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đŸ‡«đŸ‡· Le Haras – Partie 5

4.8
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Retour Ă  la premiĂšre partie

La semaine suivante, j’ai reçu un appel de monsieur M.

“Je ne vous dĂ©range pas ?”

J’étais troublĂ©e qu’il m’appelle en soirĂ©e. Mon mari n’était pas loin. J’ai sans doute dĂ» rougir. Je ne sais pas s’il s’en est aperçu. Sinon, il a probablement eu la puce Ă  l’oreille. J’ai rĂ©pondu avec une voix qui devait trahir mon trouble :

“Non, vous ne me dĂ©rangez pas.”
“Je pense que vous ĂȘtes prĂȘte. Ça vous dirait de vous faire saillir par Atlas ?”

J’étais encore plus embarrassĂ©e de la tournure que prenait la conversation. Mon mari pouvait-il entendre ce que disait monsieur M. ?

J’ai eu un moment d’hĂ©sitation. C’était plus parce que j’accusais le coup que parce que j’étais indĂ©cise. Mais assez vite, j’ai rĂ©pondu avec une petite voix rauque :

“Oui, bien sĂ»r.”

J’avais un noeud dans la gorge tellement j’étais Ă©branlĂ©e.

“Alors je vous attends samedi, vers dix heures. Je compte sur vous ?”
“Samedi ?”

Bien sĂ»r, ce n’était pas la premiĂšre fois que je m’absenterais un samedi. Dans l’immobilier, c’est le client qui dĂ©cide. Mais Ă©tant donnĂ© ce que j’allais faire ce samedi lĂ , j’ai eu un moment de flottement.

“Oui, samedi, ça ira. Je viendrai.”
“Bon, alors à samedi, dix heures au haras. Au revoir.”

Il avait déjà raccroché. Mon mari me regardait, interrogateur.

“C’est le client du haras. Il veut que je passe samedi à dix heures.”
“Bon. Tu seras lĂ  pour dĂ©jeuner ?”
“Je ne sais pas. Peut-ĂȘtre un peu tard. Mais je t’enverrai un message si ça se prolonge.”

J’ai passĂ© la soirĂ©e Ă  ressasser ce coup de fil, Ă  l’invitation du samedi. La demande de monsieur M. et surtout ma rĂ©ponse, Ă©mue mais en mĂȘme temps nette, me faisait revivre la premiĂšre fois oĂč j’ai vu se perpĂ©trer cet acte.

Je revoyais la femme attachĂ©e au cheval d’arçon, Atlas qui se dressait et qui s’affalait sur sa femelle, le membre raide et long comme un bras se placer en face du vagin et le mouvement de la croupe entraĂźnant la perforation.

Samedi, j’allais subir le mĂȘme sort. C’était effrayant. Mais en mĂȘme temps, j’en avais une terrible envie. Je voulais me faite pĂ©nĂ©trer par ce sexe incomparable. Je voulais sentir cette force s’enfoncer en moi.

MĂȘme la nuit, j’ai eu du mal Ă  m’endormir. J’étais tournĂ©e vers le mur, avec l’image d’Atlas dans mes pensĂ©es.

Le samedi matin, je me suis levĂ©e tĂŽt. En prenant ma douche, je me suis aperçue que j’étais dĂ©jĂ  excitĂ©e. Mon sexe Ă©tait poisseux et rouge.

Je me suis particuliĂšrement appliquĂ©e Ă  choisir une tenue Ă©lĂ©gante et adaptĂ©e Ă  ce qui allait se passer. J’ai revĂȘtu mon plus bel ensemble slip soutien-gorge. Pour le reste, j’ai choisi une robe plutĂŽt qu’un combinĂ© jupe et haut, jugeant que ce serait plus facile Ă  enlever.

Je me suis maquillée, comme pour une journée de travail, mais avec plus de soin, faisant ressortir les couleurs, particuliÚrement les lÚvres et les yeux.

En arrivant au haras, j’ai tout de suite notĂ© que le porche de la grange Ă©tait grand ouvert. En marchant, j’avais les jambes molles et le coeur qui battait.

Monsieur M. m’attendait prĂšs du cheval d’arçon. Atlas n’était pas lĂ .

“Bonjour Catherine. Alors, c’est le grand jour ?”

Il Ă©tait enthousiaste. Moi, j’étais intimidĂ©e. Je rĂ©pondis d’une toute petite voix :

“Oui”
“Vous allez voir, c’est inoubliable. Mettez vous en tenue. C’est mieux si vous ĂȘtes toute nue. Ensuite, je vous fixerai au fantĂŽme. Voulez-vous que je vous aide Ă  retirer votre robe ?”

Il s’est approchĂ© pour passer derriĂšre moi et il a descendu la fermeture Éclair. Le vĂȘtement est tombĂ© Ă  mes pieds. Je l’ai enjambĂ© puis je me suis penchĂ©e pour enlever mes chaussures. J’ai ramassĂ© le tout et je me suis tournĂ©e vers monsieur M. pour, du regard, lui demander oĂč je pouvais ranger mes effets. Il a fait un pas et s’en est emparĂ© pour les poser sur une petite table.

Je l’ai suivi afin d’y ajouter ma culotte et mon soutien-gorge.

Il m’a prise par la main et m’a conduite jusqu’à l’arriĂšre de ce qu’il avait appelĂ© le fantĂŽme. Il y avait un petit escabeau pour faciliter l’ascension.

“Vous allez prendre appui avec vos genoux sur la croupe du fantîme, puis vous vous allongerez dessus.”

J’ai suivi ses indications. Je devais ĂȘtre gauche en m’installant. Une fois Ă©tendue, j’avais les jambes et le bassin qui dĂ©passaient. À la hauteur de la poitrine, la structure Ă©tait Ă©vidĂ©e, si bien que mes seins pendaient dans le vide.

“Je vais vous attacher aux montants.”

Il s’est d’abord occupĂ© de placer mes pieds sur des repose-pieds fixĂ©s aux bas des jambes du fantĂŽme, un peu comme pour des Ă©chasses. Puis, il a sanglĂ© mes chevilles autour des montants en mĂ©tal. À cause de la largeur de la monture, j’avais les jambes bien Ă©cartĂ©es, ce qui devait laisser clairement voir l’ouverture de mon sexe. Monsieur M. ne devait plus avoir de doute sur mon consentement Ă©tant donnĂ© mon degrĂ© de lubrification.

Il est ensuite venu Ă  l’avant du cheval d’arçon pour positionner mes bras le long des membres antĂ©rieurs et les attacher au niveau des poignets.

Il y avait une mentonniĂšre molletonnĂ©e pour le confort de la tĂȘte.

“Maintenant, nous allons nous occuper d’immortaliser cette sĂ©ance. Vous allez ĂȘtre filmĂ©e sous tous les angles et ensuite, nous ferons un montage pour vous offrir un enregistrement que j’espĂšre vous visionnerez avec toujours le mĂȘme plaisir. C’est une chose de voir, ce que beaucoup d’hommes apprĂ©cient. Mais c’en est une autre de revoir ce qu’on a ressenti au fond de ses entrailles. Et ça, c’est le privilĂšge des femmes.”

J’entendais ses arguments bien sĂ»r. Mais j’étais surtout terrorisĂ©e Ă  l’idĂ©e d’ĂȘtre filmĂ©e. Il y aurait une trace de ce qui allait se passer. Je ne pourrai mĂȘme pas prĂ©tendre qu’on m’avait forcĂ©e. Mon mari risquait un jour d’ĂȘtre mis au courant, ou pire, mes collĂšgues de bureau ou mon patron.

Mais je n’ai pas osĂ© protester.

Du fond de la grange, j’ai vu arriver toute une Ă©quipe. Il Ă©taient restĂ©s dissimulĂ©s jusqu’ici. Il y avait un cĂŽtĂ© guet-apens qui a accentuĂ© ma frayeur. Mais lĂ  encore, je ne me suis pas rebellĂ©e. Peut-ĂȘtre que si j’avais clairement fait savoir que je n’étais plus consentante, tout se serait arrĂȘtĂ©.

Mais je dois bien me l’avouer : je restais consentante, malgrĂ© les risques, malgrĂ© que tout un chacun pouvait me reluquer en me considĂ©rant comme une femme offerte.

Chacun Ă©tait porteur d’un Ă©quipement. Il y avait des camĂ©ras, mais aussi des pieds, des spots lumineux, des systĂšmes de fixation, des alimentations Ă©lectriques. On allait installer un vĂ©ritable studio de cinĂ©ma.

L’un des techniciens a positionnĂ© une camĂ©ra juste en face de mon visage, Ă  moins d’un mĂštre. Il vĂ©rifia le cadrage et la nettetĂ© de l’image. Il me montra le rĂ©sultat de son rĂ©glage sur un petit moniteur portatif. Monsieur M. nous a rejoint et m’a expliquĂ©e :

“Le plus important, ce n’est pas le sexe ! C’est l’émotion ! Avec cette camĂ©ra, nous allons capter toutes vos sensations et tous vos sentiments : le dĂ©sir, le choc, la douleur, la secousse, le frisson, le plaisir.”

Puis, il poursuivit son descriptif du dispositif.

“Il y a une camĂ©ra derriĂšre la croupe du cheval, pour filmer ses mouvements, une autre Ă  ras du sol et orientĂ©e vers le haut, pour voir les bourses s’agiter, une quatriĂšme placĂ©e de trois-quart arriĂšre pour bien saisir la longueur du membre que vous allez recevoir, une cinquiĂšme sur un petit pied qui se trouvera entre les pattes d’Atlas. En ce moment, elle montre un trĂšs gros plan sur votre sexe. Au moment de la perforation, elle enregistrera l’entrĂ©e du gland dans votre vagin et au retrait, elle filmera la sortie du sperme. Il y a aussi une camĂ©ra qui est orientĂ©e vers votre poitrine, pour voir le balancement de vos seins pendant l’étreinte. Et puis il y a six camĂ©ras de plans larges, au dessus du cheval, en dessous du fantĂŽme, sur chacun des cĂŽtĂ©s pour voir la totalitĂ© de l’animal couchĂ© sur vous, devant et derriĂšre. Enfin, il y a deux camĂ©ras qui embrassent toute la grange, avec le public. Vous voyez, nous avons bien fait les choses.”

Il a ajouté :

“Bien sĂ»r, je sais que vous ĂȘtes inquiĂšte. Ce n’est pas facile de se laisser filmer dans une telle situation. Mais vous verrez : vous ne le regretterez pas. Ce qui va se passer sera inoubliable et vous pourrez vous le rappeler dans les moindre dĂ©tails, grĂące au film.”

L’un des techniciens s’est adressĂ© Ă  monsieur M. :

“Tout est en place. Ça tourne.”

Monsieur M. s’est tournĂ© vers l’assistance pour donner ses ordres :

“Bon messieurs, nous allons commencer. Il faut d’abord prĂ©parer Catherine avant d’amener Atlas. On commence par lui ouvrir le vagin. Vous allez la baiser les uns aprĂšs les autres. Ne soyez pas trop lent Ă  Ă©jaculer s’il vous plaĂźt. Ce qui est important, ce n’est pas votre plaisir mais la lubrification. Votre sperme accumulĂ© va bien nous arranger.”

Vous vous doutez bien que je ne m’attendais pas Ă  ça. J’allais devoir me faire prendre par tous ces hommes et en plus, cela allait ĂȘtre filmĂ©. J’étais de plus en plus mal Ă  l’aise. Mais que pouvais-je faire ? Par ailleurs, Ă  ce que je sentais, mon envie d’aller jusqu’au bout restait intacte.

J’ai senti que quelqu’un empoignait mes hanches et s’enfonçait en moi jusqu’au pubis. L’homme ne me faisait pas l’amour. Il se soulageait à grands coups de reins. Trùs vite, je le sentis se vider en moi en plusieurs saccades.

“Elle est dĂ©jĂ  trempĂ©e. On va pas pouvoir la mouiller plus en lui giclant dedans, vous savez ?”

DĂšs qu’il s’est retirĂ©, un autre homme a pris sa place. Le programme demeurait inchangĂ© apparemment.

Une douzaine se sont ainsi succédé. Je sentais le sperme dégouliner de mon vagin. Il devait y en avoir une belle quantité au sol.

Monsieur M. s’adressa à l’un des hommes :

“Bien, il faut maintenant enduire Catherine d’un produit odorant qui excite l’étalon. Vous allez lui en rĂ©pandre sur le cou, sur le dos, sur les fesses et surtout sur l’entrĂ©e vaginale et au plus profond de son trou. Pour cela, vous allez devoir la fister. Cela aura en plus pour effet de l’élargir avant qu’elle reçoive Atlas.”

L’homme s’approcha de mon visage, fit couler du liquide dans le creux de sa main et se mit Ă  me badigeonner la nuque et les Ă©paules. L’odeur Ă©tait trĂšs dĂ©sagrĂ©able. Pour tout dire, cela sentait l’urine.

Monsieur M. jugea bon de me donner une explication :

“C’est de l’urine de jument en chaleur. Sans cela, c’est impossible de faire bander Atlas.”

L’homme se dĂ©plaçait le long du fantĂŽme pour continuer Ă  m’enduire le dos. Quand il est arrivĂ© au niveau des fesses, je ne le voyais plus. Mais j’ai senti ses deux mains me caresser circulairement le derriĂšre.

Il s’est ensuite occupĂ© de ma raie. J’ai senti qu’il Ă©talait une plus grande quantitĂ© d’urine Ă  cet endroit. Il m’en a mis dans l’anus en entrant son doigt. À ce moment, monsieur M. est intervenu :

“Non, pas dans le rectum. Le cheval ne doit pas se tromper de trou, donc il faut Ă©viter de dilater l’anus. Le vagin, juste le vagin, mais profondĂ©ment.”

L’homme se mit Ă  frotter la vulve et Ă  entrer ses doigts mouillĂ©s de pisse. Je sentais qu’il agrandissait le passage en forçant sur son poing. En mĂȘme temps, il tirait alternativement sur chaque lĂšvre. Il me semblait qu’il avait un mouvement de vrille en poussant sa main Ă  l’intĂ©rieur.

À force d’appuyer, la main est entrĂ©e jusqu’à la paume. Le franchissement du muscle vaginal fut brusque et douloureux. Mais une fois que le plus large de la main Ă©tait passĂ©, il y avait une sensation de plĂ©nitude. Je m’étais refermĂ©e sur ces phalanges. Je les serrais en moi. C’était tellement nouveau et inattendu que j’ai gĂ©mi. J’ai mĂȘme Ă©prouvĂ© le besoin d’exprimer tout haut mes sensations :

“C’est incroyable cette sensation ! Je me sens pleine et en mĂȘme temps j’ai l’impression que ce qui est dedans ne peut plus ressortir. Aucun sexe ne peut vous donner un plaisir de cette sorte.”

Monsieur M. est venu se placer devant mes yeux.

“C’est que vous n’avez encore jamais goĂ»tĂ© Ă  une pĂ©nĂ©tration canine. Le sexe du chien se dilate Ă  l’intĂ©rieur de vagin, en mĂȘme temps que le muscle vaginal se referme sur le bulbe. C’est comme si vous aviez un ballon qui se gonfle dans votre trou, pour le remplir inexorablement. Le plaisir qu’une femme ressent Ă  cet instant lui contracte l’anneau vaginal. Elle emprisonne la bite du chien et cela dure un bon quart d’heure. C’est ce qu’on appelle le nouage. Le chien et la femme restent collĂ©s l’un Ă  l’autre. Il faudra qu’on vous initie, vous aimerez.”

L’homme ressortit sa main. Puis il la replaça sur la vulve et recommença sa pĂ©nĂ©tration. Ses doigts Ă©taient enduits d’une nouvelle couche de liquide. Cette fois, il n’eut plus de difficultĂ© Ă  entrer. NĂ©anmoins, le passage des phalanges se fit avec une certaine dose de rĂ©sistance, ce qui me semblait ĂȘtre toute la source du plaisir. Cette fois, l’homme poussa sa main plus profondĂ©ment, jusqu’au poignet.

Puis, il se mit Ă  aller et venir, sortant et entrant de plus en plus vite, forçant mon muscle Ă  chaque entrĂ©e. Je me suis mise Ă  haleter malgrĂ© moi. J’ai fermĂ© les yeux. Mon visage s’est tendu. En moins d’une minute, j’ai jouis en poussant une longue plainte.

Monsieur M. n’a fait aucun commentaire. Il a simplement demandĂ© qu’on amĂšne Atlas.

En tournant la tĂȘte vers le fond de la grange, j’ai vu un homme tenir l’étalon par la laisse et le conduire derriĂšre moi.

Le cheval s’est mis Ă  hennir. Était-ce un signe d’excitation ou d’autre chose ? Il a dĂ» approcher ses naseaux de mes fesses, peut-ĂȘtre intĂ©ressĂ© par l’odeur. Je ne le voyais pas, mais je sentais son souffle sur ma fente.

Il m’a donnĂ© un grand coup de langue sur toute la longueur de la raie. Il devait goĂ»ter sa femelle pour sentir si elle Ă©tait prĂȘte Ă  la saillie.

J’ai entendu un piĂ©tinement de sabots. Monsieur M. a dit :

“Lñchez-le. Il va essayer de la monter.”

Je savais que la suite serait douloureuse. Je me souvenais de ce que j’avais vu, le cheval qui se dressait sur ses pattes arriùres, qui posait ses sabots sur le dos de la femelle et qui se laissait glisser jusqu’à ce que son poitrail repose entiùrement sur le dos de la femme.

Je ne voyais rien, mais j’entendais. J’ai su quand Atlas s’apprĂȘtait Ă  se dresser. J’ai senti qu’il plaçait ses sabots sur mes Ă©paules. C’était moins Ă©prouvant que je ne le redoutais, parce que le cheval Ă©tait dĂ©licat malgrĂ© son poids.

Puis, il s’est allongĂ© sur moi, me couvrant entiĂšrement. Heureusement, mes poumons n’étaient pas comprimĂ©s grĂące Ă  l’ouverture dans laquelle mes seins Ă©taient insĂ©rĂ©s. Je pouvais respirer. Le contact de sa robe sur ma chair Ă©tait Ă  la fois rĂȘche et soyeux.

Atlas devait essayer de trouver l’entrĂ©e. J’imaginais son phallus raide, Ă  l’équerre, dodelinant et tĂątant l’espace pour percevoir le vagin. Je discernais des attouchements alĂ©atoires. Ce devait ĂȘtre le bout du gland qui venait taper n’importe oĂč dans mon entrecuisse ou sur mes fesses.

Atlas s’est dĂ©couragĂ© et il s’est relevĂ©, repassant avec ses sabots sur ma colonne vertĂ©brale. Cette fois, il me laboura littĂ©ralement. J’allais avoir des bleus qu’il faudrait expliquer Ă  mon mari.

Monsieur M. commanda :

“Faites lui faire un petit tour. On reprendra dans quelques minutes. Montrez le sexe en Ă©rection Ă  Catherine, qu’elle ait une idĂ©e de ce qu’elle va recevoir. Ça va la faire patienter et maintenir son excitation.”

On amena le cheval de telle sorte que sa croupe soit en face de mes yeux, avec la tige encore tendue entre les pattes. Le renflement du gland Ă©tait d’un diamĂštre impressionnant, probablement plus gros que le poing de l’homme qui venait de me faire jouir.

AprÚs un moment, le cheval fut ramené derriÚre moi. De nouveau, il huma mon entrecuisse, me lécha, piétina. Puis, je le reçus une seconde fois sur mon dos. Il enserra mes flancs avec ses antérieures
et j’éprouvais encore toute la masse de son poitrail. Il y eut des petits coups sur ma raie. L’animal Ă©tait proche de la cible.

Il toucha au but brutalement. Ce fut un coup de boutoir juste sur la vulve. Cela n’avait rien Ă  voir avec un sexe d’homme. C’était un peu comme le poing. Mais au lieu de ressentir une pression continue, ce fut une percussion, avec toute la circonfĂ©rence du gland.

Mon vagin ne rĂ©sista pas Ă  l’impact. Il s’est ouvert dĂ©mesurĂ©ment, instantanĂ©ment Ă©largi par le formidable renflement du gland. Le sexe s’est engouffrĂ© sans retenue. Je crois que j’ai criĂ© sous le choc. Je sentais l’encolure d’Atlas sur ma nuque. Il prenait sa femelle pour l’ensemencer.

J’étais comblĂ©e par cette colonne de chair qui m’investissait jusqu’à la matrice.

L’animal s’est mis Ă  pousser pour entrer plus profondĂ©ment. À chaque impulsion, il frottait dans mon vagin et tapait sur mon utĂ©rus. Je sentais que je m’ouvrais plus encore, pour le recevoir aussi loin qu’il le dĂ©sirait. Je rĂąlais littĂ©ralement, sans pouvoir m’en empĂȘcher.

Il a Ă©jaculĂ© alors qu’il s’enfonçait encore fois. Son sperme n’avait pas de place pour gicler tellement le gland butait sur le fond de mon trou. Mais la pression du jet Ă©tait si forte que j’ai senti que ça m’envahissait. Atlas eut deux autres projections, tout aussi intenses. J’étais dĂ©bordante de semence.

Puis, il se retira. Le gland, qui servait de bouchon jusque lĂ , a libĂ©rĂ© un flot de sperme dĂšs qu’il s’est dĂ©gagĂ©.

Le cheval s’est dressĂ© en posant ses sabots sur mon dos. Il s’est reculĂ© pour descendre.

Un homme l’a amenĂ© prĂšs de moi pour que je vois la bite se rĂ©tracter.

Son sexe gouttait alors que le mien dégoulinait.

On est venu me dĂ©tacher, puis m’aider Ă  descendre du fantĂŽme. Mes jambes avaient du mal Ă  me porter.

Monsieur M. m’a demandĂ© :

“Alors ? Vous avez aimĂ© ?”

Je l’ai regardĂ© en rougissant et j’ai rĂ©pondu :

“Oui. J’ai adorĂ©. Je n’ai jamais rien connu d’aussi fort.”

Il a acquiescé et a ajouté :

“Les images sont magnifiques, vous verrez. Il y a les gros plans de la pĂ©nĂ©tration, les mouvements de la croupe et l’éclaboussement final. Mais surtout, il y a votre visage et vos gĂ©missements. Autour de vous, tout le monde Ă©tait silencieux, recueilli devant la force de cet acte animal, et en assistant au plaisir qu’il vous donnait.”

Je me suis dirigĂ©e vers la table oĂč se trouvaient mes habits. J’ai remis ma culotte sur ma chatte souillĂ©e. En passant mon soutien-gorge, j’ai ressenti les meurtrissures des sabots du cheval sur mon dos. J’ai passĂ© ma robe et remis mes chaussures.

Monsieur M. m’a dit :

“Je vous recontacterai quand le film sera prĂȘt. Vous viendrez et nous ferons une projection privĂ©e.”

Il ne m’avait pas proposĂ© de prendre une douche. Je savais que je sentais l’urine, que mon sexe Ă©tait encore plein de sperme et que mon corps Ă©tait probablement marbrĂ© de contusions. Le retour Ă  la maison s’annonçait dĂ©licat mais avec de la finesse, je devais pouvoir m’en sortir.

Mais avant de retrouver mon mari, je voulais faire une halte dans la clairiĂšre, comme lors de ma premiĂšre visite. Il fallait que je me masturbe, sans attendre.

J’ai repris ma voiture et j’ai roulĂ© Ă  toute allure jusqu’au petit bois. J’ai baissĂ© ma culotte, plongĂ© mes doigts dans mon vagin et les ai sucĂ©s pour retrouver le gout du sperme de cheval.

Je fouillais pour en rĂ©cupĂ©rer le plus possible. Le goĂ»t Ă©tait fort, sans doute Ă  cause de l’urine de jument qui se mĂ©langeait au foutre. C’était un cocktail complexe, mĂ©lange du contenu de plusieurs paires de couilles et je m’en repaissais.

Je me suis branlĂ©e sauvagement et en jouissant, j’ai pissĂ© sur le plancher de la voiture, sans me retenir.

Puis, j’ai remis un peu d’ordre, en hñte, avant de reprendre la route de la maison.

Je suis entrée discrÚtement et je me suis précipitée vers la salle de bains pour prendre une douche.

En me regardant dans le miroir, je me suis aperçue des dĂ©gĂąts. Ce n’était pas visible en Ă©tant habillĂ©e, mais toute nue, les marques des sabots Ă©taient impressionnantes. En plus, elles ne disparaĂźtraient pas de si tĂŽt.

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2 thoughts on â€œđŸ‡«đŸ‡· Le Haras – Partie 5”

  1. Une merveille!

    J’ai beacoup aimĂ© comme Catherine montre son interĂȘt qui devient passion, une passion Ă  poursuivre sans regard pour les consequences. Cela c’est du vraie passion.

    Merci de l’avoir Ă©crite et partagĂ©e.

    J’éspĂšre de lire bientĂŽt de nouveaux histoires.

    Bisou
    Sybille

  2. Bonjour Sybille,
    Ravi que cette histoire vous ait plu.
    Avez-vous lu “Marie” ? Une autre histoire que j’ai Ă©crite, sur le chien cette fois.
    Il me semble que vous n’ĂȘtes pas française. Sachez que cette histoire est traduite en allemand.
    Aimeriez-vous que nous correspondions, par mail par exemple ?
    Bisous, Frédéric.

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