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đŸ‡«đŸ‡· Le Berger Allemand

4.1
(11)

© by Anita Langais

Comme prevu je me suis rendu chez un ami qui possĂšde un berger allemand, il s’appele bobby et il a 5 ans. Je lui ai expliquĂ© ce que je voulais, il est au courant de ce que je “fais” pendant mes loisirs, et il est d’ailleurs trĂšs comprĂ©hensif. Nous nous sommes rendu dans sa chambre aves son chien et j’ai commencĂ© Ă  jouer avec lui pour qu’il s’habitue Ă  moi.

De fil en aiguille j’ai commencĂ© Ă  me dĂ©shabiller tout en jouant avec lui. Il soufflait fort et semblait sentir l’odeur de transpiration qui exhalait et particuliĂšrement au niveau de mon slip trĂšs imprĂ©gnĂ© car je commençait Ă  mouiller abondament, cela devait ĂȘtre du Ă  un melange d’exitation et d’aprĂ©hension. Plus je tentais d’éloigner son museau avec mes mains, plus il insistait. Je devais lui rappeler l’odeur des femelles en chaleur. A force de me tourner autour , il finit par me donner le tournis.

Je finit par enlever mon slip, avec un peu de rĂ©tissence.Il commença Ă  me bousculer avec ses pattes de devant puissantes pour me faire tomber sur le lit, ce qu’il rĂ©ussit Ă  faire. Son maĂźtre le calma un peu pendant que j’essayais de me prĂ©parer puis je lui fis signe de le laisser faire.

J’etais de plus en plus anxieuse. Il ne tenait pas en place et essayait toujours de me renifler le derriĂšre. Il grimpa sur le lit puis je le laissais s’approcher de mon sexe qu’il lĂ©cha d’une langue rĂąpeuse mais finalement agrĂ©able. Je me laissa finalement faire, toute disposĂ©e Ă  le satisfaire, ma croupe dressĂ©e en l’air. Puis, estimant sans doute que le moment Ă©tait venu de passer aux choses sĂ©rieuses, il mit ses pattes avant autour de ma taille, et tira en arriĂšre tout en s’accroupissant pour me faire mettre Ă  quatre pattes. La force de ce chien Ă©tait considĂ©rable. Je me laissa aller dans le sens demandĂ©, lui offrant ainsi ma croupe. Il chien reposait de tout son poids sur mon dos dont il maintenait la croupe entre ses pattes avant serrĂ©es autour de mes hanches sans possibilitĂ© pour moi de bouger. Je me laissa aller Ă  Ă©carter un peu les genoux.Il chien sembla comprendre ma soumission, je sentait sur ma nuque son souffle chaud pendant que son arriĂšre train allait et venait par saccade, son sexe de plus en plus gros venant taper contre mes fesses en libĂ©rant Ă  chaque coup une giclĂ©e d’un liquide clair. je sentait ruisseler ce liquide le long de ma cuisse, qui Ă©tait, en fait le liquide sĂ©minal. Il continua ainsi de longues minutes Ă  taper son sexe contre mes fesses en mouillant abondamment mes cuisses, quittant de temps en temps sa position afin de lĂ©cher son pĂ©nis ou mon derriĂšre.

Je me pencha pour tenter d’apercevoir le sexe du chien. Je fut effarĂ©e par ce que je vis, car je ne m’attendait pas Ă  devoir accueillir une bite aussi hideuse. Elle Ă©tait toute gluante et on voyant apparaĂźtre les veines sur cette peau blanchĂątre. J’eue un moment de panique et tenta de me retirer “Ce n’est pas possible, je ne peux pas accepter çà”. Son maĂźte me demanda je voulais tout arrĂȘter mais je me repris et descida de continuer malgrĂ© un petit “haut-le-cƓur” . Le chien sentit sans doute ma rĂ©ticence et grogna. Je m’apprĂȘta Ă  laisser entrer en moi ce pĂ©nis extraordinaire.Il accĂ©lĂ©ra ses mouvement de butoir pour espĂ©rer trouver enfin l’ouverture tant dĂ©sirĂ©e. Je cambra un peu plus les reins afin de prĂ©senter mon vagin ouvert en face du pĂ©nis impatient. Il sentit bien ce mouvement et d’un coup brutal introduisit son sexe dans mon vagin offert. Il se mit Ă  pilonner beaucoup plus rapidement qu’avant en un va et vient frĂ©nĂ©tique en resserrant ses pattes comme un Ă©tau. J’en eu le souffle coupĂ© tellement le mouvement avait Ă©tĂ© brutal et soudain. J’était trĂšs inquiĂšte de la suite des Ă©vĂ©nements. Il Ă©tait au maximum de son excitation. J’avais dĂ©passer le stade de la douleur provoquĂ©e par l’introduction violente et je commençais Ă  ressentir un bien-ĂȘtre insoupçonnĂ©. Mon corps rĂ©agissait et je sentais mon sexe humidifiĂ© par le liquide canin mais aussi par mes propres sĂ©crĂ©tions. J’étais prisonniĂšre des puissants antĂ©rieurs de l’animal et ne pouvait absolument pas m’extraire.Il sembla ralentir ses mouvements alternatifs et je me dĂ©contracta un peu croyant Ă  la fin proche du coĂŻt. Je crut sentir se dĂ©gonfler un peu son sexe dans mon vagin, si bien que je me dĂ©tendit et que du liquide s’échappa et ruissela le long de mes cuisses.J’attendais qu’il daigne se retirer. Pourtant, l’étau de ses pattes ne se desserraient pas et le halĂštement effrĂ©nĂ© continuait au dessus de ma tĂȘte. Il poussa plus fort vers l’avant si bien que son pĂ©nis dĂ©jĂ  au fond de mon vagin et le distendit encore plus. “je croyait qu’il avait tout rentrĂ©” dis je dans un souffle. Il n’avait maintenant qu’un seul but, faire entrer la totalitĂ© de son sexe, y compris le nƓud, dans ma chatte et il y travaillait avec force.

Par chance, son sexe avait lĂ©gĂšrement dĂ©bandĂ© bien qu’il ait conservĂ© la mĂȘme longueur et le nƓud avait diminuĂ© de moitiĂ©. Le chien poussa et poussa encore et je sentis le bout du gland appuyer sur le col de mon utĂ©rus. Cela me fis une drĂŽle d’impression. Le pĂ©nis du chien entrait plus profondĂ©ment et commençait Ă  forcer le col de l’utĂ©rus. Et mon col s’ouvrait petit Ă  petit Ă  cette intrusion. Comment cela est-il possible, normalement le col est trop petit!

Il ne se posait pas se genre de questions et continuait ses mouvements de va et vient de plus en plus rapides en les accompagnant de sauts de ses pattes. Le sexe du chien avançait encore dans mon utĂ©rus qui s’ouvrait pour l’accueillir et me procurait une sensation extraordinaire que je n’avait jamais ressentie.Et puis, tout Ă  coup, les mouvements s’arrĂȘtĂšrent brusquement et le chien se figea dans une extase incomprĂ©hensible. Cela me proccura une douleur insoutenable : le pĂ©nis du chien totalement introduit dans mon ventre se mettait Ă  grossir encore. Je sentait surtout cette boule qui prenait sa dimension maximum et qui remplissait totalement mon vagin. De peur d’ĂȘtre dĂ©chirĂ©e, j’eu inconsciemment un sursaut qui me transperça encore d’avantage. Ce nƓud bloquĂ© Ă  l’intĂ©rieur du vagin car trop gros pour pouvoir ressortir, c’était donc cela le knot dont il fallait se mĂ©fier et dont j’avais entendu parlĂ©.

Son maĂźtre voulu m’aider, me voyant quasi en pleure. Je lui dit de ne rien faire car il etait trop tard. Le reste du pĂ©nis dĂ©jĂ  largement introduit dans l’utĂ©rus continuait de grossir et avançait encore dans celui-ci, empĂȘchĂ© par le nƓud de se dĂ©velopper vers l’arriĂšre. Les parois du col de l’utĂ©rus et du vagin Ă©taient Ă  la limite de la rupture et je souffrait Ă©normĂ©ment. Je ne pue retenir mes larmes. J’étais Ă  deux doigts de l’évanouissement.C’est alors que je sentis les spasmes de l’éjaculation, de longues vagues de sperme se dĂ©versaient dans mon utĂ©rus en un flot ininterrompu qui semblait ne pas vouloir finir.

Je le sentit se contracter de tous ses muscles en poussant un rĂąle de bĂȘte blessĂ©e. Et puis plus rien, l’immobilitĂ© complĂšte, seulement ponctuĂ©e par sa respiration saccadĂ©e Ă  mon oreille. Il semblait Ă©puisĂ© lui aussi.Je pensais qu’il avait finit mais non, rien ne bougeait dans mon ventre, son sexe Ă©tait toujours aussi gros et bloquĂ©, dans l’impossibilitĂ© de s’extraire Ă  cause du nƓud Ă©norme qui bouchait la sortie. Et puis tout Ă  coup, il tenta de s’en aller, il desserra l’étau de ses pattes et tenta de reculer et je poussa un hurlement de douleur. Alors il s’énerva un peu et essaya de se retourner. Il dut passer une patte arriĂšre par dessus ma croupe et se retrouva Ă  l’opposĂ© dans une position presque risible si la situation n’était pas si tragique. Il Ă©taient maintenant attachĂ©s Ă  moi fesses contre fesses, son pĂ©nis s’étant complĂštement retournĂ© en passant entre ses pattes arriĂšres. Ne pouvant plus tenir Ă  genoux, je me coucha, doucement pour ne pas souffrir davantage, sur le cĂŽtĂ© l’entraĂźnant avec moi, sans doute Ă©puisĂ© de ses efforts. Il nous Ă©tait toujours impossible de nous sĂ©parer et je me demandait combien de temps cela allait durer. Son maĂźtre m’informa que cela pouvais durer ÂŒ d’heure, c’est ce qu’il s’était lorsqu’il l’avait fait saillire une chienne. Je ne souffrais plus, je m’etais habituĂ©e Ă  cette tension maximum. Je voulu regarder ce qui me “vissait” au chien si fermement. Je rĂ©ussi Ă  passer une jambe par dessus l’animal et put l’écarter pour voir entre mes jambes. J’aperçut un bout de chair rose qui sortait entre ses postĂ©rieurs Ă  cĂŽtĂ© de ses testicules et rentrait dans mon vagin. Rien d’autre. Alors je me pencha au maximum pour essayer d’apercevoir l’entrĂ©e de mon sexe. Je vis seulement un renflement blanchĂątre qui devait ĂȘtre la partie visible du nƓud Ă  l’intĂ©rieur. Je retomba Ă©puisĂ©e sur le lit. Son maĂźtre alla carresser le chien puis moi, il m’apporta un verre d’eau, tellement j’avais la gorge seche.Un quart d’heure, peut-ĂȘtre vingt minutes, s’écoulĂšrent avant que je ne sente quelque chose bouger dans mon ventre, Le pĂ©nis du chien se dĂ©gonflait enfin et le nƓud avec lui. Je ne pouvait plus attendre. J’essaya de m’écarter du chien, sans succĂšs d’abord, mais finalement, je tira et dans un bruit de succion tout le sexe du chien sortit en mĂȘme temps qu’une Ă©norme quantitĂ© de sperme laiteux . MĂȘme dĂ©gonflĂ©, ce sexe Ă©tait encore immense. Je ne me serait jamais cru capable d’accueillir un tel braquemart !Le chien Ă©tait maintenant occupĂ© Ă  lĂ©cher consciencieusement son pĂ©nis congestionnĂ© qui diminuait Ă  vue d’Ɠil. Je me releva pĂ©niblement, J’était courbatue des pieds Ă  la tĂȘte. J’était poisseuse de sperme et de liquide sĂ©minal sĂ©chĂ©. Quand je me mis complĂštement debout, du sperme coula encore de mon vagin et ruissela jusqu’à mes pieds.

J’avait l’impression de sentir la chienne Ă  des kilomĂštres. Au fond, mĂȘme si mon intĂ©gritĂ© fĂ©minine en avait pris un sĂ©rieux coup, je reconnaissait volontiers avoir Ă©prouvĂ© une sensation nouvelle, inconnue mais qui pouvait ĂȘtre agrĂ©able si on faisait abstraction du contexte et de la douleur. Il est vrai qu’à certains moments j’était Ă  deux doigts de jouir, mais la douleur trop forte m’avait empĂȘchĂ© de « partir ». Maintenant que je sais comment cela se passe, j’aimerais finalement bien rĂ©essayer pour aller jusqu’à l’orgasme que je suppose intense. Oh ! oui, sentir encore cette bitte Ă©norme dans mon ventre.

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