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🇫🇷 Le Haras – Partie 4

4.7
(7)

Le patron est passé me voir pour me dire que mon rendez-vous du lendemain était reporté et remplacé par une visite chez monsieur M.

La nuit fut courte encore une fois. Je n’arrivais pas à m’enlever de la tête que j’allais sans doute franchir un nouveau pas, sans savoir lequel.

Le lendemain, je ne suis même pas passée au bureau. Je suis allée directement à mon rendez-vous.

Comme s’il s’agissait de parler d’immobilier, je me suis dirigée vers la maison. Mais je n’avais aucun document sur moi, juste mon petit sac à main.

Monsieur M. m’a accueillie sur le seuil. Je suis entrée. Le couple que j’avais vu nu dans la grange était dans le salon.

Monsieur M. a fait les présentations :

“Catherine, je vous présente Marie, que vous avez déjà aperçue il me semble. Marie, voici Catherine. Cela ne vous ennuie pas que je vous appelle par votre prénom au moins ?”

Je secouais la tête. J’étais trop émue pour parler.

“Et voici Joseph, l’époux de Marie. Catherine a assisté à notre prestation de la semaine dernière. Vous ne l’avez pas vue parce qu’elle est restée à la porte de la grange. Elle nous observait et elle a semblé apprécier le spectacle puisqu’elle est restée jusqu’à la fin.”

Ils me regardaient en me souriant. J’étais morte de honte et cela devait se voir parce que je sentais que j’avais le feu aux joues.

“Catherine ne connaît rien à nos amusements. Je l’avais convoquée sans l’informer pour la faire entrer en douceur dans notre cercle intime. J’avais senti en elle une nature faites pour apprécier nos jeux. Je crois que je ne me suis pas trompé. Elle a beaucoup progressé depuis une semaine et je pense qu’elle peut aujourd’hui participer pleinement à notre séance.”

Il y eut un moment de silence. J’étais la plus gênée de tous. Monsieur M. me faisait passer pour une bonne élève, espérant me flatter en me décernant un bon point. Mais il ne faisait qu’accentuer mon malaise. Je ne me sentais pas une nature faites pour apprécier leurs jeux comme il avait dit. Je me sentais prise dans un engrenage.

“Venez !”

Il se dirigea vers la sortie et nous le suivîmes. Le couple me laissa passer, sans doute pour m’observer le temps de la marche jusqu’à la grange.

“Aujourd’hui, pour en quelque sorte le dépucelage de notre nouveau membre, j’ai sélectionné deux petits poneys. Nous allons laisser Atlas au repos. Il n’est plus tout jeune et il ne faut pas surmener notre étalon. Et puis, les poneys sont moins effrayants et moins membrés pour une première fois.”

Je n’en menais pas large. Il parlait de dépucelage, de première fois. Je n’imaginais pas qu’il me fasse prendre par un tel sexe. Mon vagin n’était certainement pas prêt à une telle pénétration. Mais je n’osais pas protester.

Nous sommes entrés dans la grange. À côté du cheval d’arçon, deux poneys étaient attachés par leur laisse à une balustrade en bois.

“Marie, je vous propose de montrer à Catherine ce que c’est qu’une grande bouche. Vous voulez bien ?”
“Avec grand plaisir.”

Marie s’est avancée vers le premier poney. Elle a passé ses mains sous sa robe et a enlevé sa culotte, qu’elle a laissé traîner par terre sans plus s’en soucier.

“Ma femme aime bien se toucher. Tu peux en faire autant si tu veux.”

Je suis restée sans réaction à cette invitation manifeste de Joseph. Je n’étais pas insensible à ce qui se passait mais je ne me voyais pas me trousser devant ces inconnus. Marie caressait le sexe du poney qui commençait à grandir à vue d’oeil.

“Catherine, viens !”

Marie s’était retournée pour me faire signe de la rejoindre. Je me suis rapprochée d’elle et du poney. Le sexe n’était pas aussi imposant que celui d’Atlas, mais c’était tout de même un gros morceau.

Elle a pris le membre à pleine main et d’un mouvement de la tête, m’a proposé de le partager. Timidement, j’ai posé ma main sur la hampe. Marie a profité de mon renfort pour enlever sa main droite et la glisser sous sa robe. Elle se frottait le sexe sans se gêner de moi.

Puis, elle s’est mise à lêcher le bout du gland. Je n’ai pas pu m’empêcher de grimacer. Elle s’en est aperçue.

“Ce n’est pas sale tu sais. C’est aussi bon que celui d’un homme, mais en tellement plus gros. Tu aimes sucer ?”

J’ai rougi. Je n’avais encore jamais fait ce genre de confidence à qui que ce soit. Mais encore une fois, mon silence et ma gêne parlaient pour moi.

“Mets le bout de la langue avec moi, juste le bout !”

J’ai avancé ma bouche en tirant la langue le plus possible. J’ai fermé les yeux. C’est Marie qui a probablement orienté le sexe pour qu’il vienne au contact. À vrai dire, ça n’avait pas de goût.

“On les a bien lavés tous les deux avant que tu arrives. D’habitude, on ne fait pas tant de chichis, mais comme c’est ta première pipe, on a fait un effort.”

Je me suis reculée instinctivement. Elle venait de suggérer que j’allais devoir faire une fellation à ce poney. Quelle horreur !

Mais Marie a continué ses attouchements bucaux. Elle lêchait le gland sur toute sa circonférence. Quand elle l’a eu bien enduit de salive partout, elle a posé ses lèvres dessus et a commencé à ouvrir sa bouche pour le faire rentrer. Elle suçotait le bout tout en masturbant la colonne.

“À toi maintenant, suce le ! Fais comme j’ai fait : lèche le gland et après suce le bout. En même temps tu le branles.”

Elle me tendait le sexe et me regardait avec un sourire et une lueur de plaisir dans les yeux. Je n’ai pas osé refuser, un peu comme quand on accepte de goûter un plat exotique proposé par un indigène. On reste sur ses gardes, mais on ne veut pas froisser.

J’ai promené le bout de ma langue sur la chair. Ensuite, j’ai embrassé la couronne. Et en même temps, j’ai serré ce phallus entre mes doigts. Je dois avouer que j’ai ressenti le même plaisir qu’à faire une fellation à un homme, avec la grosseur en plus.

“Sors ta langue pendant que tu le suces ! Titilles lui son petit trou par où ça va gicler tout à l’heure !”

Je n’imaginais pas que nous allions continuer jusqu’à l’éjaculation tout de même. Mais j’ai mis ma langue pendant que je suçais. Ça ne se voyait pas puisque j’avais les lèvres collées au gland, mais je lèchais tout en suçant.

“On va le branler jusqu’à ce qu’il gicle et on va se partager le nectar, d’accord ?”

J’étais effrayée à l’idée de devoir partager du sperme de poney. Je me souvenais de la puissance du jet et je ne me voyais pas recevoir ça au fond de la gorge. Mais sans doute Marie allait-elle passer la première et c’est elle qui aurait le privilège de la giclée.

Pendant que je têtais le bout de la verge, Marie se caressait l’entre-jambe. Elle a retiré sa main et l’a passée sous ma robe pour toucher ma culotte. Je n’ai rien pu faire pour esquiver son geste.

“Tu es drôlement mouillée toi aussi. Enlève ton slip et branle toi pendant que tu le pompes ! Je vais tenir la bite. Tu n’auras qu’à sucer et te frotter la chatte.”

J’ai essayé de le faire discrètement mais tout le monde me regardait faire. J’ai commencé à me toucher. C’était si indécent. J’imaginais ce que j’étais en train de faire, sucer un cheval et me mastuber devant trois personnes, trois quasi inconnus. J’ai fermé les yeux et j’ai laissé le plaisir monter en moi.

Quand j’ai rouvert mes yeux, la visage de Marie était presque collé au mien. Elle léchait verticalement, tirant sur sa langue pour l’allonger mais aussi l’élargir au maximum. Son regard était extatique. Je lui ai laissé la place mais très vite, elle m’a invitée à revenir.

“On partage. On lèche chacun la moitié de la bite, tu veux bien ?”

Elle m’a de nouveau tendu le gland pour que j’y remette ma langue. Puis, elle a collé sa joue contre la mienne. Nos langues ont fini par se toucher. Elle semblait prendre plaisir à ce contact. Elle cherchait à m’embrasser et elle a fini par y arriver. Je me suis laissée faire. Elle agissait comme un homme, pénétrant ma bouche avec sa langue, fouillant sous ma robe avec sa main, tout en tenant le sexe du cheval.

“Je vais te montrer comment le faire rentrer dans ta bouche. Regarde.”

Elle a ouvert sa bouche et a commencé à pousser le gland à l’intérieur en tenant le bout du sexe à deux mains. Avec ses doigts, elle a pressé sur les bords pour faire rentrer la chair petit à petit. Après quelques efforts, elle a pu enfin engouffrer la totalité du gland. Sa machoire était écartée au maximum. Elle avait la bouche pleine comme si elle venait d’engloutir un énorme morceau de pain.

Elle s’est mise à masturber le cheval à toute vitesse pour lui donner de la raideur. Elle a ensuite ressorti le sexe de sa bouche, me montrant tout ce qu’elle avait pu se mettre au fond du palais.

“À toi maintenant. Il faut que tu y arrives pour que tu puisses recevoir son éjaculation au fond de la gorge. C’est ce qu’il y a de meilleur.”

Ce qu’elle m’annonçait m’effrayait. Néanmoins, j’ai essayé moi aussi d’enfourner ce morceau. Je dois dire que je m’en suis pas mal sortie, sans doute parce que j’ai une plus grand bouche que Marie. Après relativement peu de contorsions, je me suis retrouvée bâillonnée. C’était étrange comme sensation d’avoir cet énorme mandrin tout entier dans la bouche. J’ai toujours aimé sentir le sexe de mon mari remplir mon palais. Mais cette fois, j’étais comblée comme je ne l’avais jamais été. Marie me dit soudain :

“J’ai envie de sa crème. Je vais le faire cracher. Tu es prête ?”

J’ai libéré ma bouche avant de répondre (j’ai pensé qu’une fille bien élevée ne parle pas la bouche pleine, a fortiori pleine de bite de cheval).

“Qu’est-ce que je dois faire ?”
“Tu le branles avec moi. Et puis quand il va gicler, tu essayes d’en avaler le plus possible. Comme c’est ta première fois, je te laisse le privilège de l’avoir en bouche quand il va cracher son foutre. Mais tu m’en laisseras un peu quand même, hein ?”

Nous avons pris le manche à quatre mains et, en cadence, nous avons masturbé le cheval. Quand Marie a senti que le cylindre raidissait entre nos doigts elle m’a dit de me mettre en position, avec le sexe dans la bouche. J’étais un peu paniquée à l’idée de ce que j’allais recevoir dans la gorge au moment de l’éjaculation mais j’ai bravement joué mon rôle.

Nous avons continué notre va-et-vient ensemble. Soudain, Marie a relâché le sexe pour appuyer sur ma nuque et bien plaquer ma bouche sur le gland.

J’ai failli m’étouffer quand j’ai reçu la giclée. La pression était telle qu’une bonne partie du liquide ressortait par les commissures. J’ai toussé, toujours la bouche pleine. J’ai dû déglutir. J’ai retiré le sexe de ma bouche. Il commençait à s’amollir. J’ai voulu recracher la semence mais quand j’ai sorti le gland, Marie m’a embrassée. Elle fouillait loin dans ma bouche pour me reprendre ce que je n’avais pas avalé. Ensuite, elle a plaqué ses lèvres sur le méat et s’est mise à têter avec avidité. Je voyais ses joues se creuser sous l’effet de l’aspiration.

Une fois que c’était fini, nous nous sommes retournées. Ce n’est qu’à ce moment que nous avons pris conscience de la présence des deux hommes. À ma surprise, Joseph était nu. Il s’était déshabillé sans que nous nous en apercevions pendant que nous faisions notre fellation. Monsieur M. n’avait pas bougé depuis qu’il était entré dans la grange. Il nous observait. Il semblait satisfait.

“Marie, vous voulez bien aider Catherine pour la suite s’il vous plaît? Il faudra lui indiquer comment se tenir. Vous guiderez le poney jusqu’à ce qu’il puisse se débrouiller seul. Joseph, je compte sur vous pour préparer Catherine.”

Je comprenais que j’allais devoir recevoir le poney. Ça m’affolait.

“Non, je ne vais pas pouvoir. C’est bien trop gros. Il va me déchirer.”
“Il n’est pas question de vous blesser bien sûr. Mais je suis sûr que vous allez y arriver. N’ayez pas peur. Joseph va vous élargir avec ses doigts. S’il a le moindre doute, il nous le dira, soyez sans crainte. Retirez votre culotte et appuyez vous à la rembarde en vous cambrant.”

J’ai fait ce qu’il m’a demandé mais je n’en menais pas large. En plus, j’étais gênée de devoir me faire tripoter par Joseph. Apparemment, cela n’ennuyait pas Marie que son homme s’occupe d’une autre femme.

Marie a mimé la pose que je devais prendre. Je me suis positionnée à mon tour, en l’imitant, les mains posées sur la rembarde, à hauteur de ma tête, les jambes en arrière et bien écartées. Joseph s’est approché et a relevé ma robe en rentrant l’ourlet dans la ceinture pour l’empêcher de retomber. J’avais les fesses totalement découvertes.

Il s’est agenouillé. Je l’ai entendu cracher dans sa main. Il l’a mise dans ma raie, cherchant l’entrée de mon vagin. Il m’a pénétrée avec ses doigts. Il s’est mis à fourrager de plus en plus vite. Il n’allait pas profond mais il me frottait à toute allure.

Il s’est arrêté. J’ai senti qu’il rentrait plus de doigts. Il massait mes lèvres et mon clitoris en même temps.

“Aucun souci. Je lui mets quatre doigts sans problème et il reste de la place. Je suis sûr que je pourrais la fister si je voulais. Elle va pouvoir se régaler avec cette belle bite de poney.”

Il s’est relevé et s’est approché du poney. Il l’a détaché et l’a amené derrière moi. J’étais inquiète et je gardais la tête tournée vers l’arrière pour vérifier ce qui se passait. Joseph s’est mis à masser le cheval pour le mettre en érection.

Quand j’ai vu le sexe totalement développé, je me suis angoissée. Il n’était pas aussi gros que celui d’Atlas, mais il mesurait bien l’équivalent d’un bras, avec sensiblement l’épaisseur d’un poignet, sauf la tête du noeud qui était nettement plus épaisse.

Monsieur M. m’expliqua ce qui allait se passer.

“Quand il va vous monter dessus, ne paniquez pas. Laissez le faire. Joseph et Marie sont là pour vous protéger pendant la saillie. Restez solide sur vos appuis et attendez simplement qu’il soit en vous. Après, ça ira très vite comme vous l’avez vu avec Atlas. Ne bougez pas jusqu’à ce qu’il soit ressorti et descendu.”

Le poney était prêt. Il s’est soudain cabré et j’ai senti ses sabots sur mon dos. J’ai eu du mal à ne pas m’effondrer sous le choc. J’entendais le cheval piétiner sur place. Joseph devait essayer de guider l’animal pour le placer en face. Marie l’aidait aussi sans doute. Pour ma part, j’étais toute concentrée à ne pas céder sous le poids. Les antérieures étaient de part et d’autre de ma taille et j’avais le ventre du poney sur les épaules. Je sentais son haleine près de mon cou.

Le sexe me touchait de temps à autre, aux fesses le plus souvent, mais aussi à l’intérieur des cuisses et même sur le bas du dos.

L’animal a dû se lasser de ne pas y arriver. Il est descendu. J’ai pu me redresser.

“On va faire une pause. Chacun reprend son souffle. Ça va Catherine ?”

J’ai regardé monsieur M. Je ne devais pas être totalement sereine, mais il a vu que ça allait malgré tout.

Joseph a câliné le poney. Puis, quand il a senti qu’on pouvait faire une nouvelle tentative, il a stimulé le sexe à nouveau jusqu’à ce qu’il atteigne une belle raideur. Pendant ce temps, je m’étais remise en position. J’étais moins crispée parce que, au moins pour le début, je savais à quoi m’attendre.

Le cheval s’est de nouveau dressé pour me couvrir. J’ai mieux résisté au poids. Je m’habituais. Presque tout de suite après que le poney m’ait ceinturé, j’ai senti que Joseph avait enfin réussi son coup. Le gland venait de toucher ma vulve.

Le poney a dû donner un coup de reins parce que le sexe m’a transpercée. C’était vraiment violent, comme si on vous frappait le sexe avec le poing. Mon vagin s’est ouvert sous l’impact. Je l’ai senti s’élargir comme jamais. Et tout de suite, le choc au fond de l’utérus. J’avais peur que le mandrin ne s’enfonce plus loin encore mais il s’est au contraire retiré.

C’était une sensation incroyable. Lorsque le mâle a poussé pour entrer, le muscle vaginal s’est dilaté au maximum pour laisser passer le gland. Quand il s’est arraché après m’avoir remplie de semence, mon muscle s’est refermé.

Il y a eu quatre perforations très rapprochées, toutes aussi intenses. C’était comme si un formidable amant était venu se soulager en moi, sans aucun égard pour mon plaisir. Juste me taper dans les fesses le plus vite et le plus fort possible jusqu’à l’assouvissement.

Au bout du pilonnage, l’apothéose. Un jet de sperme inouï. Comme une douche puissante au fond de la matrice. La sensation d’être remplie en une fraction de seconde.

Mais je n’ai pas eu le temps de bien apprécier. Le poney s’est dégagé. Dès qu’il a été sorti, j’ai senti mon sexe qui se vidait par terre du trop plein.

Avant que je me sois redressée, Joseph m’a prise par les hanches et s’est enfoncé en moi sans que je puisse réagir. Son sexe me semblait si minuscule comparé à celui que je venais de recevoir. Mais lui non plus ne se souciait pas de mes sensations. Il prenait son plaisir. Il n’a pas été beaucoup plus long que le poney.

Puis, en se retirant, il s’est agenouillé et il a plongé son visage entre mes fesses. Je me suis souvenue que c’est aussi ce qu’il avait fait à sa femme après qu’elle ait été saillie.

Je sentais sa langue fouiller partout. Il n’était pas dégoûté. Il a même pénétré mon anus.

Quand il s’est relevé, son visage était barbouillé de mes sécrétions mélangées au sperme du poney.

Monsieur M. m’a demandé :

“Alors, ça vous a plu ?”

Je suis devenue cramoisie. Il n’y avait rien à dire. Tout était visible.

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