AprĂšs en avoir assez largement parlĂ© en privĂ©, je pense quâil est nĂ©cessaire dâen parler dĂ©sormais en public. Jâai notamment lâautorisation de celui quâon appellera Christophe.
DĂ©jĂ bien dĂ©pravĂ©e, jâai tournĂ© un week-end dans la maison dâun homme que je connaissais avec 2 autres soumises. Câest ici que je fais la rencontre dâun homme, peu importe son nom, qui dit connaĂźtre un fermier cherchant une soumise occasionnelle.
Etant une femme de la ville mais ayant toujours apprĂ©ciĂ© notre terroir, je me dis que ça peut ĂȘtre intĂ©ressant, surtout que jâavais toujours eu ce fantasme dâĂȘtre traitĂ©e comme une esclave avec de vraies tĂąches Ă faire (sâoccuper des animaux avec un plug, ramasser les lĂ©gumes, etc.). Une semaine aprĂšs je prends donc contact avec Christophe. On commence Ă parler, il mâexcite beaucoup bien quâil ne mâattire pas physiquement, il Ă©tait plutĂŽt mĂȘme repoussant mais ça ne mâa pas arrĂȘtĂ©, au contraire.
Rapidement on convient dâune date pour se rencontrer dans un endroit neutre.
Le jour arrive, il mâavait dit de venir sans sous-vĂȘtements, chose que jâai fait. On sâinstalle au fond dâun petit bar et rapidement je comprends quâil veut tester la marchandise. Il glisse alors sa main sous mon t-shirt et âtĂąte la marchandiseâ, il me rĂ©compense en disant âhmm, tu es une bonne laitiĂšre, on va sâamuserâ. Il se rapproche ensuite de moi et sans crier garde il met sa main salit par lâexploitation sous ma jupe et insĂšre violemment deux doigts. Je gĂ©mis. Il les ressort presquâaussitĂŽt et regarde ses doigts âtu produis dĂ©jĂ une crĂšme de qualitĂ©â avant de lĂ©cher ma mouille blanche et crĂ©meuse comme câest parfois le cas.
Ătonnamment cela ne va pas plus loin. Il fouille dans son sac pendant que je me remets de mes Ă©motions et me tend deux cadeaux. Jâouvre le premier et je me rends compte que Christophe nâest pas Ă son coup dâessai. Je vois dans une boite Ă bijou une boucle dâoreille en forme dâĂ©tiquette que les vaches portent pour indiquer leur numĂ©ro. Je comprends alors que je ne serais pas garçon de ferme mais bien a*nimal ce w-e là ⊠Dans la seconde boĂźte, une sorte de boule, un peu comme un jouet ******. Il me dit de ne pas y toucher, de ne pas lâouvrir, mais de me lâinsĂ©rer dans le cul ou dans la chatte le jour oĂč lâon se verra.
Le jour tant attendu arrive. Je porte une mini jupe, un haut tachĂ© noir et blanc (un peu comme les vaches, je me suis dit que le clin dâoeil Ă©tait drĂŽle), des talons hauts (bien que jâai prĂ©vu des bottes en caoutchouc dans mon sac) ainsi que la boucle dâoreille en forme dâĂ©tiquette de vache quâil mâa donnĂ©. Jâai choisi le cul pour insĂ©rer son cadeau, je me suis dit que ça pimenterait rapidement le week-endâŠ
Je descends de la voiture et je vois au loin celui qui sera mon maitre ce w-e. Je lui cris : bonjour ! Tu vas bien ? Pas de rĂ©ponse. Je suis un peu Ă©tonnĂ©e. Je le vois de plus faire demi tour. Il se rend dans ce que je saurais plus tard ĂȘtre ton cellier/entrĂ©e de garage et revient avec plusieurs choses. Je rĂ©itĂšre au fur et Ă mesure quâil se rapproche : Tu vas bien ? Aucune rĂ©ponse, uniquement le bruit terrifiant dâun coup de fouet sur le sol poussiĂ©reux. Il arrive Ă ma hauteur.
Je vois dans ses mains : un collier, un bĂąillon, des sortes de gant et un fouet. Il sait trĂšs bien que je nâaime pas ĂȘtre fouettĂ©e, câest dans notre contrat et que ça nâarrive que si je dĂ©sobĂ©is. Je tente donc de lui rappeler cela mais il mâenfonce violemment le baillon dans la bouche et sâexclame : Bienvenue Ă la ferme ! DĂ©sormais tu seras PĂ©nĂ©lope et plus Candice, tu seras ma nouvelle gĂ©nisse. Une vache ne parle pas, elle meugle et est docile. Câest pourquoi chaque tentative de revenir Ă ton statut dâĂȘtre humain sera puni, tu es prĂ©venue. Je nâai pas le temps de rĂ©agir quâil mâappuie sur les Ă©paules et me met au sol. Il ressort ce que je pensais ĂȘtre des gants, câĂ©tait en rĂ©alitĂ© des sortes de grands sacs en cuir avec au bout des sortes de sabots, il avait dĂ» les fabriquer lui-mĂȘme, câĂ©tait super rĂ©aliste. Sans broncher, il me fait plier les coudes et ramener les avant bras contre moi et mâinstaller son dispositifs. AprĂšs lâavoir bien attachĂ© je retombe sur mes coudes et je me rends compte que câest plutĂŽt agrĂ©able, lâintĂ©rieur est rembourrĂ© et je suis plutĂŽt solide sur mes appuies pour le moment. De la mĂȘme maniĂšre, il mâinstalle sur les genoux.
Je nâai mĂȘme pas eu le temps de poser mes affaires et de faire un tour de la propriĂ©tĂ© que je me retrouve dĂ©jĂ attachĂ©e Ă une corde, Ă quatre patte sur le sol. Je commence Ă ĂȘtre trĂšs excitĂ©e⊠Il me dit de le suivre. Je me dĂ©place assez difficilement, je nâai pas lâhabitude encore. On arrive prĂšs dâun rebord de fenĂȘtre et je vois un plug dâune taille assez consĂ©quente avec une sorte de grosse corde au bout. Je comprends vite ce qui va se passer et je suis bien contente dâavoir travailler mon cul avant de venir. Ătonnamment, plutĂŽt que de me mettre tout de suite le plug, il enfonce violemment deux doigts dans ma chatte, puis presquâaussitĂŽt dans mon cul Ă la maniĂšre dâun gynĂ©cologue ou plutĂŽt dâun vĂ©tĂ©rinaire⊠Il sâexclame : âAh ! Je vois que tu as bien respectĂ© ce que je tâai dit, et en plus dans le cul lâoeuf !â Je suis ravie et je me dis que je suis sauvĂ©e et quâil va donc me mettre le plug dans la chatte. Or rapidement je sens un gros crachat qui mâa presque semblĂ© froid et je sens le plug sâenfoncer en moi. MâĂ©chappe un cri de plaisir mĂ©langer Ă la douleur dâavoir Ă©tĂ© pĂ©nĂ©trĂ©e de force, et se cri sâen suit dâune claque sur la croupe : âCa ne fait que commencer !! Calme toiâŠâ.
Il reprend la longe et me dĂ©place jusque dans lâĂ©table dans un box Ă cĂŽtĂ© des autres vaches. Lâodeur est vraiment dĂ©sagrĂ©able mais le sol est propre, la paille plutĂŽt. Il ne fait pas particuliĂšrement froid pour le moment. Sans me dire un mot, il mâattache le collier au niveau du trou que les vaches ont pour passer leur tĂȘte de sorte Ă ce que je ne puisse pas mâallonger, je suis bloquĂ© la tĂȘte en dehors du box. Le bĂąillon est un bĂąillon Ă bouchon, il peut ainsi enlever le bouchon pour avoir un accĂšs direct Ă ma bouche. Toujours sans rien dire, il retire le bouchon, sort son petit sexe mou et crasseux et se met Ă mâuriner dessus. Tout dâabord sur les cheveux, puis le visage et il finit par insĂ©rer sa demi mol dans ma bouche pour uriner directement dans ma gorge avant de refermer le bouchon. Je suis vraiment choquĂ©e par cette entrĂ©e en matiĂšre mais jâavale, je suis extrĂȘmement excitĂ©e, jâai hĂąte que tout commence.
âJâai du travailâ. Voici les derniers mots de lâĂ©leveur avant quâil me laisse pour retourner Ă ses obligations. Avant cela, il prend le temps de me mettre une sorte de couverture ou de tapis dâĂ©quitation sur moi, surement pour ne pas que jâai froid. Je suis mortifiĂ©e. Je reste pleine dâurine attachĂ©e dans lâĂ©table pendant que monsieur va travailler. Rapidement les mouches viennent se coller Ă moi, je les sens se poser sur ma chatte humide, jâessaye de bouger comme je peux mais contrairement aux vaches je nâai pas une queue pour les chasser.
Environ une demi heure plus tard, je lâentends revenir, enfin, je lâentends discuter. Un homme semble ĂȘtre prĂ©sent avec lui. Je comprends donc que sâil ne mâa pas encore baisĂ© câest parce quâil me rĂ©servait pour un ami⊠Pour le coup cette possibilitĂ© Ă©tait existante dans notre contrat donc je nâai rien dit (dans tous les cas je ne pouvais rien direâŠ). Lâhomme arrive vers moi et je tĂ©moigne de lâĂ©change suivant :
â Belle gĂ©nisse ! Une bonne grosse vache comme jâaime, bien grassouillette.
â Tu as vu ça, je ne lâai pas choisi au hasard
â Par contre tu as fait lâamateur sur ce coup⊠OĂč est la machine Ă traire ?
â Tu as raison, je ne lâai pas encore installĂ©e parce que ça fait trop de bruit et on est quâau dĂ©but du w-e.
â Une vraie gĂ©nisse se doit dâĂȘtre trait tous les jours, il faut au moins lui aspirer les tĂ©tons.
Le maitre sâen va chercher du matĂ©riel. Pendant ce temps, son collĂšgue me tourne autour, il ouvre mon baillon et sâapproche de moi :
â Ahhh il tâa dĂ©jĂ utilisĂ© comme urinoir, il ne perd pas de temps. Sache que tant que tu seras lĂ , tu lui serviras de pissotoire.
Il entre dans lâenclos et mâenfonce 2 doigts de ma chatte qui nâĂ©tait cette fois ci plus du tout lubrifiĂ©e, puis les retire aussi rapidement, mâarrache mon plug et plonge 2 autres doigts tout au fond de mon cul. Je hurle de douleur comme je peux.
â Oh ma belle, calme toi câest un examen de routine ici. Je vois en tout cas que tu es une belle salope. Directement dans le cul lâoeuf⊠Je savais que Christophe nâirait pas jusquâĂ te demander dâen insĂ©rer deux parce que tu es trĂšs jeune, mais moi je ne vais pas me gener, salopeâŠ
Je ne peux le voir mais je suppose quâil sort Ă ce moment lĂ un autre Ćuf de sa poche et me lâenfonce jusquâau fond du vagin, un peu plus et il atterrissait dans mon utĂ©rus.
Christophe revient avec deux grosses pompes qui fonctionnent sous vide. Ils les placent non pas uniquement sur mes tétons mais sur tout mon sein et pompe généreusement. Mes seins sont tendus et douloureux mais je suis trÚs excitée.
Alors que je suis persuadĂ©e que dâici 5 minutes jâaurais une bite dans la bouche et une autre dans le cul, les deux hommes semblent sâĂ©loigner de nouveau. Je vois cependant lâagriculteur se retourner vers moi, regarder ensuite Christophe et lui dire : âje peux aller pisser avant quâon y retourne ?â. Je suis horrifiĂ©e parce que je comprends que je ne serais pas lâurinoir que dâun seul homme ce w-e. Cependant, au lieu de me pisser dans la bouche, il retourne derriĂšre moi et me dit : âtu as cru que jâallais oublier de te remettre ton plug ?â et je me sens pĂ©nĂ©trĂ©e dĂ©licatement, ce nâĂ©tait clairement pas le plug. Puis je ressens une sensation de chaleur, mon ventre se gonfle du liquide jaune qui entre par mon anus Ă©largi par le plug. AprĂšs avoir fini son affaire, il se retire et me rĂ©insĂšre le plug avant que jâai eu le temps dâĂ©jecter le liquide chaud. Il se prĂ©sente devant moi, le sexe sorti, il me retire mon baillon puis insĂšre son sexe Ă lâintĂ©rieur pour que je nettoie sa bite molle.
Les deux hommes sâĂ©loignent et je reste encore une foi sur ma faim, les orifices Ă lâair, entourĂ©e de vaches qui elles aussi semblent attendre quâon sâoccupe dâellesâŠ
Je ne comprends vraiment plus rien⊠Jâai le cul rempli de pisse qui tiĂ©dit de plus en plus, je suis souillĂ©e, les mouches et autres insectes se posent de plus en plus sur moi, câest vraiment dĂ©sagrĂ©able donc je bouge dans tous les sens, je mâĂ©puise. De plus, Ă force dâavoir lâexcitation qui monte et qui descend, jâai le clitoris et les lĂšvres tendu et gonflĂ©, on mâaurait dit que je venais de me faire implanter deux couilles, je lâaurais cru ! En attendant quâil se passe quelque chose, jâessaye dâĂ©jecter le plug et lâurine de mes boyaux. Jâentreprends alors de pousser de toutes mes forces pour utiliser la pisse froide maintenant comme moyen de pression pour faire sortir ce plug Ă corde. Je pousse et je sens de la pisse couler le long de mes cuisses, je sens le plug sortir de plus en plus⊠Mais Ă bout de force, le gros objet vient se rĂ©enfoncer au fin fond de mes entrailles. JâĂ©mets un cri de plaisir. Au mĂȘme moment lâun des deux hommes passe (ils vaquaient Ă leurs occupations) et jâentends au loin âFerme ta gueule salope, une vache ça meugle, ça gĂ©mis pas !â. Jâai vite compris quâil sâagissait de GĂ©rard (jâai entendu son nom pendant lâaprĂšs midi), car câest le seul Ă mâappeler salope, Christophe ne traiterait jamais lâune de ses vaches comme ça. Il vient vers moi et me dit âOh ma pauvre, tâas lâair gĂȘnĂ©e par les mouches, attends, je vais rĂ©gler çaâŠâ. Il revient 2 minutes plus tard avec un vieux t-shirt Ă©cĆurant. Il me lâenfile sur la tĂȘte, je ne vois dĂ©sormais plus rien. Il sort ce que je suppose ĂȘtre son Opinel et coupe dans le t-shirt un trou pour mon nez et surtout un trou laissant passer mon baillon. Je deviens alors trĂšs fĂ©brile, jâai peur de ce qui peut mâarriver dĂ©sormais. Mais je me rassure car je lâentends partir⊠Avant dâentendre âAh jâoubliais !â, il revient vers moi et aprĂšs quelques secondes, je sens de nouveau ce liquide chaud que je commence Ă connaĂźtre par coeur imbiber le t-shirt qui me recouvre le visage. Il mâa pissĂ© dessus et je vais restĂ© trempĂ©e ! Je sens ensuite quâil retire mon bouchon et une nouvelle fois insĂšre son sexe complĂštement mou dans ma bouche. AprĂšs quelques aller-retour il doit juger quâil est propre et se retire mais sans me remettre le bouchon : Ouf ! Jâavais peur que le t-shirt rempli de pisse mâempĂȘche de respirer malgrĂ© le trou prĂ©caire quâil avait fait. AprĂšs une seconde, il sâen va et lance âTu vas adorer ton sĂ©jour !â.
Je commençais sincĂšrement Ă en douter, jâĂ©tais la depuis au moins 3h, Ă 4 pattes, dans une Ă©table dehors e avec les seins Ă la limite du violet. Certes, ĂȘtre utilisĂ© comme urinoir jâadore, je suis une pute Ă chiotte Ă la base, mais quand mĂȘme, quâils sâoccupent de mon cul ! Je commençais Ă©galement Ă douter de leurs capacitĂ©s sexuelles⊠AprĂšs tout, ils ont une femme Ă quatre patte devant eux, complĂštement soumise et Ă aucun moment lâun dâeux nâa Ă©tĂ© dur. De plus, elles paraissaient extrĂȘmement petites, notamment celle de mon maĂźtre. Pourtant Christophe mâa assurĂ© que mes trous seraient dĂ©truit ce week-endâŠ
Câest encore une demi heure plus tard alors que je me tortille dans tous les sens pour faire tomber les pompes que jâai sur les seins (jâai rĂ©ussi dâun cĂŽtĂ©) que jâentends enfin du nouveau. Beaucoup de bruit de gravier. Jâentends Christophe siffler et jâidentifie le bruit de plusieurs chiens accourir. Je les avais dĂ©jĂ entendu aboyer au loin. Jâentends notre maitre leur dire quelque chose (mais jâentends difficilement avec le t-shirt mouillĂ© sur les oreilles) et je sens que les chiens se rapprochent.
Jâai Ă peine le temps de rĂ©aliser que je sens une truffe froide se coller Ă ma chatte complĂštement sĂšche. Je me mets alors Ă hurler de toutes mes forces et heureusement on mâentendait vu que je nâavais pas le bouchon, ce qui fait venir Christophe et son ami Ă©galement au vu des pas. Il me lance âQuâest-ce qui ne va pas ? Ah oui, tu as fait tombĂ© ton tire-lait et ta couverture, attend je te les remets !â. Je vois quâil ne comprend pas, je continue de hurler, ce qui semble lâĂ©nerver. Je sens alors dâun coup quâil referme le bouchon de mon baillon et lâĂ©loigne en appelant lâun de ses chiens, ou plutĂŽt lâune de ses chiennes âRoxyâ. Je suis soulagĂ©e. Mais cette vague nâaura pas durĂ© longtemps car jâentends alors GĂ©rard qui dit âBon appĂ©tit Akilaâ et ajoute âJe tâavais dit que tu allais pas tâennuyerâ. Je comprends alors ce qui mâattend.
Il a Ă peine dit âBon appĂ©titâ que je sens la truffe de son berger allemand contre mon cul et sa langue sâenfoncer trĂšs profond dans ma chatte. Je hurle de plaisir ! Il ramone sa langue toujours plus loin dans mon orifice sans discontinuer. Jâavoue ne pas comprendre sur le moment car me faisant dĂ©jĂ lĂ©cher par le chien de la famille depuis mes 14 ans (jâai commencĂ© jeuneâŠ), je sais que gĂ©nĂ©ralement ils lĂšchent la surface, surtout quand câest mouillĂ© ou badigeonnĂ© de quelque chose quâils aiment (jâai eu quelques orgasmes au beurre de cacahuĂšte), mais lĂ rien de tout ça. Ses va et vient me donnent des spasmes et je contracte le trou qui me sers de vagin, quand tout Ă coup je rĂ©alise : lâoeuf ! Tout sâĂ©claire, je suis presque sĂ»re quâil y a une friandise dans lâespĂšce dâoeuf ****** que GĂ©rard Ă mis au fond de ma chatte ! GrĂące Ă ma maĂźtrise de ma cavitĂ©, jâarrive Ă dĂ©loger lâoeuf des profondeurs de mon vagin et en 4 coups de langue, Akila a rĂ©ussi Ă sortir lâoeuf et bingo, je lâentends macher son trophĂ©e sur le sol, je comprends alors que je suis sauvĂ©e (quoi que jâaimais çaâŠ).
Dâun coup dâun seul, je lance un hurlement de surprise et de douleur, quelquâun venait dâarracher lâĂ©norme plug qui me scindait le cul en deux ! Je nâavais entendu personne arriver ! Et dâun coup, un second cri, je sens la langue de ce chien affamĂ© fouiller mon cul ouvert par le long port de ce plug. A corde⊠Il Ă©tait Ă corde le plug, câĂ©tait Ă©trange, jâaurais du mâen douter ! Ca ressemblait aux cordes que lâon voit sur les portes des personnes ayant un chien les aidant Ă la maison ! Câest donc ce salaud de chien qui a arrachĂ© mon plug comme si câĂ©tait un jouet. Je me rappelle alors que jâai moi mĂȘme enfoncĂ© un oeuf, celui que Christophe mâavait initialement donnĂ©, bien au fond de mon cul, je lâavais complĂštement oublié⊠Et câest reparti, le chien enfonce sa langue, encore plus loin, toujours plus loin, je ne sais mĂȘme pas comment câest possible. Je frole lâorgasme Ă plusieurs reprises, cette fois-ci je nâai pas envie de ****** Ă le faire sortir. Parfois câest sa truffe quâil enfonce en moi. Je comprends quâil a besoin de vĂ©rifier que sa nourriture est lĂ , donc je me cambre, je joue un peu avec ma position et mes abdos et PFFFT, de lâair me pĂ©nĂštre et ouvre grand mon trou. Il recommence comme prĂ©vu et enfonce sa truffe loin tout en continant de lĂ©cher mais du coup câest ma chatte quâil lĂšche, je meugle de plaisir !
Je sens dâun coup mon bouchon se retirer, je sursaute, jâĂ©tais tellement en extase que je nâavais pas entendu lâun des hommes arriver. Jâai Ă peine le temps de me rendre compte de cela quâil enfonce sa bite dans ma bouche, encore molle, mais Ă©tonamment il ne fait pas de va et vient⊠Il prend ma tĂȘte Ă deux mains et pousse sa bite au plus profond et ne bouge plus. Je ne vais pas vous le cacher, ça mâĂ©tait Ă©gale, jâĂ©tais trop occupĂ© Ă kiffer avec le meilleur anulingus que jâai reçu de ma vie (encore Ă lâheure actuelle). Cependant, au fur et Ă mesure et sans que je mâen rende compte, son pĂ©nis Ă gonflĂ© dans ma gorge jusquâĂ atteindre un niveau assez remarquable et surtout, il semble que lâouverture Ă©troite du baillon agisse un peu comme un garot pour sa bite, ce qui fait quâil nâa mĂȘme plus besoin de me tenir la tĂȘte, son engin est en train de sâĂ©largir dans ma bouche et maintenant dans ma gorge et ne semble pas prĂšs de sâen aller. Je me fais la rĂ©flexion quâau moins comme ça il ne mâurinera pas dans la bouche car un homme ne peut pas uriner en Ă©rection. Je lâentends gĂ©mir, je pense que mes cris et mes spasmes lui offre un massage royal.
Une phrase me sort alors de ma torpeur âBah alors, on attend pas Patrick !â, trĂšs Ă©lĂ©gant. Je reconnais GĂ©rard, encore une fois. Je lâentends aller cĂŽtĂ© Ă©table et jâai Ă peine le temps de le localiser quâil recommence son examen habituel. Il mâenfonce non pas deux doigts mais 4 directement dans la chatte, je sursaute et jâentends Christophe gĂ©mir, il a lâair dâapprĂ©cier la contraction quâĂ eu ma gorge ! GĂ©rard ajoute âBah alors ma salope, tâes bien ouverte, les choses sâaccĂ©lĂšre !â, il doit pousser le chien car lâanulingus sâarrĂȘte et je ressens une nouvelle fois cet enfoirĂ© insĂ©rer je ne sais combien de doigts en moi, jâai eu lâimpression quâil mettait le poing ! Je ressens une forte pression sur mon anus tout gluant et il dit âPutain ma salope tâes aller le foutre loin ton oeuf il a aucune chance, je vais devoir aller le chercher !â. Il claque des doigts et je sens Akila se remettre Ă me lĂ©cher mais cette fois-ci la chatte, clitoris et entrĂ©e du vagin. Je hurle, enfin on sâoccupe de mon clito ! Et rapidement aprĂšs je hurle une seconde fois car je sens une grosse main de fermier sâinsĂ©rer sans aucune dĂ©licatesse au fond de mon cul. Dieu merci je lâavais prĂ©parĂ© en amont et le plug plus le chien a aider parce quâil aurait craquĂ© en deux sinon ! La douleur me transcende mais ce sentiment dâĂȘtre remplie est magique. âOh mince, je ne le trouve pasâ dit-il avec un air moqueur. Je sens quâil continue de fouiller ce qui est maintenant un trou bĂ©ant et quâil fait volontier des aller-retour. Jâai arrĂȘtĂ© de hurler et maintenant je kiff.
Ayant dĂ©couvert ma sexualitĂ© trĂšs (trĂšs) jeune, lorsque jâai un orgasme, je ressens toujours le besoin de sucer mon pouce. Le chien qui me lĂšche ma chatte baveuse et GĂ©rard qui me laboure le cul, jâai un Ă©norme orgasme qui arrive, mais ne pouvant pas sucer mon pouce, je commence a avoir des mouvements automatique de succion autour de la grosse matraque de Christophe. Il rĂ©agit directement et gĂ©mi de plus en plus fort. Il attrape de nouveau ma tĂȘte pour enfoncer sa bite encore plus profond, jâai lâimpression dâĂ©touffer tellement elle me paraĂźt loin ! GĂ©rard accĂ©lĂšre le mouvement et le chien Ă©met un bruit avant de se retirer car je suis en train de gicler partout, je sens ma mouille ou ma pisse que sais-je partir comme un karcher autour de moi, je suce encore plus fort et jâentends Christophe qui jouit et commence Ă faire un, deux, trois vas et vient avec ma tĂȘte et libĂ©rer ce qui me semblait ĂȘtre des litres de sperme directement dans ma gorge, pas besoin dâavaler⊠Encore deux trois aller retour et GĂ©rard arrĂȘte Ă son tour de me fister.
GĂ©rard vient casser ce long silence âRegarde Christopheâ, et jâentends une vidĂ©o tourner avec la scĂšne qui venait de se passer. Il me demande si je veux voir aussi et mâarrache le t-shirt qui me bandait les yeux, quel soulagement ! Je regarde la vidĂ©o, je suis choquĂ©e par lâouverture incroyable de mon cul, je ne pense jamais avoir atteint une telle largeur⊠Tout dâun coup, jâai lâimpression de me noyer. Je comprends ce quâil se passe. Christophe, Ă peine moins dur que tout Ă lâheure est en train de mâuriner directement dans lâestomac. Une nouvelle fois, jâai lâimpression quâil a pissĂ© un litre. Je sens mon ventre sâarrondir et sâalourdir (je ne vais pas le cacher, jâai adorĂ©). Sa bite Ă©tant toujours trop large pour repasser par le trou, il rigole et me dĂ©fait le baillon pendant que son chien lĂšche les sĂ©cretions qui coulent encore de mes orifices.
Je comprends que câest fini, je meugle, je ne parle pas malgrĂ© lâabsence dâentrave pour parler. Les deux affichent un grand sourire et ajoute âCâest bien, tu as enfin compris ton rĂŽle PĂ©nĂ©lopeâ. Les deux commencent Ă me retirer tout le matĂ©riel, les sabots, ce qui est autour de mon cou et me disent âil est temps pour toi dâaller manger et dormir.â. Je suis soulagĂ©e. Mais GĂ©rard me voyant mâĂ©tirer ajoute âNe crois pas que tu es sorti de lâauberge, je te rappelle quâon est deux Ă ne pas encore avoir Ă©jaculer en toi aujourdâhui.â au dĂ©but je ne comprends pas car le sperme de Christophe je lâai bien en bouche, ça a Ă©tĂ© mon repas. Un frisson mâĂ©risse les poils, il parle de lui et dâAkila, je comprends donc que mon calvaire animalier nâest pas encore terminĂ©.
Christophe mâattache une corde au cou et me fait marcher Ă quatre patte. Je pensais quâil allait me diriger vers la maison mais au contraire on sâen Ă©loigne. Je vois au loin un box comme pour les chevaux avec mon nom âPĂ©nĂ©lopeâ, enfin, mon nom de gĂ©nisse. Il ouvre et dedans je vois de la paille, plusieurs couvertures, une belle camĂ©ra de surveillance, une cloche contre le mur, un abrevoir et une gamelle. Je comprends que câest ici que je vais passer la nuit. Il dĂ©tache la corde qui me serrait le cou et ajoute âNe crois pas que tu auras totale liberté⊠Penche toi.â Je sens alors quâil mâenfonce un objet dans les fesses, pas franchement douloureux⊠Puis en quelque seconde je sens cet objet mâĂ©largir et jâentends le bruit dâun cadenas, je comprends tout de suite. Il sâagit dâune poire qui sâouvre et se bloque, je me relĂšve, me retourne et je vois que le plug et reliĂ© Ă une corde elle mĂȘme reliĂ©e Ă lâenclos. âTu es libre de me rejoindre dans la maison si tu arrives Ă te dĂ©faire de ce dispositif, sinon tu **** ici.â
Il quitte lâĂ©table et commence alors ma premiĂšre nuit Ă la ferme.
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