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🇫🇷 Une journée à la ferme : première journée

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Après en avoir assez largement parlé en privé, je pense qu’il est nécessaire d’en parler désormais en public. J’ai notamment l’autorisation de celui qu’on appellera Christophe.

Déjà bien dépravée, j’ai tourné un week-end dans la maison d’un homme que je connaissais avec 2 autres soumises. C’est ici que je fais la rencontre d’un homme, peu importe son nom, qui dit connaître un fermier cherchant une soumise occasionnelle.

Etant une femme de la ville mais ayant toujours apprécié notre terroir, je me dis que ça peut être intéressant, surtout que j’avais toujours eu ce fantasme d’être traitée comme une esclave avec de vraies tâches à faire (s’occuper des animaux avec un plug, ramasser les légumes, etc.). Une semaine après je prends donc contact avec Christophe. On commence à parler, il m’excite beaucoup bien qu’il ne m’attire pas physiquement, il était plutôt même repoussant mais ça ne m’a pas arrêté, au contraire.

Rapidement on convient d’une date pour se rencontrer dans un endroit neutre.

Le jour arrive, il m’avait dit de venir sans sous-vêtements, chose que j’ai fait. On s’installe au fond d’un petit bar et rapidement je comprends qu’il veut tester la marchandise. Il glisse alors sa main sous mon t-shirt et “tâte la marchandise”, il me récompense en disant “hmm, tu es une bonne laitière, on va s’amuser”. Il se rapproche ensuite de moi et sans crier garde il met sa main salit par l’exploitation sous ma jupe et insère violemment deux doigts. Je gémis. Il les ressort presqu’aussitôt et regarde ses doigts “tu produis déjà une crème de qualité” avant de lécher ma mouille blanche et crémeuse comme c’est parfois le cas.

Étonnamment cela ne va pas plus loin. Il fouille dans son sac pendant que je me remets de mes émotions et me tend deux cadeaux. J’ouvre le premier et je me rends compte que Christophe n’est pas à son coup d’essai. Je vois dans une boite à bijou une boucle d’oreille en forme d’étiquette que les vaches portent pour indiquer leur numéro. Je comprends alors que je ne serais pas garçon de ferme mais bien a*nimal ce w-e là… Dans la seconde boîte, une sorte de boule, un peu comme un jouet ******. Il me dit de ne pas y toucher, de ne pas l’ouvrir, mais de me l’insérer dans le cul ou dans la chatte le jour où l’on se verra.

Le jour tant attendu arrive. Je porte une mini jupe, un haut taché noir et blanc (un peu comme les vaches, je me suis dit que le clin d’oeil était drôle), des talons hauts (bien que j’ai prévu des bottes en caoutchouc dans mon sac) ainsi que la boucle d’oreille en forme d’étiquette de vache qu’il m’a donné. J’ai choisi le cul pour insérer son cadeau, je me suis dit que ça pimenterait rapidement le week-end…

Je descends de la voiture et je vois au loin celui qui sera mon maitre ce w-e. Je lui cris : bonjour ! Tu vas bien ? Pas de réponse. Je suis un peu étonnée. Je le vois de plus faire demi tour. Il se rend dans ce que je saurais plus tard être ton cellier/entrée de garage et revient avec plusieurs choses. Je réitère au fur et à mesure qu’il se rapproche : Tu vas bien ? Aucune réponse, uniquement le bruit terrifiant d’un coup de fouet sur le sol poussiéreux. Il arrive à ma hauteur.

Je vois dans ses mains : un collier, un bâillon, des sortes de gant et un fouet. Il sait très bien que je n’aime pas être fouettée, c’est dans notre contrat et que ça n’arrive que si je désobéis. Je tente donc de lui rappeler cela mais il m’enfonce violemment le baillon dans la bouche et s’exclame : Bienvenue à la ferme ! Désormais tu seras Pénélope et plus Candice, tu seras ma nouvelle génisse. Une vache ne parle pas, elle meugle et est docile. C’est pourquoi chaque tentative de revenir à ton statut d’être humain sera puni, tu es prévenue. Je n’ai pas le temps de réagir qu’il m’appuie sur les épaules et me met au sol. Il ressort ce que je pensais être des gants, c’était en réalité des sortes de grands sacs en cuir avec au bout des sortes de sabots, il avait dû les fabriquer lui-même, c’était super réaliste. Sans broncher, il me fait plier les coudes et ramener les avant bras contre moi et m’installer son dispositifs. Après l’avoir bien attaché je retombe sur mes coudes et je me rends compte que c’est plutôt agréable, l’intérieur est rembourré et je suis plutôt solide sur mes appuies pour le moment. De la même manière, il m’installe sur les genoux.

Je n’ai même pas eu le temps de poser mes affaires et de faire un tour de la propriété que je me retrouve déjà attachée à une corde, à quatre patte sur le sol. Je commence à être très excitée… Il me dit de le suivre. Je me déplace assez difficilement, je n’ai pas l’habitude encore. On arrive près d’un rebord de fenêtre et je vois un plug d’une taille assez conséquente avec une sorte de grosse corde au bout. Je comprends vite ce qui va se passer et je suis bien contente d’avoir travailler mon cul avant de venir. Étonnamment, plutôt que de me mettre tout de suite le plug, il enfonce violemment deux doigts dans ma chatte, puis presqu’aussitôt dans mon cul à la manière d’un gynécologue ou plutôt d’un vétérinaire… Il s’exclame : “Ah ! Je vois que tu as bien respecté ce que je t’ai dit, et en plus dans le cul l’oeuf !” Je suis ravie et je me dis que je suis sauvée et qu’il va donc me mettre le plug dans la chatte. Or rapidement je sens un gros crachat qui m’a presque semblé froid et je sens le plug s’enfoncer en moi. M’échappe un cri de plaisir mélanger à la douleur d’avoir été pénétrée de force, et se cri s’en suit d’une claque sur la croupe : “Ca ne fait que commencer !! Calme toi…”.

Il reprend la longe et me déplace jusque dans l’étable dans un box à côté des autres vaches. L’odeur est vraiment désagréable mais le sol est propre, la paille plutôt. Il ne fait pas particulièrement froid pour le moment. Sans me dire un mot, il m’attache le collier au niveau du trou que les vaches ont pour passer leur tête de sorte à ce que je ne puisse pas m’allonger, je suis bloqué la tête en dehors du box. Le bâillon est un bâillon à bouchon, il peut ainsi enlever le bouchon pour avoir un accès direct à ma bouche. Toujours sans rien dire, il retire le bouchon, sort son petit sexe mou et crasseux et se met à m’uriner dessus. Tout d’abord sur les cheveux, puis le visage et il finit par insérer sa demi mol dans ma bouche pour uriner directement dans ma gorge avant de refermer le bouchon. Je suis vraiment choquée par cette entrée en matière mais j’avale, je suis extrêmement excitée, j’ai hâte que tout commence.

“J’ai du travail”. Voici les derniers mots de l’éleveur avant qu’il me laisse pour retourner à ses obligations. Avant cela, il prend le temps de me mettre une sorte de couverture ou de tapis d’équitation sur moi, surement pour ne pas que j’ai froid. Je suis mortifiée. Je reste pleine d’urine attachée dans l’étable pendant que monsieur va travailler. Rapidement les mouches viennent se coller à moi, je les sens se poser sur ma chatte humide, j’essaye de bouger comme je peux mais contrairement aux vaches je n’ai pas une queue pour les chasser.

Environ une demi heure plus tard, je l’entends revenir, enfin, je l’entends discuter. Un homme semble être présent avec lui. Je comprends donc que s’il ne m’a pas encore baisé c’est parce qu’il me réservait pour un ami… Pour le coup cette possibilité était existante dans notre contrat donc je n’ai rien dit (dans tous les cas je ne pouvais rien dire…). L’homme arrive vers moi et je témoigne de l’échange suivant :
– Belle génisse ! Une bonne grosse vache comme j’aime, bien grassouillette.
– Tu as vu ça, je ne l’ai pas choisi au hasard
– Par contre tu as fait l’amateur sur ce coup… Où est la machine à traire ?
– Tu as raison, je ne l’ai pas encore installée parce que ça fait trop de bruit et on est qu’au début du w-e.
– Une vraie génisse se doit d’être trait tous les jours, il faut au moins lui aspirer les tétons.
Le maitre s’en va chercher du matériel. Pendant ce temps, son collègue me tourne autour, il ouvre mon baillon et s’approche de moi :
– Ahhh il t’a déjà utilisé comme urinoir, il ne perd pas de temps. Sache que tant que tu seras là, tu lui serviras de pissotoire.
Il entre dans l’enclos et m’enfonce 2 doigts de ma chatte qui n’était cette fois ci plus du tout lubrifiée, puis les retire aussi rapidement, m’arrache mon plug et plonge 2 autres doigts tout au fond de mon cul. Je hurle de douleur comme je peux.
– Oh ma belle, calme toi c’est un examen de routine ici. Je vois en tout cas que tu es une belle salope. Directement dans le cul l’oeuf… Je savais que Christophe n’irait pas jusqu’à te demander d’en insérer deux parce que tu es très jeune, mais moi je ne vais pas me gener, salope…
Je ne peux le voir mais je suppose qu’il sort à ce moment là un autre œuf de sa poche et me l’enfonce jusqu’au fond du vagin, un peu plus et il atterrissait dans mon utérus.
Christophe revient avec deux grosses pompes qui fonctionnent sous vide. Ils les placent non pas uniquement sur mes tétons mais sur tout mon sein et pompe généreusement. Mes seins sont tendus et douloureux mais je suis très excitée.

Alors que je suis persuadée que d’ici 5 minutes j’aurais une bite dans la bouche et une autre dans le cul, les deux hommes semblent s’éloigner de nouveau. Je vois cependant l’agriculteur se retourner vers moi, regarder ensuite Christophe et lui dire : “je peux aller pisser avant qu’on y retourne ?”. Je suis horrifiée parce que je comprends que je ne serais pas l’urinoir que d’un seul homme ce w-e. Cependant, au lieu de me pisser dans la bouche, il retourne derrière moi et me dit : “tu as cru que j’allais oublier de te remettre ton plug ?” et je me sens pénétrée délicatement, ce n’était clairement pas le plug. Puis je ressens une sensation de chaleur, mon ventre se gonfle du liquide jaune qui entre par mon anus élargi par le plug. Après avoir fini son affaire, il se retire et me réinsère le plug avant que j’ai eu le temps d’éjecter le liquide chaud. Il se présente devant moi, le sexe sorti, il me retire mon baillon puis insère son sexe à l’intérieur pour que je nettoie sa bite molle.

Les deux hommes s’éloignent et je reste encore une foi sur ma faim, les orifices à l’air, entourée de vaches qui elles aussi semblent attendre qu’on s’occupe d’elles…

Je ne comprends vraiment plus rien… J’ai le cul rempli de pisse qui tiédit de plus en plus, je suis souillée, les mouches et autres insectes se posent de plus en plus sur moi, c’est vraiment désagréable donc je bouge dans tous les sens, je m’épuise. De plus, à force d’avoir l’excitation qui monte et qui descend, j’ai le clitoris et les lèvres tendu et gonflé, on m’aurait dit que je venais de me faire implanter deux couilles, je l’aurais cru ! En attendant qu’il se passe quelque chose, j’essaye d’éjecter le plug et l’urine de mes boyaux. J’entreprends alors de pousser de toutes mes forces pour utiliser la pisse froide maintenant comme moyen de pression pour faire sortir ce plug à corde. Je pousse et je sens de la pisse couler le long de mes cuisses, je sens le plug sortir de plus en plus… Mais à bout de force, le gros objet vient se réenfoncer au fin fond de mes entrailles. J’émets un cri de plaisir. Au même moment l’un des deux hommes passe (ils vaquaient à leurs occupations) et j’entends au loin “Ferme ta gueule salope, une vache ça meugle, ça gémis pas !”. J’ai vite compris qu’il s’agissait de Gérard (j’ai entendu son nom pendant l’après midi), car c’est le seul à m’appeler salope, Christophe ne traiterait jamais l’une de ses vaches comme ça. Il vient vers moi et me dit “Oh ma pauvre, t’as l’air gênée par les mouches, attends, je vais régler ça…”. Il revient 2 minutes plus tard avec un vieux t-shirt écœurant. Il me l’enfile sur la tête, je ne vois désormais plus rien. Il sort ce que je suppose être son Opinel et coupe dans le t-shirt un trou pour mon nez et surtout un trou laissant passer mon baillon. Je deviens alors très fébrile, j’ai peur de ce qui peut m’arriver désormais. Mais je me rassure car je l’entends partir… Avant d’entendre “Ah j’oubliais !”, il revient vers moi et après quelques secondes, je sens de nouveau ce liquide chaud que je commence à connaître par coeur imbiber le t-shirt qui me recouvre le visage. Il m’a pissé dessus et je vais resté trempée ! Je sens ensuite qu’il retire mon bouchon et une nouvelle fois insère son sexe complètement mou dans ma bouche. Après quelques aller-retour il doit juger qu’il est propre et se retire mais sans me remettre le bouchon : Ouf ! J’avais peur que le t-shirt rempli de pisse m’empêche de respirer malgré le trou précaire qu’il avait fait. Après une seconde, il s’en va et lance “Tu vas adorer ton séjour !”.

Je commençais sincèrement à en douter, j’étais la depuis au moins 3h, à 4 pattes, dans une étable dehors e avec les seins à la limite du violet. Certes, être utilisé comme urinoir j’adore, je suis une pute à chiotte à la base, mais quand même, qu’ils s’occupent de mon cul ! Je commençais également à douter de leurs capacités sexuelles… Après tout, ils ont une femme à quatre patte devant eux, complètement soumise et à aucun moment l’un d’eux n’a été dur. De plus, elles paraissaient extrêmement petites, notamment celle de mon maître. Pourtant Christophe m’a assuré que mes trous seraient détruit ce week-end…

C’est encore une demi heure plus tard alors que je me tortille dans tous les sens pour faire tomber les pompes que j’ai sur les seins (j’ai réussi d’un côté) que j’entends enfin du nouveau. Beaucoup de bruit de gravier. J’entends Christophe siffler et j’identifie le bruit de plusieurs chiens accourir. Je les avais déjà entendu aboyer au loin. J’entends notre maitre leur dire quelque chose (mais j’entends difficilement avec le t-shirt mouillé sur les oreilles) et je sens que les chiens se rapprochent.

J’ai à peine le temps de réaliser que je sens une truffe froide se coller à ma chatte complètement sèche. Je me mets alors à hurler de toutes mes forces et heureusement on m’entendait vu que je n’avais pas le bouchon, ce qui fait venir Christophe et son ami également au vu des pas. Il me lance “Qu’est-ce qui ne va pas ? Ah oui, tu as fait tombé ton tire-lait et ta couverture, attend je te les remets !”. Je vois qu’il ne comprend pas, je continue de hurler, ce qui semble l’énerver. Je sens alors d’un coup qu’il referme le bouchon de mon baillon et l’éloigne en appelant l’un de ses chiens, ou plutôt l’une de ses chiennes “Roxy”. Je suis soulagée. Mais cette vague n’aura pas duré longtemps car j’entends alors Gérard qui dit “Bon appétit Akila” et ajoute “Je t’avais dit que tu allais pas t’ennuyer”. Je comprends alors ce qui m’attend.

Il a à peine dit “Bon appétit” que je sens la truffe de son berger allemand contre mon cul et sa langue s’enfoncer très profond dans ma chatte. Je hurle de plaisir ! Il ramone sa langue toujours plus loin dans mon orifice sans discontinuer. J’avoue ne pas comprendre sur le moment car me faisant déjà lécher par le chien de la famille depuis mes 14 ans (j’ai commencé jeune…), je sais que généralement ils lèchent la surface, surtout quand c’est mouillé ou badigeonné de quelque chose qu’ils aiment (j’ai eu quelques orgasmes au beurre de cacahuète), mais là rien de tout ça. Ses va et vient me donnent des spasmes et je contracte le trou qui me sers de vagin, quand tout à coup je réalise : l’oeuf ! Tout s’éclaire, je suis presque sûre qu’il y a une friandise dans l’espèce d’oeuf ****** que Gérard à mis au fond de ma chatte ! Grâce à ma maîtrise de ma cavité, j’arrive à déloger l’oeuf des profondeurs de mon vagin et en 4 coups de langue, Akila a réussi à sortir l’oeuf et bingo, je l’entends macher son trophée sur le sol, je comprends alors que je suis sauvée (quoi que j’aimais ça…).

D’un coup d’un seul, je lance un hurlement de surprise et de douleur, quelqu’un venait d’arracher l’énorme plug qui me scindait le cul en deux ! Je n’avais entendu personne arriver ! Et d’un coup, un second cri, je sens la langue de ce chien affamé fouiller mon cul ouvert par le long port de ce plug. A corde… Il était à corde le plug, c’était étrange, j’aurais du m’en douter ! Ca ressemblait aux cordes que l’on voit sur les portes des personnes ayant un chien les aidant à la maison ! C’est donc ce salaud de chien qui a arraché mon plug comme si c’était un jouet. Je me rappelle alors que j’ai moi même enfoncé un oeuf, celui que Christophe m’avait initialement donné, bien au fond de mon cul, je l’avais complètement oublié… Et c’est reparti, le chien enfonce sa langue, encore plus loin, toujours plus loin, je ne sais même pas comment c’est possible. Je frole l’orgasme à plusieurs reprises, cette fois-ci je n’ai pas envie de ****** à le faire sortir. Parfois c’est sa truffe qu’il enfonce en moi. Je comprends qu’il a besoin de vérifier que sa nourriture est là, donc je me cambre, je joue un peu avec ma position et mes abdos et PFFFT, de l’air me pénètre et ouvre grand mon trou. Il recommence comme prévu et enfonce sa truffe loin tout en continant de lécher mais du coup c’est ma chatte qu’il lèche, je meugle de plaisir !

Je sens d’un coup mon bouchon se retirer, je sursaute, j’étais tellement en extase que je n’avais pas entendu l’un des hommes arriver. J’ai à peine le temps de me rendre compte de cela qu’il enfonce sa bite dans ma bouche, encore molle, mais étonamment il ne fait pas de va et vient… Il prend ma tête à deux mains et pousse sa bite au plus profond et ne bouge plus. Je ne vais pas vous le cacher, ça m’était égale, j’étais trop occupé à kiffer avec le meilleur anulingus que j’ai reçu de ma vie (encore à l’heure actuelle). Cependant, au fur et à mesure et sans que je m’en rende compte, son pénis à gonflé dans ma gorge jusqu’à atteindre un niveau assez remarquable et surtout, il semble que l’ouverture étroite du baillon agisse un peu comme un garot pour sa bite, ce qui fait qu’il n’a même plus besoin de me tenir la tête, son engin est en train de s’élargir dans ma bouche et maintenant dans ma gorge et ne semble pas près de s’en aller. Je me fais la réflexion qu’au moins comme ça il ne m’urinera pas dans la bouche car un homme ne peut pas uriner en érection. Je l’entends gémir, je pense que mes cris et mes spasmes lui offre un massage royal.

Une phrase me sort alors de ma torpeur “Bah alors, on attend pas Patrick !”, très élégant. Je reconnais Gérard, encore une fois. Je l’entends aller côté étable et j’ai à peine le temps de le localiser qu’il recommence son examen habituel. Il m’enfonce non pas deux doigts mais 4 directement dans la chatte, je sursaute et j’entends Christophe gémir, il a l’air d’apprécier la contraction qu’à eu ma gorge ! Gérard ajoute “Bah alors ma salope, t’es bien ouverte, les choses s’accélère !”, il doit pousser le chien car l’anulingus s’arrête et je ressens une nouvelle fois cet enfoiré insérer je ne sais combien de doigts en moi, j’ai eu l’impression qu’il mettait le poing ! Je ressens une forte pression sur mon anus tout gluant et il dit “Putain ma salope t’es aller le foutre loin ton oeuf il a aucune chance, je vais devoir aller le chercher !”. Il claque des doigts et je sens Akila se remettre à me lécher mais cette fois-ci la chatte, clitoris et entrée du vagin. Je hurle, enfin on s’occupe de mon clito ! Et rapidement après je hurle une seconde fois car je sens une grosse main de fermier s’insérer sans aucune délicatesse au fond de mon cul. Dieu merci je l’avais préparé en amont et le plug plus le chien a aider parce qu’il aurait craqué en deux sinon ! La douleur me transcende mais ce sentiment d’être remplie est magique. “Oh mince, je ne le trouve pas” dit-il avec un air moqueur. Je sens qu’il continue de fouiller ce qui est maintenant un trou béant et qu’il fait volontier des aller-retour. J’ai arrêté de hurler et maintenant je kiff.

Ayant découvert ma sexualité très (très) jeune, lorsque j’ai un orgasme, je ressens toujours le besoin de sucer mon pouce. Le chien qui me lèche ma chatte baveuse et Gérard qui me laboure le cul, j’ai un énorme orgasme qui arrive, mais ne pouvant pas sucer mon pouce, je commence a avoir des mouvements automatique de succion autour de la grosse matraque de Christophe. Il réagit directement et gémi de plus en plus fort. Il attrape de nouveau ma tête pour enfoncer sa bite encore plus profond, j’ai l’impression d’étouffer tellement elle me paraît loin ! Gérard accélère le mouvement et le chien émet un bruit avant de se retirer car je suis en train de gicler partout, je sens ma mouille ou ma pisse que sais-je partir comme un karcher autour de moi, je suce encore plus fort et j’entends Christophe qui jouit et commence à faire un, deux, trois vas et vient avec ma tête et libérer ce qui me semblait être des litres de sperme directement dans ma gorge, pas besoin d’avaler… Encore deux trois aller retour et Gérard arrête à son tour de me fister.

Gérard vient casser ce long silence “Regarde Christophe”, et j’entends une vidéo tourner avec la scène qui venait de se passer. Il me demande si je veux voir aussi et m’arrache le t-shirt qui me bandait les yeux, quel soulagement ! Je regarde la vidéo, je suis choquée par l’ouverture incroyable de mon cul, je ne pense jamais avoir atteint une telle largeur… Tout d’un coup, j’ai l’impression de me noyer. Je comprends ce qu’il se passe. Christophe, à peine moins dur que tout à l’heure est en train de m’uriner directement dans l’estomac. Une nouvelle fois, j’ai l’impression qu’il a pissé un litre. Je sens mon ventre s’arrondir et s’alourdir (je ne vais pas le cacher, j’ai adoré). Sa bite étant toujours trop large pour repasser par le trou, il rigole et me défait le baillon pendant que son chien lèche les sécretions qui coulent encore de mes orifices.

Je comprends que c’est fini, je meugle, je ne parle pas malgré l’absence d’entrave pour parler. Les deux affichent un grand sourire et ajoute “C’est bien, tu as enfin compris ton rôle Pénélope”. Les deux commencent à me retirer tout le matériel, les sabots, ce qui est autour de mon cou et me disent “il est temps pour toi d’aller manger et dormir.”. Je suis soulagée. Mais Gérard me voyant m’étirer ajoute “Ne crois pas que tu es sorti de l’auberge, je te rappelle qu’on est deux à ne pas encore avoir éjaculer en toi aujourd’hui.” au début je ne comprends pas car le sperme de Christophe je l’ai bien en bouche, ça a été mon repas. Un frisson m’érisse les poils, il parle de lui et d’Akila, je comprends donc que mon calvaire animalier n’est pas encore terminé.

Christophe m’attache une corde au cou et me fait marcher à quatre patte. Je pensais qu’il allait me diriger vers la maison mais au contraire on s’en éloigne. Je vois au loin un box comme pour les chevaux avec mon nom “Pénélope”, enfin, mon nom de génisse. Il ouvre et dedans je vois de la paille, plusieurs couvertures, une belle caméra de surveillance, une cloche contre le mur, un abrevoir et une gamelle. Je comprends que c’est ici que je vais passer la nuit. Il détache la corde qui me serrait le cou et ajoute “Ne crois pas que tu auras totale liberté… Penche toi.” Je sens alors qu’il m’enfonce un objet dans les fesses, pas franchement douloureux… Puis en quelque seconde je sens cet objet m’élargir et j’entends le bruit d’un cadenas, je comprends tout de suite. Il s’agit d’une poire qui s’ouvre et se bloque, je me relève, me retourne et je vois que le plug et relié à une corde elle même reliée à l’enclos. “Tu es libre de me rejoindre dans la maison si tu arrives à te défaire de ce dispositif, sinon tu **** ici.”

Il quitte l’étable et commence alors ma première nuit à la ferme.

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