient me courir aprĂšs et je nâavais aucune chance de les semer. Dâun autre cĂŽtĂ©, je pouvais peut-ĂȘtre les amadouer et ensuite, repartir tranquillement sans quâils me suivent.
Assez rapidement je nâeus plus le choix. Ils mâentouraient. Ils sâapprochaient prudemment, les oreilles basses. Ils flairaient. Celui qui semblait ĂȘtre le mĂąle dominant dans la meute vint jusquâĂ moi. JâĂ©tais toujours assise et je nâen menais pas large. Il chercha Ă glisser sa truffe entre mes cuisses. Je le repoussai sans brutalitĂ©. DâaprĂšs mon expĂ©rience prĂ©cĂ©dente, jâavais appris que je ne devais sous aucun prĂ©texte me retourner. Se retrouver Ă quatre pattes, câĂ©tait se faire ceinturer Ă coup sĂ»r.
Le chien revint Ă la charge, semblant sâexciter. Je voyais le bout rouge de son sexe Ă©merger de sa gangue de poils. Je me suis dit que jâaurais dĂ» me mettre debout pour le dominer. Mais câĂ©tait trop tard parce quâil mâempĂȘchait de me lever en me lĂȘchant le visage et en essayant de monter sur mon dos par derriĂšre. Nous Ă©tions Ă la mĂȘme hauteur, ce qui devait lâencourager dans sa tentative de me soumettre.
Il revenait souvent flairer mon entre-jambe, comme sâil y dĂ©celait je ne sais quel effluve. Il mâa agrippĂ© le bras et sâest frottĂ© dessus. Jâai essayĂ© de me dĂ©gager en me penchant vers le cĂŽtĂ© opposĂ© mais il me maintenait fermement. Je regardais son bassin qui bougeait dans le vide et son pĂ©nis dont seule la pointe ressortait. Jâai eu chaud soudainement. Dans ma tĂȘte se sont reconstituĂ©es les images de ce qui sâĂ©tait passĂ© un mois plus tĂŽt. Je voyais mentalement un sexe de chien en Ă©rection. Je voyais les giclĂ©es sâen Ă©chapper. Je voyais le bulbe, gros comme une balle de tennis, luisant. Jâai senti que je mouillais.
Une idĂ©e folle mâa traversĂ© lâesprit. Mon coeur sâest acccĂ©lĂ©rĂ©. JâhĂ©sitais. Jâavais honte de mes pensĂ©es. Mais le dĂ©sir lâa emportĂ©. Jâai fait lâimpensable.
Je me suis retournĂ©e, en levrette comme on dit, jâai baissĂ© mon survĂȘtement et ma culotte et je me suis offerte Ă la saillie.
Le chien est passĂ© derriĂšre moi et il mâa lĂȘchĂ© la fente. Il sâest dressĂ© et mâa attrapĂ©e aux hanches. Je faisais une folie. Jâavais peur dâavoir mal mais jâavais envie dâĂȘtre prise sauvagement, bestialement.
AprĂšs quelques essais pour ajuster sa cible, il a trouvĂ© lâentrĂ©e. JâĂ©tais beaucoup plus attentive que la fois prĂ©cĂ©dente. Jâai senti son sexe se dĂ©ployer en sâenfonçant dans mon vagin. TrĂšs vite, jâĂ©tais inondĂ©e de son liquide lubrifiant aussi bien que de ma propre cyprine. Il me baisait, fougueusement. Je me laissais malmener. Jâavais les yeux fermĂ©s, le visage crispĂ© et je me tenais fermement au sol avec mes bras tendus. Je ne me privais pas de gĂ©mir. Je me savais seule et je pouvais crier sans retenue Ă chaque impact.
La pointe de sa verge me tapait lâutĂ©rus Ă une cadence folle. Je sentais sa fourrure sur mes fesses. Mon bassin tout entier Ă©tait pris dans un Ă©tau entre son bas-ventre et ses pattes avant qui me serraient Ă la taille. Je nâĂ©tais plus quâun trou dans lequel il se dĂ©menait comme un forcenĂ©.
Je savais que cette frĂ©nĂ©sie ne durerait pas. Jâattendais son Ă©jaculation. En moins dâune minute je lâai senti gicler et au mĂȘme moment, sâimmobiliser. Cette immobilitĂ© mâa fait prendre conscience quâil Ă©tait tout en moi. Son bulbe commençait Ă enfler. Je me suis lĂ©gĂšrement relevĂ©e, le soulevant pour quâil nâait plus dâappui. Jâai pris ses jarrets pour les maintenir collĂ©s Ă mes cuisses. Je ne voulais pas quâil me laboure les fesses avec ses griffes et je voulais le garder sur mon dos plutĂŽt quâil se retourne. Quand il a Ă©tĂ© plus calme, jâai reposĂ© mes genoux au sol tout en continuant Ă lui tenir fermement les pattes arriĂšres. Mon muscle vaginal lâa verrouillĂ©. Mon ventre non plus ne voulait pas quâil parte.
Son sexe palpitait, envoyant un petit jet Ă chaque pulsion. Mon rythme cardiaque sâest progressivement stabilisĂ©. Je mâhabituais Ă son volume. Mon vagin se modelait sur son sexe. Un observateur extĂ©rieur aurait cru que cette longue phase du nouage Ă©tait inerte. Mais les apparences Ă©taient trompeuses. Ă lâintĂ©rieur, la bite pompait, se dilatant en se gorgeant de sang, puis se rĂ©tractant en expulsant quelques millilitres de liqueur. Je percevais nettement ce mouvement pĂ©riodique et câĂ©tait toute la saveur de cette longue attente.
Le chien ne serrait plus ma taille. Il reposait sur mon dos, haletant. Il nâessayait pas non plus de se retirer. Il attendait patiemment que son sexe dĂ©bande un peu pour pouvoir le sortir. Tout Ă©tait au repos, sauf lâintĂ©rieur de ma chatte.
AprĂšs quelques minutes, jâai commencĂ© Ă sentir le poids du chien sur moi. Pour me reposer, jâai posĂ© ma joue sur le sol. Le chien a pu de son cĂŽtĂ© poser ses pattes avant. Il ne pouvait pas vraiment en profiter parce que je continuais Ă lui emprisonner ses jarrets dans mes mains. Ma position devait ĂȘtre des plus pornographiques, avec mes Ă©paules Ă terre, mon cul en lâair, emmanchĂ© jusquâĂ la garde.
AprĂšs une dizaine de minutes, le chien sâest un peu agitĂ©. Il devait savoir que son sexe diminuait de volume. Jâai lĂąchĂ© ses pattes. Il a commencĂ© Ă tirer vers lâarriĂšre. Il ne cherchait pas Ă mâĂ©pargner. De mon cĂŽtĂ©, mon vagin sâouvrait pour laisser le sexe glisser vers la sortie. Je sentais le bulbe mâĂ©carter tout doucement. Finalement, cette dilatation du passage Ă©tait source de plaisir parce que jâavais lâimpression de ne pas pouvoir me contracter. On mâouvrait la chatte sans que je puisse mây opposer.
Jâai passĂ© mes bras derriĂšre mon dos et jâai posĂ© mes mains de part et dâautre de ma vulve pour tirer sur mes lĂšvres afin dâaider le passage. En mĂȘme temps, je poussais comme pour faire pipi. Dâun coup, tout est parti, le bulbe, la bite, le sperme accumulĂ©. Je me suis retrouvĂ©e vide. Jâouvrais et je fermais ma chatte en contractant mon muscle. Du jus coulait le long de mes cuisses.
Le second chien sâest approchĂ©. Il mâa nettoyĂ© la fente. Mon vagin Ă©tant encore trĂšs distendu, sa langue est entrĂ©e profondĂ©ment dans la cavitĂ©, dâautant plus que je continuais Ă Ă©carter mes lĂšvres Ă pleines mains. CâĂ©tait une sensation vraiment nouvelle. Aucun homme ne peut lĂ©cher aussi profondĂ©ment et aussi largement. Je me laissais faire, savourant ce formidable et inhabituel cunnilingus.
Mais lâanimal nâĂ©tait pas lĂ pour mon plaisir, uniquement pour le sien. Il est montĂ© sur mon dos pour me couvrir et un nouvel accouplement Ă commencĂ©. Je me souviens que jâencourageais le chien en lui parlant. Il devait aussi entendre mes gĂ©missements de plaisir. Je ne sais pas si cela les excite ou les laisse indiffĂ©rents. Mais je mâexcitais toute seule en prononçant des paroles vraiment indĂ©centes. Pendant quâil Ă©tait collĂ©, je me suis masturbĂ©e. Un orgasme avec la chatte pleine, câest tellement fort !
La sortie fut plus rapide et moins douloureuse. Mon vagin sâassouplissait et le muscle nâĂ©tait plus aussi difficile Ă franchir, que ce soit pour entrer ou pour sortir.
Les trois autres chiens de la meute me sont aussi passĂ©s dessus. Je restais les fesses en lâair, attendant quâils me montent. Puis, je les laissais mâinsĂ©miner.
Pour les deux derniers, ma chatte était devenue plus sensible et légÚrement irritée. Mais je ne pouvais pas me soustraire aux coïts.
Le dernier Ă ĂȘtre passĂ© devait ĂȘtre le plus faible de la meute. Il Ă©tait plus doux que les quatre autres. Quand il sâest dĂ©nouĂ©, il est restĂ© prĂšs de moi. Je lâai caressĂ©. Son sexe pendait entre ses jambes, gros, rouge, vernissĂ©.
Je lui ai appuyĂ© sur les reins pour le faire asseoir et je lâai fait basculer sur le cĂŽtĂ© pour quâil sâallonge. Il mâa offert son poitrail, ouvrant largement ses cuisses. Je nâosais pas toucher son pĂ©nis de peur de lui faire mal. Jâai pris la base poilue dans ma main. Je voyais quâil continuait de gicler dans le vide. Jâai approchĂ© mes lĂšvres de la tige, puis jâai tendu ma langue et jâai touchĂ© la petite pointe rouge. Je me suis enhardie et jâai pris tout le bout dans ma bouche pour le suçoter. Jâai attendu quâil mâenvoie un petit jet. Je voulais goĂ»ter. Jâai aimĂ©. Jâai alors essayĂ© dâavaler toute la bite. CâĂ©tait impossible. Elle Ă©tait trop longue et trop grosse, surtout Ă cause du bulbe. Mais je me suis mise Ă tĂȘter tout le jus que je pouvais. En le faisant, je continuais Ă me frotter la chatte.
Il Ă©tait assez tard quand je suis repartie vers la civilisation. Mon bas de survĂȘtement Ă©tait maculĂ© de sperme, surtout Ă lâentre-jambe. Les cinq dĂ©gorgements sâĂ©taient rĂ©pandus Ă mes chevilles autour desquelles il y avait mon pantalon baissĂ© avec ma culotte Ă lâintĂ©rieur. Je ne pouvais pas faire grand chose pour masquer les dĂ©gĂąts. Je nâavais pas de linge de rechange. Je me suis simplement reculottĂ©e. Jâai constatĂ© que câĂ©tait surtout le dedans qui Ă©tait souillĂ©. Mais il y avait eu tellement de jus que cela avait quand mĂȘme traversĂ©. On aurait dit que jâavais fait pipi dans ma culotte.
Je me suis mise en route, mâhabituant progressivement Ă la liqueur qui poissait dans mon slip. Les chiens mâont suivis un moment puis ils se sont enfoncĂ©s dans la forĂȘt.
En arrivant vers lâimmeuble, jâai enlevĂ© mon sac Ă dos pour le porter face Ă mon ventre, en espĂ©rant que cela masque les taches. Mais il devait y en avoir aussi derriĂšre parce que je sentais que mes fesses Ă©taient encore mouillĂ©es. Heureusement, je nâai rencontrĂ© personne que je connaisse. Je me suis engouffrĂ©e dans la cage dâescalier et jâai montĂ© les Ă©tages Ă toute vitesse pour me rĂ©fugier le plus vite possible dans notre appartement. Mon mari nâĂ©tait pas encore rentrĂ© et jâai pu prendre une douche et mettre de lâordre dans ma tenue. Jâai enfoui mon survĂȘtement et ma culotte dans le panier de linge sale. Il y avait une forte odeur de fornication animale mais mon mari ne sâoccupe pas de la lessive et jâavais bon espoir quâil ne remarque rien.
AprĂšs ce samedi, je nâai plus jamais Ă©tĂ© la mĂȘme. Le sexe avec mon mari Ă©tait devenu sans intĂ©rĂȘt. Je ne pouvais mâempĂȘcher de faire la comparaison entre ses pĂ©nĂ©trations laborieuses et lâaviditĂ© des chiens. Il faut dire que je nâaidais pas. JâĂ©tais sĂšche avec lui et inondĂ©e avec eux. Tous les samedis, je partais en promenade. Le temps de la marche Ă©tait le plus excitant des prĂ©liminaires. Les chiens se sont habituĂ©s Ă me voir. Je ne sais pas comment ils se repĂ©raient dans le temps, mais assez vite ils furent lĂ Ă mâattendre Ă chacune de mes visites.
LâĂ©tĂ© a laissĂ© place Ă lâautomne. Il faisait frais dans la forĂȘt mais je nâaurais ratĂ© pour rien au monde mes saillies. Je me dĂ©culottais et je restais les fesses Ă lâair jusquâĂ ce que tous les chiens se soient assouvis avec moi. Il y eut quelques rendez-vous manquĂ©s, parce quâil pleuvait, quâil neigeait ou quâil faisait trop froid. CâĂ©tait une abstinence douloureuse pour moi.
La meute se transformait. De temps en temps, un nouveau chien sâagrĂ©geait. Parfois câĂ©tait lâinverse : un chien ne venait plus. MĂȘme quand le nombre de chiens grandissait, je ne me lassais pas de me faire monter. Certains jeunes chiens pouvaient mĂȘme prendre deux fois leur tour.
Cela a durĂ© plus dâune annĂ©e. Personne nâen a jamais rien su. Par la suite, mon mari et moi nous avons eu deux enfants. Puis, nous avons adoptĂ© un chien. Jâallais souvent avec lui en semaine Ă notre datcha. Pas dâenfant, pas de mari, je pouvais mâadonner Ă mon passe temps favori avec notre animal de compagnie.
Je suis aujourdâhui une vieille dame. Mon mari est dĂ©cĂ©dĂ©. Les enfants sont partis. Mais jâai toujours un chien et je ne me lasse pas de mâoffrir Ă lui aussi souvent quâil en a envie. Quand vous avez goĂ»tĂ© au sexe dâun chien, Ă la saillie bestiale, câest pour la vie. Vous y reviendrez toujours, tĂŽt ou tard.
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