La semaine suivante, jâai reçu un appel de monsieur M.
âJe ne vous dĂ©range pas ?â
JâĂ©tais troublĂ©e quâil mâappelle en soirĂ©e. Mon mari nâĂ©tait pas loin. Jâai sans doute dĂ» rougir. Je ne sais pas sâil sâen est aperçu. Sinon, il a probablement eu la puce Ă lâoreille. Jâai rĂ©pondu avec une voix qui devait trahir mon trouble :
âNon, vous ne me dĂ©rangez pas.â
âJe pense que vous ĂȘtes prĂȘte. Ăa vous dirait de vous faire saillir par Atlas ?â
JâĂ©tais encore plus embarrassĂ©e de la tournure que prenait la conversation. Mon mari pouvait-il entendre ce que disait monsieur M. ?
Jâai eu un moment dâhĂ©sitation. CâĂ©tait plus parce que jâaccusais le coup que parce que jâĂ©tais indĂ©cise. Mais assez vite, jâai rĂ©pondu avec une petite voix rauque :
âOui, bien sĂ»r.â
Jâavais un noeud dans la gorge tellement jâĂ©tais Ă©branlĂ©e.
âAlors je vous attends samedi, vers dix heures. Je compte sur vous ?â
âSamedi ?â
Bien sĂ»r, ce nâĂ©tait pas la premiĂšre fois que je mâabsenterais un samedi. Dans lâimmobilier, câest le client qui dĂ©cide. Mais Ă©tant donnĂ© ce que jâallais faire ce samedi lĂ , jâai eu un moment de flottement.
âOui, samedi, ça ira. Je viendrai.â
âBon, alors Ă samedi, dix heures au haras. Au revoir.â
Il avait déjà raccroché. Mon mari me regardait, interrogateur.
âCâest le client du haras. Il veut que je passe samedi Ă dix heures.â
âBon. Tu seras lĂ pour dĂ©jeuner ?â
âJe ne sais pas. Peut-ĂȘtre un peu tard. Mais je tâenverrai un message si ça se prolonge.â
Jâai passĂ© la soirĂ©e Ă ressasser ce coup de fil, Ă lâinvitation du samedi. La demande de monsieur M. et surtout ma rĂ©ponse, Ă©mue mais en mĂȘme temps nette, me faisait revivre la premiĂšre fois oĂč jâai vu se perpĂ©trer cet acte.
Je revoyais la femme attachĂ©e au cheval dâarçon, Atlas qui se dressait et qui sâaffalait sur sa femelle, le membre raide et long comme un bras se placer en face du vagin et le mouvement de la croupe entraĂźnant la perforation.
Samedi, jâallais subir le mĂȘme sort. CâĂ©tait effrayant. Mais en mĂȘme temps, jâen avais une terrible envie. Je voulais me faite pĂ©nĂ©trer par ce sexe incomparable. Je voulais sentir cette force sâenfoncer en moi.
MĂȘme la nuit, jâai eu du mal Ă mâendormir. JâĂ©tais tournĂ©e vers le mur, avec lâimage dâAtlas dans mes pensĂ©es.
Le samedi matin, je me suis levĂ©e tĂŽt. En prenant ma douche, je me suis aperçue que jâĂ©tais dĂ©jĂ excitĂ©e. Mon sexe Ă©tait poisseux et rouge.
Je me suis particuliĂšrement appliquĂ©e Ă choisir une tenue Ă©lĂ©gante et adaptĂ©e Ă ce qui allait se passer. Jâai revĂȘtu mon plus bel ensemble slip soutien-gorge. Pour le reste, jâai choisi une robe plutĂŽt quâun combinĂ© jupe et haut, jugeant que ce serait plus facile Ă enlever.
Je me suis maquillée, comme pour une journée de travail, mais avec plus de soin, faisant ressortir les couleurs, particuliÚrement les lÚvres et les yeux.
En arrivant au haras, jâai tout de suite notĂ© que le porche de la grange Ă©tait grand ouvert. En marchant, jâavais les jambes molles et le coeur qui battait.
Monsieur M. mâattendait prĂšs du cheval dâarçon. Atlas nâĂ©tait pas lĂ .
âBonjour Catherine. Alors, câest le grand jour ?â
Il Ă©tait enthousiaste. Moi, jâĂ©tais intimidĂ©e. Je rĂ©pondis dâune toute petite voix :
âOuiâ
âVous allez voir, câest inoubliable. Mettez vous en tenue. Câest mieux si vous ĂȘtes toute nue. Ensuite, je vous fixerai au fantĂŽme. Voulez-vous que je vous aide Ă retirer votre robe ?â
Il sâest approchĂ© pour passer derriĂšre moi et il a descendu la fermeture Ăclair. Le vĂȘtement est tombĂ© Ă mes pieds. Je lâai enjambĂ© puis je me suis penchĂ©e pour enlever mes chaussures. Jâai ramassĂ© le tout et je me suis tournĂ©e vers monsieur M. pour, du regard, lui demander oĂč je pouvais ranger mes effets. Il a fait un pas et sâen est emparĂ© pour les poser sur une petite table.
Je lâai suivi afin dây ajouter ma culotte et mon soutien-gorge.
Il mâa prise par la main et mâa conduite jusquâĂ lâarriĂšre de ce quâil avait appelĂ© le fantĂŽme. Il y avait un petit escabeau pour faciliter lâascension.
âVous allez prendre appui avec vos genoux sur la croupe du fantĂŽme, puis vous vous allongerez dessus.â
Jâai suivi ses indications. Je devais ĂȘtre gauche en mâinstallant. Une fois Ă©tendue, jâavais les jambes et le bassin qui dĂ©passaient. Ă la hauteur de la poitrine, la structure Ă©tait Ă©vidĂ©e, si bien que mes seins pendaient dans le vide.
âJe vais vous attacher aux montants.â
Il sâest dâabord occupĂ© de placer mes pieds sur des repose-pieds fixĂ©s aux bas des jambes du fantĂŽme, un peu comme pour des Ă©chasses. Puis, il a sanglĂ© mes chevilles autour des montants en mĂ©tal. Ă cause de la largeur de la monture, jâavais les jambes bien Ă©cartĂ©es, ce qui devait laisser clairement voir lâouverture de mon sexe. Monsieur M. ne devait plus avoir de doute sur mon consentement Ă©tant donnĂ© mon degrĂ© de lubrification.
Il est ensuite venu Ă lâavant du cheval dâarçon pour positionner mes bras le long des membres antĂ©rieurs et les attacher au niveau des poignets.
Il y avait une mentonniĂšre molletonnĂ©e pour le confort de la tĂȘte.
âMaintenant, nous allons nous occuper dâimmortaliser cette sĂ©ance. Vous allez ĂȘtre filmĂ©e sous tous les angles et ensuite, nous ferons un montage pour vous offrir un enregistrement que jâespĂšre vous visionnerez avec toujours le mĂȘme plaisir. Câest une chose de voir, ce que beaucoup dâhommes apprĂ©cient. Mais câen est une autre de revoir ce quâon a ressenti au fond de ses entrailles. Et ça, câest le privilĂšge des femmes.â
Jâentendais ses arguments bien sĂ»r. Mais jâĂ©tais surtout terrorisĂ©e Ă lâidĂ©e dâĂȘtre filmĂ©e. Il y aurait une trace de ce qui allait se passer. Je ne pourrai mĂȘme pas prĂ©tendre quâon mâavait forcĂ©e. Mon mari risquait un jour dâĂȘtre mis au courant, ou pire, mes collĂšgues de bureau ou mon patron.
Mais je nâai pas osĂ© protester.
Du fond de la grange, jâai vu arriver toute une Ă©quipe. Il Ă©taient restĂ©s dissimulĂ©s jusquâici. Il y avait un cĂŽtĂ© guet-apens qui a accentuĂ© ma frayeur. Mais lĂ encore, je ne me suis pas rebellĂ©e. Peut-ĂȘtre que si jâavais clairement fait savoir que je nâĂ©tais plus consentante, tout se serait arrĂȘtĂ©.
Mais je dois bien me lâavouer : je restais consentante, malgrĂ© les risques, malgrĂ© que tout un chacun pouvait me reluquer en me considĂ©rant comme une femme offerte.
Chacun Ă©tait porteur dâun Ă©quipement. Il y avait des camĂ©ras, mais aussi des pieds, des spots lumineux, des systĂšmes de fixation, des alimentations Ă©lectriques. On allait installer un vĂ©ritable studio de cinĂ©ma.
Lâun des techniciens a positionnĂ© une camĂ©ra juste en face de mon visage, Ă moins dâun mĂštre. Il vĂ©rifia le cadrage et la nettetĂ© de lâimage. Il me montra le rĂ©sultat de son rĂ©glage sur un petit moniteur portatif. Monsieur M. nous a rejoint et mâa expliquĂ©e :
âLe plus important, ce nâest pas le sexe ! Câest lâĂ©motion ! Avec cette camĂ©ra, nous allons capter toutes vos sensations et tous vos sentiments : le dĂ©sir, le choc, la douleur, la secousse, le frisson, le plaisir.â
Puis, il poursuivit son descriptif du dispositif.
âIl y a une camĂ©ra derriĂšre la croupe du cheval, pour filmer ses mouvements, une autre Ă ras du sol et orientĂ©e vers le haut, pour voir les bourses sâagiter, une quatriĂšme placĂ©e de trois-quart arriĂšre pour bien saisir la longueur du membre que vous allez recevoir, une cinquiĂšme sur un petit pied qui se trouvera entre les pattes dâAtlas. En ce moment, elle montre un trĂšs gros plan sur votre sexe. Au moment de la perforation, elle enregistrera lâentrĂ©e du gland dans votre vagin et au retrait, elle filmera la sortie du sperme. Il y a aussi une camĂ©ra qui est orientĂ©e vers votre poitrine, pour voir le balancement de vos seins pendant lâĂ©treinte. Et puis il y a six camĂ©ras de plans larges, au dessus du cheval, en dessous du fantĂŽme, sur chacun des cĂŽtĂ©s pour voir la totalitĂ© de lâanimal couchĂ© sur vous, devant et derriĂšre. Enfin, il y a deux camĂ©ras qui embrassent toute la grange, avec le public. Vous voyez, nous avons bien fait les choses.â
Il a ajouté :
âBien sĂ»r, je sais que vous ĂȘtes inquiĂšte. Ce nâest pas facile de se laisser filmer dans une telle situation. Mais vous verrez : vous ne le regretterez pas. Ce qui va se passer sera inoubliable et vous pourrez vous le rappeler dans les moindre dĂ©tails, grĂące au film.â
Lâun des techniciens sâest adressĂ© Ă monsieur M. :
âTout est en place. Ăa tourne.â
Monsieur M. sâest tournĂ© vers lâassistance pour donner ses ordres :
âBon messieurs, nous allons commencer. Il faut dâabord prĂ©parer Catherine avant dâamener Atlas. On commence par lui ouvrir le vagin. Vous allez la baiser les uns aprĂšs les autres. Ne soyez pas trop lent Ă Ă©jaculer sâil vous plaĂźt. Ce qui est important, ce nâest pas votre plaisir mais la lubrification. Votre sperme accumulĂ© va bien nous arranger.â
Vous vous doutez bien que je ne mâattendais pas à ça. Jâallais devoir me faire prendre par tous ces hommes et en plus, cela allait ĂȘtre filmĂ©. JâĂ©tais de plus en plus mal Ă lâaise. Mais que pouvais-je faire ? Par ailleurs, Ă ce que je sentais, mon envie dâaller jusquâau bout restait intacte.
Jâai senti que quelquâun empoignait mes hanches et sâenfonçait en moi jusquâau pubis. Lâhomme ne me faisait pas lâamour. Il se soulageait Ă grands coups de reins. TrĂšs vite, je le sentis se vider en moi en plusieurs saccades.
âElle est dĂ©jĂ trempĂ©e. On va pas pouvoir la mouiller plus en lui giclant dedans, vous savez ?â
DĂšs quâil sâest retirĂ©, un autre homme a pris sa place. Le programme demeurait inchangĂ© apparemment.
Une douzaine se sont ainsi succédé. Je sentais le sperme dégouliner de mon vagin. Il devait y en avoir une belle quantité au sol.
Monsieur M. sâadressa Ă lâun des hommes :
âBien, il faut maintenant enduire Catherine dâun produit odorant qui excite lâĂ©talon. Vous allez lui en rĂ©pandre sur le cou, sur le dos, sur les fesses et surtout sur lâentrĂ©e vaginale et au plus profond de son trou. Pour cela, vous allez devoir la fister. Cela aura en plus pour effet de lâĂ©largir avant quâelle reçoive Atlas.â
Lâhomme sâapprocha de mon visage, fit couler du liquide dans le creux de sa main et se mit Ă me badigeonner la nuque et les Ă©paules. Lâodeur Ă©tait trĂšs dĂ©sagrĂ©able. Pour tout dire, cela sentait lâurine.
Monsieur M. jugea bon de me donner une explication :
âCâest de lâurine de jument en chaleur. Sans cela, câest impossible de faire bander Atlas.â
Lâhomme se dĂ©plaçait le long du fantĂŽme pour continuer Ă mâenduire le dos. Quand il est arrivĂ© au niveau des fesses, je ne le voyais plus. Mais jâai senti ses deux mains me caresser circulairement le derriĂšre.
Il sâest ensuite occupĂ© de ma raie. Jâai senti quâil Ă©talait une plus grande quantitĂ© dâurine Ă cet endroit. Il mâen a mis dans lâanus en entrant son doigt. Ă ce moment, monsieur M. est intervenu :
âNon, pas dans le rectum. Le cheval ne doit pas se tromper de trou, donc il faut Ă©viter de dilater lâanus. Le vagin, juste le vagin, mais profondĂ©ment.â
Lâhomme se mit Ă frotter la vulve et Ă entrer ses doigts mouillĂ©s de pisse. Je sentais quâil agrandissait le passage en forçant sur son poing. En mĂȘme temps, il tirait alternativement sur chaque lĂšvre. Il me semblait quâil avait un mouvement de vrille en poussant sa main Ă lâintĂ©rieur.
Ă force dâappuyer, la main est entrĂ©e jusquâĂ la paume. Le franchissement du muscle vaginal fut brusque et douloureux. Mais une fois que le plus large de la main Ă©tait passĂ©, il y avait une sensation de plĂ©nitude. Je mâĂ©tais refermĂ©e sur ces phalanges. Je les serrais en moi. CâĂ©tait tellement nouveau et inattendu que jâai gĂ©mi. Jâai mĂȘme Ă©prouvĂ© le besoin dâexprimer tout haut mes sensations :
âCâest incroyable cette sensation ! Je me sens pleine et en mĂȘme temps jâai lâimpression que ce qui est dedans ne peut plus ressortir. Aucun sexe ne peut vous donner un plaisir de cette sorte.â
Monsieur M. est venu se placer devant mes yeux.
âCâest que vous nâavez encore jamais goĂ»tĂ© Ă une pĂ©nĂ©tration canine. Le sexe du chien se dilate Ă lâintĂ©rieur de vagin, en mĂȘme temps que le muscle vaginal se referme sur le bulbe. Câest comme si vous aviez un ballon qui se gonfle dans votre trou, pour le remplir inexorablement. Le plaisir quâune femme ressent Ă cet instant lui contracte lâanneau vaginal. Elle emprisonne la bite du chien et cela dure un bon quart dâheure. Câest ce quâon appelle le nouage. Le chien et la femme restent collĂ©s lâun Ă lâautre. Il faudra quâon vous initie, vous aimerez.â
Lâhomme ressortit sa main. Puis il la replaça sur la vulve et recommença sa pĂ©nĂ©tration. Ses doigts Ă©taient enduits dâune nouvelle couche de liquide. Cette fois, il nâeut plus de difficultĂ© Ă entrer. NĂ©anmoins, le passage des phalanges se fit avec une certaine dose de rĂ©sistance, ce qui me semblait ĂȘtre toute la source du plaisir. Cette fois, lâhomme poussa sa main plus profondĂ©ment, jusquâau poignet.
Puis, il se mit Ă aller et venir, sortant et entrant de plus en plus vite, forçant mon muscle Ă chaque entrĂ©e. Je me suis mise Ă haleter malgrĂ© moi. Jâai fermĂ© les yeux. Mon visage sâest tendu. En moins dâune minute, jâai jouis en poussant une longue plainte.
Monsieur M. nâa fait aucun commentaire. Il a simplement demandĂ© quâon amĂšne Atlas.
En tournant la tĂȘte vers le fond de la grange, jâai vu un homme tenir lâĂ©talon par la laisse et le conduire derriĂšre moi.
Le cheval sâest mis Ă hennir. Ătait-ce un signe dâexcitation ou dâautre chose ? Il a dĂ» approcher ses naseaux de mes fesses, peut-ĂȘtre intĂ©ressĂ© par lâodeur. Je ne le voyais pas, mais je sentais son souffle sur ma fente.
Il mâa donnĂ© un grand coup de langue sur toute la longueur de la raie. Il devait goĂ»ter sa femelle pour sentir si elle Ă©tait prĂȘte Ă la saillie.
Jâai entendu un piĂ©tinement de sabots. Monsieur M. a dit :
âLĂąchez-le. Il va essayer de la monter.â
Je savais que la suite serait douloureuse. Je me souvenais de ce que jâavais vu, le cheval qui se dressait sur ses pattes arriĂšres, qui posait ses sabots sur le dos de la femelle et qui se laissait glisser jusquâĂ ce que son poitrail repose entiĂšrement sur le dos de la femme.
Je ne voyais rien, mais jâentendais. Jâai su quand Atlas sâapprĂȘtait Ă se dresser. Jâai senti quâil plaçait ses sabots sur mes Ă©paules. CâĂ©tait moins Ă©prouvant que je ne le redoutais, parce que le cheval Ă©tait dĂ©licat malgrĂ© son poids.
Puis, il sâest allongĂ© sur moi, me couvrant entiĂšrement. Heureusement, mes poumons nâĂ©taient pas comprimĂ©s grĂące Ă lâouverture dans laquelle mes seins Ă©taient insĂ©rĂ©s. Je pouvais respirer. Le contact de sa robe sur ma chair Ă©tait Ă la fois rĂȘche et soyeux.
Atlas devait essayer de trouver lâentrĂ©e. Jâimaginais son phallus raide, Ă lâĂ©querre, dodelinant et tĂątant lâespace pour percevoir le vagin. Je discernais des attouchements alĂ©atoires. Ce devait ĂȘtre le bout du gland qui venait taper nâimporte oĂč dans mon entrecuisse ou sur mes fesses.
Atlas sâest dĂ©couragĂ© et il sâest relevĂ©, repassant avec ses sabots sur ma colonne vertĂ©brale. Cette fois, il me laboura littĂ©ralement. Jâallais avoir des bleus quâil faudrait expliquer Ă mon mari.
Monsieur M. commanda :
âFaites lui faire un petit tour. On reprendra dans quelques minutes. Montrez le sexe en Ă©rection Ă Catherine, quâelle ait une idĂ©e de ce quâelle va recevoir. Ăa va la faire patienter et maintenir son excitation.â
On amena le cheval de telle sorte que sa croupe soit en face de mes yeux, avec la tige encore tendue entre les pattes. Le renflement du gland Ă©tait dâun diamĂštre impressionnant, probablement plus gros que le poing de lâhomme qui venait de me faire jouir.
AprÚs un moment, le cheval fut ramené derriÚre moi. De nouveau, il huma mon entrecuisse, me lécha, piétina. Puis, je le reçus une seconde fois sur mon dos. Il enserra mes flancs avec ses antérieures
et jâĂ©prouvais encore toute la masse de son poitrail. Il y eut des petits coups sur ma raie. Lâanimal Ă©tait proche de la cible.
Il toucha au but brutalement. Ce fut un coup de boutoir juste sur la vulve. Cela nâavait rien Ă voir avec un sexe dâhomme. CâĂ©tait un peu comme le poing. Mais au lieu de ressentir une pression continue, ce fut une percussion, avec toute la circonfĂ©rence du gland.
Mon vagin ne rĂ©sista pas Ă lâimpact. Il sâest ouvert dĂ©mesurĂ©ment, instantanĂ©ment Ă©largi par le formidable renflement du gland. Le sexe sâest engouffrĂ© sans retenue. Je crois que jâai criĂ© sous le choc. Je sentais lâencolure dâAtlas sur ma nuque. Il prenait sa femelle pour lâensemencer.
JâĂ©tais comblĂ©e par cette colonne de chair qui mâinvestissait jusquâĂ la matrice.
Lâanimal sâest mis Ă pousser pour entrer plus profondĂ©ment. Ă chaque impulsion, il frottait dans mon vagin et tapait sur mon utĂ©rus. Je sentais que je mâouvrais plus encore, pour le recevoir aussi loin quâil le dĂ©sirait. Je rĂąlais littĂ©ralement, sans pouvoir mâen empĂȘcher.
Il a Ă©jaculĂ© alors quâil sâenfonçait encore fois. Son sperme nâavait pas de place pour gicler tellement le gland butait sur le fond de mon trou. Mais la pression du jet Ă©tait si forte que jâai senti que ça mâenvahissait. Atlas eut deux autres projections, tout aussi intenses. JâĂ©tais dĂ©bordante de semence.
Puis, il se retira. Le gland, qui servait de bouchon jusque lĂ , a libĂ©rĂ© un flot de sperme dĂšs quâil sâest dĂ©gagĂ©.
Le cheval sâest dressĂ© en posant ses sabots sur mon dos. Il sâest reculĂ© pour descendre.
Un homme lâa amenĂ© prĂšs de moi pour que je vois la bite se rĂ©tracter.
Son sexe gouttait alors que le mien dégoulinait.
On est venu me dĂ©tacher, puis mâaider Ă descendre du fantĂŽme. Mes jambes avaient du mal Ă me porter.
Monsieur M. mâa demandĂ© :
âAlors ? Vous avez aimĂ© ?â
Je lâai regardĂ© en rougissant et jâai rĂ©pondu :
âOui. Jâai adorĂ©. Je nâai jamais rien connu dâaussi fort.â
Il a acquiescé et a ajouté :
âLes images sont magnifiques, vous verrez. Il y a les gros plans de la pĂ©nĂ©tration, les mouvements de la croupe et lâĂ©claboussement final. Mais surtout, il y a votre visage et vos gĂ©missements. Autour de vous, tout le monde Ă©tait silencieux, recueilli devant la force de cet acte animal, et en assistant au plaisir quâil vous donnait.â
Je me suis dirigĂ©e vers la table oĂč se trouvaient mes habits. Jâai remis ma culotte sur ma chatte souillĂ©e. En passant mon soutien-gorge, jâai ressenti les meurtrissures des sabots du cheval sur mon dos. Jâai passĂ© ma robe et remis mes chaussures.
Monsieur M. mâa dit :
âJe vous recontacterai quand le film sera prĂȘt. Vous viendrez et nous ferons une projection privĂ©e.â
Il ne mâavait pas proposĂ© de prendre une douche. Je savais que je sentais lâurine, que mon sexe Ă©tait encore plein de sperme et que mon corps Ă©tait probablement marbrĂ© de contusions. Le retour Ă la maison sâannonçait dĂ©licat mais avec de la finesse, je devais pouvoir mâen sortir.
Mais avant de retrouver mon mari, je voulais faire une halte dans la clairiĂšre, comme lors de ma premiĂšre visite. Il fallait que je me masturbe, sans attendre.
Jâai repris ma voiture et jâai roulĂ© Ă toute allure jusquâau petit bois. Jâai baissĂ© ma culotte, plongĂ© mes doigts dans mon vagin et les ai sucĂ©s pour retrouver le gout du sperme de cheval.
Je fouillais pour en rĂ©cupĂ©rer le plus possible. Le goĂ»t Ă©tait fort, sans doute Ă cause de lâurine de jument qui se mĂ©langeait au foutre. CâĂ©tait un cocktail complexe, mĂ©lange du contenu de plusieurs paires de couilles et je mâen repaissais.
Je me suis branlĂ©e sauvagement et en jouissant, jâai pissĂ© sur le plancher de la voiture, sans me retenir.
Puis, jâai remis un peu dâordre, en hĂąte, avant de reprendre la route de la maison.
Je suis entrée discrÚtement et je me suis précipitée vers la salle de bains pour prendre une douche.
En me regardant dans le miroir, je me suis aperçue des dĂ©gĂąts. Ce nâĂ©tait pas visible en Ă©tant habillĂ©e, mais toute nue, les marques des sabots Ă©taient impressionnantes. En plus, elles ne disparaĂźtraient pas de si tĂŽt.
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Une merveille!
Jâai beacoup aimĂ© comme Catherine montre son interĂȘt qui devient passion, une passion Ă poursuivre sans regard pour les consequences. Cela câest du vraie passion.
Merci de lâavoir Ă©crite et partagĂ©e.
JâĂ©spĂšre de lire bientĂŽt de nouveaux histoires.
Bisou
Sybille
Bonjour Sybille,
Ravi que cette histoire vous ait plu.
Avez-vous lu âMarieâ ? Une autre histoire que jâai Ă©crite, sur le chien cette fois.
Il me semble que vous nâĂȘtes pas française. Sachez que cette histoire est traduite en allemand.
Aimeriez-vous que nous correspondions, par mail par exemple ?
Bisous, Frédéric.