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🇫🇷 Le Haras – Partie 2

4.7
(6)

Retour à la première partie

Je l’ai appelé en fin de journée. Je voulais lui laisser le temps de revenir chez lui, mais pas trop pour laisser le moins de place possible au risque de me voir confrontée à sa version du lapin.

“Bonjour. Je voudrais parler à monsieur M. s’il vous plaît.”
“Moi-même.”
“Je voulais vous demander de m’excuser pour ce matin. Je n’ai pas pu passer. J’ai essayé de vous joindre chez vous, mais personne n’a décroché.”
“J’étais à l’écurie et je n’ai pas pu entendre la sonnerie du téléphone. J’ai eu à m’occuper d’une saillie. Vous pourriez passer demain ?”

Comme quoi, le mensonge le plus crédible, c’est encore la vérité. Mais pour que ça reste un mensonge, il suffit de raccourcir un peu la vérité. En tout cas, il ne perdait pas de temps.

“Oui, bien sûr. À la même heure, ça vous convient ?”
“D’accord. À demain, à la même heure.”

J’ai eu du mal à dormir cette nuit là. Je ne sais pas si mon mari s’est rendu compte de mon état. J’étais énervée, inquiète de mon rendez-vous du lendemain. Je sentais que mon client jouait à un jeu pervers. Mais d’une part professionnellement je ne pouvais pas me défiler puisque mon patron m’avait confié cette affaire. Ce client était important pour la boîte. C’est par notre agence qu’il était passé pour acheter son haras, une bonne dizaine d’années plus tôt.

D’autre part, je ne voulais pas me l’avouer mais j’étais tourmentée depuis la scène de l’écurie.

Le lendemain matin, bien que cette fois le client n’avait pas insisté sur la ponctualité, j’étais encore à l’heure. J’ai jeté un oeil à la grange. Le portail était fermé, ce qui d’une certaine façon me rassurait. Il n’y avait pas de traquenard.

Je me suis dirigée vers la maison. Je n’ai pas eu à sonner. Monsieur M. m’a ouvert et m’a fait entrer. On arrivait dans un grand hall avant de passer à un vaste espace combinant un salon et une salle à manger. C’était meublé dans un style campagnard ancien. On s’est installé dans la partie salon. Il m’a désigné un fauteuil et il s’est assis en face de moi, dans un grand canapé. Une copie du dossier se trouvait sur une table basse.

Nous avons parlé affaire, sans la moindre allusion à la veille. J’ai assez vite réussi à me concentrer sur notre échange et oublier momentanément tout ce que j’avais en tête avant de venir.

Au bout d’une bonne heure de travail, nous en avions terminé pour cette fois. Monsieur M. me regarda et me demanda :

“Vous avez un moment ? J’aurais besoin de votre aide.”

Je n’ai pas senti venir le danger. J’ai répondu instinctivement, en commerciale :

“Bien sûr. Je n’ai pas d’autre rendez-vous ce matin.”

Si j’avais été plus méfiante, j’aurais immédiatement pu prétexter un emploi du temps chargé sans décevoir mon client. Mais je m’étais piégée moi-même. Ceci dit, l’homme était habile. Il vous impliquait d’abord et seulement après vous demandait votre consentement.

“Venez avec moi. C’est à l’écurie.”

Ça m’a glacée. J’ai tout fait pour masquer mon émotion. Il s’est levé et s’est dirigé vers le hall sans même vérifier si je le suivais. Je me suis levée à mon tour, essayant de me rassurer en imaginant un motif rationnel à sa proposition. Il voulait peut-être simplement me faire visiter. Mais il avait parlé d’un coup de main.

Il a ouvert un vantail du lourd portail et nous sommes entrés. Je retrouvais le même espace que la veille, sauf que les personnages n’étaient plus là. Il y avait le cheval d’arçon, les anneaux. L’étalon n’était pas là non plus. Nous étions seuls tous les deux et je n’étais pas rassurée.

“Vous savez ce que c’est ?”

Il me montrait l’énorme support sur lequel la femme avait été attachée. Sa question était perverse. J’ai fait l’innocente. Il m’a expliqué :

“C’est un dispositif pour la saillie. On s’en sert pour recueillir la semence de l’étalon. Vous savez, dans l’élevage de pur-sang tous les moyens sont bons pour gagner de l’argent. Bien entendu, il y a les courses qui rapportent quand le cheval est vainqueur. Mais il y a aussi les saillies, avec des juments pour faire des poulains ou pour récupérer de la semence. On la revend pour l’insémination artificielle, qui est plus sure, moins hasardeuse que les accouplements.”

Il avait un ton tout à fait innocent en me donnant toutes ces explications. Il parlait à l’agent immobilier, pas au témoin du spectacle de débauche immorale.

“Venez avec moi.”

Je n’osais pas m’opposer de quelque façon que ce soit. Il me demandait de venir avec lui et je le suivais. Bien entendu, j’étais inquiète. Je ne savais pas où il voulait en venir. Il semblait jouer avec moi, avec des allusions de plus en plus précises à l’exhibition qu’il m’avait insidieusement imposée.

Il est allé dans le fond de la grange où il y avait une stalle. Le cheval était là, tranquille.

“Je vous présente Atlas. C’est un pur-sang arabe. Il est trop âgé pour la course, bien qu’il soit encore jeune. Mais c’est un très bon reproducteur. Il est habitué à monter des juments. L’expérience, c’est important vous savez.”

Il était grivois sans en avoir l’air. Un peu comme le pince sans rire fait de l’humour cynique avec un air innocent. Il parlait de sexe comme s’il s’agissait de quelque chose d’aussi neutre que le trot ou le galop.

Tout en me parlant, il équipait son cheval en lui passant un licol avec une courte laisse. Il l’a sorti du box et l’a amené vers le cheval d’arçon. Il m’a tendu la laisse.

“Tenez le pendant que je vais chercher le vagin artificiel. Vous pouvez le caresser. Il est très doux et il adore qu’on le cajole.”

Le mot “vagin” m’a soufflée, me ramenant d’un coup à la séance orgiaque de la veille. Mais j’ai pris la bride sans rien laisser voir de mon trouble.

Monsieur M. s’est éloigné pendant que je faisais connaissance avec Atlas. Nous nous regardions. Je me suis enhardie en frottant tout doucement sa joue et son chanfrein. Il était très grand par rapport à moi. Il faut dire que je ne mesure qu’un mètre soixante-cinq. Son garrot me dépassait d’une bonne tête.

Mon client ne m’a pas laissée seule très longtemps. Il tenait une sorte de fourreau en tissus épais. Il s’est dirigé vers l’arrière du cheval d’arçon. J’ai vu qu’il attachait le sac à la structure avec un jeu de sangles adaptées. Une fois le dispositif en place, cela avait un aspect à la fois un peu ridicule mais tout à fait évocateur. Le ridicule venait du côté totalement artificiel du montage : le cheval d’arçon n’avait rien d’une jument et le pseudo vagin faisait plutôt penser à la housse d’un fusil. À ceci près que l’entrée était presqu’entièrement obstruée par une sorte de valve, qui devait, j’imagine, jouer le rôle du muscle vaginal. Mais en même temps, il était difficile de ne pas comprendre la fonction de tout cet attirail et d’en être d’une certaine façon émoustillé.

Une fois que le vagin artificiel a été attaché, monsieur M. est venu vers moi et m’a repris la laisse.

“Je vois que vous avez fait connaissance. Atlas est très calin. Quand il était plus jeune, il était impulsif. Maintenant, il n’est fougueux que quand il copule. Le reste du temps il est plutôt docile. Allez vous mettre près de sa croupe.”

Il avait une façon d’ordonner qui ne vous laissait pas le choix. Ce n’était pas un ordre au sens propre du terme, qui peut vous donner envie de vous rebeller. C’était une directive, qui paraissait de bon sens. Il aurait été incongru de s’y opposer.

Je me suis placée derrière le cheval.

“Non, pas derrière. C’est toujours imprudent de se tenir derrière un cheval. Une ruade est toujours possible. Et pour ce que nous allons faire, il faut que vous soyez sur le côté.”

Je me suis repositionnée.

“Voilà, vous êtes à la bonne place maintenant.”

J’étais en face de la patte arrière.

“Je vais vous expliquer ce que j’attends de vous. Nous allons recueillir la semence du cheval. D’habitude, c’est un vétérinaire qui m’assiste. Ou plutôt, il opère et je l’assiste. Mais là, il n’est pas disponible. Vous me direz que j’aurais pu attendre qu’il le soit. Mais il se trouve qu’Atlas a monté une femelle pas plus tard qu’hier matin. Vous vous souvenez ? Je vous ai dit que j’étais occupé à l’écurie au moment de notre rendez-vous manqué. Et le meilleur sperme, c’est celui qu’on récolte après une saillie. Vingt-quatre heures de délai c’est l’idéal pour qu’il produise des spermatozoïdes tout frais.”

De nouveau, j’étais confrontée à un jeu subtil. J’aurais pu refuser tout net. C’est d’ailleurs probablement ce que j’aurais fait s’il n’y avait pas eu hier. Mais refuser, c’était en quelque sorte endosser le rôle de celle qui avait vu. Or jusqu’ici, je jouais le rôle de celle qui n’était pas venue. J’ai donc tout naturellement continué à jouer l’innocente, bien que ni l’un ni l’autre nous n’étions dupes.

“Caressez lui le ventre.”

J’ai posé ma main sur le flanc de l’animal et j’ai commencé à frotter dans le sens du poil.

“Non, pas si haut. Il faut mettre votre main bien dessous, à l’aplomb du sol.”

Je déplaçais ma main, obéissante. C’était assez malcommode parce que je devais me pencher un peu et tourner mon bras pour placer ma paume sur la robe.

“Bien. Rapprochez vous du fourreau. Vous savez ce qu’est le fourreau, n’est-ce pas ?”

Je reculais mon geste vers le renflement.

“Parfait. Pour qu’il éjacule, il faut bien évidemment d’abord le mettre en érection. Il n’y a que deux façons de faire. Soit on lui montre une jument, soit on le fait soi-même. Je n’ai pas de jument aujourd’hui, donc nous allons nous débrouiller. Vous êtes prête ?”

Une nouvelle fois, je m’étais laissée entraîner sans m’en rendre compte. Il n’y avait que de la logique et du médical dans ce qu’il disait. Mais en somme, il me demandait de masturber le cheval, ni plus ni moins. J’étais au pied du mur et je n’avais pas tellement le moyen de reculer, sauf à m’offusquer de façon ridicule.

“Maintenant, vous allez empoigner le fourreau et vous allez le serrer entre vos doigts. Ensuite, vous ferez un mouvement que vous connaissez j’imagine, n’est-ce pas ?”

J’ai fait comme si je n’étais pas troublée le moins du monde. Prendre un air détaché, comme si tout cela n’était qu’une action technique. Pas la moindre connotation sexuelle. “Empoignez” avait-il commandé : j’empoignais. Le volume, bien qu’au repos, était déjà hors norme par rapport à ce que j’avais déjà “empoigné”. “Serrez” m’avait-il ordonné : je serrais. Je sentais le membre sous mes doigts. Il était encore à l’abri dans sa protection, mais il n’était pas inerte. “Faites le mouvement que vous connaissez” avait-il prescrit : je bougeais le fourreau d’avant en arrière, ce qui eut pour effet de dilater nettement son contenu.

“Bien, le gland apparaît. Vous vous y prenez très bien. Atlas vous en sera très reconnaissant. Continuez. Accélérez votre masturbation. Il faut qu’il bande complètement. Quand le sexe va commencer à vraiment s’allonger, vous devrez y mettre les deux mains, d’une part pour le soutenir, d’autre part pour en faire le tour. Vous verrez, le sexe est vraiment très impressionnant une fois complètement déployé.”

Maintenant que j’étais dans l’action, que je ne pouvais plus me soustraire, il avait changé de vocabulaire. C’était moins imagé, moins feutré, plus direct, plus cru. Il était décidément très psychologue. Il savait que ses mots allaient accentuer mon trouble. Mais je continuais à mener ma tâche à bien, sans rien laisser paraître de mon émoi grandissant.

En quelques instants, le sexe est sorti du fourreau. Le gland n’avait rien de la demi-sphère rosâtre. Il avait plutôt l’aspect d’une boursouflure entre le gris et le marron, avec un gros trou au milieu. Son épaisseur était incroyable. Je me rappelais la scène de la veille et je ne pouvais imaginer qu’un tel morceau puisse pénétrer un vagin de femme. Pourtant, elle l’avait reçu. Il était entré en elle. Je me demandais à quel point le vagin devait être élargi pour que ça passe.

Comme il l’avait annoncé, le membre s’est allongé démesurément. Ça n’en finissait pas. J’ai dû le prendre à deux mains, comme un joueur de tennis qui veut augmenter la force de sa prise. C’était une chose de voir l’érection prendre forme de loin. C’en était une autre d’être juste en face.

C’est à ce moment que je me suis vraiment prise au jeu. L’acte n’était plus tellement médical pour moi. J’avais l’impression de branler un mâle particulièrement bien doté par la nature. Le sexe était devenu dur. Je sentais le sang battre dans la chair.

Depuis que j’avais mes deux mains en action, j’avais dû me pencher pour presque passer sous le ventre. Je ne voulais pas tordre ce formidable phallus, le garder horizontal, au milieu du ventre.

L’homme m’a laissé faire. Je me rendais compte que ma posture était devenue plus suggestive, ainsi penchée, ce qui tendait ma robe, et tenant un sexe à deux mains.

J’avais le gland devant mes yeux. Je tenais une partie claire, juste à la base du renflement de l’extrémité. L’autre bout du sexe, celui qui allait jusqu’aux bourses, était sombre, luisant, veiné.

Je pensais à la femme, à ce qui était entré en elle. Quelle longueur avait-elle bien pu absorber ? Malgré moi, j’ai senti que mon sexe se contractait, comme si cette évocation reprenait réalité.

“Bien. Il est suffisamment raide maintenant. On va l’amener au vagin artificiel pour lui faire monter sa jument, comme hier. Enfin, sa jument factice.”

Il n’a pas ajouté que pour la jument, c’était autant du faux que la veille. Mais au moment où il me disait cela, il me regardait et son regard était éloquent.

“Pour le moment, vous allez me laisser faire. Mais quand il sera monté sur sa simili femelle, vous viendrez m’aider à guider son sexe jusqu’à ce qu’il pénètre le vagin. Ça ira ?”

J’ai lâché le sexe et en rejoignant l’homme, je lui ai fait comprendre que j’étais prête.

Monsieur M. a guidé le cheval pour le placer face à la croupe artificielle qu’on lui proposait. L’étalon s’est dressé et a posé ses sabots sur le support. Il a avancé son poitrail tout en laissant ses antérieures descendre et enserrer la fausse jument. Le membre battait dans l’air. Mon client a pris l’ouverture du vagin de tissus dans une main et a essayé d’attraper le sexe de l’autre.

“Venez m’aider ! Attrapez lui le gland et immobilisez sa verge !”

Je me suis précipitée, consciente de l’importance de mon rôle à ce moment crucial. Je me suis mise sous le ventre. Le vagin artificiel touchait mon crâne. Je faisais face au pénis. Après plusieurs tentatives, j’ai réussi à l’empoigner. J’avais le méat juste devant mon visage, à quelques centimètres. Je n’ai pas pu m’empêcher de penser à ce qui arriverait s’il éjaculait juste à cet instant.

J’ai soulevé la verge pour la placer à hauteur du vagin. L’homme de son côté suivait le même mouvement pour qu’à nous deux nous mettions le cylindre et l’orifice en contact. Ce n’était pas simple parce que l’animal ne nous laissait pas faire. Il essayait de son côté et ses tentatives contrecarraient les nôtres.

Après plusieurs minutes d’essais infructueux, le cheval a soudain senti la résistance de l’entrée. Il s’est rué en avant, me faisant lâcher prise. Il a pénétré le fourreau sur toute sa longueur, d’un coup. C’était brutal.

J’étais aux premières loges pour apprécier la force de l’impact. J’étais courbée en deux sous l’animal mais je ne regardais pas le sol, je vous prie de me croire. Je me rappelais le cri de la femme lorsqu’elle-même avait été pénétrée par ce même sexe. Il y avait de quoi gémir, assurément.

Le pseudo vagin avait été bien fixé. Il résistait à la formidable poussée de l’animal. L’étalon a donné encore quelques coups de reins puissant puis s’est immobilisé.

Comme la veille, le coït avait été bref mais d’une puissance pharamineuse. Personne ne peut rester insensible. Ceux qui le prétendent feignent sans nul doute l’indifférence ou le blasement. Pour ma part, je n’étais ni l’un ni l’autre et j’avais du mal à le cacher.

Mais comme pour le reste, l’homme a fait comme si de rien n’était. Je savais que son flegme apparent masquait une observation très attentive de mes faits et gestes, à l’affût de mes sensations, de tout ce que je pourrais laisser filtrer. C’est pour cela qu’il m’avait donné ce rendez-vous de travail. Me montrer Atlas qui couvrait la femme n’était qu’une étape dans son esprit.

“Faites attention ! Vous risquez de recevoir du sperme quand il va ressortir. Vous feriez mieux de ne pas rester en dessous.”

Je me suis relevée à côté du cheval, quittant un peu à regret mon exceptionnel poste d’observation.

Atlas a poussé sur ses pattes arrières pour se redresser. Il a relevé ses antérieures et les a reposées sur l’assise du cheval d’arçon. Je me souvenais comment il avait piétiné le dos de sa partenaire la veille. J’ai eu mal pour elle rétrospectivement. En tirant, il a sorti son sexe de la gangue. La fermeture du vagin était suffisamment resserrée pour que rien ne soit perdu. Seul le bout du gland perlait encore de sperme.

Le sexe était devenu flaccide. Il avait toujours toute sa longueur mais il pendouillait entre les pattes de l’animal. Puis, assez vite il a réintégré son fourreau. C’était hypnotisant de le regarder se rétracter, autant que ça l’avait été lors de l’érection. La dilatation et la contraction étaient si rapides.

Le propriétaire a ramené Atlas vers son box. Je restais immobile, ne sachant que faire. Puis il est revenu récupérer le vagin plein de semence. Il l’a détaché soigneusement, attentif à ne pas le renverser.

“Tenez ! Regardez ! Ça fait une belle quantité de liqueur, n’est-ce pas ?”

Il me tendait l’ouverture du fourreau en l’écartant pour que je puisse voir son contenu. Il y en avait bien un bon verre, en partie liquide et transparent, en partie blanchâtre et épais. Une grande quantité, de quoi remplir un vagin de femme jusqu’au débordement, comme j’avais déjà pu le constater. Je me demandais avec quelle force le sperme était expulsé au moment de l’éjaculation et ce que la femme avait ressenti à ce moment là.

L’homme a pris le chemin de la sortie.

“Il faut vite mettre la semence au frigo.”

Je lui ai emboîté le pas. Une fois dans la cour, je lui ai dit que je rentrais au bureau.

“Merci beaucoup de votre aide madame. Cela a été assez instructif, je crois, n’est-ce pas ?”

Je ne sais pas s’il parlait de moi ou de lui, sans doute des deux. L’une avait appris comment on récupérait du sperme de cheval et l’autre avait étudié son cobaye et en avait certainement déduit plein d’enseignements.

“J’espère que cela ne vous a pas trop retardé dans vos occupations. Vous vous souvenez qu’on se revoit la semaine prochaine pour faire avancer notre dossier, n’est-ce pas ?”

Il ne voulait apparemment pas que nous en restions là.

“Bien sûr, oui, la semaine prochaine.”

J’ai repris ma voiture et j’ai roulé jusqu’au chemin de terre où je me suis isolée un bon moment avant de retourner au bureau. J’étais encore plus excitée que la veille, mais pas seulement. Je me rendais compte en me masturbant que les images qui me venaient étaient celles du cheval avec la femme. J’étais capable de combiner ce que j’avais vu la veille de loin avec ce que je venais de voir de près. J’ai joui quand j’ai vu dans ma tête le sperme gicler et envahir le vagin de la femme jusqu’au fond de son utérus.

En reprenant la route, je me suis sentie si honteuse de mes pensées. Ma sexualité qui avait été si ordinaire jusqu’ici, prenait un tour tellement immoral. Cela m’effrayait.

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