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đŸ‡«đŸ‡· Le Haras – Partie 4

4.8
(13)

Le patron est passé me voir pour me dire que mon rendez-vous du lendemain était reporté et remplacé par une visite chez monsieur M.

La nuit fut courte encore une fois. Je n’arrivais pas Ă  m’enlever de la tĂȘte que j’allais sans doute franchir un nouveau pas, sans savoir lequel.

Le lendemain, je ne suis mĂȘme pas passĂ©e au bureau. Je suis allĂ©e directement Ă  mon rendez-vous.

Comme s’il s’agissait de parler d’immobilier, je me suis dirigĂ©e vers la maison. Mais je n’avais aucun document sur moi, juste mon petit sac Ă  main.

Monsieur M. m’a accueillie sur le seuil. Je suis entrĂ©e. Le couple que j’avais vu nu dans la grange Ă©tait dans le salon.

Monsieur M. a fait les présentations :

“Catherine, je vous prĂ©sente Marie, que vous avez dĂ©jĂ  aperçue il me semble. Marie, voici Catherine. Cela ne vous ennuie pas que je vous appelle par votre prĂ©nom au moins ?”

Je secouais la tĂȘte. J’étais trop Ă©mue pour parler.

“Et voici Joseph, l’époux de Marie. Catherine a assistĂ© Ă  notre prestation de la semaine derniĂšre. Vous ne l’avez pas vue parce qu’elle est restĂ©e Ă  la porte de la grange. Elle nous observait et elle a semblĂ© apprĂ©cier le spectacle puisqu’elle est restĂ©e jusqu’à la fin.”

Ils me regardaient en me souriant. J’étais morte de honte et cela devait se voir parce que je sentais que j’avais le feu aux joues.

“Catherine ne connaĂźt rien Ă  nos amusements. Je l’avais convoquĂ©e sans l’informer pour la faire entrer en douceur dans notre cercle intime. J’avais senti en elle une nature faites pour apprĂ©cier nos jeux. Je crois que je ne me suis pas trompĂ©. Elle a beaucoup progressĂ© depuis une semaine et je pense qu’elle peut aujourd’hui participer pleinement Ă  notre sĂ©ance.”

Il y eut un moment de silence. J’étais la plus gĂȘnĂ©e de tous. Monsieur M. me faisait passer pour une bonne Ă©lĂšve, espĂ©rant me flatter en me dĂ©cernant un bon point. Mais il ne faisait qu’accentuer mon malaise. Je ne me sentais pas une nature faites pour apprĂ©cier leurs jeux comme il avait dit. Je me sentais prise dans un engrenage.

“Venez !”

Il se dirigea vers la sortie et nous le suivümes. Le couple me laissa passer, sans doute pour m’observer le temps de la marche jusqu’à la grange.

“Aujourd’hui, pour en quelque sorte le dĂ©pucelage de notre nouveau membre, j’ai sĂ©lectionnĂ© deux petits poneys. Nous allons laisser Atlas au repos. Il n’est plus tout jeune et il ne faut pas surmener notre Ă©talon. Et puis, les poneys sont moins effrayants et moins membrĂ©s pour une premiĂšre fois.”

Je n’en menais pas large. Il parlait de dĂ©pucelage, de premiĂšre fois. Je n’imaginais pas qu’il me fasse prendre par un tel sexe. Mon vagin n’était certainement pas prĂȘt Ă  une telle pĂ©nĂ©tration. Mais je n’osais pas protester.

Nous sommes entrĂ©s dans la grange. À cĂŽtĂ© du cheval d’arçon, deux poneys Ă©taient attachĂ©s par leur laisse Ă  une balustrade en bois.

“Marie, je vous propose de montrer à Catherine ce que c’est qu’une grande bouche. Vous voulez bien ?”
“Avec grand plaisir.”

Marie s’est avancĂ©e vers le premier poney. Elle a passĂ© ses mains sous sa robe et a enlevĂ© sa culotte, qu’elle a laissĂ© traĂźner par terre sans plus s’en soucier.

“Ma femme aime bien se toucher. Tu peux en faire autant si tu veux.”

Je suis restĂ©e sans rĂ©action Ă  cette invitation manifeste de Joseph. Je n’étais pas insensible Ă  ce qui se passait mais je ne me voyais pas me trousser devant ces inconnus. Marie caressait le sexe du poney qui commençait Ă  grandir Ă  vue d’oeil.

“Catherine, viens !”

Marie s’était retournĂ©e pour me faire signe de la rejoindre. Je me suis rapprochĂ©e d’elle et du poney. Le sexe n’était pas aussi imposant que celui d’Atlas, mais c’était tout de mĂȘme un gros morceau.

Elle a pris le membre Ă  pleine main et d’un mouvement de la tĂȘte, m’a proposĂ© de le partager. Timidement, j’ai posĂ© ma main sur la hampe. Marie a profitĂ© de mon renfort pour enlever sa main droite et la glisser sous sa robe. Elle se frottait le sexe sans se gĂȘner de moi.

Puis, elle s’est mise Ă  lĂȘcher le bout du gland. Je n’ai pas pu m’empĂȘcher de grimacer. Elle s’en est aperçue.

“Ce n’est pas sale tu sais. C’est aussi bon que celui d’un homme, mais en tellement plus gros. Tu aimes sucer ?”

J’ai rougi. Je n’avais encore jamais fait ce genre de confidence Ă  qui que ce soit. Mais encore une fois, mon silence et ma gĂȘne parlaient pour moi.

“Mets le bout de la langue avec moi, juste le bout !”

J’ai avancĂ© ma bouche en tirant la langue le plus possible. J’ai fermĂ© les yeux. C’est Marie qui a probablement orientĂ© le sexe pour qu’il vienne au contact. À vrai dire, ça n’avait pas de goĂ»t.

“On les a bien lavĂ©s tous les deux avant que tu arrives. D’habitude, on ne fait pas tant de chichis, mais comme c’est ta premiĂšre pipe, on a fait un effort.”

Je me suis reculĂ©e instinctivement. Elle venait de suggĂ©rer que j’allais devoir faire une fellation Ă  ce poney. Quelle horreur !

Mais Marie a continuĂ© ses attouchements bucaux. Elle lĂȘchait le gland sur toute sa circonfĂ©rence. Quand elle l’a eu bien enduit de salive partout, elle a posĂ© ses lĂšvres dessus et a commencĂ© Ă  ouvrir sa bouche pour le faire rentrer. Elle suçotait le bout tout en masturbant la colonne.

“À toi maintenant, suce le ! Fais comme j’ai fait : lĂšche le gland et aprĂšs suce le bout. En mĂȘme temps tu le branles.”

Elle me tendait le sexe et me regardait avec un sourire et une lueur de plaisir dans les yeux. Je n’ai pas osĂ© refuser, un peu comme quand on accepte de goĂ»ter un plat exotique proposĂ© par un indigĂšne. On reste sur ses gardes, mais on ne veut pas froisser.

J’ai promenĂ© le bout de ma langue sur la chair. Ensuite, j’ai embrassĂ© la couronne. Et en mĂȘme temps, j’ai serrĂ© ce phallus entre mes doigts. Je dois avouer que j’ai ressenti le mĂȘme plaisir qu’à faire une fellation Ă  un homme, avec la grosseur en plus.

“Sors ta langue pendant que tu le suces ! Titilles lui son petit trou par oĂč ça va gicler tout Ă  l’heure !”

Je n’imaginais pas que nous allions continuer jusqu’à l’éjaculation tout de mĂȘme. Mais j’ai mis ma langue pendant que je suçais. Ça ne se voyait pas puisque j’avais les lĂšvres collĂ©es au gland, mais je lĂšchais tout en suçant.

“On va le branler jusqu’à ce qu’il gicle et on va se partager le nectar, d’accord ?”

J’étais effrayĂ©e Ă  l’idĂ©e de devoir partager du sperme de poney. Je me souvenais de la puissance du jet et je ne me voyais pas recevoir ça au fond de la gorge. Mais sans doute Marie allait-elle passer la premiĂšre et c’est elle qui aurait le privilĂšge de la giclĂ©e.

Pendant que je tĂȘtais le bout de la verge, Marie se caressait l’entre-jambe. Elle a retirĂ© sa main et l’a passĂ©e sous ma robe pour toucher ma culotte. Je n’ai rien pu faire pour esquiver son geste.

“Tu es drĂŽlement mouillĂ©e toi aussi. EnlĂšve ton slip et branle toi pendant que tu le pompes ! Je vais tenir la bite. Tu n’auras qu’à sucer et te frotter la chatte.”

J’ai essayĂ© de le faire discrĂštement mais tout le monde me regardait faire. J’ai commencĂ© Ă  me toucher. C’était si indĂ©cent. J’imaginais ce que j’étais en train de faire, sucer un cheval et me mastuber devant trois personnes, trois quasi inconnus. J’ai fermĂ© les yeux et j’ai laissĂ© le plaisir monter en moi.

Quand j’ai rouvert mes yeux, la visage de Marie Ă©tait presque collĂ© au mien. Elle lĂ©chait verticalement, tirant sur sa langue pour l’allonger mais aussi l’élargir au maximum. Son regard Ă©tait extatique. Je lui ai laissĂ© la place mais trĂšs vite, elle m’a invitĂ©e Ă  revenir.

“On partage. On lĂšche chacun la moitiĂ© de la bite, tu veux bien ?”

Elle m’a de nouveau tendu le gland pour que j’y remette ma langue. Puis, elle a collĂ© sa joue contre la mienne. Nos langues ont fini par se toucher. Elle semblait prendre plaisir Ă  ce contact. Elle cherchait Ă  m’embrasser et elle a fini par y arriver. Je me suis laissĂ©e faire. Elle agissait comme un homme, pĂ©nĂ©trant ma bouche avec sa langue, fouillant sous ma robe avec sa main, tout en tenant le sexe du cheval.

“Je vais te montrer comment le faire rentrer dans ta bouche. Regarde.”

Elle a ouvert sa bouche et a commencĂ© Ă  pousser le gland Ă  l’intĂ©rieur en tenant le bout du sexe Ă  deux mains. Avec ses doigts, elle a pressĂ© sur les bords pour faire rentrer la chair petit Ă  petit. AprĂšs quelques efforts, elle a pu enfin engouffrer la totalitĂ© du gland. Sa machoire Ă©tait Ă©cartĂ©e au maximum. Elle avait la bouche pleine comme si elle venait d’engloutir un Ă©norme morceau de pain.

Elle s’est mise à masturber le cheval à toute vitesse pour lui donner de la raideur. Elle a ensuite ressorti le sexe de sa bouche, me montrant tout ce qu’elle avait pu se mettre au fond du palais.

“À toi maintenant. Il faut que tu y arrives pour que tu puisses recevoir son Ă©jaculation au fond de la gorge. C’est ce qu’il y a de meilleur.”

Ce qu’elle m’annonçait m’effrayait. NĂ©anmoins, j’ai essayĂ© moi aussi d’enfourner ce morceau. Je dois dire que je m’en suis pas mal sortie, sans doute parce que j’ai une plus grand bouche que Marie. AprĂšs relativement peu de contorsions, je me suis retrouvĂ©e bĂąillonnĂ©e. C’était Ă©trange comme sensation d’avoir cet Ă©norme mandrin tout entier dans la bouche. J’ai toujours aimĂ© sentir le sexe de mon mari remplir mon palais. Mais cette fois, j’étais comblĂ©e comme je ne l’avais jamais Ă©tĂ©. Marie me dit soudain :

“J’ai envie de sa crĂšme. Je vais le faire cracher. Tu es prĂȘte ?”

J’ai libĂ©rĂ© ma bouche avant de rĂ©pondre (j’ai pensĂ© qu’une fille bien Ă©levĂ©e ne parle pas la bouche pleine, a fortiori pleine de bite de cheval).

“Qu’est-ce que je dois faire ?”
“Tu le branles avec moi. Et puis quand il va gicler, tu essayes d’en avaler le plus possible. Comme c’est ta premiĂšre fois, je te laisse le privilĂšge de l’avoir en bouche quand il va cracher son foutre. Mais tu m’en laisseras un peu quand mĂȘme, hein ?”

Nous avons pris le manche Ă  quatre mains et, en cadence, nous avons masturbĂ© le cheval. Quand Marie a senti que le cylindre raidissait entre nos doigts elle m’a dit de me mettre en position, avec le sexe dans la bouche. J’étais un peu paniquĂ©e Ă  l’idĂ©e de ce que j’allais recevoir dans la gorge au moment de l’éjaculation mais j’ai bravement jouĂ© mon rĂŽle.

Nous avons continué notre va-et-vient ensemble. Soudain, Marie a relùché le sexe pour appuyer sur ma nuque et bien plaquer ma bouche sur le gland.

J’ai failli m’étouffer quand j’ai reçu la giclĂ©e. La pression Ă©tait telle qu’une bonne partie du liquide ressortait par les commissures. J’ai toussĂ©, toujours la bouche pleine. J’ai dĂ» dĂ©glutir. J’ai retirĂ© le sexe de ma bouche. Il commençait Ă  s’amollir. J’ai voulu recracher la semence mais quand j’ai sorti le gland, Marie m’a embrassĂ©e. Elle fouillait loin dans ma bouche pour me reprendre ce que je n’avais pas avalĂ©. Ensuite, elle a plaquĂ© ses lĂšvres sur le mĂ©at et s’est mise Ă  tĂȘter avec aviditĂ©. Je voyais ses joues se creuser sous l’effet de l’aspiration.

Une fois que c’était fini, nous nous sommes retournĂ©es. Ce n’est qu’à ce moment que nous avons pris conscience de la prĂ©sence des deux hommes. À ma surprise, Joseph Ă©tait nu. Il s’était dĂ©shabillĂ© sans que nous nous en apercevions pendant que nous faisions notre fellation. Monsieur M. n’avait pas bougĂ© depuis qu’il Ă©tait entrĂ© dans la grange. Il nous observait. Il semblait satisfait.

“Marie, vous voulez bien aider Catherine pour la suite s’il vous plaĂźt? Il faudra lui indiquer comment se tenir. Vous guiderez le poney jusqu’à ce qu’il puisse se dĂ©brouiller seul. Joseph, je compte sur vous pour prĂ©parer Catherine.”

Je comprenais que j’allais devoir recevoir le poney. Ça m’affolait.

“Non, je ne vais pas pouvoir. C’est bien trop gros. Il va me dĂ©chirer.”
“Il n’est pas question de vous blesser bien sĂ»r. Mais je suis sĂ»r que vous allez y arriver. N’ayez pas peur. Joseph va vous Ă©largir avec ses doigts. S’il a le moindre doute, il nous le dira, soyez sans crainte. Retirez votre culotte et appuyez vous Ă  la rembarde en vous cambrant.”

J’ai fait ce qu’il m’a demandĂ© mais je n’en menais pas large. En plus, j’étais gĂȘnĂ©e de devoir me faire tripoter par Joseph. Apparemment, cela n’ennuyait pas Marie que son homme s’occupe d’une autre femme.

Marie a mimĂ© la pose que je devais prendre. Je me suis positionnĂ©e Ă  mon tour, en l’imitant, les mains posĂ©es sur la rembarde, Ă  hauteur de ma tĂȘte, les jambes en arriĂšre et bien Ă©cartĂ©es. Joseph s’est approchĂ© et a relevĂ© ma robe en rentrant l’ourlet dans la ceinture pour l’empĂȘcher de retomber. J’avais les fesses totalement dĂ©couvertes.

Il s’est agenouillĂ©. Je l’ai entendu cracher dans sa main. Il l’a mise dans ma raie, cherchant l’entrĂ©e de mon vagin. Il m’a pĂ©nĂ©trĂ©e avec ses doigts. Il s’est mis Ă  fourrager de plus en plus vite. Il n’allait pas profond mais il me frottait Ă  toute allure.

Il s’est arrĂȘtĂ©. J’ai senti qu’il rentrait plus de doigts. Il massait mes lĂšvres et mon clitoris en mĂȘme temps.

“Aucun souci. Je lui mets quatre doigts sans problĂšme et il reste de la place. Je suis sĂ»r que je pourrais la fister si je voulais. Elle va pouvoir se rĂ©galer avec cette belle bite de poney.”

Il s’est relevĂ© et s’est approchĂ© du poney. Il l’a dĂ©tachĂ© et l’a amenĂ© derriĂšre moi. J’étais inquiĂšte et je gardais la tĂȘte tournĂ©e vers l’arriĂšre pour vĂ©rifier ce qui se passait. Joseph s’est mis Ă  masser le cheval pour le mettre en Ă©rection.

Quand j’ai vu le sexe totalement dĂ©veloppĂ©, je me suis angoissĂ©e. Il n’était pas aussi gros que celui d’Atlas, mais il mesurait bien l’équivalent d’un bras, avec sensiblement l’épaisseur d’un poignet, sauf la tĂȘte du noeud qui Ă©tait nettement plus Ă©paisse.

Monsieur M. m’expliqua ce qui allait se passer.

“Quand il va vous monter dessus, ne paniquez pas. Laissez le faire. Joseph et Marie sont lĂ  pour vous protĂ©ger pendant la saillie. Restez solide sur vos appuis et attendez simplement qu’il soit en vous. AprĂšs, ça ira trĂšs vite comme vous l’avez vu avec Atlas. Ne bougez pas jusqu’à ce qu’il soit ressorti et descendu.”

Le poney Ă©tait prĂȘt. Il s’est soudain cabrĂ© et j’ai senti ses sabots sur mon dos. J’ai eu du mal Ă  ne pas m’effondrer sous le choc. J’entendais le cheval piĂ©tiner sur place. Joseph devait essayer de guider l’animal pour le placer en face. Marie l’aidait aussi sans doute. Pour ma part, j’étais toute concentrĂ©e Ă  ne pas cĂ©der sous le poids. Les antĂ©rieures Ă©taient de part et d’autre de ma taille et j’avais le ventre du poney sur les Ă©paules. Je sentais son haleine prĂšs de mon cou.

Le sexe me touchait de temps Ă  autre, aux fesses le plus souvent, mais aussi Ă  l’intĂ©rieur des cuisses et mĂȘme sur le bas du dos.

L’animal a dĂ» se lasser de ne pas y arriver. Il est descendu. J’ai pu me redresser.

“On va faire une pause. Chacun reprend son souffle. Ça va Catherine ?”

J’ai regardĂ© monsieur M. Je ne devais pas ĂȘtre totalement sereine, mais il a vu que ça allait malgrĂ© tout.

Joseph a cĂąlinĂ© le poney. Puis, quand il a senti qu’on pouvait faire une nouvelle tentative, il a stimulĂ© le sexe Ă  nouveau jusqu’à ce qu’il atteigne une belle raideur. Pendant ce temps, je m’étais remise en position. J’étais moins crispĂ©e parce que, au moins pour le dĂ©but, je savais Ă  quoi m’attendre.

Le cheval s’est de nouveau dressĂ© pour me couvrir. J’ai mieux rĂ©sistĂ© au poids. Je m’habituais. Presque tout de suite aprĂšs que le poney m’ait ceinturĂ©, j’ai senti que Joseph avait enfin rĂ©ussi son coup. Le gland venait de toucher ma vulve.

Le poney a dĂ» donner un coup de reins parce que le sexe m’a transpercĂ©e. C’était vraiment violent, comme si on vous frappait le sexe avec le poing. Mon vagin s’est ouvert sous l’impact. Je l’ai senti s’élargir comme jamais. Et tout de suite, le choc au fond de l’utĂ©rus. J’avais peur que le mandrin ne s’enfonce plus loin encore mais il s’est au contraire retirĂ©.

C’était une sensation incroyable. Lorsque le mĂąle a poussĂ© pour entrer, le muscle vaginal s’est dilatĂ© au maximum pour laisser passer le gland. Quand il s’est arrachĂ© aprĂšs m’avoir remplie de semence, mon muscle s’est refermĂ©.

Il y a eu quatre perforations trĂšs rapprochĂ©es, toutes aussi intenses. C’était comme si un formidable amant Ă©tait venu se soulager en moi, sans aucun Ă©gard pour mon plaisir. Juste me taper dans les fesses le plus vite et le plus fort possible jusqu’à l’assouvissement.

Au bout du pilonnage, l’apothĂ©ose. Un jet de sperme inouĂŻ. Comme une douche puissante au fond de la matrice. La sensation d’ĂȘtre remplie en une fraction de seconde.

Mais je n’ai pas eu le temps de bien apprĂ©cier. Le poney s’est dĂ©gagĂ©. DĂšs qu’il a Ă©tĂ© sorti, j’ai senti mon sexe qui se vidait par terre du trop plein.

Avant que je me sois redressĂ©e, Joseph m’a prise par les hanches et s’est enfoncĂ© en moi sans que je puisse rĂ©agir. Son sexe me semblait si minuscule comparĂ© Ă  celui que je venais de recevoir. Mais lui non plus ne se souciait pas de mes sensations. Il prenait son plaisir. Il n’a pas Ă©tĂ© beaucoup plus long que le poney.

Puis, en se retirant, il s’est agenouillĂ© et il a plongĂ© son visage entre mes fesses. Je me suis souvenue que c’est aussi ce qu’il avait fait Ă  sa femme aprĂšs qu’elle ait Ă©tĂ© saillie.

Je sentais sa langue fouiller partout. Il n’était pas dĂ©goĂ»tĂ©. Il a mĂȘme pĂ©nĂ©trĂ© mon anus.

Quand il s’est relevĂ©, son visage Ă©tait barbouillĂ© de mes sĂ©crĂ©tions mĂ©langĂ©es au sperme du poney.

Monsieur M. m’a demandĂ© :

“Alors, ça vous a plu ?”

Je suis devenue cramoisie. Il n’y avait rien Ă  dire. Tout Ă©tait visible.

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