Le patron est passé me voir pour me dire que mon rendez-vous du lendemain était reporté et remplacé par une visite chez monsieur M.
La nuit fut courte encore une fois. Je nâarrivais pas Ă mâenlever de la tĂȘte que jâallais sans doute franchir un nouveau pas, sans savoir lequel.
Le lendemain, je ne suis mĂȘme pas passĂ©e au bureau. Je suis allĂ©e directement Ă mon rendez-vous.
Comme sâil sâagissait de parler dâimmobilier, je me suis dirigĂ©e vers la maison. Mais je nâavais aucun document sur moi, juste mon petit sac Ă main.
Monsieur M. mâa accueillie sur le seuil. Je suis entrĂ©e. Le couple que jâavais vu nu dans la grange Ă©tait dans le salon.
Monsieur M. a fait les présentations :
âCatherine, je vous prĂ©sente Marie, que vous avez dĂ©jĂ aperçue il me semble. Marie, voici Catherine. Cela ne vous ennuie pas que je vous appelle par votre prĂ©nom au moins ?â
Je secouais la tĂȘte. JâĂ©tais trop Ă©mue pour parler.
âEt voici Joseph, lâĂ©poux de Marie. Catherine a assistĂ© Ă notre prestation de la semaine derniĂšre. Vous ne lâavez pas vue parce quâelle est restĂ©e Ă la porte de la grange. Elle nous observait et elle a semblĂ© apprĂ©cier le spectacle puisquâelle est restĂ©e jusquâĂ la fin.â
Ils me regardaient en me souriant. JâĂ©tais morte de honte et cela devait se voir parce que je sentais que jâavais le feu aux joues.
âCatherine ne connaĂźt rien Ă nos amusements. Je lâavais convoquĂ©e sans lâinformer pour la faire entrer en douceur dans notre cercle intime. Jâavais senti en elle une nature faites pour apprĂ©cier nos jeux. Je crois que je ne me suis pas trompĂ©. Elle a beaucoup progressĂ© depuis une semaine et je pense quâelle peut aujourdâhui participer pleinement Ă notre sĂ©ance.â
Il y eut un moment de silence. JâĂ©tais la plus gĂȘnĂ©e de tous. Monsieur M. me faisait passer pour une bonne Ă©lĂšve, espĂ©rant me flatter en me dĂ©cernant un bon point. Mais il ne faisait quâaccentuer mon malaise. Je ne me sentais pas une nature faites pour apprĂ©cier leurs jeux comme il avait dit. Je me sentais prise dans un engrenage.
âVenez !â
Il se dirigea vers la sortie et nous le suivĂźmes. Le couple me laissa passer, sans doute pour mâobserver le temps de la marche jusquâĂ la grange.
âAujourdâhui, pour en quelque sorte le dĂ©pucelage de notre nouveau membre, jâai sĂ©lectionnĂ© deux petits poneys. Nous allons laisser Atlas au repos. Il nâest plus tout jeune et il ne faut pas surmener notre Ă©talon. Et puis, les poneys sont moins effrayants et moins membrĂ©s pour une premiĂšre fois.â
Je nâen menais pas large. Il parlait de dĂ©pucelage, de premiĂšre fois. Je nâimaginais pas quâil me fasse prendre par un tel sexe. Mon vagin nâĂ©tait certainement pas prĂȘt Ă une telle pĂ©nĂ©tration. Mais je nâosais pas protester.
Nous sommes entrĂ©s dans la grange. Ă cĂŽtĂ© du cheval dâarçon, deux poneys Ă©taient attachĂ©s par leur laisse Ă une balustrade en bois.
âMarie, je vous propose de montrer Ă Catherine ce que câest quâune grande bouche. Vous voulez bien ?â
âAvec grand plaisir.â
Marie sâest avancĂ©e vers le premier poney. Elle a passĂ© ses mains sous sa robe et a enlevĂ© sa culotte, quâelle a laissĂ© traĂźner par terre sans plus sâen soucier.
âMa femme aime bien se toucher. Tu peux en faire autant si tu veux.â
Je suis restĂ©e sans rĂ©action Ă cette invitation manifeste de Joseph. Je nâĂ©tais pas insensible Ă ce qui se passait mais je ne me voyais pas me trousser devant ces inconnus. Marie caressait le sexe du poney qui commençait Ă grandir Ă vue dâoeil.
âCatherine, viens !â
Marie sâĂ©tait retournĂ©e pour me faire signe de la rejoindre. Je me suis rapprochĂ©e dâelle et du poney. Le sexe nâĂ©tait pas aussi imposant que celui dâAtlas, mais câĂ©tait tout de mĂȘme un gros morceau.
Elle a pris le membre Ă pleine main et dâun mouvement de la tĂȘte, mâa proposĂ© de le partager. Timidement, jâai posĂ© ma main sur la hampe. Marie a profitĂ© de mon renfort pour enlever sa main droite et la glisser sous sa robe. Elle se frottait le sexe sans se gĂȘner de moi.
Puis, elle sâest mise Ă lĂȘcher le bout du gland. Je nâai pas pu mâempĂȘcher de grimacer. Elle sâen est aperçue.
âCe nâest pas sale tu sais. Câest aussi bon que celui dâun homme, mais en tellement plus gros. Tu aimes sucer ?â
Jâai rougi. Je nâavais encore jamais fait ce genre de confidence Ă qui que ce soit. Mais encore une fois, mon silence et ma gĂȘne parlaient pour moi.
âMets le bout de la langue avec moi, juste le bout !â
Jâai avancĂ© ma bouche en tirant la langue le plus possible. Jâai fermĂ© les yeux. Câest Marie qui a probablement orientĂ© le sexe pour quâil vienne au contact. Ă vrai dire, ça nâavait pas de goĂ»t.
âOn les a bien lavĂ©s tous les deux avant que tu arrives. Dâhabitude, on ne fait pas tant de chichis, mais comme câest ta premiĂšre pipe, on a fait un effort.â
Je me suis reculĂ©e instinctivement. Elle venait de suggĂ©rer que jâallais devoir faire une fellation Ă ce poney. Quelle horreur !
Mais Marie a continuĂ© ses attouchements bucaux. Elle lĂȘchait le gland sur toute sa circonfĂ©rence. Quand elle lâa eu bien enduit de salive partout, elle a posĂ© ses lĂšvres dessus et a commencĂ© Ă ouvrir sa bouche pour le faire rentrer. Elle suçotait le bout tout en masturbant la colonne.
âĂ toi maintenant, suce le ! Fais comme jâai fait : lĂšche le gland et aprĂšs suce le bout. En mĂȘme temps tu le branles.â
Elle me tendait le sexe et me regardait avec un sourire et une lueur de plaisir dans les yeux. Je nâai pas osĂ© refuser, un peu comme quand on accepte de goĂ»ter un plat exotique proposĂ© par un indigĂšne. On reste sur ses gardes, mais on ne veut pas froisser.
Jâai promenĂ© le bout de ma langue sur la chair. Ensuite, jâai embrassĂ© la couronne. Et en mĂȘme temps, jâai serrĂ© ce phallus entre mes doigts. Je dois avouer que jâai ressenti le mĂȘme plaisir quâĂ faire une fellation Ă un homme, avec la grosseur en plus.
âSors ta langue pendant que tu le suces ! Titilles lui son petit trou par oĂč ça va gicler tout Ă lâheure !â
Je nâimaginais pas que nous allions continuer jusquâĂ lâĂ©jaculation tout de mĂȘme. Mais jâai mis ma langue pendant que je suçais. Ăa ne se voyait pas puisque jâavais les lĂšvres collĂ©es au gland, mais je lĂšchais tout en suçant.
âOn va le branler jusquâĂ ce quâil gicle et on va se partager le nectar, dâaccord ?â
JâĂ©tais effrayĂ©e Ă lâidĂ©e de devoir partager du sperme de poney. Je me souvenais de la puissance du jet et je ne me voyais pas recevoir ça au fond de la gorge. Mais sans doute Marie allait-elle passer la premiĂšre et câest elle qui aurait le privilĂšge de la giclĂ©e.
Pendant que je tĂȘtais le bout de la verge, Marie se caressait lâentre-jambe. Elle a retirĂ© sa main et lâa passĂ©e sous ma robe pour toucher ma culotte. Je nâai rien pu faire pour esquiver son geste.
âTu es drĂŽlement mouillĂ©e toi aussi. EnlĂšve ton slip et branle toi pendant que tu le pompes ! Je vais tenir la bite. Tu nâauras quâĂ sucer et te frotter la chatte.â
Jâai essayĂ© de le faire discrĂštement mais tout le monde me regardait faire. Jâai commencĂ© Ă me toucher. CâĂ©tait si indĂ©cent. Jâimaginais ce que jâĂ©tais en train de faire, sucer un cheval et me mastuber devant trois personnes, trois quasi inconnus. Jâai fermĂ© les yeux et jâai laissĂ© le plaisir monter en moi.
Quand jâai rouvert mes yeux, la visage de Marie Ă©tait presque collĂ© au mien. Elle lĂ©chait verticalement, tirant sur sa langue pour lâallonger mais aussi lâĂ©largir au maximum. Son regard Ă©tait extatique. Je lui ai laissĂ© la place mais trĂšs vite, elle mâa invitĂ©e Ă revenir.
âOn partage. On lĂšche chacun la moitiĂ© de la bite, tu veux bien ?â
Elle mâa de nouveau tendu le gland pour que jây remette ma langue. Puis, elle a collĂ© sa joue contre la mienne. Nos langues ont fini par se toucher. Elle semblait prendre plaisir Ă ce contact. Elle cherchait Ă mâembrasser et elle a fini par y arriver. Je me suis laissĂ©e faire. Elle agissait comme un homme, pĂ©nĂ©trant ma bouche avec sa langue, fouillant sous ma robe avec sa main, tout en tenant le sexe du cheval.
âJe vais te montrer comment le faire rentrer dans ta bouche. Regarde.â
Elle a ouvert sa bouche et a commencĂ© Ă pousser le gland Ă lâintĂ©rieur en tenant le bout du sexe Ă deux mains. Avec ses doigts, elle a pressĂ© sur les bords pour faire rentrer la chair petit Ă petit. AprĂšs quelques efforts, elle a pu enfin engouffrer la totalitĂ© du gland. Sa machoire Ă©tait Ă©cartĂ©e au maximum. Elle avait la bouche pleine comme si elle venait dâengloutir un Ă©norme morceau de pain.
Elle sâest mise Ă masturber le cheval Ă toute vitesse pour lui donner de la raideur. Elle a ensuite ressorti le sexe de sa bouche, me montrant tout ce quâelle avait pu se mettre au fond du palais.
âĂ toi maintenant. Il faut que tu y arrives pour que tu puisses recevoir son Ă©jaculation au fond de la gorge. Câest ce quâil y a de meilleur.â
Ce quâelle mâannonçait mâeffrayait. NĂ©anmoins, jâai essayĂ© moi aussi dâenfourner ce morceau. Je dois dire que je mâen suis pas mal sortie, sans doute parce que jâai une plus grand bouche que Marie. AprĂšs relativement peu de contorsions, je me suis retrouvĂ©e bĂąillonnĂ©e. CâĂ©tait Ă©trange comme sensation dâavoir cet Ă©norme mandrin tout entier dans la bouche. Jâai toujours aimĂ© sentir le sexe de mon mari remplir mon palais. Mais cette fois, jâĂ©tais comblĂ©e comme je ne lâavais jamais Ă©tĂ©. Marie me dit soudain :
âJâai envie de sa crĂšme. Je vais le faire cracher. Tu es prĂȘte ?â
Jâai libĂ©rĂ© ma bouche avant de rĂ©pondre (jâai pensĂ© quâune fille bien Ă©levĂ©e ne parle pas la bouche pleine, a fortiori pleine de bite de cheval).
âQuâest-ce que je dois faire ?â
âTu le branles avec moi. Et puis quand il va gicler, tu essayes dâen avaler le plus possible. Comme câest ta premiĂšre fois, je te laisse le privilĂšge de lâavoir en bouche quand il va cracher son foutre. Mais tu mâen laisseras un peu quand mĂȘme, hein ?â
Nous avons pris le manche Ă quatre mains et, en cadence, nous avons masturbĂ© le cheval. Quand Marie a senti que le cylindre raidissait entre nos doigts elle mâa dit de me mettre en position, avec le sexe dans la bouche. JâĂ©tais un peu paniquĂ©e Ă lâidĂ©e de ce que jâallais recevoir dans la gorge au moment de lâĂ©jaculation mais jâai bravement jouĂ© mon rĂŽle.
Nous avons continué notre va-et-vient ensemble. Soudain, Marie a relùché le sexe pour appuyer sur ma nuque et bien plaquer ma bouche sur le gland.
Jâai failli mâĂ©touffer quand jâai reçu la giclĂ©e. La pression Ă©tait telle quâune bonne partie du liquide ressortait par les commissures. Jâai toussĂ©, toujours la bouche pleine. Jâai dĂ» dĂ©glutir. Jâai retirĂ© le sexe de ma bouche. Il commençait Ă sâamollir. Jâai voulu recracher la semence mais quand jâai sorti le gland, Marie mâa embrassĂ©e. Elle fouillait loin dans ma bouche pour me reprendre ce que je nâavais pas avalĂ©. Ensuite, elle a plaquĂ© ses lĂšvres sur le mĂ©at et sâest mise Ă tĂȘter avec aviditĂ©. Je voyais ses joues se creuser sous lâeffet de lâaspiration.
Une fois que câĂ©tait fini, nous nous sommes retournĂ©es. Ce nâest quâĂ ce moment que nous avons pris conscience de la prĂ©sence des deux hommes. Ă ma surprise, Joseph Ă©tait nu. Il sâĂ©tait dĂ©shabillĂ© sans que nous nous en apercevions pendant que nous faisions notre fellation. Monsieur M. nâavait pas bougĂ© depuis quâil Ă©tait entrĂ© dans la grange. Il nous observait. Il semblait satisfait.
âMarie, vous voulez bien aider Catherine pour la suite sâil vous plaĂźt? Il faudra lui indiquer comment se tenir. Vous guiderez le poney jusquâĂ ce quâil puisse se dĂ©brouiller seul. Joseph, je compte sur vous pour prĂ©parer Catherine.â
Je comprenais que jâallais devoir recevoir le poney. Ăa mâaffolait.
âNon, je ne vais pas pouvoir. Câest bien trop gros. Il va me dĂ©chirer.â
âIl nâest pas question de vous blesser bien sĂ»r. Mais je suis sĂ»r que vous allez y arriver. Nâayez pas peur. Joseph va vous Ă©largir avec ses doigts. Sâil a le moindre doute, il nous le dira, soyez sans crainte. Retirez votre culotte et appuyez vous Ă la rembarde en vous cambrant.â
Jâai fait ce quâil mâa demandĂ© mais je nâen menais pas large. En plus, jâĂ©tais gĂȘnĂ©e de devoir me faire tripoter par Joseph. Apparemment, cela nâennuyait pas Marie que son homme sâoccupe dâune autre femme.
Marie a mimĂ© la pose que je devais prendre. Je me suis positionnĂ©e Ă mon tour, en lâimitant, les mains posĂ©es sur la rembarde, Ă hauteur de ma tĂȘte, les jambes en arriĂšre et bien Ă©cartĂ©es. Joseph sâest approchĂ© et a relevĂ© ma robe en rentrant lâourlet dans la ceinture pour lâempĂȘcher de retomber. Jâavais les fesses totalement dĂ©couvertes.
Il sâest agenouillĂ©. Je lâai entendu cracher dans sa main. Il lâa mise dans ma raie, cherchant lâentrĂ©e de mon vagin. Il mâa pĂ©nĂ©trĂ©e avec ses doigts. Il sâest mis Ă fourrager de plus en plus vite. Il nâallait pas profond mais il me frottait Ă toute allure.
Il sâest arrĂȘtĂ©. Jâai senti quâil rentrait plus de doigts. Il massait mes lĂšvres et mon clitoris en mĂȘme temps.
âAucun souci. Je lui mets quatre doigts sans problĂšme et il reste de la place. Je suis sĂ»r que je pourrais la fister si je voulais. Elle va pouvoir se rĂ©galer avec cette belle bite de poney.â
Il sâest relevĂ© et sâest approchĂ© du poney. Il lâa dĂ©tachĂ© et lâa amenĂ© derriĂšre moi. JâĂ©tais inquiĂšte et je gardais la tĂȘte tournĂ©e vers lâarriĂšre pour vĂ©rifier ce qui se passait. Joseph sâest mis Ă masser le cheval pour le mettre en Ă©rection.
Quand jâai vu le sexe totalement dĂ©veloppĂ©, je me suis angoissĂ©e. Il nâĂ©tait pas aussi gros que celui dâAtlas, mais il mesurait bien lâĂ©quivalent dâun bras, avec sensiblement lâĂ©paisseur dâun poignet, sauf la tĂȘte du noeud qui Ă©tait nettement plus Ă©paisse.
Monsieur M. mâexpliqua ce qui allait se passer.
âQuand il va vous monter dessus, ne paniquez pas. Laissez le faire. Joseph et Marie sont lĂ pour vous protĂ©ger pendant la saillie. Restez solide sur vos appuis et attendez simplement quâil soit en vous. AprĂšs, ça ira trĂšs vite comme vous lâavez vu avec Atlas. Ne bougez pas jusquâĂ ce quâil soit ressorti et descendu.â
Le poney Ă©tait prĂȘt. Il sâest soudain cabrĂ© et jâai senti ses sabots sur mon dos. Jâai eu du mal Ă ne pas mâeffondrer sous le choc. Jâentendais le cheval piĂ©tiner sur place. Joseph devait essayer de guider lâanimal pour le placer en face. Marie lâaidait aussi sans doute. Pour ma part, jâĂ©tais toute concentrĂ©e Ă ne pas cĂ©der sous le poids. Les antĂ©rieures Ă©taient de part et dâautre de ma taille et jâavais le ventre du poney sur les Ă©paules. Je sentais son haleine prĂšs de mon cou.
Le sexe me touchait de temps Ă autre, aux fesses le plus souvent, mais aussi Ă lâintĂ©rieur des cuisses et mĂȘme sur le bas du dos.
Lâanimal a dĂ» se lasser de ne pas y arriver. Il est descendu. Jâai pu me redresser.
âOn va faire une pause. Chacun reprend son souffle. Ăa va Catherine ?â
Jâai regardĂ© monsieur M. Je ne devais pas ĂȘtre totalement sereine, mais il a vu que ça allait malgrĂ© tout.
Joseph a cĂąlinĂ© le poney. Puis, quand il a senti quâon pouvait faire une nouvelle tentative, il a stimulĂ© le sexe Ă nouveau jusquâĂ ce quâil atteigne une belle raideur. Pendant ce temps, je mâĂ©tais remise en position. JâĂ©tais moins crispĂ©e parce que, au moins pour le dĂ©but, je savais Ă quoi mâattendre.
Le cheval sâest de nouveau dressĂ© pour me couvrir. Jâai mieux rĂ©sistĂ© au poids. Je mâhabituais. Presque tout de suite aprĂšs que le poney mâait ceinturĂ©, jâai senti que Joseph avait enfin rĂ©ussi son coup. Le gland venait de toucher ma vulve.
Le poney a dĂ» donner un coup de reins parce que le sexe mâa transpercĂ©e. CâĂ©tait vraiment violent, comme si on vous frappait le sexe avec le poing. Mon vagin sâest ouvert sous lâimpact. Je lâai senti sâĂ©largir comme jamais. Et tout de suite, le choc au fond de lâutĂ©rus. Jâavais peur que le mandrin ne sâenfonce plus loin encore mais il sâest au contraire retirĂ©.
CâĂ©tait une sensation incroyable. Lorsque le mĂąle a poussĂ© pour entrer, le muscle vaginal sâest dilatĂ© au maximum pour laisser passer le gland. Quand il sâest arrachĂ© aprĂšs mâavoir remplie de semence, mon muscle sâest refermĂ©.
Il y a eu quatre perforations trĂšs rapprochĂ©es, toutes aussi intenses. CâĂ©tait comme si un formidable amant Ă©tait venu se soulager en moi, sans aucun Ă©gard pour mon plaisir. Juste me taper dans les fesses le plus vite et le plus fort possible jusquâĂ lâassouvissement.
Au bout du pilonnage, lâapothĂ©ose. Un jet de sperme inouĂŻ. Comme une douche puissante au fond de la matrice. La sensation dâĂȘtre remplie en une fraction de seconde.
Mais je nâai pas eu le temps de bien apprĂ©cier. Le poney sâest dĂ©gagĂ©. DĂšs quâil a Ă©tĂ© sorti, jâai senti mon sexe qui se vidait par terre du trop plein.
Avant que je me sois redressĂ©e, Joseph mâa prise par les hanches et sâest enfoncĂ© en moi sans que je puisse rĂ©agir. Son sexe me semblait si minuscule comparĂ© Ă celui que je venais de recevoir. Mais lui non plus ne se souciait pas de mes sensations. Il prenait son plaisir. Il nâa pas Ă©tĂ© beaucoup plus long que le poney.
Puis, en se retirant, il sâest agenouillĂ© et il a plongĂ© son visage entre mes fesses. Je me suis souvenue que câest aussi ce quâil avait fait Ă sa femme aprĂšs quâelle ait Ă©tĂ© saillie.
Je sentais sa langue fouiller partout. Il nâĂ©tait pas dĂ©goĂ»tĂ©. Il a mĂȘme pĂ©nĂ©trĂ© mon anus.
Quand il sâest relevĂ©, son visage Ă©tait barbouillĂ© de mes sĂ©crĂ©tions mĂ©langĂ©es au sperme du poney.
Monsieur M. mâa demandĂ© :
âAlors, ça vous a plu ?â
Je suis devenue cramoisie. Il nây avait rien Ă dire. Tout Ă©tait visible.
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well that was novel I hope she enjoyed it. Obviously she will be going back for more.
Hello Bill,
She did. Did you read part 5 ?